Cette page est une ébauche. Vous pouvez aider à la compléter en cliquant sur l'onglet "modifier" en haut de la page.
|
Cadwell est une âme perdue de Havreglace, et le doyen des Absous. Il dit n'avoir peur de personne, ni même d'un Prince Daedra.
Interactions[]
Les Absous de Havreglace[]
Le Vestige et Lyris Titan, espérant sauver Le Prophète, vont s'adresser à Cadwell, qui les redirige vers un chemin alternatif menant à sa cellule.
Conversations[]
Les Absous de Havreglace[]
Un beau jour, en pleine nuit, deux rois morts se levèrent pour se battre. Dos à dos, ils s'affrontèrent, tirèrent leur arc et se poignardèrent eux-mêmes !
Hé, à qui ai-je l'honneur ? Vous vous promenez ? C'est la journée idéale pour ça.
Vous devez être Cadwell. Sieur Cadwell, en effet. C'est un plaisir ! Et la belle Lyris ! Ravi de vous voir, ma chère ! Comment allez-vous ?
- Nous tentons d'entrer dans la cellule du Prophète. La porte est scellée. Hé ! bien ! Hé ! bien ! Ça doit être rudement embêtant, pas vrai ? Je vais vous dire : il se trouve que je connais une autre entrée. C'est même une belle petite promenade. Remplie de pièges, et de cadavres, et de sales bêtes pour combler l'espace entre tout ça.
- Et comment allons-nous passer ? Prudemment, je pense. Gare où vous mettez les pieds ! Relevez le nez, et attention aux pièges. Et vous devrez sans doute courir et enfoncer quelques crânes, je le crains.
- Où est l'entrée ? Suivez la rivière. Vous trouverez la porte de la crypte au bout. Une fois dedans, restez dans la lumière et vous trouverez une échelle qui vous ménerat droit au Prophète. Saluez-le de ma part !
- Merci. Bonne chance. Passez-moi me voir de temps en temps !
- Où est l'entrée ? Suivez la rivière. Vous trouverez la porte de la crypte au bout. Une fois dedans, restez dans la lumière et vous trouverez une échelle qui vous ménerat droit au Prophète. Saluez-le de ma part !
- Et comment allons-nous passer ? Prudemment, je pense. Gare où vous mettez les pieds ! Relevez le nez, et attention aux pièges. Et vous devrez sans doute courir et enfoncer quelques crânes, je le crains.
Parlez-moi de vous, sieur Cadwell. Il n'y a pas grand-chose à dire, en fait. C'est toujours la même histoire. Vaillant chevalier, quêtes épiques, demoiselles en détresse. Je suis arrivé ici quand ma tête a été séparée de mon corps ; de façon fort cavalière, je dois l'avouer. C'était un coup dur, mais on fait contre mauvaise fortune bon cœur.
- Depuis combien de temps êtes-vous là ? Oh, ça fait vraiment longtemps. En fait, je ne serais pas surpris d'être le plus vieux des Absous. Parmi ceux qui ne sont pas devenus enragés, bien entendu. Je connais chaque tunnel, chemin, coin et recoin. Les autres comptent sur moi, je suppose.
D'où connaissez-vous Lyris ? Ah ! Lyris. Elle est aussi cinglée que le pyjama de Shéogorath. Elle a bon cœur, au fond. Elle dit qu'elle doit sauver le Prophète pour nous sauver tous d'un tourment éternel. Je ne vois pas du tout comment un vieil aveugle pourrait y parvenir.
- Que savez-vous à propos du Prophète ? C'est un gentilhomme impérial. Apparemment, il fut autrefois un mage puissant, mais les années n'ont pas été tendres avec lui. Lyris dit qu'il connaît le chemin pour revenir en Tamriel. Si une telle chose existait, je l'aurais déjà trouvée.
- Vous pensez qu'il n'y a aucun moyen de rentrer ? Je n'y ai pas vraiment pensé, en fait. Je suppose que tout est possible. En vérité, je suis ici depuis si longtemps que je m'y sens chez moi. Mais une bonne révolte de temps en temps, voilà qui met de l'ambiance. Alors où est le mal, hein ?
Château du Ver[]
Lyris et le Vestige secoururent Cadwell en vainquant le gardien Cornexius.
Vous avez vraiment un sens du minutage impeccable. Lyris, enchanté, comme toujours. Et vous... Vous avez l'air plutôt en forme pour quelqu'un qui... comment dire ? Manque si cruellement d'âme ?
Sieur Cadwell ? Que faites-vous ici ? Là où les forces du mal s'en prennent aux innocents, là où les âmes sont volées et les corps Absous, là où le peuple réclame justice à grands cris, là je vais ! Bref, toute cette histoire de servitude éternelle, ça craint. Vous ne trouvez pas ?
Il faut que nous entrions dans le château. Par les jarretelles de Dibella, pourquoi ? Un coin ravissant, pas de souci. Mais il regorge franchement d'adeptes très énervés munis de grosses armes !
Il faut secourir Abnur Tharn. C'est compliqué. Je vois, je vois. Une rescousse, donc. Bon, c'est une autre tasse de thé, hein ? Hum. Il y a une citerne qui se vide dans une rigole. Que diriez-vous de m'y retrouver, qu'on voie ensemble ce qu'on peut faire ?
