Villers-Bocage (Somme)
Villers-Bocage | |||||
L'église Saint-Georges. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | CC du Territoire Nord Picardie | ||||
Maire Mandat |
Anne-Sophie Domont 2020-2026 |
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Code postal | 80260 | ||||
Code commune | 80798 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villersois | ||||
Population municipale |
1 459 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 103 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 59′ 52″ nord, 2° 19′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 85 m Max. 136 m |
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Superficie | 14,17 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Amiens-2 | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.villersbocage.fr/ | ||||
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Villers-Bocage est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Villers-Bocage est un bourg picard situé au nord d'Amiens, entre Poulainville et Talmas.
La commune est traversée par la route nationale 25, dite « route de Doullens » (ancienne route royale du XIIIe siècle), qui longe le centre du bourg et accueille gendarmerie, auberges et maisons..
Le cœur ancien du bourg est constitué autour de la place de l'église, bordée par le château (disparu) et l'église paroissiale. Un second centre, situé un peu plus au nord, est constitué par une grande mare, près de laquelle sont regroupées la mairie et la poste[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Naours | Talmas | |||
Flesselles | N | Rubempré | ||
O Villers-Bocage E | ||||
S | ||||
Montonvillers Bertangles |
Coisy | Rainneville |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 818 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Villers-Bocage est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,1 %), zones urbanisées (8,4 %), prairies (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), forêts (1,9 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La localité est desservie par les lignes d'autocars no 22 (Doullens - Villers-Bocage - Amiens) et no 23 (Doullens - Beauquesne - Amiens) du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés[13].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Villari Bocagium, Vileres de Bocagio au XIIe siècle[1], Villares in Bocagio, Vilers in Boscagio, Villers au Boscaige, Villers au Boscage en 1507[14].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Villers- appellatif toponymique issu du latin villare désignant une partie de la villa, c'est-à-dire « partie d'un domaine », donc « ferme »[15] (comprendre du gallo-roman VILLARE), dérivé du latin villa (rustica) « grand domaine rural »[15] (comprendre gallo-roman VILLA). Villare a par ailleurs été emprunté par l'allemand dialectal sous la forme willer et l'allemand standard Weiler qui signifie « hameau ».
Le déterminant complémentaire -Bocage est un nom propre désignant une région, sous une forme normanno-picarde correspondant au nom commun de l'ancien français boschage, boschaige qui désignait jadis un paysage boisé. Le français bocage est un emprunt au normand. Il s'agit d'un dérivé de bosc ancienne forme et forme dialectale de bois. C'est un mot d'origine germanique. Le sens global est celui de « ferme dans le Bocage (pays) »
Homonymie avec Villers-Bocage (Calvados, Villiers en Boscaige 1365)
Histoire
[modifier | modifier le code]Les fouilles réalisées sur le territoire communal ont permis d'attester d'une présence dès le néolithique : des silex taillés ont été mis au jour[14].
Datant de l'époque gauloise, des fermes et des nécropoles ont été trouvées également lors de recherches archéologiques[14].
La seigneurie de Villers-Bocage est attestée depuis le début du XIIIe siècle. Il ne reste rien du château fort édifié près de l'église, sur une motte castrale[16].
Durant la guerre de Cent Ans, le bourg est pillé par les Anglais en 1423[1].
Comme de nombreuses localités picardes, Villers-Bocage est dévasté par de nombreuses guerres frontalières qui durèrent jusqu'à la Paix des Pyrénées de 1659 : il fut notamment pillé par Jean de Werth (dit Jean de Vert) en 1635, puis par les troupes royales en 1640. L'écart d'Ossonville ou la Blanche Abbaye, aujourd'hui disparu mais attesté dès le XIVe siècle, fut fréquemment incendié et pillé (1545, 1587, 1636...), avant d'être définitivement abandonné, vers le milieu du XVIIe siècle. Des muches creusées dans le sous-sol de la commune sont les vestiges de ces guerres[1].
