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Dragon Soul (Achievement)
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Lyranth est une Drémora rencontrée dans les ruines de Ten-Maur-Wolk.

Interactions[]

Vérité, mensonges et prisonniers[]

En explorant Havreglace, le Vestige est tombé sur la Tour des mensonges. En guise de tour, c'est en fait un trou dans le sol, où les membres de la guilde des guerriers sont emprisonnés.

Conversations[]

Vérité, mensonges et prisonniers[]

Si le Vestige a déjà rencontré Lyranth à Fangeombre.

Ah, un nouveau convive se joint à nous ! Allez-vous nous divertir ? Je crois bien que vous feriez mieux d'avoir prévu quelque chose d'intéressant.

J'ai l'impression de vous connaître. Vraiment ? Tous les mortels se ressemblent, en ce qui me concerne. En plus, ils dégagent une odeur particulière. Celle du sang chaud et de la résignation. Plutôt désagréable, sans vouloir vous offenser. Ah, attendez une minute... Je me souviens de vous.

Vous étiez prisonnière et je vous ai porté secours. Contrairement aux apparences, je vous assure que la captivité n'est pas une habitude, chez moi. Mais avant que vous ne vous fassiez des idées dans votre petite tête de mortel, sachez que je n'ai pas besoin de votre aide, cette fois.

J'aide la guilde des guerriers à trouver un moyen de sortir d'ici. Eh bien, je vous souhaite bien de la chance pour accomplir un tel miracle. J'observerai avec grand plaisir vos efforts dans ce sens.

Que faites-vous ici ? Le mortel continue à me parler. Je me demande ce qu'il veut. Peut-être qu'il finira par s'en aller si je l'ignore.

Si le Vestige rencontre Lyranth à la Tour des mensonges.

Vous avez l'air déterminé à vous rendre utile. Les mortels ont vraiment des comportements étranges.

Vous êtes un Drémora, je me trompe ? Il parle. Je suppose que je devrais être étonnée qu'un membre de votre espèce ose m'approcher.

Les Daedra n'ont guère l'habitude de s'adresser aux mortels. Dommage. Dire qu'ils ont raté cette conversation fascinante.

Êtes-vous une gardienne de la prison ? Oh, misérable mortel, que vous êtes amusant ! Vous avez sûrement mieux à faire que de perdre votre temps en ma compagnie ! N'avez-vous pas des pierres à aiguiser ou des insectes à écraser ? Avez-vous besoin de marmonner dans votre moustache ou d'errer sans but ?

Cet endroit pousse-t-il les gens à faire ce genre de choses ? En général, les convives souffrent d'une de ces afflictions ou plus. Si vous vous attardez longtemps ici, vous pourriez vous aussi devenir bizarre, ou pas du tout. Je vais continuer à observer attentivement ce qui se développe.

Le Vestige retrouva Lyranth au niveau supérieur de la Tour.

Ah, mortel ! Vous êtes une bien curieuse créature.

Que faites-vous par ici ? Vous n'espérez tout de même pas que je réponde à cette question, pauvre petit mortel ? Contentez-vous de savoir que cela m'amuse, d'attendre mon heure ici et d'observer les vicissitudes de votre sort. Inutile de vous inquiéter pour ma sécurité, car les Daedra inférieurs ne me feront aucun mal.

Savez-vous où je peux trouver les capitaines de la guilde des guerriers ? Même si je prenais la peine de m'en expliquer, je doute que vous compreniez. La politique d'Oblivion est bien trop tortueuse pour votre esprit primitif de mortel.

Pouvez-vous m'aider à libérer la guilde des guerriers ? Je ne me mettrai pas en travers de votre route, cher mortel. Considérez que c'est ma façon de vous aider. Cependant, sachez que la sortie de cet endroit est actuellement... impraticable. J'imagine que vous allez y remédier très prochainement.

Alors, c'est vous qui êtes derrière tout cela ? Non, misérable mortel, je ne suis ni votre geôlière ni votre bourreau. Je ne suis qu'une observatrice indifférente qui tire une satisfaction négligeable de votre fâcheuse situation.