Merci, sieur Cadwell.
Lyris et le Vestige pénétrèrent dans la citerne du château.
Vous tenez bien la cadence ! Je ne supporte pas les traînards.
Et maintenant ? Tout ce maudit château repose sur un océan de bidules oblivionesques instables. Les Daedra canalisent sont flux grâce à des tuyaux, et ça ressort sous forme de vapeur.
Continuez. Bon, la plupart des portes là-dedans sont scellées à cause de la pression engendrée par la vapeur. Tout ça est assez compliqué, mais en bref, si j'arrive à trifouiller les tuyaux, nous pourrons ouvrir les portes vers le donjon, et vous pourrez vous y glisser.
Que pouvons-nous faire ? Eh bien, je peux me débrouiller avec le bricolage, mais vous devrez tenir les bestioles en respect. Vous en êtes ?
J'en suis. Allons-y.
En avant ! Ha ha !
Allons ! Allongez la foulée !
Ne vous inquiétez pas, cela vous permettra d'entrer avec un minimum de problèmes.
Encore une, après celui-là.
Ça devrait faire l'affaire !
Cadwell régla les canalisations.
Vous voilà ! Vif comme l'éclair ! On a même le temps de prendre le thé.
Merci. Serviteur. Ce n'était rien. À peine une broutille. Vraiment. Vous trouverez ce Tharn au sommet de la Tour des Ossements. Vous devrez vous ouvrir un chemin jusqu'au cœur du donjon pour l'atteindre, mais ce n'est pas très loin.
Que fait-il là-haut ? Je crois que le roi des Vers l'a mis de corvée d'inspection des pierres d'âme qui ont abouti dans le château... C'est-à-dire, toutes. Vous verrez des caisses entières de ces choses à droite à gauche dans le bâtiment.
Voudriez-vous nous accompagner ? Vos bras ne seraient pas de trop. Vraiment ? Ma foi, je pourrais bien vous prendre au mot. Mais la sécurité d'abord ! Je resterai ici juste au cas où, pour m'assurer que rien ne puisse vous mordiller les talons.
Merci, Cadwell.
Hé ! bien ! Ne traînez pas ici, vous avez une princesse à secourir. C'était bien une princesse, hein ?
Cadwell retrouva Lyris, Abnur et le Vestige lors de leur fuite.
Tiens, encore vous ! Vous cherchez une sortie ? Je vais l'ouvrir dans un instant.
Arkay nous protège ! Vous êtes aussi mal en point qu'une pêche dans un sac de cailloux ! C'était un vrai morceau de bravoure, pas vrai ? Peu importe. Vous avez sûrement besoin d'une voie de sortie, hein ?
Juste à temps, Cadwell. En vérité, c'est une de mes habitudes. Nous ferions sans doute mieux de nous dépêcher. Le château entier doit être aussi piquant qu'un sac d'aiguilles après tout ce raffut.
Pourquoi ne pas nous accompagner ? Vous accompagner ? Vous voulez dire, quitter Havreglace ? Je ne sais pas trop... Ça fait très longtemps que je n'ai pas vu le monde que j'ai abandonné. Vous croyez que c'est sage ?
- Vous devriez venir. Ça pourrait vous faire du bien. Alors, c'est entendu. Et après tout, vous avez besoin de quelqu'un pour vous faire sortir d'ici. En avant ! Marche !
- Allons-y !
- Le monde est un endroit dangereux, pour l'instant. Peut-être n'est-ce pas la meilleure façon de renouer avec lui. Ce ne serait pas du tout la meilleure façon. Et ce n'est pas si mal, ici, en fin de compte. Oblivion a ses charmes, pas vrai ? Filez, espèce de galopins. Il y a une grille, tout droit, qui mène à la fosse à ordures. Faites attention à la marche, par contre
- Bonne chance, sieur Cadwell.
- Alors, allez-y. Ne vous en faites pas, je m'en sortirai. Aucune cage n'a su retenir le chevalier que je suis. Pas encore, du moins.
Dans le passage ! Venez !
Le trio rentra au port.
Encore une importante réunion stratégique, n'est-ce pas ? Excellent ! Passez me saluer quand vous en aurez fini, d'accord ?
Une fois la quête accomplie.
Si vous voulez mon avis, vous avez le don pour vivre de folles aventures. Cet endroit est si étrange. Vous saviez que ce feu est vraiment chaud ? Génial !
Les salles du Tourment[]
Cette grotte est vraiment ravissante, mais visez donc le paysage de cauchemar à l'extérieur ! Comment parvenez-vous à rester sains d'esprit ? Je crois que je vais rester à l'intérieur. Faites-moi signe si vous avez besoin que je fasse un truc héroïque, d'accord ?
La vallée des lames[]
Je crois que vous avez visité les salles du Tourment. Quel endroit merveilleux. Merveilleux. Je ne suis pas un aficionado des cris des tourmentés, mais pour le reste c'est charmant.
L'ombre de Sancre Tor[]
Vous adorez la poésie, j'en suis sûr. Que dites-vous de ça ?
Un jour, en pleine promenade
Ma tête tombe et part en roulade.
Mais quand j'ai vu qu'elle était démise,
Je l'ai ramassée et vite fait remise.
Je l'aime bien, celle-là.
