1734 en philosophie
Apparence
Chronologies
1731 1732 1733 1734 1735 1736 1737 Décennies : 1700 1710 1720 1730 1740 1750 1760 Siècles : XVIe XVIIe XVIIIe XIXe XXe Millénaires : -Ier Ier IIe IIIe |
Architecture, Arts plastiques (Dessin, Gravure, Peinture et Sculpture), (), (), Littérature (), Musique (Classique) et Théâtre |
L’année 1734 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :
Événements
[modifier | modifier le code]Publications
[modifier | modifier le code]Naissances
[modifier | modifier le code]- à Genève : Antoine-Jacques Roustan, mort le à Genève, est un pasteur et philosophe genevois, qui a entretenu une correspondance nourrie avec Jean-Jacques Rousseau. À la différence de celui-ci, il pensait qu'une république chrétienne était réalisable, la religion chrétienne étant à ses yeux compatible avec le patriotisme ou le républicanisme[1].
Décès
[modifier | modifier le code]- à Paris : Edme Pourchot[2] (en latin Purchotius), né à Poilly-sur-Tholon, près d'Auxerre[3], en septembre 1651, fut un professeur de philosophie de l'Université de Paris, dont l'enseignement eut une grande influence et suscita la controverse en mêlant des éléments de cartésianisme aux conceptions scholastiques traditionnelles.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Roustan, Antoine-Jacques » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne.
- On trouve aussi le prénom Edmond, mais lui-même utilisait la forme Edme. Cf. Mercure de France, juillet-août 1739, p. 1509 : « Edme Pourchot (car il se nommait ainsi, à la différence du P. Martenne (sic), bénédictin, que nous venons de perdre, lequel signait Edmond Martenne) ».
- Localité relevant à l'époque du diocèse de Sens, et non de celui d'Auxerre. Cf. ibid., p. 1509-10 : « Il étoit né dans le diocèse de Sens, sur le territoire d'un village nommé Poilly, qui touche à la lisière de celui d'Auxerre, dans un canton qu'on appelle la Vallée d'Aillant, du nom d'un bourg de cette contrée. [...] Je crois que dans son épitaphe, qui se lit au mur du cimetière de Saint-Étienne-du-Mont, du côté du nord, il est aussi qualifié de Senonensis. Mais certainement il était de Poilly, à trois lieues d'Auxerre, et non pas de Sens. Ce n'est pas même à Sens qu'il avait fait le plus de résidence en province, mais à Auxerre. Il y avait pris les premières teintures des sciences, et de là il était venu à Paris ».