En quoi mon sort vous intéresse-t-il ? Oh, oui ! J'ai pris un grand plaisir à les observer. Ils se démènent dans une toile invisible à leurs yeux, et c'est follement amusant. Ah, ces mortels ! Si faciles à manipuler et si divertissants !

Pouvez-vous m'aider à libérer la guilde des guerriers ? Je ne me mettrai pas en travers de votre route, cher mortel. Considérez que c'est ma façon de vous aider. Cependant, sachez que la sortie de cet endroit est actuellement... impraticable. J'imagine que vous allez y remédier très prochainement.

Le Vestige parla au capitaine Eilram.

Je trouve vos gesticulations très amusantes, petit mortel !

Vous me suivez ? Vous suivre ? Quelle idée intéressante. Et si, en réalité, c'est vous qui me suiviez ? Bon, trêve de plaisanteries. Je vérifiais quelque chose. Vous feriez mieux de déguerpir à présent, car les autres mortels semblent égarés sans votre présence.

Qu'étiez-vous en train de vérifier ? Que vos techniques d'interrogatoire sont cinglantes ! Je sens qu'il va me falloir tout vous révéler, dans les moindres détails. Attendez, finalement j'ai changé d'avis, j'ai dû avaler un aliment avarié pour vous dire une telle chose.

Plus tard, Lyranth fit son apparition dans le camp des guerriers.

  • Capitaine Arakh: Qui c'est ça ? C'est un Drémora ?
  • Lyranth: J'en ai assez de cette situation. Il est temps de mettre un terme aux intrusions d'Ifriz. Vous devez tuer Ifriz. Je le veux mort. Nous avons donc un but en commun dont nous pouvons discuter.

Le Vestige s'adressa alors à Lyranth.

Nous avons un problème commun, petit mortel. Il est logique que nous travaillions ensemble à le résoudre.

Pourquoi offrir votre aide maintenant alors que vous n'en aviez cure jusqu'à présent ? Avons-nous le choix ? Ifriz a créé la barrière qui bloque la sortie de cette prison. Éliminez-le et la barrière tombera. Mais pour le tuer, vous devrez d'abord le trouver.

Et vous pouvez me conduire jusqu'à lui ? Quelle question ! Ifriz se cache derrière des illusions et je les ai neutralisées. Il a quelque chose qui m'appartient. Je veux le récupérer. Tuez-le et nos problèmes respectifs seront réglés, mais faites vite. Il ne tardera pas à s'apercevoir que ses défenses sont tombées et alors, il se cachera à nouveau.

Je vais m'occuper d'Ifriz. M'aiderez-vous ? Ah, misérable mortel, je vous ai déjà aidé plus que vous ne le méritez. Le reste dépend de vous, comme on dit.

Ifriz ne s'éloigne jamais trop de sa précieuse barrière. Dépêchez-vous de mettre fin à tout cela afin que nous puissions continuer à mener nos existences respectives.

Le Vestige tua Ifriz l'égareur.

Bien joué, petit mortel. Vous avez tué Ifriz sans que j'aie à lever le petit doigt. Délectable !

Je pense que nous nous reverrons. J'ai hâte de voir dans quels ennuis vous allez encore vous fourrer.

La citadelle doit tomber[]

Lyranth discutait avec Vanus Galérion.

  • Vanus Galérion: Hors de ma vue, vile créature ! Nous n'avons pas de temps à perdre avec vos jeux.
  • Lyranth: Les mortels sont toujours si amusants. Je vous offre des informations, je vous aide dans votre quête, et vous me battez froid.
  • Vanus Galérion: Vous vous attendez à ce que nous nous fiions à une créature des plans ? C'est ridicule !
  • Lyranth: Un Mer aussi arrogant qu'un kyn. C'est si délicieux ! J'adore regarder les braillards égoïstes s'emmêler les pattes. Je pourrais vous laisser une chance d'accepter ma proposition. Ou peut-être pas. Je n'ai pas encore pris ma décision.
  • Vanus Galérion: Vous, là. Trouvez d'où cette créature nous observe. Je veux qu'on la surveille.

