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Locon

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Locon
Locon
La mairie au centre.
Blason de Locon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Sylvie Rose-Bariselle
2020-2026
Code postal 62400
Code commune 62520
Démographie
Gentilé Loconois
Population
municipale
2 342 hab. (2021 en évolution de −1,8 % par rapport à 2015)
Densité 246 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 34′ 15″ nord, 2° 40′ 03″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 20 m
Superficie 9,52 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Béthune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beuvry
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Locon
Géolocalisation sur la carte : France
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Locon
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Locon
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Locon
Liens
Site web www.ville-locon.fr

Locon est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Loconois. La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Géographie

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Localisation

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Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes. Les communes limitrophes sont Annezin, Beuvry, La Couture, Essars, Hinges et Lestrem.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 9,52 km2 ; son altitude varie de 17 à 20 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la Lawe, cours d'eau naturel de 40,97 km, qui prend sa source dans la commune de Magnicourt-en-Comte et se jette dans la Lys au niveau de la commune de La Gorgue[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Locon[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 727 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

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Espèces faunistiques et floristiques

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L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[10].

Une entrée de la commune sur la RD 945, en provenance de La Couture.

Au , Locon est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,2 %), zones urbanisées (14,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Transport urbain

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Dans la commune fonctionnait, de 1899 à 1932, la ligne de tramway de Béthune à Estaires, une ancienne ligne de tramway qui circulait de Béthune (Pas-de-Calais) jusqu’à Estaires (Nord).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Locum (1152) ; Lockon (1138) ; Locon (vers 1190) ; Le Lokon (1305) ; Loccon (1616) ; Locon, appelé la « baronnie de des Lions » (1732)[17].

Lockon en flamand[18].

Le nom de Locon apparaît pour la première fois sur un document de 1307[19].

Le 22 septembre 1616, sont données au château de Terbureren, des lettres de chevalerie pour Charles de Coupigny, seigneur de Sallau, et Loccon, qui a servi depuis sa jeunesse à ses frais et dépens dans les dernières guerres de France, encore en service en qualité de lieutenant. Il est fils de feu Jean de Coupigny, seigneur du lieu, lieutenant-gouverneur des ville et château de Béthune, et de Jacqueline de Héricourt. Plusieurs de ses ancêtres ont été honorés du titre de chevalier[20].[pertinence contestée]

Sous la souveraineté de la maison d'Orange-Nassau jusqu'à la fin du XVIe siècle,Locon devient ensuite la propriété des seigneurs des Lyons de Bavincourt et est érigée en baronnie en 1714 en récompense des services rendus par François-Ignace-Léonard des Lyons[19].

Durant la Première Guerre mondiale, au cours de la bataille de la Lys (9 au [21]), le village fut l'un des champs de la bataille dite d'Estaires (9 au ) opposant troupes portugaises (2e division du général Gomes da Costa) et britanniques (55e division du lieutenant-général Hugh Jeudwine (en)) aux forces allemandes (VIe armée du général von Quast) ; en commémoration, sur le bord de la rue Louis-Duquesne, une borne marque le point limite de l'avancée des troupes ennemies[22]. Au cours de cet affrontement, le village eut à déplorer, le , deux victimes civiles venant s'ajouter aux 62 morts au combat de 1914-1918[23].

Le , au cours de l'attaque sur Béthune par les troupes allemandes, les villages de Hinges et Locon tombent et les SS massacrent des prisonniers anglais au hameau du Paradis à Lestrem[24].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais[25].

Commune et intercommunalités

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La commune était membre de la communauté d'agglomération de l'Artois créée fin 2001.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], celle-ci fusionne avec la Communauté de communes Artois-Lys et la Communauté de communes Artois-Flandres, formant, le , la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane, dont est désormais membre la commune[25]. Elle regroupe 100 communes et compte 275 327 habitants en 2021

Circonscriptions administratives

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La commune faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Béthune, année où elle intègre le canton de Béthune-Nord. En 1991, elle est rattachée au canton de Béthune-Est[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Beuvry[25].

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais[27].

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Maurice Decourcelle    
mai 1945 mars 1971 Maurice Cassez MRP Agriculteur
Député de la 9e circonscription du Pas-de-Calais (1958 → 1962)
Conseiller général du canton de Béthune (1961 → 1967)
mars 1971 mars 1977 René Leclercq    
mars 1977 mars 2008 Albert Cassez   Cultivateur
mars 2008 mars 2014[28] Francis Caron    
mars 2014[29],[30] 2020 Michel Dufossé DVD Comptable retraité
Directeur de l'ESAT Travail protégé Schaffner[31],[32]
28 mai 2020 En cours
(au 25 mars 2022)
Sylvie Rose-Bariselle   Profession intermédiaire de la santé et du travail social[33],[34]

La commune est jumelée avec :

Carte
Jumelages et partenariats de Locon.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Locon.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Oesbern (d)[35]Allemagnedepuis

La commune de Oesbern est intégrée, depuis le , à la commune de Menden.