Une fois la quête accomplie.
Sancre Tor ? Jamais mis les pieds là-bas, mais je sais que c'est là que la dynastie des Réman est enterrée. Pourquoi est-ce que les gens s'entêtent encore à enterrer des restes ? C'est une belle perte de temps ces jours-ci, avec tous ces morts qui jaillissent de leurs tombes. Allez hop ! Brûlez-moi tout ça !
Conseil des Cinq compagnons[]
Ils ont une réunion importante et m'ont demandé si je pouvais les laisser entre eux. Enfin quoi, c'est incroyable ! Et la confiance, bon sang ? Allez donc faire un tour à la décharge publique, Cadwell, quel brave garçon. Si je suis contrarié ? Rien ne me contrarie. Je suis le bon sang d'idiot du village !
Une fois la quête terminée.
Alors, vous allez vous colleter le grand méchant ? Génial ! Et bonne chance ! Toute cette affaire de Coalescence sent le fromage. Je préfère mon Havreglace avec un poil de Tamriel dedans. Merci bien !
Le poids des trois couronnes[]
Avec les guildes, le Vestige emprunta le portail de Vanus menant à Havreglace mais s'y retrouva seul, à l'exception de Cadwell.
Mais qu'est-ce que c'est ?
Alors, vous avez survécu ? Formidable ! Vraiment !
Où sont-ils tous passés ? La poisse. Ils sont arrivés à Havreglace, mais à des endroits complètement différents. C'est toujours imprévisible, les portails en Oblivion. Sans parler des défenses de Molag Bal. C'est plein de sales bestioles. Allez, filez. Passez le pont, dirigez-vous vers l'intérieur des terres, vous serez gentil.
La Cité creuse[]
Ah, quelle belle journée !
Bon retour à Havreglace, mon vieil ami. C'est un plaisir de vous revoir ! J'ai bien cru que vous aviez cassé votre pipe.
Qu'y a-t-il de l'autre côté du pont ? Quel pont ? Il y a un pont ? C'est traître, les ponts. On trouve n'importe quoi, sous un pont. Toutes sortes de créatures. Sauf celui-là. Celui-là mène à la Cité creuse.
- La Cité creuse ? Un endroit rasoir au possible... Et moche, en plus, si vous voulez mon avis. Mais j'imagine que c'est là qu'il faut aller pour commencer votre quête. Quête. Quel mot fabuleux, et pourtant si simple. Quête. Quête. Quête. J'aime la façon dont il roule sous le palais.
- D'accord. Je vais me rendre à la Cité creuse.
Où suis-je, précisément ? Bienvenue dans les magnifiques jardins de Havreglace ! Jetez-y un œil. Une journée idéale pour les visiter. Imprégnez-vous de leur ambiance, de leur grandeur et de leurs charmes !
- Parlez-moi de vous, Cadwell. J'ai l'impression que nous avons déjà discuté de cela. Ou l'ai-je déjà mentionné ? Sans importance. Je suis sieur Cadwell l'Indomptable, chevalier de la cour de Havreglace, champion de la chevalerie, défenseur des faibles et guide des Absous.
- De quoi parlez-vous ? Je ne parle pas la langue commune de Nirn ? Je la parlais couramment, mais le temps prend toujours le dessus, n'est-ce pas ? Excusez-moi, j'ai oublié la question. Cela dit, je suis certain d'y avoir déjà répondu.
- Êtes-vous en pleine démence ? Plainedémence ? C'est au nord, non ? Non, je n'y ai jamais mis les pieds.
- Vous avez parlé d'un pont. Ah bon ? Je ne m'en souviens pas. Il y a un pont juste devant, qui mène en ville. Un endroit assez terne et vide à l'heure actuelle, mais avec un peu de peinture et quelques plantes... Et honnêtement, ce n'est pas comme si vous aviez vraiment le choix. Alors, en route !
De la lumière dans les ténèbres[]
Le Vestige libéra le roi Laloriaran Dynar des Oubliettes obscures. Cadwell se rendit alors à la guilde des guerriers de la Cité creuse.
Formidable. Ravi de vous voir à nos côtés. Bienvenue dans la guilde des guerriers. C'est plutôt banal comme nom, vous ne trouvez pas ? Mais ça veut bien dire ce que ça veut dire : ce sont des guerriers et ils appartiennent à une guilde. Ça tient debout, quand on y pense.
Vous avez trouvé les membres de la guilde des guerriers ? En fait, c'est Honneur qui les a trouvés. L'avez-vous rencontré ? Nous sommes ensemble depuis toujours. Il connaît Havreglace presque aussi bien que moi.
C'est votre familier qui les a trouvés ? N'importe quoi ! Honneur n'est pas un familier ! Il est mon fidèle étalon ! Il a tendance à prendre l'Elfe des bois pour une délicieuse friandise, mais ne sont-ils pas les premiers à faire cela ?
Un pacte avec les ombres[]
Intimider l'Observateur[]
Cadwell se rend aux Falaises du désastre une fois que le Vestige y a accompli ses quêtes.
Reculez, horrible créature, avant que je ne vous tue d'un geste ! Oh, ce n'est que vous. Alors, on se balade ? On profite du paysage ?
