Aller au contenu

Masparraute

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Masparraute
Masparraute
La mairie de Masparraute.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Joseph Paris
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64368
Démographie
Gentilé Martxuetar
Population
municipale
261 hab. (2021 en évolution de +16,52 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 26″ nord, 1° 05′ 33″ ouest
Altitude Min. 26 m
Max. 123 m
Superficie 8,16 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Masparraute
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Masparraute
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Masparraute
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Masparraute

Masparraute est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Martxutar[1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Masparraute se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 95 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 47 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 9,6 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Arraute-Charritte (1,5 km), Labets-Biscay (3,0 km), Amorots-Succos (3,1 km), Orègue (3,4 km), Béguios (3,4 km), Ilharre (4,2 km), Bergouey-Viellenave (4,8 km), Luxe-Sumberraute (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Masparraute fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9],[10]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Amorots-Succos, Arraute-Charritte, Béguios, Bergouey-Viellenave et Labets-Biscay.

Hydrographie

[modifier | modifier le code]
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Masparraute.

La commune est drainée par l'Aphatarena, Minhurièta erreka, Faitureko erreka, Lamulariko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[12],[Carte 1].

L'Aphatarena, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Béguios et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Lihoury à Bidache, après avoir traversé 6 communes[13].

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 388 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 8 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[23],[Carte 2].

Au , Masparraute est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,2 %), terres arables (36,8 %), forêts (10,1 %), prairies (1 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux

[modifier | modifier le code]
  • Elycibarre ;
  • Berhoco ;
  • Celhay ;
  • Saldorits ;
  • Ibarre.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Masparraute est desservie par les routes départementales D 11 et D 246.

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Masparraute est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité modérée)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Masparraute est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[30]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[31],[32].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Masparraute.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[33]. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[34].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[28].

Panneau bilingue sur la D 246.
Le fronton de 1960.
Linteau sculpté de 1760.
Un lavoir.
Mentions anciennes

Le toponyme Masparraute apparaît sous les formes Mansbarraute (1080 et 1119[35]), Mauzbarraute (1080[36], collection Duchesne volume CXIV[37]), Mazberraute (1119[35]), Sanctus Stephanus de Manzberraute (1160[35]), Mans-Barraute et Mazbarraute (XIIe siècle[36] pour les deux formes, cartulaire de Sorde[38]), Mazperaute (1309[35]), Mazparraute (1402[36], titres de Navarre[39]), Mazparraute et Marchoete (1413[35]), Mazperaute, Masberrauta, Masparrauta et Masperrauta (respectivement[36] 1434, 1443, et 1462 pour les deux dernières formes, notaires d'Oloron[40]) et Mazparrauta (1513[36], titres de Pampelune[41]).

Jean-Baptiste Orpustan[35] indique que Masparraute signifie 'la manse[42] du lieu de broussailles' ou 'le lieu de broussailles de la manse'.

Graphie basque

Son nom basque actuel est Martxueta[1].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2010 Bernard Larramendy    
2010 2020 Jean-Pierre Apéçaréna    
2020 En cours Joseph Paris    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune appartient à six structures intercommunales[43] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le syndicat AEP du pays de Mixe ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
  • le syndicat regroupement pédagogique d'Amorots-Succos, Arraute-Charritte, Béguios, Masparraute et Orègue.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

En 1350, 28 feux sont signalés à Masparraute[44].

Le recensement[45] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[46] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[47], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Masparraute la présence de 9 feux, le second de 49 feux.
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[48] dénombre 120 feux à Masparraute.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[50]. En 2021, la commune comptait 261 habitants[Note 7], en évolution de +16,52 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
632683654678638664645614610
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
587565502467507490472469448
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
440426408395406428450397358
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
346292268265230211240245249
2014 2019 2021 - - - - - -
228250261------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]
Toiture vénérable.

Patrimoine civil

[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Étienne[53] date du XVIIIe siècle.

L'église Saint-Étienne.
Stèle discoïdale de 1760.
Stèle de 1740.

Équipements

[modifier | modifier le code]
éducation

Amorots-Succos, Masparraute, Orègue, Béguios et Arraute-Charritte se sont associées pour créer un regroupement pédagogique intercommunal (R.P.I. AMOBA[54]).

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b - Académie de la langue basque
  2. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Masparraute ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Masparraute et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Masparraute et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Masparraute et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Masparraute », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  9. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Carte IGN sous Géoportail
  12. « Fiche communale de Masparraute », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  13. Sandre, « l'Aphatarena ».
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Orthodromie entre Masparraute et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Aicirits » (commune d'Aïcirits-Camou-Suhast) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  21. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Masparraute », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Palais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Masparraute », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  35. a b c d e et f Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux de Labourd, Basse-Navarre et Soule, Pessac, Presses universitaires de Bordeaux 2006, , 244 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 2-86781-396-4, lire en ligne).
  36. a b c d et e Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  37. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
  38. Cartulaire de l'abbaye Saint-Jean de Sorde, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  39. Titres du royaume de Navarre - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  41. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
  42. Les manses désignent un ensemble de domaines ruraux
  43. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  44. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze : Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 978-2-909262-05-5 et 2-909262-05-7), page 77
  45. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  46. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
  47. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
  48. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Étienne
  54. Site du R.P.I. AMOBA

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :