Manoncourt-en-Woëvre
Manoncourt-en-Woëvre | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres Touloises | ||||
Maire Mandat |
Chantal Pierson 2020-2026 |
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Code postal | 54385 | ||||
Code commune | 54346 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
251 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 47′ 02″ nord, 5° 55′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 212 m Max. 311 m |
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Superficie | 10,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Nord-Toulois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Manoncourt-en-Woëvre est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune est située à 13 km de Toul, 24 km de Pont-à-Mousson et à 30 km de Nancy. Elle appartient géographiquement à la plaine de la Woëvre.
D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1056 hectares comprend en 2011, plus de 75% de terres arables et de prairies, 20% de forêt et seulement près de 3% de zones urbanisées[1].
Le territoire est arrosé par 6 cours d'eau : Le Terrouin (1,609 km), le Ruisseau de la Ferme ain Charles (3,003 km), le Ruisseau de la Grande Tourniere (1,839 km), le Ruisseau de l’Étang de Bailly (3,938 km), le Ruisseau de l’Étang de Villanaux (0,606 km) et le Ruisseau de Mandrelle[1].
Les voies de communication sont : la RD 10 qui traverse le village pour rejoindre deux axes importants : la RD 907 (Beaumont – Marbache) et la RD 904 (Toul – Verdun). La RD 10a relie le village à la route nationale 611 (Toul – Dieulouard). (Fig. 1 ban communal).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de la Ferme St Charles, le ruisseau de la Grande Tourniere, le ruisseau de l'Étang de Bailly, le ruisseau de l'Étang de Villanaux, le ruisseau de Mandrelle et le Terrouin[2],[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 778 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 20 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 2],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Manoncourt-en-Woëvre est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,2 %), terres arables (31,8 %), forêts (20,7 %), zones urbanisées (3,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Manonis curtis (836) ; Manmonis curtis (870) ; Mammonis curtis (884) ; Mannonis cortis Sancti-Apri villa ; Manoncuria-en-Voivre (1359) ; Manoncuria (1402) sont les graphies recensées par le dictionnaire topographique de France[15].
Le toponyme apparaît donc sous la forme Manonis curt(e) en 836 : il est formé de l'anthroponyme germanique Manno (homme) et du substantif curtis, centre d’exploitation rurale : ce type de toponyme est caractéristique du haut Moyen Âge et dénote un terroir confié par le roi à un grand en vue d’une opération de défrichement. La localisation dans la « Voivre » apparaît en 1359[16].
Un ancien moulin est signalé dans les archives historiques[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les chroniques historiques font état d'indices de la présence humaine aux âges du paléolithique inférieur et de l'antiquité, Jules Beaupré indique en effet :
«Près de la ferme de Sébastopol, sur l'emplacement d'un bois défriché, pointes de lances[18] et de flèches en silex taillé[19]. Sur la Côte en Haye[20], vestiges d'habitations avec tuiles plates.»[21]
H. Lepage indique pour le Moyen Âge que le village dont l'évêque Frotaire parle dans une charte de l'an 836 (D. C. H.) était déjà en possession de deux chapelles en 1045[22] et que :
«Le quartier du village avoisinant l'église s'appelle la Cour-des-Seigneurs ; il renferme l'ancienne maison seigneuriale, construction des siècles derniers, qui appartenait à l'abbaye de Saint-Epvre. C'est en ce lieu que saint Gérard fut cerné par un seigneur puissant de l'évêché de Toul, du nom d'Oldéric, celui-ci mit le feu il la maison où s'était réfugié l'évêque pour l'obliger à en sortir, et l'incendie gagna aussi l'église (B. P. H., p. 522). Boyet, ferme, cense très-ancienne, seigneurie avec grange et moulin, dès l'an 1272, appartenant à l'ordre de Malte.»[22]
Il y avait à Manoncourt, non loin de l'église une résidence où vivaient quelques moines qui dépendaient de l'abbaye de Saint-Evre. La ferme de Boyer était également propriété des moines[22].