J'essaie de sauver des gens. Et vous faites un travail remarquable ! Impeccable, même ! Attendez. Vous avez traversé ce portail ? Avez-vous rencontré l'Observateur ?
C'est fait. Fantastique ! J'ai toujours voulu participer au jeu de l'Observateur. Mais maintenant que vous l'avez fait, cela n'a plus grand intérêt, n'est-ce pas ? Je trouverai bien d'autres quêtes pour occuper mon temps. Bref, où en étions-nous ? Pourquoi suis-je venu là, déjà ?
Pour mener les gens que j'ai sauvés à la ville. Génial ! Formidable ! Vraiment, j'aurais aimé avoir eu cette idée. Partez, maintenant. Je vais m'assurer que tout le monde arrive à peu près sain et sauf à la Cité creuse.
L'armée de Méridia[]
Cadwell prend part au conseil de guerre à la chapelle de la Lumière de la Cité creuse.
On m'a dit qu'une réunion importante était en cours. Je suis sûr qu'ils avaient prévu de m'inviter. Après tout, qui dit réunion importante dit quête, et les quêtes, c'est ma spécialité ! Je suis toujours prêt à vaincre le mal et préserver la beauté naturelle de Havreglace.
Le Vestige assista au conseil de guerre.
- Roi Laloriaran Dynar: Votre attention, s'il vous plaît ! Je vous ai tous convoqués ici car je tenais à vous informer que l'heure fatidique approche à grands pas. Les Grands Fers ont été détruits, mais pas avant qu'un vortex planaire ne fût établi. Il est impératif que nous parvenions à le détruire avant qu'il n'aspire l'essence même de Nirn en Havreglace. La guilde des guerriers se chargera des défenseurs de l'Abîme, mais l'acier ne peut pas grand-chose contre la magie.
- Vanus Galérion: Et c'est là que mes mages interviennent. Nos éclaireurs signalent que des sortes d'obstacles magiques bloquent l'accès au chemin qui traverse l'Abîme. Les mages qui s'y trouvent œuvrent déjà pour les circonvenir, et nous sommes parés à ajouter nos forces au gros de la troupe quand elle arrivera.
- Sergent Kamu: Un plan sage. Il faut jouer de nos forces uniques. Mais je me demande ce qui se produira si les mages ne peuvent pas venir à bout de la magie de Molag Bal ?
- Vanus Galérion: Quelle question idiote ! Bien sûr que mes mages peuvent en venir à bout !
- Cadwell: Ah, la magie ! Une solution à tous les problèmes de la vie courante ! J'aime la magie ! C'est tellement... magique.
- Roi Laloriaran Dynar: J'ai totalement confiance en Vanus et ses mages.
- Gabrielle Bénèle: Merci, votre altesse. Mais pour être honnête avec vous, je ne suis pas aussi confiante que Vanus à ce sujet.
- Roi Laloriaran Dynar: Nous nous battrons de toutes nos forces. Il n'y a pas d'autre choix. Des vies seront perdues, mais dans l'espoir de sauver un monde. Il faut que vous sachiez que l'Abîme n'est que la première étape de cette bataille. Le vortex planaire est niché au cœur même de l'antre de Molag Bal.
- Darien Gautier: Oh, c'est de mieux en mieux !
- Gabrielle Bénèle: Darien ! Surveillez votre langue !
- Roi Laloriaran Dynar: Darien ne cherche qu'à détendre l'atmosphère. Nous devons tout de même essayer. Sinon, nous condamnons Tamriel à une destruction certaine.
- Darien Gautier: Bon, vu comme ça, il y a beaucoup de belles demoiselles en détresse à sauver...
- Vanus Galérion: Oui, bon, quoi qu'il en soit, nous lançons immédiatement l'assaut contre l'Abîme. Le roi doit parler au Champion, et je dois finaliser les arrangements avec les mages. Je suis sûr que chacun a des préparatifs à faire. Au travail !
Franchir l'Abîme[]
Ah, il était temps que vous vous pointiez !
Le Vestige parla à Cadwell.
Nous avons une armée digne de ce nom, mais à quoi sert-elle, je vous le demande ? Campée là, à se tourner les pouces. C'est à s'en arracher les cheveux ! Et assez embarrassant, je dois dire.
Quelle est la situation ? La situation ? On est dans une véritable impasse ! Avant de traverser l'Abîme et d'affronter Molag Grunda, on a été arrêtés par de maudites pierres de focus ! Le petit mage rouquin dit qu'il faut briser les pierres, mais bonne chance avec ça !
Casser les pierres ? Ça a l'air facile. Où est le problème ? Rien, à part la multitude de Drémoras qu'il y a autour ! Je pourrais m'en occuper, mais je ne voudrais pas démoraliser les troupes en étalant mon immense prouesse. Mais vous, d'un autre côté... ils ont l'habitude de vous voir frimer.
Aucun problème, à part peut-être la multitude de Drémoras qui se trouvent dessus ! Je pourrais m'en occuper seul, mais je ne voudrais pas démotiver le reste des troupes en faisant démonstration de mon incroyable talent au combat. Vous en revanche... Ils sont habitués à vos exploits.
Je vais détruire les pierres de focus.
Le Vestige entra dans l'Abîme.
