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Naours

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Naours
Naours
La mairie
Blason de Naours
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes du Territoire Nord Picardie
Maire
Mandat
Jean-Michel Bouchy
2020-2026
Code postal 80260
Code commune 80584
Démographie
Gentilé Noriens
Population
municipale
1 063 hab. (2021 en évolution de −0,56 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 02′ 10″ nord, 2° 16′ 39″ est
Altitude Min. 61 m
Max. 154 m
Superficie 16,55 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Corbie
Législatives Première circonscription
Localisation
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Naours
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Naours
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Naours
Liens
Site web naours.com

Naours (/na.uʁ/[1]) (en picard : Nor (/nɔʁ/, prononciation utilisée régionalement) est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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Naours est un village picard de l'Amiénois situé à 5,1 km au nord-ouest de Villers-Bocage[2], à 14,5 km au sud de Doullens[3],à 15,6 km au nord d'Amiens[4], à 32,5 km au sud-est d'Abbeville[5] et 45,6 km au sud-ouest d'Arras[6] à vol d'oiseau.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :


Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Nièvre[Carte 1].

La Nièvre, d'une longueur de 22 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Somme canalisée à L'Étoile, après avoir traversé 13 communes[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Naours[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[8].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 786 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 13 km à vol d'oiseau[11], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Au , Naours est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[16]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,9 %), prairies (18,2 %), forêts (8,4 %), zones urbanisées (3,5 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Naours est aisément accessible depuis la RN 25.

Il est desservi en 2019 par la ligne d'autocars no 56 (Havernas - Flesselles - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés et la ligne no 25, le jeudi, jour de marché à Doullens[20].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Nauurz et Narws (1064) ; Naors (1144) ; Naurs (1146) ; Naours (1145-1168) ; Naordis (1200) ; Naurdis (1200) ; Noourt (1503) ; Nort (1579) ; Naour (1733) ; Naur (1743) ; Nahoure (1764)[21].

Gaëtan de Witasse indique que, sous l'Ancien Régime, la seigneurie appartenait « à l'abbaye de Corbie. On trouve deux versions sur l'origine de cette possession : l'une l'attribue à la charte de 662, comme faisant partie de la forêt de la Vicogne ; l'autre à la donation de l'abbé Mordrame, au VIIIe siècle. Le domaine comprend deux moulins et deux fours (banaux) en 1387, 442 journaux 1/4 de terre en 1388, 458 en 1547, 418 en 1640, 563 journaux 85 verges en 1742, non compris les biens de la prévôté qui sont 10 journaux 56 verges de prés et 56 journaux 34 verges de terre. Il y a une cense en 1547 et un château au commencement du XVIIe siècle, ruiné en 1640[22] »

Naours est connue grâce à la présence de carrières-refuges ou muches supposées commencées à l'époque des invasions normandes du IXe siècle[23].

Durant la Première Guerre mondiale, Naours est situé à l'arrière du front, et sert de lieu de visite touristique pour les soldats alliés au repos. De nombreux grafitis de soldats australiens ont été découverts dans les muches de Naours en 2014[24].

En , la commune a subi d'importantes inondations à la suite d'orages exceptionnels[25].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la première circonscription de la Somme.

Après avoir été chef-lieu de canton en 1793, Naours intègre le canton de Domart-en-Ponthieu en 1801[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Corbie.

Intercommunalité

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Naours était membre de la communauté de communes Bocage Hallue, créée fin 1999.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité fusionne contre son gré[27] avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie dont Naours est désormais membre.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1996[28] mars 2008 Geneviève Cazin    
mars 2008[29] En cours
(au 27 juin 2021)
Jean-Michel Bouchy[30] DVD Professeur de cuisine dans un lycée hôtelier à Amiens
Vice-président de la CC du Territoire Nord Picardie (2017 → )
Conseiller départemental de Corbie (2021 → )
Vice-président du conseil départemental de la Somme (2021 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]