Il existe à Manoncourt trois étangs qui selon la légende auraient été creusés par les moines de Manoncourt pour disposer de poissons durant la période de carême, (étang de Bailly, le Grand Étang et le Petit Étang[23]).
Au 18e siècle, la culture du chanvre connaît son plein essor et chaque maison possède son réservoir pour rouir.
Au 19e siècle, il existait bon nombre d'artisans à Manoncourt. Beaucoup de jeunes de Manoncourt sont allés travailler aux chemins de fer pour la construction de la ligne du Toul- Thiaucourt.
Pendant la guerre de 1914-18 la gare de Manoncourt était la dernière avant le front et servait de poste de ravitaillement des troupes, mais également de lieu de repos pour les soldats qui revenaient du front (il y avait une infirmerie, un cimetière et une blanchisserie)[24].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2021, la commune comptait 251 habitants[Note 4], en évolution de +2,45 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]E. Grosse indique dans son ouvrage, vers 1836 :
« Territ. : 746 hect., dont 450 en terres labour., 204 en forêts, 72 en prés et 8 en vignes, de qualité médiocre. »[17]
ce qui indiquerait que la vigne était peu cultivée.
Secteur primaire ou Agriculture
[modifier | modifier le code]Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[32]), la commune de Manoncourt-en-Woëvre était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly-élevage (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 497 hectares (surface cultivable communale) en baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 1150 à 482 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 4 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 7 unités de travail[Note 7].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Puits Saint-Gérard du Xe siècle.
- Église Saint-Martin du XVIIIe siècle.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'or à la hure de sanglier de sable allumé et défendu de gueules, chapé de gueules à deux cailloux d'argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Gallois Lucien. La Woëvre et la Haye[33]. In: Annales de Géographie, t. 13, n° 69, 1904. pp. 207–222.
- Claude Gérard, La maison rurale en Woëvre, EDITIONS CREER, 1990[34].
- G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Manoncourt-en-Woëvre », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- Manoncourt-en-Woëvre sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Manoncourt-en-Woëvre » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ) : « Le Terrouin Longueur: 30 km Code Sandre : A58-0200 ».
- « Fiche communale de Manoncourt-en-Woëvre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Manoncourt-en-Woëvre et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Manoncourt-en-Woëvre ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- France. Comité des travaux historiques et scientifiques., Dictionnaire topographique de France comprenant les noms de lieu anciens et modernes., Imprimerie nationale, 1861- (OCLC 227035528, lire en ligne).
- Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 978-2-914554-43-5).
- E. Grosse (abbé), Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe contenant une introduction historique sur le pays avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, Creusat, (OCLC 611479374, lire en ligne), p. 218.
- Musée lorrain
- Collection Husson
- Fig1 - Ban communal à l'Est du territoire.
- Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 97.
- « Gallica - », sur visualiseur.bnf.fr (consulté le ) : « Type :PERIODIQUE Auteur :Société d'archéologie lorraine Titre(s) :Mémoires de la Société d'archéologie lorraine Publication :A. Lepage (Nancy) Cote : NUMM-33691 ».
- Fig 1 - ban communal
- « Les Archives de la Grande Guerre ["puis" et de l'histoire contemporaine] », sur Gallica, (consulté le ) : « Après la première bataille de la Somme, le G. C. 12 avait été envoyé au repos à Manoncourt, près de Nancy, pour y mettre à la raison les aviateurs ennemis qui, vers la fin de janvier 1917, se montraient en force sur le pays et bombardaient la capitale lorraine en plein jour, presque quotidiennement, avec une dizaine d'appareils ».
- Lionel MADELLA, « Société - Un grand acteur politique et économique du Toulois mais aussi de Lorraine s’est éteint... », L'Est républicain, (lire en ligne , consulté le ).
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
- Lucien Gallois, « La Woëvre et la Haye », Annales de géographie, vol. 13, no 69, , p. 207–222 (DOI 10.3406/geo.1904.6580, lire en ligne, consulté le ).
- Claude Gérard, La maison rurale en Lorraine, EDITIONS CREER, , 151 p. (ISBN 978-2-902894-66-6, lire en ligne).