Le petit mage roux pourra vous en dire plus long sur les pierres de focus. Hmm... vous devriez goûter un jour à ma cuisse de faucheclan roussie. Un régal ! Ce n'est pas pour me vanter, mais je suis presque aussi bon derrière les fourneaux qu'au combat.
Le Vestige détruisit les pierres de focus.
Beau travail ! Le portail est à nous, à présent ! Sieur Darien et cette charmante créature nous ont précédés. Il a dû être intimidé par nos prouesses sur le champ de bataille et maintenant, il essaye de se redonner une contenance. Quelle tristesse !
Avez-vous une petite idée de ce qui m'attend là-haut ? Grunda est une petite effrontée et elle sait que nous nous rapprochons. Les renforts qu'elle appelle arrivent tellement vite que Darien n'a pas le temps de les tuer. Vous feriez mieux d'y aller !
Je veux vous demander autre chose. Absolument. Souhaitez-vous continuer à perdre votre temps dans des débats inutiles ? Voulez-vous savoir comment j'arrive à rester de bonne humeur en toutes circonstances ? Ma couleur préférée ? Allez-y, demandez !
- Que pouvez-vous me dire sur Molag Grunda ? Molag Grunda ? Une grosse femme avec des ailes ? Sale caractère ? Postée à la porte ? Il paraît qu'elle est la fille de Molag Bal, même si c'est difficile à croire ! Il ne m'a jamais semblé être un homme de famille, mais qui suis-je pour en juger ?
- Comment connaissez-vous tant de choses sur Havreglace ? Je vis ici, mon ami ! Et ce, depuis des années. J'en connais tous les coins et recoins. Un lieu formidable, qui fourmille de créatures fascinantes. Bien sûr, elles tentent souvent de vous tuer, mais cela pimente joyeusement les choses, non ?
- Je suis prêt. Allons-y.
J'y cours.
Le Vestige gagna la deuxième partie de l'Abîme.
Je vais garder le portail et m'assurer que le secteur ne tombe pas entre les mains ennemies. Il me faudra certainement affronter un ou deux daedroths en combat singulier, mais c'est mon métier. Voyez si vous pouvez empêcher l'arrivée des renforts, voulez-vous ?
Le Vestige retrouva Cadwell devant la barbacane après avoir refermé les portails daedriques.
Je crois que nos amis tiennent solidement l'Abîme. Que diriez-vous d'aller papoter avec Molag Grunda ?
Je suis prêt, je vous attends. D'accord ! Nous contrôlons le reste de l'Abîme maintenant et les troupes ont la situation bien en main. Asseyons-nous avec Molag Grunda. Elle partagera volontiers une chanson et une bonne partie de fous rires.
À quoi puis-je m'attendre là-bas ? Venant de Grunda ? Impolitesses, hostilités, sarcasmes et certainement une grosse dose d'animosité. Je ne sais pas comment elle gère ce poste, mais j'imagine qu'elle saura partager avec nous cette petite touche daedrique qui fait de Havreglace un lieu tellement chaleureux et attirant.
Très bien, je suis prêt. J'ai hâte de voir la tête que fera Molag Grunda quand elle nous verra. Nous avons une longue histoire, vous savez. Une fois à l'intérieur, nous traverserons un petit pont pour rejoindre le poste de garde. Suivez-moi !
Passez devant.
Cadwell et le Vestige pénétrèrent dans la barbacane de Grunda.
J'ai toujours beaucoup aimé cette partie de l'Abîme. C'est à vous couper le souffle, n'est-ce pas ? Parfois, pour de bon.
Il y a un truc pour entrer dans la barbacane elle-même, mais impossible de m'en souvenir. Enfin, inutile de s'en faire, ça me reviendra sûrement.
Ah, bien sûr ! Je m'en souviens maintenant ! Il y a un volant dans chacune des antichambres sur les côtés. Nous devons les faire tourner pour ouvrir la porte principale.
Tout me revient ! Il y a un levier de l'autre côté de la pièce. Donnez-lui une bonne poussée et ce volant se mettra à tourner d'un coup.
Le Vestige activa les deux volants.
Allons donc lui rendre une visite en bonne et due forme. Je suis certain que Grunda nous aura préparé quelque chose de délicieux.
Cadwell et le Vestige s'approchèrent de la poterne.
Quelle porte impressionnante ! Regardez-moi cette finition. Remarquable ! Je dois admettre que Grunda a toujours fait preuve de goût.
Le Vestige déverrouilla la poterne.
Vous voyez ? Je savais que ça fonctionnerait ! Juste un conseil. Gare à vos abattis. Grunda adore arracher les yeux, la rate... tout ce qui s'arrache, en fait.
Le Vestige triompha de Molag Grunda et quitta la barbacane.
La prochaine fois qu'elle aura de la visite, j'ose espérer que Grunda servira un thé digne de ce nom. Certaines personnes n'ont vraiment aucun savoir vivre.
Je pense qu'elle ne s'attendait pas à recevoir des invités. Vous dites ? Désolé, j'ai un petit problème à l'oreille droite depuis cette querelle avec un titan. Je croirais entendre les cloches de Cyrodiil quand le temps fait des siennes.
Vous sembliez connaître Molag Grunda. Cela vous a dérangé que nous ayons dû la tuer ? Ho, elle finira bien par revenir. Quoi que vous fassiez, vous ne pouvez détruire un Daedra. Je me demande si Grunda aime les fleurs sauvages ? Je m'assurerai qu'il y en ait quelques unes quand elle reprendra corps.
