Saint-Sauveur (Somme)
Saint-Sauveur | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Nièvre et Somme | ||||
Maire Mandat |
Gilles Delattre 2020-2026 |
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Code postal | 80470 | ||||
Code commune | 80718 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Salvatoriens | ||||
Population municipale |
1 329 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 147 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 56′ 18″ nord, 2° 12′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 84 m |
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Superficie | 9,04 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Ailly-sur-Somme (banlieue) |
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Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ailly-sur-Somme | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.saint-sauveur80.fr/ | ||||
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Saint-Sauveur est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Saint-Sauveur est un bourg de la vallée de la Somme, en aval d'Amiens. La Somme constitue la limite communale avec Ailly-sur-Somme.
La localité est desservie par l'ex-route nationale 1 (actuelle RD 1001). Elle est traversée par l'autoroute A16.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Saint-Vaast-en-Chaussée | Vaux-en-Amiénois | |||
La Chaussée-Tirancourt | N | Argœuves | ||
O Saint-Sauveur E | ||||
S | ||||
Breilly | Ailly-sur-Somme | Dreuil-lès-Amiens |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[1].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Sauveur est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ailly-sur-Somme[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[10]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,9 %), eaux continentales[Note 5] (8,7 %), zones urbanisées (7,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), forêts (1,9 %), prairies (0,5 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La localité est desservie par la ligne d'autocars no 27 (Vignacourt - Amiens) du réseau interurbain Trans'80[14].
Transports ferroviaires
[modifier | modifier le code]La gare d'Ailly-sur-Somme est à dix minutes à pied[15].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Un document de 1113 nous fournit Haidicourt. Les comptes de la baronnie de Picquigny citent Hédicourt alias S. Sauveur en 1463, 1503 et 1538. En 1463, est relevé « Hédicourt que l'on dit S. Sauveur ». Ortelius produit S. Sauveur dès 1579[16].
Saint-Sauveur est un hagiotoponyme qui trouve son origine de l'attribut de « sauveur du monde » attaché à Jésus-Christ par les églises chrétiennes.
Hédicourt, déjà attesté sous la forme Hédicourt en 1696, était un fief sis à Saint-Sauveur[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Des traces de vie datant du Néolithique ont été relevées dans la commune. L'allée du vieux berger fait allusion à la tombe d'un homme et son chien datant de cette époque, découverte lors de la mise en place de la ZAC des Bornes du Temps[18].
Un cimetière franc remontant à l'époque de Clovis (466-511) a été mis au jour au cours des fouilles réalisées pour la création de la résidence de la Haie pâtissière[18].
À partir du XVe siècle, la famille de Mons d'Hédicourt s'impose dans le village. Ses descendants font encore partie de la population locale[18].
L'extraction de la tourbe devient une activité majeure au XVIIIe siècle. Le grand louchet, l'outil adapté, figure d'ailleurs sur le blason villageois, tout comme les bûches enflammées[18].
Le , le village est libéré de l'occupation allemande. Une rue rappelle cet événement[18].
Au XXe siècle, l'extraction de matériaux dans le lit de la Somme conduira à la réalisation de plans d'eau ensuite destinés aux activités de loisirs[18].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la première circonscription de la Somme.
Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton d'Amiens-4, année où elle intègre le canton d'Amiens 2e (Nord-Ouest)[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton d'Ailly-sur-Somme.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la petite communauté de communes de l'Ouest d'Amiens (CCOA), crée fin 1993.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrit, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants.
Dans ce cadre, la CCOA a du fusionner avec la communauté de communes du Val de Nièvre et environs[20] pour former, le , la communauté de communes Nièvre et Somme[21], malgré des difficultés de mise en œuvre[22].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2021, la commune comptait 1 329 habitants[Note 6], en évolution de −6,47 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dispose en 2018-2019 de l'école maternelle Jules-Renard (2 classes) et de l'école élémentaire Jacques-Prévert (3 classes)[30]. Une cantine et un centre aéré complètent les services en faveur de l'enfance[31].
