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Wierre-Effroy

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Wierre-Effroy
Wierre-Effroy
L'église Saint-Pierre.
Blason de Wierre-Effroy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Boulogne-sur-Mer
Intercommunalité Communauté de communes de la Terre des Deux Caps
Maire
Mandat
Jean-Pierre Louvet
2020-2026
Code postal 62720
Code commune 62889
Démographie
Gentilé Wierrois
Population
municipale
856 hab. (2021 en évolution de +6,87 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 46′ 44″ nord, 1° 44′ 21″ est
Altitude Min. 14 m
Max. 96 m
Superficie 18,91 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Boulogne-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Desvres
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Wierre-Effroy
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Wierre-Effroy
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Wierre-Effroy
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Wierre-Effroy

Wierre-Effroy est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes de la Terre des Deux Caps qui regroupe 21 communes et compte 22 332 habitants en 2021.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes. Les communes limitrophes sont Belle-et-Houllefort, Conteville-lès-Boulogne, Maninghen-Henne, Marquise, Offrethun, Pernes-lès-Boulogne, Pittefaux, Rety et Rinxent.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 18,91 km2 ; son altitude varie de 14 à 96 mètres[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par trois cours d'eau :

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Wierre-Effroy[Note 1].

La commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[6].

Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.

Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.

La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :

  • les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
  • le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
  • la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 883 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boulogne-sur-Mer à 10 km à vol d'oiseau[10], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité

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Espace protégé et géré

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14].

Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] :

  • la vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort. Cette partie de la vallée du Wimereux, située au nord de la RN 42, en marge de la cuvette du bas Boulonnais, marque les limites entre les terrains jurassiques et le bassin calcaire de Marquise-Rinxent[16] ;
  • la vallée de la Slack entre Rinxent et Rety, d’une superficie de 541 hectares et d'une altitude variant de 12 à 45 mètres. Cette ZNIEFF correspond à un complexe de prairies pâturées, de cultures intensives et de quelques bois[17].
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Au , Wierre-Effroy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[19]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46 %), prairies (38,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), forêts (5,6 %), zones urbanisées (1,7 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Wierre-Effroy est attesté sous les formes : Villeria (668)[23], Wilere (857), Wileria, Vuilere et Vuilerae (867), Wilra (1084), Vilra (1142), Welra (1157), Wirra (1184), Willre (1190), Wilra et Wisofra (1208), Wilera (1224), Vuarchainfridus (1268), Wilre (1286), Wirre (1297), Wierre-le-Haimfroy (1393), Wierhoffoy (1507), Vierra Hainfridi (vers 1512), Viere-le-Hainfroy (vers 1525), Wierre-le-Héfroy (1550), Huierre-Heffroy et Wierre-Hainfroy (1553), Wierre-Effroy (1559), Wierre-Houfroy (1566), Wierre-Heffroy (1677)[24], Wyerre Effroy (1793), Wierre-Effroy (depuis 1801)[1].
Comme pour Wierre-au-Bois, Ernest Nègre avance comme origine le bas-latin villare « domaine rural », devenu villier (wilre étant une graphie germanique de viller) avec -l palatal et -er prononcé -erre donnant *viyerre écrit Wierre[25]. Effroy, qui apparaît en 1268 avec Vuarch-ainfridus, serait la désinence française du nom d'Effrid, comte d'Hesdin et seigneur de Wierre à la fin du IXe siècle, qui y fonda un monastère[23].

Le hameau d'Autembert est attesté sous les formes : Hetenesberg (826), Etenasberg (857), Hedenesberg (961), Hautembercq (1566), Hautenbert (XVIIIe siècle)[26].
Viendrait de l'anthroponyme germanique Hetenus suivi de -berg « mont », donnant le « mont d'Hetenus »[27].

Des vestiges d’un bâtiment des IIe et IIIe siècles ainsi que de ce qui pourrait avoir été une forge ont été découverts en 2014 au lieu-dit Plaine des Coutures, lors de fouilles archéologiques préventives[28].

Au XIXe siècle, lors de la mise en place de drains, des sépultures contenant des vases en terre et des objets en bronze ont été découvertes. Les objets ont été déposés au musée de Boulogne-sur-Mer[29].

Wierre-Effroy est déjà connue à la fin du IXe siècle, où Effrid, 5e comte d'Hesdin et seigneur de Wierre, y fonde un monastère qui sera détruit lors du pillage de la région par les Normands en 882[23].

Ce village est la patrie de sainte Godelieve de Gistel (ou en français Godeleine de Gistel).

À Autembert, hameau de la commune, s'élevait en 1868-1869, une motte, vestige d'un ancien château féodal[30].

Après 1237, le titulaire de la seigneurie de La Gonfalonnerie à Londefort, sur le territoire actuel de Wierre-Effroy, est un des quatre pairs héréditaires du comté de Boulogne[31], il assure la fonction de gonfalonnier.

Le village fut épargné de la guerre de Cent Ans mais pas de la peste qui fit des dizaines de morts.

Entre 1790 et 1794, Wierre-Effroy absorbe la commune voisine d'Hesdres[1].