Une fois la quête accomplie.
Quelle aventure ! Je me demande ce qui attend ensuite les valeureux guerriers que nous sommes. Je ferai écrire une ode à notre gloire. Que pensez-vous du pentamètre iambique ?
La citadelle doit tomber[]
Le Vestige retrouva Cadwell aux pieds de la Citadelle de l'écorcheur.
Imaginez un peu une forteresse remplie de Drémoras ! Ce sera une partie de plaisir de prendre ses murs d'assaut ! Je me demande si nous n'avons pas congédié cette demoiselle Drémora un peu vite. Lorsqu'ils font l'effort de prendre la parole, on est souvent bien avisés de les écouter.
Le Vestige retrouva Cadwell dans la maison de guilde des guerriers de la citadelle, une fois cette dernière déverrouillée.
Mon vieil ami. Mon fidèle compagnon d'arme. Depuis combien de temps ne nous sommes-nous pas vus ? Vous m'avez terriblement manqué ! À ce propos, qu'est-ce qui vous a retenu si longtemps ? Le roi est en haut. Il vous demande.
Pourquoi n'êtes-vous pas dehors à vous battre ? Je me prépare à éblouir les ennemis ! Je les découperai en petits rubans, je vous le garantis. J'ai seulement besoin d'un moment pour polir ce vieux plastron. L'ennemi s'attend à une certaine resplendissance de la part d'un héros, et je ne compte pas les décevoir !
Quels sont les ordres du roi ? Ho... Drémoras... ceci, cela. Demandez-lui vous-même, il est à l'étage. Il marmonne beaucoup, pour un roi. Cela dit, il a une bien belle couronne. Sacrément élégante, non ? Je me demande où je pourrais en trouver une de la sorte.
Le Vestige parla au roi Dynar.
Je suis parti quelques instants pour estourbir une douzaine de Drémoras et me revoilà. Je voulais m'assurer d'être présent pour vous saluer. Au revoir, donc ! À bientôt ! N'oubliez pas de m'écrire ! Bon voyage ! À la revoyure !
Le Vestige trouva l'entrée de la pyramide.
C'est excitant, n'est-ce pas ? De petites créatures ailées, un valkynaz en colère... Vous avez même réussi l'exploit de vous lier d'amitié avec une Drémora. J'ai eu une amie Drémora autrefois. Ah, quelles aventures nous avons eues... avant qu'elle n'essaie de m'arracher les poumons. C'était le bon vieux temps !
Tout cela n'est donc qu'un jeu pour vous ? Eh bien, pas seulement un jeu. De l'enthousiasme et du sang versé aussi. Votre amie Drémora dit qu'elle peut ouvrir la porte de la pyramide, mais qu'elle a besoin de sang daedrique, ou quelque chose dans le genre. Je crains d'en être à court.
Lyranth ouvrit la porte de la pyramide.
N'ayez crainte, je serai juste derrière vous ! Nous donnerons à ce valkynaz la leçon qu'il mérite !
Le Vestige retrouva ses alliés à la citadelle après leur y avoir donné l'accès.
Nous devons être parfaitement échauffés avant de nous lancer au combat. Vous ne voudriez tout de même pas être surpris par des crampes alors que nous nous jetons tout droit dans la gueule de la mort, n'est-ce pas ?
Choisir Cadwell comme compagnon[]
[?]Ne pas choisir Cadwell comme compagnon[]
Le Vestige parla à Cadwell suite au discours du roi Dynar.
J'aime beaucoup ce que le prince des Ténèbres a fait de cet endroit. C'est charmant. Quel dommage de devoir envoyer une armée ici ! Les soldats font rarement cas des jolies choses.
Plus tard, Cadwell et Vanus rejoignirent Gabrielle et le Vestige à la sortie du Labyrinthe.
- Cadwell: Je savais que je les trouverais ici ! Intéressant. C'est la première fois que je viens ici. C'est... époustouflant !
- Vanus Galérion: Cadwell, ta maîtrise des portails est phénoménale !
Le Vestige parla à Cadwell.
J'ai beaucoup travaillé, mais j'ai finalement réussi à vous retrouver. C'est l'un de mes nombreux talents, figurez-vous.
L'armée de Havreglace arriva dans le vortex planaire.
J'ai toujours voulu voir un vortex de mes yeux. N'est-ce pas spectaculaire ? Attendez, que faisons-nous ici déjà ?
Nous sommes ici pour arrêter la Coalescence... Bien sûr ! Notre quête épique. Elle m'était sortie de la tête. J'ai été impliqué dans tant de ces aventures, vous savez. Après quelque temps, tout cela a tendance à se mélanger. Un peu comme ces deux royaumes. Oh, désolé mon vieil ami ! Ce n'est pas une bonne chose, c'est ça ?
En effet, la Coalescence n'a rien de bon. Oui, oui, je le savais. C'est terrible, de voir votre monde lugubre dans ce magnifique paysage de Havreglace. C'est comme tremper son pain dans le miel. Dégoûtant ! Pourtant, je pense que ceci pourrait être ma plus belle quête !