Jean-Baptiste Berthe achète vers 1663 la seigneurie et fait construire un manoir, vendu par ses successeurs en 1804 au négociant amiénois Florent Picard. Ce manoir est détruit au XIXe siècle[16].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Villers-Bocage[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Amiens-2.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était le siège de la communauté de communes Bocage Hallue, créée fin 1999.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie[18], dont la commune est désormais membre.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démocratie participative
[modifier | modifier le code]La commune s'est dotée d'un conseil municipal des Jeunes, la dernière élection a eu lieu en [24].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2021, la commune comptait 1 459 habitants[Note 3], en évolution de +5,57 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune de Villers-Bocage comprend une école publique maternelle et élémentaire (Les Hirondelles), une école privée relevant de l'enseignement catholique (Sainte-Thérèse), un collège public (Les Coudriers), une maison familiale rurale, ainsi que l'école départementale d'incendie et de secours de la Somme (EDIS80).
L'école primaire publique de Villers-Bocage compte 167 élèves à la rentrée 2017[28].
Le collège Les Coudriers est situé rue de la Chapelle. Il compte 603 élèves à la rentrée 2018[29].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Sa façade est constituée par un large mur pignon construit au XIIIe siècle, surmonté d'un clocher. Le portail est encadré par quatre colonnettes dont les chapiteaux sculptés sont très altérés.
- La nef comporte trois vaisseaux d'inégale hauteur : le vaisseau central est beaucoup plus élevé que les collatéraux. Les ouvertures du côté sud à linteau courbe ont été percées au XVIIIe siècle. En revanche, du côté nord, les fenêtres sont en arc brisé, dans le style du XVIe siècle (la porte latérale ne fut ouverte qu'au XIXe siècle)[33].
- Oratoire à la Madone, situé Route nationale.
L'édifice est le travail d'un maçon italien réalisé en 1958[34]. - Presbytère construit en 1855 sur les plans de l'architecte Pigou (également auteur de la mairie-école), par l'entrepreneur amiénois Alot. Il est en brique et toiture d'ardoises[35].
- Maison de maître du XIXe siècle, 20 place du 11-novembre[36].
- Maison de maître dite château, 5 rue du 14-Juillet, construite au XIXe siècle pour M. Bénézy, juge de paix et maire de Villers-Bocage. Il est à l'abandon[16].
- Maison du XIXe siècle, 36 route nationale, isolée dans un jardin, construite en craie pour la façade principale, et en briques et pierre[37].
- Ancien cimetière du XIXe siècle, agrandi en 1897 puis en 1903, avec une annexe au sud, réservée aux soldats du Commonwealth tombés pendant la Première Guerre mondiale. Il est désormais abandonné[38].
- Maison construite en 1867, 11 rue Saint-Eloi, en briques et chaînage d'angle en pierre et toiture d'ardoises[39].
- Ancienne auberge de la fin du XIXe siècle, 10 route nationale, construite en briques, avec un peu de pierre en décor et deux épis de faîtage[40].
- La commune héberge le siège de la communauté de brigades de gendarmerie, qui comprend celles de Villers-Bocage et de Picquigny.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Lors de la Première Guerre mondiale, le Maréchal Foch eut à une époque son quartier général au château de Villers-Bocage[41].
- André Debry (1898-2005), né à Villers-Bocage, marié à Rosières-en-Santerre avec Marguerite Céline Pingand le , est mort à l'âge de 107 ans et a ainsi été un des derniers « poilus » vivants.
Surnoms et noms jetés
[modifier | modifier le code]Les blasons populaires (ou noms jetés ou encore Surpitchet (pcd) en picard) servant à qualifier plaisamment les habitants de Villers-Bocage sont :
- « Chés cots éde Villers » (les chats de Villers, en picard) ;
- « Chés beudelés éde Villers » (les boueux, c'est-à-dire couverts de boue en picard).
Héraldique
[modifier | modifier le code]La commune a adopté ces armoiries le . Inspirées de celles de Gérard des Auteux, seigneur de Villers-Bocage, elles nous sont connues par un sceau de 1297. On y a ajouté un chef de sinople, rappelant la vocation agricole de la commune, chargé de trois quintefeuilles d'argent qui figuraient sur le blason de Ferri Harlé, bailli de Villers-Bocage au XVIe siècle[42] Blasonnement :
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Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pierre-Marie Rambour, Chronique d'un village de l'Amiénois, Le livre d'histoire, 1998, Monographies des villes et villages de France.