Distinctions et labels

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Le fleurissement de la commune est reconnu par deux fleurs au concours des villes et villages fleuris depuis 2016. La ville espère les conserver en 2019, malgré les fortes inondations de 2018 qui ont occasionné beaucoup de dégâts[33].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 1 063 habitants[Note 3], en évolution de −0,56 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4751 5171 6051 7771 8961 9041 9181 9291 835
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7861 7241 7411 5861 5741 4171 3571 2741 223
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1581 1321 039842765717646659662
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
6366837219621 0501 1241 1391 1431 088
2018 2021 - - - - - - -
1 0821 063-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Réseau taillé dans la craie et les bancs de silex.
L'église, entourée du cimetière, présente une silhouette particulièrement massive.
Cet ensemble de carrières aménagées et de muches[40],[41] (ou souterrains-refuges), creusées dans la craie pour protéger les populations civiles lors des guerres, est mentionné à partir du XIVe siècle. En 1887, l'abbé Danicourt, curé du village redécouvrit l'entrée du site.
Située jusqu'à 33 mètres de profondeur dans le flanc de la colline, la cité souterraine compte 20 galeries (soit 2 km de longueur), près de 130 « chambres » d'après le plan de l'abbé Danicourt, six cheminées, des places publiques, une chapelle (ces deux derniers éléments ont été créés par l'abbé Danicourt), elle est ouverte au public[41]. Elle fut utilisée particulièrement durant les guerres de Religion.
Un modeste musée présente une petite quinzaine de personnages en cire rappelant les professions locales traditionnelles. Le centre d'interprétation des soldats voyageurs, à proximité, présente les graffitis de soldats australiens engagés dans la bataille de la Somme durant la Première Guerre mondiale[41].
  • Les moulins :
    Pour rappeler les anciens moulins ayant existé route d'Amiens à Naours (sur le lieu-dit le moulin), la cité souterraine de Naours a acquis un moulin à Linselles, "le moulin du Belcan[42]", puis un autre en 1963 "le moulin de Stavele"[43] en Belgique, pour servir de pièces détachées à la rénovation du premier.
Cependant, les deux furent conservés et montés sur la colline du Guet[44].
Le moulin de Stavele, dit de « Westmolen », y a fonctionné pendant plus de trois siècles. En mauvais état, il a dû être démonté en 2017, il est en attente de restauration[45],[46].
  • Château de Naours
    Le château de Naours[47] est issu d'un site féodal très ancien qui remonte vraisemblablement au haut Moyen Âge et qui aurait pris la place d'un établissement de l'époque romaine.
Le château était entouré de douves qui ont été comblées. Il était protégé par une muraille complète avec tours d'angle. À l'emplacement approximatif de la grille se trouvait un pont-levis. Les murs ont été modifiés depuis. Les parties les plus anciennes sont le mur (brique et pierre) style Louis XIII et les restes d'un ancien donjon (sans doute du XVe siècle) sur la face nord.
Plusieurs constructions se sont succédé. Après les guerres du XVIIe siècle, au cours desquelles il fut en partie détruit, il fut reconstruit (au début du XVIIIe siècle) et a subsisté dans son ensemble jusqu'à nos jours.
Le pigeonnier menaçait de tomber en ruine et n'était plus en harmonie avec le nouveau château : en 1737, l'abbé Corbie fit dresser un projet par divers artisans (archives départementales). Il fut achevé en 1738 puis partiellement restauré en 1987.
Le château était une dépendance de la très puissante abbaye de Corbie, qui selon les périodes, laissa plus ou moins d'autonomie à son représentant. Il semble même que celui-ci ait fini par jouir d'une véritable indépendance car, en 1435, l'abbaye dut racheter le fief de Naours à un seigneur voisin[48]) À la Révolution française, le château fait partie des biens nationaux et est vendu en adjudication[49] le 31 janvier 1783 à un Amiénois. Aux XIXe et XXe siècles, le château sera la plupart du temps la propriété des notaires résidant à Naours.
Le château de Naours est transformé en lieu de réception pour les professionnels et les particuliers.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Naours Blason
D'azur à l'épée basse d'or posée en bande, à la lampe à huile du même, allumée de gueules, la flamme à senestre (au comble de sable chargé de l'inscription « NAOURS » d'or)[53].
Détails
La lampe à huile allumée et l'épée évoquent le village souterrain creusé pour protéger les villageois lors des guerres depuis le IXe siècle.