Économie
[modifier | modifier le code]La commune héberge une zone d'activités, les Bornes du Temps, au nord de l'ex-RN1[32].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-de-la-Trinité[33], construite en pierres avec des soubassements en grès et en briques, elle semble dater du XVe siècle. Sa voute est en « carène de bateau renversée » et son autel en bois sculpté est de style Louis XVI. Les fonts baptismaux du XIIIe siècle creusés dans un chapiteau à crochets pourraient provenir d'une ancienne colonne en pierre d'un temple romain ; ils portent une inscription peu lisible au nom de la famille Mons et la date de 1624[34]. Un chandelier pascal en bois taillé, en forme de trépied, date du XVIIIe siècle[35],[36]
- La commune possède un lac de 25 ha où se pratiquent de nombreuses activités nautiques : canoë, pédalo, paddle... Pendant l'été 2018, 6 000 utilisateurs ont profité de la base gérée par l'Ufolep. Le recrutement de moniteurs devrait permettre d'étendre les activités à la pratique de l'optimist et à la planche à voile. Ceux qui n'ont pas le pied marin peuvent s'exercer au tir à la sarbacane, au VTT ou à la randonnée[15].
- Le marais permet également de se livrer à la pêche de loisirs[37]. Le silure, le brochet, la carpe ainsi que la gamme des poissons blancs sont présents en nombre. On y trouve même des blongios et des cormorans[15].
-
L'église.
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Entrée de la base nautique.
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Le marais.
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La salle de sports.
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Le monument aux morts pour la patrie.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- René Boulanger (1897-1942), résistant, né à Saint-Sauveur et mort à Auschwitz.
- Emmanuel Parsy[pourquoi ?] né en 1967, footballeur professionnel[réf. nécessaire].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent au louchet de tourbier de sable en pal, accosté de deux briquettes du même enflammées de gueules ; au chef d'or* chargé de trois canards de sinople en vol[38]. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (métal sur métal). Le blason, de conception moderne, porte en chef trois canards en vol, qui évoquent le marais de la Somme. Le louchet de tourbier et les deux briques de tourbe en flamme rappellent que jusqu'au XIXe siècle, l'extraction de la tourbe, pour le chauffage, procurait un emploi important dans le village. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Saint-Sauveur sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Saint-Sauveur (80718) », Recensement général de la population de 2015, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Ailly-sur-Somme comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Saint-Sauveur » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Sauveur et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Ailly-sur-Somme », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Sauveur ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Faites le plein d'activités à la base nautique de Saint-Sauveur », Courrier picard, , p. 7.
- Dictionnaire topographique du département de la Somme, vol. 2, vue 147/267, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie (lire en ligne), p. 289.
- Dictionnaire topographique du département de la Somme, vol. 2, vue 147/267, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie (lire en ligne), p. 472.
- Site communal, section histoire.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les Communautés de communes », Le Canard municipal - Saint-Sauveur, no 85, , p. 5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Arrêté préfectoral du 16 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Nièvre et Somme issue de la fusion de la communauté de communes de l'Ouest d'Amiens et de la communauté de communes du Val de Nièvre et environs » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- « Le torchon brûle entre les deux ex-territoires de Nièvre et Somme », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le Centenaire de M. Tréboutte », Le Canard municipal - Saint-Sauveur, no 85, , p. 2 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Écoles », Vie du village, sur saint-sauveur80.fr (consulté le ).
- « Périscolaire », Vie du village, sur saint-sauveur80.fr (consulté le ).
- « L'histoire cachée de l'extension de JJA et ses 200 emplois à Flixecourt : Derrière la très bonne nouvelle pour l'emploi se cache aussi une histoire entre collectivités locales où se mêlent concurrence fiscale et coopérations intelligentes », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Saint-Sauveur (canton N.O. d'Amiens), d'après nature », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
- « chapiteau, puis fonts baptismaux », notice no PM80001267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Cierge pascal », notice no PM80001268, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'église », Patrimoine, sur saint-sauveur80.fr (consulté le ).
- « AAPPMA St Sauveur », Mon AAPPMA, Fédération de la Somme pour la Pêche et la protection du milieu aquatique (consulté le ).
- « 80718 Saint-Sauveur (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).