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Porquéricourt

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Porquéricourt
Porquéricourt
Silhouette de l'église et son arrière-plan de verdure.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Fabien Barège
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60511
Démographie
Gentilé Porquéricourtois, Porquéricourtoises
Population
municipale
410 hab. (2021 en évolution de +8,18 % par rapport à 2015)
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 39″ nord, 2° 57′ 39″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 154 m
Superficie 3,75 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Porquéricourt
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Porquéricourt
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Porquéricourt
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Porquéricourt

Porquéricourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Description

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Porquéricourt est un village périurbain picard du Noyonnais qui jouxte Noyon, situé à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Laon, à 22 km au nord de Compiègne et à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest de Saint-Quentin.

Le territoire communal s'élève à l'ouest sur les coteaux séparant la vallée de la Divette de celle de la Verse. Le village est au pied du coteau et l'ouest de la commune est constitué par une forêt.

Le village compte un hameau, Calendes

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Porquéricourt
Lagny Sermaize Beaurains-lès-Noyon
Porquéricourt Noyon
Suzoy Vauchelles

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le fossé 01 de la commune de Beaurains-les-Noyon[1], le fossé 01 de la commune de Sermaize[2], le fossé 02 de la commune de Beaurains-les-Noyon[3] et le fossé 03 de la commune de Beaurains-les-Noyon[4],[5],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Porquéricourt[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 013 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Oise moyenne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE est, en 2024, encore en élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du SAGE Oise-Moyenne (SMOM)[6].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Chauny à 19 km à vol d'oiseau[9], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Porquéricourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,4 %), forêts (36,2 %), zones urbanisées (14 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), prairies (0,9 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par les lignes 674 et 679 du réseau interurbain de l'Oise[18].

Le lieu a été désigné comme Porguericourt ou Porqueribort en 1171, Porpellicourt en 1596 (Porquerivum curtis)[19].

Du latin porcus avec le suffixe cortem. Le « domaine de la porcherie » ou le « domaine du porcher »[20].

Une abbaye est signalée au XVe siècle[21],[19].

Avant la Révolution française, le territoire de l'ancienne paroisse de Porquéricourt comprenait sept fiefs relevant de l´évêché de Noyon[22].

En 1820 la municipalité projette l'acquisition de la moitié de l´ancien presbytère pour en faire une école. En 1846, les terrains sont acquis pour construire l´école,conçue par l´architecte Marouy. et les travaux sont achevés en 1849[22].

Au milieu du XIXe siècle, le village disposait d'un moulin, d'un presbytère, d'une féculerie exploitée par Jean-Baptiste Victor Prévost, autorisée en 1846 et installée au lieu-dit Le Château de M. Michaux, à laquelle aurait été ajouté en 1855 un moulin à blé doté d'une machine à vapeur. La féculerie, qui aurait employé 8 à 15 ouvriers en 1851, ne semble plus exploitée dès 1856[22],[21].

L'ancienne église, vétuste, dont les parties les plus anciennes dataient du XVe siècle est détruite en 1867. Un nouvel édifice est édifié au même emplacement sur les plans de l'architecte de la manufacture impériale de Beauvais et de l'arrondissement de Clermont, M. Weil, et par MM. Cardon et Quetier, entrepreneurs à Guiscard. La bénédiction et la pose des cloches ont lieu en 1871 et la réception des travaux, en 1872[23].

Première Guerre mondiale

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[24] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [25].

La reconstruction

La mairie et une nouvelle école sont reconstruits dans l'entre-deux-guerres sur des terrains acquis en 1921[22]. La reconstruction de l'église en 1921 se fait en réutilisant la base des murs de l'édifice précédent[23].

Politique et administration

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Intercommunalité

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Porquéricourt est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 sous le nom de communauté de communes de la haute vallée de l'Oise et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995   Claude Labarre    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 février 2003 Jean Beauvois    
mars 2003 mars 2008 Patrick Pelourdeau    
2008 2014 Claude Vedie    
2014 En cours
(au 20 janvier 2021)
Fabien Barège PS[26] Contrôleur principal des douanes
Vice-président du CC du Pays Noyonnais (2016 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026[27]

Politique de développement durable

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La réfection de l'éclairage public du village est réalisé en deux tranches en 2019 et 2020, permettant une importante baisse de la consommation grâce au remplacement d'ampoules au mercure par des lampes à LED. Cette initiative succède au remplacement des installations de chauffage de la salle des fêtes, de l'école et de la mairie, opéré en 2016[28].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 410 habitants[Note 3], en évolution de +8,18 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
335348388341388403342350315
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
311306284279259260253240225
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
240227227198207211193177202
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
217206243313331362350347356
2015 2020 2021 - - - - - -
379401410------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Porquéricourt était une des communes les plus peuplées de l'ancien canton. La population, qui s'élevait à 335 habitants en 1793, a atteint son maximum (403 habitants) en 1836 et son seuil le plus bas (177 habitants) en 1946[22].