- Bertrand Cuvelier, Histoire du collège de Villers-Bocage, Histoire et traditions du Pays des Coudriers no 20, [44].
- Bernard Petit, Les « Muches » dans le canton de Villers-Bocage, Édition Association du Pays des Coudriers, 2002.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Somme
- Liste des mémoriaux et cimetières militaires de la Somme
- Flèches et clochers de l'arrondissement d'Amiens en 1908
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Les recherches archéologiques au lieu-dit La Montignette (site de l'INRAP).
- « Dossier complet : Commune de Villers-Bocage (80798) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Villers-Bocage » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Présentation de la commune de Villers-Bocage », notice no IA80000265, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-Bocage et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Villers-Bocage ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Steven Simmonds, « Histoire de Villers-Bocage », sur Site de la mairie (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 716a.
- « Maison de maître dite château », notice no IA80000205, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du Bernavillois, de la communauté de communes du Doullennais et de la communauté de communes Bocage-hallue », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 85-87 (lire en ligne [PDF]).
- Henri Tilloy et Daniel Demonchaux, « Les municipalités de Villers-Bocage (Somme) » [PDF], Histoire(s) du village, sur villersbocage.fr, (consulté le ).
- Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Il s'agit de son quatrième mandat Source : Quotidien Le Courrier picard - édition Région d'Amiens du 29 mars 2008
- « Le maire de Villers-Bocage Isabelle Warcoin a présenté sa démission : Le 10 novembre 2015, la démission de Mme Warcoin fut acceptée par Mme le préfet. Mme Domont Anne-Sophie (LR), adjointe au maire fait fonction, jusqu'aux élections du 10 et 17 janvier 2016 », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Sophie Diers, « Jean-Pierre Domont succède à Isabelle Warcoin au poste de maire : Faisant suite à l'élection du 10 janvier, l'installation officielle du nouveau conseil municipal a eu lieu vendredi. Les élus ont ainsi élu le maire et les adjoints. Jean-Pierre Domont succède sans surprise à Isabelle Warcoin. », L'Abeille de la Ternoise, (lire en ligne, consulté le ) « Il a récolté 12 voix pour et 3 votes blancs. ».
- « Anne-Sophie Domont, nouvelle maire de Villers-Bocage : Après une campagne tendue, la transmission entre son prédécesseur et la nouvelle maire s'est faite de manière républicaine sur fond d'importants chantiers en cours », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « elle fut adjointe de 2014 à 2016 et conseillère de 2016 à 2020 ».
- « Le Conseil Municipal des Jeunes »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Enfance et jeunesse, sur villersbocage.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « L'école sur le site du ministère de l'éducation nationale »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Le collège sur le site du ministère de l'éducation nationale. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Villers-Bocage, chef-lieu de Canton, arrondissement d'Amiens, d'après nature, 8 octobre 1872 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Église de Villers-Bocage, arrondissement d'Amiens. - Extrait de "Sépulcres ou Mises au tombeau en Picardie" par E. Delignières, Paris, Plon, 1906 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Aux stalles de l'église de Villers-Bocage (Somme) XIIIe siècle. D'après les croquis originaux de feu Louis Duthoit d'Amiens. - Extrait de "Matériaux et documents d'architecture" par Raguenet », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Itinéraires du Patrimoine, livret no 181.Direction régionale des Affaires culturelles de Picardie, Amiens
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 184 (ASIN B000WR15W8).
- « Presbytère », notice no IA80000301, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de maître », notice no IA80000210, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA80000211, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cimetière », notice no IA80000193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA80000209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Auberge », notice no IA80000212, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le Q.G. du maréchal Foch, vue prise lors de la visite de David Lloyd George », notice no APZ0007699, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture, photo de 1919.
- Jean Estienne et Mireille Louis, Armorial du Département et des Communes de la Somme, Abbeville, 1972, F. Paillart p. 71
- « Le site de la commune ».
- Bertrand Cuvelier, « Histoire et traditions du Pays des Coudriers ».