- Vous n'êtes pas du tout inquiet ? Inquiet ? À quel propos ? Nous sommes des héros mon vieux compagnon, et les héros gagnent toujours ! Retenez cette leçon. Maintenant, allons arrêter la Coalescence !
- [Intimidation] Quand ce sera fini, je vous ferai essayer le pain dans le miel. Eh bien, cela me semble parfaitement écœurant ? Savez-vous d'où vient le miel ? C'est du nectar de fleur régurgité ! Oh, très bien. J'accepte votre défi. Maintenant, finissons-en, que je puisse goûter à votre amer poison.
Seigneur des manigances[]
Varen est sacrifié[]
Le Vestige triompha de Molag Bal, récupéra son âme et les Compagnons rentrèrent au port.
- Lyris Titan: Quoi... qu'est-ce qu'il s'est passé ? Comment on est arrivés ici ? Je me rappelle qu'on était débordés, et puis...
- Cadwell: Ah oui. Désolé. J'ai appelé un peu de renforts pour vous sortir de là. J'espère que vous ne m'en voudrez pas.
- Sai Sahan: Mon Lys-des-neiges, je...
- Lyris Titan: Je sais, Sai. C'est fini. Tout est fini.
- Cadwell: Eh bien... Alors tout est bien qui finit bien ! Merveilleux ! Qui a de quoi trinquer ?
- Sai Sahan: Attendez, où est Tharn ? A-t-il survécu ?*
- Cadwell: Il a disparu. Je pense qu'il a pris la fuite. Et il a pris l'amulette que vous aviez trouvée.
Le Vestige parla à Cadwell.
Oh ! Salut. Surpris de me voir ? Moi aussi, moi aussi. Je tombe toujours à pic, pas vrai ? Honnêtement, j'ignore totalement comment je fais ça.
Le Vestige parla aux survivants.
Ne détalez pas tout de suite. Vous auriez un instant ?
Le Vestige parla à Cadwell.
Je suppose que vous avez rencontré dame Méridia. Une femme adorable. Charmante. Nous nous entendons à merveille ! Pendant que vous autres étiez occupés à vous enguirlander, je l'ai sifflée. Et je lui ai demandé si elle voulait bien nous aider au cas où ça tournerait mal.
Vous avez demandé à Méridia de m'extraire de Havreglace ? Le plus dur, c'était de choisir le bon moment. Chaque coup que vous avez infligé à sa Fatuité daedrique a libéré des centaines d'âmes. Elle a pu saisir la vôtre avant qu'elle ne s'égare. C'était rudement bien joué.
En effet. C'est charmant ! Tout le monde est sauvé, les héros se séparent à nouveau, et le chevalier que je suis a trouvé une nouvelle maîtresse à servir ! Nous ne pourrions être plus heureux ! Fabuleux ! Vraiment !
Une fois la quête accomplie.
Vous savez, ce Varen a toujours été un bon gars, même s'il a un peu cafouillé son départ. Et il a fini par tout arranger, n'est-ce pas ?
Il est encore avec vous, vous savez. Il fait partie de vous. Et peut-être continuera-t-il de servir la terre et le peuple qu'il a sauvés par son sacrifice, grâce à vous. Alors tout est pour le mieux. Il ne reste qu'un petit détail à régler.
L'argent de Cadwell[]
C'est vous ! Par ici ! J'ai quelque chose d'exaltant à vous montrer !
Le Vestige parla à Cadwell.
Je suis rudement content que tout se soit aussi bien déroulé ! Pour être complètement honnête, je ne nous donnais pas l'ombre d'une chance. Enfin, si nous n'affrontions pas une adversité écrasante, nous ne serions pas des héros, n'est-ce pas ?
Que dois-je faire à présent, Cadwell ? Vous avez encore soif d'aventures ? Fabuleux ! Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se serait passé si vous vous étiez réveillé ailleurs ? Sur une autre plage ? Ma nouvelle maîtresse m'a donné les moyens de vous aider, si vous êtes à la hauteur !
M'aider ? Comment cela ? Touchez la lumière de Méridia, et vous verrez le monde par les yeux de vos anciens ennemis. Mais attention : on ne vous considérera plus comme un grand champion. Même les visages familiers vous verront comme un vagabond sans âme, perdu dans une terre inconnue. Qu'en dites-vous ?
Je m'en occupe.
Le Vestige touche la lumière de Méridia et accomplit les quêtes d'une autre alliance.
Vous avez encore réussi, hein ? Vous êtes un héros, et deux fois ! Superbe !
Le voyage a été long. Oh que oui, oh que oui ! Vous a-t-il ouvert les yeux ? Couvert les yeux ? Les yeux tout verts ? Je ne comprends pas pourquoi vous avez envie de retourner à Tamriel. C'est un endroit atroce. Rien que l'odeur... pouah !
Cuvée spéciale[]
Une fois la quête accomplie, Cadwell se rendra au Pichet sans fond.
Vous avez trouvé ce bon vieux Pichet sans fond, hein ? Un endroit intéressant, le Pichet. Je suis content que quelqu'un se soit enfin occupé du problème. Beau travail !
Les clients du Pichet sans fond doivent se rendre à la Cité creuse. Très bonne idée. Vraiment excellente. Ils y seront en sécurité. Et ce thane ? Son hydromel est de grande qualité, certes, mais il m'a toujours semblé suspect.
