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Hercule (Michel-Ange)

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Hercule (Michel-Ange)
Hercule par Michel-Ange
gravure de 1649 montrant la statue dans le jardin de l'étang du château de Fontainebleau
Artiste
Date
Type
sculpture de marbre blanc
Hauteur
environ 220 cm
Mouvement
Localisation
Château de Fontainebleau, Trace perdue depuis le début du XVIIIe siècle, Fontainebleau (France)

Hercule est une sculpture de Michel-Ange, sa première sculpture de grand format, qu'il réalise à l'âge de 18 ans vers 1492-1493 à Florence. La statue de marbre blanc représentait Hercule, debout, tenant une massue. D'abord acquise par des collectionneurs italiens, la statue rejoint les collections du roi de France dans la première moitié du XVIe siècle. Elle est longtemps exposée dans un jardins du château de Fontainebleau, avant de disparaitre mystérieusement au début du XVIIIe siècle à l'occasion d'une restructuration des jardins du château. Sa trace est perdue depuis. L’œuvre est considérée comme perdue, même si certains spécialistes croient à sa possible redécouverte.

Création et réalisation de l’œuvre

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Vasari et Condivi racontent de la même façon la conception de la statue[1],[2] : Michel-Ange n'a que 17 ans lorsque son protecteur Laurent de Médicis meurt le . Il rentre alors dans la maison de son père. Ce retour semble un moment difficile de la vie du jeune sculpteur[3],[4].

Lui qui n'avait réalisé jusqu'alors réalisé que des pièces de format modeste[5] décide d'acheter un grand bloc de marbre et se lance dans la réalisation d'une grande sculpture en pied[1]. Il semble décider ce projet sans commande particulière, sans doute pour attirer l'attention d'un riche amateur florentin[5].

Le choix du sujet est peut-être une représentation patriotique florentine, Hercule étant considérée depuis le XIIIe siècle comme un protecteur de la ville[5]. Il est possible également qu'Hercule renvoie à la figure perdue de Laurent de Médicis[4]. Les deux hypothèses ne s'excluent d'ailleurs pas l'une l'autre.

Aspect de la statue

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Le résultat est une grande statue de marbre blanc représentant un Hercule en pied, de quatre brasses florentines de haut[1],[5],[6]. La brasse de Florence ayant 59 cm de long, la taille de la statue est donc de 236 cm. Par ailleurs 4 brasses est la mesure même que Michel-Ange, dans une lettre de 1518, donne pour un des prisonniers (aujourd'hui les Esclaves du Louvre) du tombeau de Jules II[3]. L'Esclave mourant mesure 228 cm et l'Esclave rebelle 209 cm. Une descriptions datant de 1707 rapporte une « une figure de marbre blanc de six pieds, dix pouces », soit 221 cm[7]. L'Hercule est donc une grande statue de plus de 2 mètres de haut[3].

L'aspect exact reste discuté pour cette statue dont la trace est perdue depuis plus de trois siècles. Une des dernières descriptions datant de 1707 rapporte un « Hercule qui tient dans sa main droite une massue, ayant la main gauche appuyée sur la hanche et l'épaule et le bras couverte d'une peau de lion dont la chute depuis la main jusqu'aux pieds est de bronze avec le bout d'en bas de la massue. »[7]

Une gravure réalisée par Israel Silvestre en 1649 montre une statue au centre du jardin de l'étang où était exposée la statue. Elle est malheureusement assez peu détaillée et la montre de dos, faisant face au château[5],[8]. Elle est généralement acceptée comme la seule représentation in situ de la statue de Michel-Ange[9].

Le spécialiste de Michel-Ange, Charles de Tolnay, propose en 1962 qu'un dessin de Rubens conservé au Louvre soit une représentation de l'Hercule de Michel-Ange[5]. Le même auteur associe également à la même statue une maquette en terre cuite conservée à la Casa Buonarroti, habituellement considérée comme une étude du David[5] mais cette interprétation a été depuis contestée[10]. Une autre œuvre, un petit Hercule en bronze du Victoria and Albert Museum, a été identifiée par Paul Joannides (en) comme une possible copie de la statue originale[11]. L'aspect général de la pose d'Hercule pourrait provenir d'un modèle antique[12].