Lyranth réapparut devant la Citadelle de l'écorcheur.

Ah, petit mortel ! Même s'il est amusant de vous regarder déambuler dans la Citadelle, j'aimerais que vous passiez aux choses sérieuses. Je suis sûre que, quoi que vous ayez prévu, je tirerai mon épingle du jeu.

Pourquoi n'allez-vous pas droit au but ? Vous voulez que j'aille droit au but ? C'est pénible, mais bon, très bien. Vous cherchez un passage discret qui mène dans la citadelle. Il se trouve que j'en connais un. En longeant le mur est, vous trouverez une brèche qui vous permettra d'y entrer.

Pourquoi voulez-vous nous aider ? Faites preuve d'un peu de reconnaissance, petit mortel. J'offre des informations, rien de plus. Le bâtiment protégé que vous cherchez se trouve près du portail principal. Les kyn tenteront de vous arrêter. S'ils échouent, nous nous reparlerons.

Cela a-t-il un rapport avec ce que vous faisiez à la Tour des mensonges ? Ifriz avait des informations dont j'avais besoin. Cela m'a menée ici. J'ai aimé ce que vous avez fait à Ifriz, petit mortel. J'ai hâte de voir quelle pagaille vous allez semer.

Je chercherai la brèche.

L'ancienne maison de la guilde des guerriers. Elle se trouve près du portail principal. Allez-y !

Le Vestige se fraya un chemin dans la citadelle.

Et voilà, le petit mortel fonce encore dans la mêlée ! Je crois que le roi ayléide veut que vous trouviez une clef. Dépêchez-vous ! Je pense que vos amis ont déjà atteint le hall verrouillé.

Pourquoi cette brèche dans le mur n'est-elle pas gardée ? Comme c'est amusant ! Le petit mortel pense que c'est un piège. Vous avez raison de craindre la duplicité des Drémoras, mais je vous assure que vous êtes en sécurité. Des illusions empêchent les kyn de voir cette zone. Un simple petit tour que j'ai appris récemment.

Pourquoi voulez-vous nous aider ? Techniquement, c'est vous que j'aide, pas eux. Mais ce désir constant de comprendre le pourquoi des choses devient fatigant. Je n'ai pas l'intention de vous tromper. Sachez simplement que j'ai une dette à payer. Tant que vous aider me permettra d'atteindre mon but, je continuerai.

Vous m'utilisez ? Cette expression sur votre visage ! Comme c'est attendrissant ! La confusion vous ronge. Pourquoi la vérité vous inquiète-t-elle tant ? Vous bénéficiez de mon aide, comme je bénéficie de la vôtre. Patience, petit mortel, vous verrez. Maintenant, partez. Nous n'avons plus rien à nous dire.

Que vais-je trouver dans cette citadelle ? La mort, certainement. Les kyn qui protègent cette citadelle tenteront de vous tuer. C'est ce que nous faisons, en général. La vieille halle que vous cherchez se situe près du portail principal. Si j'étais vous, et heureusement, ce n'est pas le cas, je m'y rendrais sans attendre.

Le Vestige progressa dans la citadelle.

Je suis impressionnée, petit mortel. À peine une égratignure !

Vous me suivez ? Un investisseur intelligent garde un œil sur son investissement. Les guerriers ont surpris les kyn et la victoire est à leur portée. Bravo ! Mais qu'allez-vous faire quand vous aurez le contrôle de la citadelle ? Comment traverserez-vous le Labyrinthe sans la clef nécessaire ?

Un labyrinthe ? Quel labyrinthe ? Mortels ignorants et impulsifs ! Pensiez-vous atteindre le portail sans encombre ? Un valkynaz garde la clef du dédale situé sous la forteresse de Molag Bal. Vous devez traverser ce labyrinthe, et pour ce faire, vous avez besoin de la clef.