Blason utilisé dans les années 1960 et 1970 dont le statut actuel reste à déterminer.

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Naours » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Prononciation en français de France standardisé retranscrite selon la norme API.
  2. « Orthodromie entre Naours et Villers-Bocage », sur fr.distance.to (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Naours et Doullens », sur fr.distance.to (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Naours et Amiens », sur fr.distance.to (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Naours et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Naours et Arras », sur fr.distance.to (consulté le )
  7. Sandre, « la Nièvre »
  8. « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Naours et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Naours ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  21. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 99 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  22. Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendance, t. II, Abbeville, Imprimerie Veuve Lafosse, coll. « Mémoires de la société d'émulation d'Abbeville », , 717 p. (lire en ligne), p. 371-373, lire en ligne sur Gallica.
  23. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 118 (ASIN B000WR15W8).
  24. Zoé Varier, « 12 mai 2014, Gilles Prilaux découvre des graffitis de la Grande Guerre dans la cité souterraine de Naours », France Inter / Une journée particulière,‎ (lire en ligne [audio], consulté le ).
  25. « À Naours, le jour d'après semble bien long », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Benoît Delespierre, « Bocage-Hallue apporte une belle corbeille avant la fusion », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  28. Avis de décès, Courrier picard, 4 juin 2024, page 17.
  29. Quotidien « Le Courrier picard », édition Région d'Amiens du 1er avril 2008
  30. « Un maire, les pieds dans la boue », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu depuis 2001, maire depuis 2008, il vit désormais chaque printemps dans la hantise des orages ».
  31. « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  32. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  33. « Vignacourt, Naours: deux communes, un seul enjeu fleuri : Ils n'ont pas le même nombre de fleurs, et pourtant l'objectif est le même pour Vignacourt et Naours : conserver leur classification lors du passage du jury Villes et Villages fleuris 2019, ce jeudi 1er août », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Les souterrains-refuges de Naours. - Imp.-Lith. E. Winckler-Hiver, Abbeville (Extrait du "Cabinet historique de l'Artois et de la Picardie", pl. IX, n° de février 1888) », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  38. « A) L'église de Naours. B) Plan des souterrains-refuges de Naours modifié d'après les fouilles opérées depuis dis ans, 1905. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  39. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Entrée des souterrains de Naours, canton de Domart-en-Ponthieu, d'après nature, 15 sept. 1889. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  40. Les muches de Naours
  41. a b et c Sabine Jeannin. Plongée dans les dessous d'une vieille cité picarde. L'Humanité Magazine, n°813, 30 juin 2022, pp. 62-63.
  42. « Moulin de Belcan », notice no PA00116209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Moulin à vent dit Westmolen », notice no PA00116210, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. Le réveil du moulin de Stavele (de Westmolln)
  45. Émilie Da Cruz, « Nouvelle vie pour le moulin de Stavele : Norpatrimoine et la Fondation du patrimoine lancent une souscription de financement pour rebâtir l'édifice à Naours. Le but ? Le faire tourner et l'animer », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. Anthony Hoyer, « Naours : pour le moulin de Stavèle, jusqu'à présent, pas d'effet loto du patrimoine », L'Abeille de la Ternoise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. bignet, « Home - Château de Naours », sur Château de Naours (consulté le ).
  48. Archives départementales
  49. « Vente du vieux château de Naours », Tableau des biens particuliers et journal des domaines nationaux qui sont à vendre,‎ , p. 7 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
  50. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Naours, d'après nature, 19 mai 1876. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  51. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Naours. Partie absidiale, canton de Domart-en-Ponthieu, d'après nature, 1889 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  52. Thierry Griois, « Des étudiants à la recherche de l'arbre rare : Treize étudiants en Master Dynamique et géographie des territoires établissent, dans le cadre de leurs études à l'université, un inventaire des arbres remarquables », Courrier picard,‎ , p. 11.
  53. « Naours (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).