1758 en philosophie
Apparence
Chronologies
1755 1756 1757 1758 1759 1760 1761 Décennies : 1720 1730 1740 1750 1760 1770 1780 Siècles : XVIe XVIIe XVIIIe XIXe XXe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Peinture et Sculpture), (), (), Littérature (), Musique (Classique) et Théâtre |
L’année 1758 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :
Événements
[modifier | modifier le code]Publications
[modifier | modifier le code]- De l'esprit est un essai de Claude-Adrien Helvétius paru, sans nom d'auteur, le . Les thèses matérialistes qu'il contient sont rapidement dénoncées par les milieux conservateurs. Le privilège d'édition est révoqué en 1759.
- Jean-Jacques Rousseau écrit :
- Lettres morales — Écrites entre 1757 et 1758, publication posthume en 1888[1];
- Lettre sur la providence;
- Lettre à D'Alembert sur les spectacles.
- Emanuel Swedenborg :
- Du Ciel (et de ses merveilles) et de l'Enfer, d'après ce qui a été entendu et vu (De Coelo et ejus Mirabilibus, et de INferno, ex Auditis et Visis, 1758). Trad. Le Boys des Guays, Fischbacher, 1899. Édition en français : Le Ciel, ses merveilles et l'Enfer, d'après ce qui a été vu et entendu, traduction de Le Boys des Guays revue et corrigée, prolégomènes et note sur la terminologie par L. Jean Français, R.S.F., 1960.[1]
- La nouvelle Jérusalem et sa doctrine céleste (De Nova Hierosolyma et ejus Doctrina Coelesti, Londres, 1758). Trad. J.-P. Moët : De la Nouvelle Jérusalem et de sa doctrine céleste, d'après ce qui a été entendu du ciel, Paris, Treuttel et Würstz, 1821. En ligne