Ce jumelage est l'un des premiers à être effectués entre l'Allemagne et la France après la guerre, notamment réalisé grâce aux convictions du maire de l'époque Maurice Cassez.

Équipements et services publics

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Population et société

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Démographie

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Les habitants sont appelés les Loconois[36].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 2 342 habitants[Note 5], en évolution de −1,8 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4571 3251 4001 5071 7151 7371 7221 7601 645
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6181 5541 5211 5081 4021 2981 3261 2551 263
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2501 3031 2881 0491 1471 1281 1281 0421 115
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1911 2051 3931 8022 1562 2332 4352 4322 317
2015 2020 2021 - - - - - -
2 3852 3612 342------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 212 hommes pour 1 218 femmes, soit un taux de 50,12 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,0 
6,5 
75-89 ans
7,4 
24,3 
60-74 ans
25,8 
22,7 
45-59 ans
22,8 
15,4 
30-44 ans
15,7 
13,6 
15-29 ans
11,8 
16,8 
0-14 ans
15,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Centre de la commune, avec l'église Saint-Maur.
  • L'église Saint-Maur est construite en pierre et date du début du XXe siècle, le précédent édifice ayant été détruit durant la Première Guerre mondiale. Elle est située au centre du village sur la RD 945 (rue du 11-Novembre), la place de l'Église jouxtant la mairie du village.
    • Les vitraux de cette église datent du XVIe siècle sont la propriété de la commune ; ils ont été déposés en 1914 pour éviter leur destruction lors du premier conflit mondial et furent remontés dans quatre verrières dans la nouvelle église. Ces vitraux, uniques spécimens du XVIe siècle dans le département du Pas-de-Calais, sont classés au titre d'objet des monuments historiques[42].
Un premier vitrail nommé La Résurrection a été rénové il y a quelque temps par Maître Courageux qui a utilisé la technique dite du micro-plomb qui donne un plus grande luminosité au vitrail.
Le monument aux morts avec Le Poilu victorieux, du sculpteur Eugène Bénet, qui orne le monument[43].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

d'argent à la fasce de gueules, surmontée de trois coqs rangés de sable.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[44] :

  • M. Corbeille, 10 siècles à Locon, Richebourg, 1999.

Articles connexes

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Liens externes

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Bases de données, dictionnaires et encyclopédies

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Autres liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  7. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Lawe (E3660600 ) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Locon et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Locon ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. nationale, (lire en ligne), p. 227.
  18. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  19. a et b Quelques notes historiques - Origines sur le site de la mairie
  20. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 28, lire en ligne.
  21. L’offensive allemande sur la Lys sur le site chtimiste.com, consulté le 2 novembre 2014.
  22. Quelques notes historiques sur le site de la mairie, consulté le 2 novembre 2014.
  23. Relevé du monument aux morts de Locon sur le site MémorialGenWeb.org, consulté le 2 novembre 2014.
  24. Massacre du Paradis
  25. a b et c « Rattachements administratifs de la commune », sur l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
  26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  27. « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
  28. Céline Wlodarski, « Locon : le maire Francis Caron ne convoite pas de deuxième mandat : Élu une première fois conseiller municipal en 1983, puis premier adjoint jusqu’en 2008, Francis Caron n’ira pas au-delà de son premier mandat de maire. Ce Loconois pure souche revient néanmoins avec satisfaction sur ces six dernières années. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Locon : Michel Dufossé élu maire d’un « village gaulois » : Le conseil municipal sorti des urnes dimanche a été installé vendredi soir à la salle des fêtes de Locon », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sans surprise, Michel Dufossé, tête de la liste « Locon, traditions et innovations » arrivée en tête (52,64 %) et seul candidat, a été élu maire par les 15 conseillers de la majorité. Les quatre conseillers issus de la liste de Bertrand Leleu, « Locon, notre village demain », ont voté nul. Michel Dufossé succède ainsi à Francis Caron ».
  30. Aïcha Noui, « Rencontre avec le nouveau maire de Locon: Michel Dufossé, « les politiques sont des profiteurs déconnectés de la réalité » : Suite de notre série de portraits des nouveaux maires, arrêtons-nous aujourd’hui à Locon. Pour ceux qui en doutent encore, Michel Dufossé est un homme de caractère. Fier de son village et de ses origines, l’homme revendique haut et fort un engagement apolitique », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Virginie Pruvost, « Michel Dufossé vient de prendre les rennes [sic] du Travail protégé Schaffner », Ouest France - Ma Ville, édition de Lens,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Benoît Fauconnier et Georges Moreau, « Michel Dufossé ne démissionne plus, la perspective de nouvelles élections municipales s’éloigne : Michel Dufossé, maire de Locon, a annoncé à ses administrés le 13 mars qu’il allait remettre sa démission au préfet, pour préserver sa santé. Par une vague de démissions, la minorité au conseil pensait provoquer de nouvelles élections municipales. Ce qui n’arrivera pas. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  35. « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=28064 »
  36. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Locon (62520) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  42. « 4 verrières », notice no PM62000994, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  44. « La commune de Laires », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).