Pourquoi n'avez-vous pas essayé d'aider les clients ? Il faut choisir ses combats, n'est-ce pas ? Mes spécialités ? Secourir les demoiselles et combattre l'injustice. Retirer à des Nordiques ivres leur hydromel ? Allons, allons. C'est de la folie pure.
Pouvez-vous aider ces gens à se rendre à la Cité creuse ? Ça roule ! Toujours content d'aider. De donner un coup de main. De m'investir. De contribuer. Je les mènerai à la Cité creuse. Il s'y trouve une superbe auberge. De l'hydromel à foison. Ils se sentiront comme à la maison.
La Bibliothèque crépusculaire[]
Une fois la quête accomplie, Cadwel rejoignit dame Clarisse Laurent, Kireth Vanos, Raynor Vanos et Télenger l'artificier à la Bibliothèque crépusculaire.
Ah, cette bonne vieille bibliothèque ! J'ai lu beaucoup de livres, ici. J'adore ceux qui ont des images.
Le Vestige parla à Cadwell.
Ah, vous voilà ! La Gouvernante m'a dit que vous étiez accompagné. Je présume qu'elle parlait de cette bande de joyeux lurons ? Ravi de les savoir en vie et en un seul morceau. Ils sont bien en vie, n'est-ce pas ? Non pas que j'aie quoi que ce soit contre les zombies, mais le bruit et les odeurs m'indisposent.
Ils sont épuisés, mais ils sont en vie. Oui, quand je visite une bibliothèque et que je lis un peu, je m'endors systématiquement. Impossible de garder les yeux ouverts. Parfait pour mes insomnies. Mais assez parlé de mon sommeil ! Je ferai mon devoir héroïque et les ramènerai indemnes à la ville.
Assurez-vous qu'ils reviennent entiers. Pas d'inquiétudes. Presque tous les gens avec qui j'ai voyagé toutes ces années sont toujours restés entiers pendant le voyage. J'ai vu un ou deux démembrements à l'occasion, mais c'est bien plus l'exception que la règle.
Briser les Fers[]
Le Vestige retrouva Cadwell devant la porte de l'Ancrage, aux Grands Fers.
Quel plaisir de vous revoir, camarade ! C'est une belle journée pour charger au combat, n'est-ce pas ?
Comment êtes-vous arrivé ici ? Oh, vous savez. Un passage secret, une porte cachée et en un clin d'œil, me voilà. On m'a dit que vous alliez attaquer les Grands Fers. Voilà une quête digne de ma stature !
Vanus et ses alliés prirent d'assaut l'Ancrage.
- Vanus Galérion: Allons-y ! Les Grands Fers ne vont pas se détruire tous seuls, vous savez.
- Cadwell: Gare à vous, vils Fers ! Nous allons vous donner une bonne correction !
- Vanus Galérion: Défendez-moi pendant que je lance ce sort extrêmement puissant et fantastiquement impressionnant.
Éloignez-les de moi ! Je dois me concentrer, et la moindre distraction pourrait avoir des conséquences désastreuses !
Occupez-vous de ces créatures ! Faut-il vraiment que je fasse tout dans cette mission ?
Regarder travailler un artiste tel que moi, ce doit être fascinant.
Il me faut plus de temps. Ne laissez pas passer ces créatures !
Vanus détruisit les Grands Fers.
- Vanus Galérion: Je l'ai fait. J'ai brisé les Grands Fers ! La menace que faisait peser la Coalescence s'est envolée !
- Cadwell: Beau travail ! Et, dès que vous vous serez chargé de ce vortex planaire, tout redeviendra comme avant !
- Vanus Galérion: Quoi ? Expliquez-vous, humain ! Quel vortex planaire ?
- Cadwell: Les Fers ont formé un vortex planaire. Un peu comme une paille d'Oblivion qui aspirerait Nirn jusque dans Havreglace. Surprenant que je sache ça !
- Vanus Galérion: Assez ! Nous en reparlerons plus tard, une fois de retour dans la Cité creuse... J'ouvre un portail avant que cet endroit ne nous tombe dessus !
Vanus et ses alliés rentrèrent à la Cité creuse.
Je ne comprends pas ce que vous trouvez à cette ville. Comparée au reste de Havreglace, c'est un vrai trou à rats.
Pourquoi ne pas avoir mentionné ce vortex planaire plus tôt ? Je ne sais pas. J'imagine que ça m'était sorti de la tête. De plus, je pensais que tout le monde était au courant. Impossible de faire deux pas dans Havreglace sans entendre quelqu'un hurler à ce sujet. Bien sûr, ces hurlements sont souvent incompréhensibles.
Faites comme si je n'en avais jamais entendu parler. C'est le vortex planaire. L'avant-dernière convergence de la Coalescence entre les mondes. Je n'y ai jamais mis les pieds, mais d'après Honneur, c'est un lieu abominable. Toutes ces horribles parcelles de Nirn qui se fondent dans l'envoûtant paysage de Havreglace.
A-t-on moyen d'empêcher cela ? C'est déjà en cours, mon cher ami. Et le seul moyen d'accéder au vortex planaire est de traverser le portail dans la cour de Molag Bal. Attendez un instant ! Vous pensez attaquer le labyrinthe du seigneur des manigances et passer le portail ? J'en suis !