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 192 hommes pour 204 femmes, soit un taux de 51,52 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
5,2 
75-89 ans
6,3 
20,1 
60-74 ans
16,9 
22,2 
45-59 ans
18,4 
16,5 
30-44 ans
18,8 
16,0 
15-29 ans
18,4 
20,1 
0-14 ans
20,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Enseignement

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Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui compte en 2019 deux classes à Porquéricourt, deux autres à Larbroye et une cinquième à Vauchelles[27].

Manifestations culturelles et festivités

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Le Comité d'animation de Porquéricourt (CAP) organise la Nuit des concerts dont la cinquième édition s'est tenue le , qui attire plusieurs milliers de spectateurs[35].

En 2021, le village est dépourvu de commerces de proximité, mais un distributeur automatique de pain a été implanté avec l'aide de la municipalité en devant la mairie[36],[26].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Notre Dame de l'Assomption de la Vierge, reconstruits durant le Second Empire en Style néogothique en brique et pierre sur les plans de sur les plans de M. Weil.
    Le clocher-porche en façade a été reconstruit en 1921 après les destructions de la Première Guerre mondiale[37],[19],[23],[38].
  • Monument aux morts, exécuté par le marbrier Joseph André à Noyon en 1925 et sur lequel sont inscrits 14 noms[39],[40]
  • La Pierre Quinpierre, mégalithe calcaire de 6 à 7 m, qui s'est scindé en plusieurs pierres par l'action de la végétation[19],[41].

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Porquéricourt » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sandre, « le fossé 01 de la commune de Beaurains-les-Noyon »
  2. Sandre, « le fossé 01 de la commune de Sermaize »
  3. Sandre, « le fossé 02 de la commune de Beaurains-les-Noyon »
  4. Sandre, « le fossé 03 de la commune de Beaurains-les-Noyon »
  5. « Fiche communale de Porquéricourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  6. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Porquéricourt et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Chauny » (commune de Chauny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Porquéricourt ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Transports en commun à Porquéricourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  19. a b c et d Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Noyon, arrondissement de Compiègne (Oise), 1851, 232 p. (lire en ligne), p. 141-143, sur Google Books.
  20. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 92-93.
  21. a et b Cécile Wachez, « Un livre-enquête sur les secrets du village de Porquéricourt : Passionné d'histoire, Raymond Grzesiak publie un ouvrage de 101 pages consacré au passé de la commune, du XIIe siècle aux années 1960. Dans le but d'éclairer le présent », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. a b c d et e Isabelle Barbedor, Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Le canton de Noyon : le territoire de la commune de Porquéricourt : Dossier IA60000335 », égion Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  23. a b et c Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Eglise paroissiale et cimetière de l'Assomption-de la-Vierge de Porquéricourt : Dossier IA00049576 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  24. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  25. Journal officiel du 18 février 2021, p. 2098.
  26. a et b Pascal Mureau, « Comment le PS espère renverser la table aux départementales dans l'Oise : Le Parti socialiste a choisi un maire rural, Fabien Barège, à Porquéricourt, pour organiser sa campagne des prochaines départementales. Dans sa ligne de mire : réussir une union de la gauche. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Porquéricourt depuis 2014, Fabien Barège s'attache à réveiller cette commune de 380 habitants, à deux pas du canal du Nord ».
  27. a et b « Porquéricourt. Le maire sortant Fabien Barège se déclare candidat », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu dans la commune depuis 2008, Fabien Barège a d'abord été le premier adjoint de Claude Védie jusqu'en 2014. Cette année-là, il est élu maire de Porquéricourt ».
  28. « À Porquéricourt, l'éclairage économique arrive », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Porquéricourt (60511) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  35. « Une Nuit des concerts puissance cinq le 29 juin à Porquéricourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « À Porquéricourt, le distributeur de pain tourne déjà à plein régime », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Dominique Vermand, « Porquéricourt, église de l'Assomption Notre-Dame », Diocèse : Noyon, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
  38. Bertrand Fournier, Michel Hérold, Martine Plouvier, « Le mobilier de l'église paroissiale de l'Assomption-de-la-Vierge : Dossier IM60000854 inclus dans Eglise paroissiale et cimetière de l'Assomption-de la-Vierge de Porquéricour », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  39. Relevé des noms des soldats tués sur MemorialGenWeb
  40. « Monument aux morts de Porquéricourt : Dossier IA00049579 inclus dans Eglise paroissiale et cimetière de l'Assomption-de la-Vierge de Porquéricourt », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  41. « France - Pierre de Quinpierre [STQUIN] », Mégalithes du monde, (consulté le ).