Je prendrai la clef au valkynaz. Terminez votre quête originale d'abord. Aidez vos mages. Bannissez ces kyn dans l'obscurité qui les a vus naître. Ils ne méritent pas moins. Retrouvez-moi ensuite à la pyramide. Je suis la seule qui puisse vous aider à obtenir la clef du labyrinthe.

Ne vous préoccupez pas de moi, petit mortel. Je vous trouve si... fascinant !

Le Vestige trouva l'entrée de la pyramide.

Seules les personnes de sang daedrique peuvent pénétrer dans la pyramide, petit mortel.

Pourriez-vous nous ouvrir la voie ? Mon aide est indispensable, je vous l'avais dit. Un rituel daedrique ferme cette porte et seul un don volontaire de sang de kyn permettra de l'ouvrir. Je suis la clef qui vous mènera au valkynaz Séris. Quant à vous, vous êtes la clef de ma vengeance.

M'aiderez-vous dans le combat à venir ? Je ne peux faire cela, petit mortel. Si le valkynaz est banni de mes mains, je perdrai mon honneur et ma réputation. Cependant, si vous le tuez, je ne briserai pas mes promesses, et Séris restera dans les ténèbres avec mon clan perdu jusqu'à ce que Havreglace lui permette de revenir.

Pourquoi cherchez-vous à vous venger ? Mon clan a été détruit. Réduit à néant. Et la main qui a orchestré ce drame était celle du valkynaz Séris. Il voyait mon clan comme une menace à sa puissance. Que ce soit le cas ou pas, Séris doit payer pour ce qu'il a fait.

Je suis prêt. Ouvrez la porte.

Lyranth ouvrit la porte de la pyramide.

La voie est libre. Détruisez Séris. Qu'il souffre. Il mérite toutes les horreurs que vous déciderez de lui infliger.

Le Vestige parla à Lyranth.

Alors, petit mortel ? Qu'attendez-vous ? Dois-je vous faire parvenir une invitation ? Entrez là-dedans et faites ce que vous avez à faire !

Le Vestige et ses alliés triomphèrent du valkynas Seris.

Mon clan perdu attend Séris dans les ténèbres. Même si la lame qui l'a banni dans les ombres n'était pas la mienne, sa fin est mon œuvre.

Vous fûtes une arme très utile, petit mortel. Prenez la clef du Labyrinthe, avec mes remerciements.

Le Vestige parla à Lyranth.

Même à l'échelle kyn, cela faisait longtemps que j'attendais d'envoyer Seris dans les ténèbres. Laissez-moi savourer cet instant, petit mortel.

Alors, vous êtes le valkynaz de la citadelle, maintenant ? En quoi cela peut-il bien vous intéresser, petit mortel ? Laissez-moi deviner, vous craignez que maintenant, je donne l'ordre à mes kyn de vous détruire. Je vous rassure, une passation de pouvoir peut être à l'origine d'une grande confusion, mais aucun mal ne vous sera fait... pour le moment.

Êtes-vous satisfaite de la mort du valkynaz Séris ? Les kyn ne meurent pas. Séris a été banni dans les ténèbres. Il y a longtemps, nos clans menaient une guerre interminable. Séris nous a trahis et a banni notre clan. Tout le monde, sauf moi. J'ai accepté un serment de sang pour rester libre, promettant de ne jamais m'attaquer à lui.

Mais vous m'avez demandé de le tuer. J'ai respecté mon serment. Je vous ai aidé à entrer dans la pyramide, rien de plus. Bien sûr, la disgrâce d'un mortel envoyant Séris dans les ténèbres était des plus gratifiantes.

Allez-vous nous aider à attaquer l'Escalier infini ? Mon but était de me venger. Vos chamailleries ne m'intéressent guère. Comprenez, petit mortel. Le désir d'un kyn de verser le sang des mortels jamais ne décline, même si nous n'agissons pas toujours dans ce but. Je ne peux renier ma vraie nature. Si je vous revois, je prendrai votre vie, le sourire aux lèvres.

La clef du Labyrinthe se trouve dans le coffre, petit mortel. Prenez-la et allez-vous-en tant que je suis encore de bonne humeur.

Apparitions[]

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