Pendant la Première Guerre mondiale, le village fut épargné par la guerre.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, lors de la bataille de France, le , l'aviateur britannique Paul Klipsch (1916-1940) et son Spitfire sont abattus par un Me 110 allemand et s'écrasent dans un champ au sud-est de Wierre-Effroy lors de son premier et dernier vol. Une excavation fut organisée en 2000 par l'équipe de l'émission de télévision britannique Time Team.

Dans les années 1990, les frères Joachim et Antoine Bernard y fondent la fromagerie Sainte-Godeleine. Ils y créent notamment le Sablé de Wissant, le 62 et la Fleur d'Audresselles[32],[33].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

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La commune est membre de la communauté de communes de la Terre des Deux Caps.

Circonscriptions administratives

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La commune est rattachée au canton de Desvres.

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Maire en 1868 : Mr. Duflos[30].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
an III an IV Charles Courtois    
an VIII 1811 Antoine Bruno Lemaître    
1812 1829 François Hubert Duflos    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2006 Michel Louvet    
2006 En cours
(au 14 avril 2022)
Jean-Pierre Louvet   Gérant de société
Réélu pour le mandat 2014-2020[34],[35],[36],[37]
Réélu pour le mandat 2020-2026[38],[39],[40]

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 856 habitants[Note 5], en évolution de +6,87 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
629551597634658702740763781
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
783802785752702731708674716
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
680677677678667679688655623
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
629664569619707747777782775
2017 2021 - - - - - - -
857856-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 445 hommes pour 418 femmes, soit un taux de 51,56 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,7 
6,0 
75-89 ans
8,6 
16,7 
60-74 ans
20,7 
25,2 
45-59 ans
22,4 
17,2 
30-44 ans
16,0 
15,7 
15-29 ans
14,6 
18,5 
0-14 ans
16,9 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monument historique

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Dessin de la ferme du Val par Vaillant, 1877.

Ferme du Val : inscription par arrêté du .

Autres monuments

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  • L'église Saint-Pierre avec plusieurs objets protégés. Une cuve baptismale datant du XIIe siècle y a été trouvée qui a été achetée en 1838 et transportée au musée de Boulogne[46].
  • L'église Saint-Laurent, située dans le hameau de Hesdres, où se trouvent des fonts baptismaux du XIIe siècle[47].
  • La chapelle Sainte-Godeleine.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Wierre-Effroy Blason
D'argent à la bande de sable chargée de six losanges d’or posées à plomb[50].
Détails
Inspiré des armes de la famille de La Pasture (ou La Pâture), qui donna à Wierre d'anciens seigneurs.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Yann Gobert-Sergent, Histoire d’un village du Boulonnais : Wierre-Effroy, ouvrage collectif, Marquise, éditions Histopale, , 185 pages.

Articles connexes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Slack (E5100570) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Wimereux (E5200570 ) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Grigny (E5200650 ) » (consulté le )
  6. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  7. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Wierre-Effroy et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013294 - Vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310013299 - Vallée de la Slack entre Rinxent et Rety », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Wierre-Effroy ».
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a b et c Louis Harbaville, Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais, t. 2, Arras, Librairie Topino, (lire en ligne), p. 73.
  24. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 401-402.
  25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 372.
  26. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 22.
  27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 803.
  28. Emmanuelle Dupeux, « Wierre-Effroy : Des vestiges gallo-romains des IIe et IIIe siècles mis au jour route de Belle : Des fouilles archéologiques préventives réalisées fin juin route de Belle et Houllefort ont permis la découverte de fondations d’un bâtiment des IIe et IIIe siècles et de traces de ce qui a pu être une forge. Pour autant, le projet immobilier prévu va pouvoir être réalisé », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, « Mémoires de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts », 1868-1869 (consulté le ), p. 195-196..
  30. a et b Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, « Mémoires de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts », 1868-1869 (consulté le ), p. 195..
  31. P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 980, lire en ligne.
  32. Le sablé de Wissant
  33. Les fromages de la Ferme du Vert
  34. Élisabeth Camus (CLP), « Wierre-Effroy : Jean-Pierre Louvet veut continuer à faire de son village un lieu où il fait bon vivre : Avec 800 habitants pour 1891 hectares, Wierre-Effroy est une commune étendue. Ce charme de la ruralité multiplie les charges de travaux et d’entretien. La complexité de la tâche et le devenir du village passionnent Jean-Pierre Louvet. Il se représentera aux suffrages au printemps. « J’aime mon village, et pense pouvoir encore le servir, avec l’appui et le concours de tous ceux qui voudront s’impliquer » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Jean-Pierre Louvet réélu », Nord Littoral,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  37. « Wierre-Effroy : les projets du maire ralentis par une découverte archéologique : Quelques mois après les élections, Jean-Pierre Louvet est un maire serein, au sein d’un conseil municipal dont la moyenne d’âge est de 45 ans. Le plus gros projet de l’équipe consiste en l’urbanisation d’un lot d’un 1 hectare et demi. Pour attirer des jeunes couples… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. https://reader.cafeyn.co/fr/1978716/21599238
  39. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  40. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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