Parcours de la statue

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La statue en Italie

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Les premiers propriétaires connus de la statue sont la riche et influente famille Strozzi, ennemis jurés de la famille Médicis. L’œuvre est exposée dans leur palais pendant plusieurs années[1], sans qu'un propriétaire antérieur puisse être exclu[6].

L'arrivée de la statue en France

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Vasari raconte que la statue est ensuite vendue en 1529, probablement par Philippe Strozzi le Jeune[5],[6], à Giovanni Battista Della Palla (it), pourvoyeur attitré du roi de France François Ier[1]. Si cette version est en général acceptée, il a été discutée de savoir si François Ier a bien vu la statue dans ses collections. En effet, le père Dan en 1642 écrit que la statue a bien été acquise par Della Palla (mort en prison en 1532) mais qu'elle a été présentée au roi de France Henri II (qui monte sur le trône en 1547)[13]. Il peut s'agir d'une erreur du chroniqueur, ou d'une arrivée tardive de la statue après 1547[6]. L'acquisition par Henri II est également retenue par l'abbé Guilbert[14].

Au château de Fontainebleau, dans la cour de la fontaine

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Dessin de la fontaine, par Jacques Androuet du Cerceau, peut-être d'après le Primatice, vers I555-6o

La statue est installée au château de Fontainebleau. Il est le plus souvent admis[8] qu'elle est d'abord placée au sommet d'une grande fontaine élevée en 1541[15] ou plus probablement en 1543[16], et située dans la cour de la fontaine par François Ier en 1528[17]. La fontaine, dessinée par Primatice, possède en effet une statue d'Hercule en marbre blanc à son sommet, mais son identification avec la statue de Michel-Ange est débattue. En effet, dans l'hypothèse d'une arrivée tardive en France, la statue de la fontaine pourrait être un autre Hercule de marbre. Il est rapporté plus loin un indice en ce sens.[8]. L'aspect de la fontaine est connue par une gravure de Jacques Ier Androuet du Cerceau sur un dessin attribué au Primatice mais la statue du sommet est simplement ébauchée[8].

Les comptes de la maison du roi pour la période 1540-1550, rapportent plusieurs factures concernant l'entretien d'une statue d'Hercule de la fontaine, sans que Michel-Ange soit cité comme auteur[18],[16] :

« À Claude Luxembourg, paintre doreur, pour avoir vacqué tant à dorer et estoffer ledit Herculez de marbre blanc estant sur ledit piédestail au dessus dudit de ladite fontaine [...]
Audit Primadicis de Boullongne (Le Primatice), pour avoir vacqué à la conduitte et fait desdits patrons et ouvrages de painture, piedestail et accoustrement dudit Hercules et coullonnes de grez en façon de Thermes à mode antique pour ledit peron de ladite fontaine, à raison de 25 liv. par mois [...]
A Anthoine Morisseau, serrurier, la somme de 66 liv. 12 s. pour ouvrages de serrurerie qu'il a faits pour servir aux imagers et paintres qui ont travaillez à faire les grandes coullonnes de pierre de taille de grez dure à personnages en façon de termes à mode antique, pour servir et ayder à porter le peron sur lequel est le grand Hercules de marbre blanc, au dessus de la fontaine estant en la première court dudit chasteau comme pour servir à soustenir et entretenir les mousles pour la fonte des figures et choses antiques venues de Rome pour le Roy, en sondit chasteau de Fontainebleau. »

L'aspect de la fontaine est en partie connue par un fragment d'une caryatide de la fontaine, identifiée récemment dans une propriété de Fontainebleau[16],[19].

L'ancienne fontaine de François Ier est détruite par Henri IV (« Henry la fit oster parce que, estant au milieu de cette cour, elle incommodait au passage »[14]) pour la remplacer par une nouvelle fontaine, un peu décentrée et surmontée par une statue de Persée[17].

Dans le jardin de l'étang

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En 1594, Henri IV le nouveau roi de France, fait bâtir sur l'étang aux carpes (bordant au sud la cour de la fontaine), un jardin carré mesurant 34 toises de coté (soit environ 66 m), relié à la cour de la fontaine par un petit pont de bois[13].

Dans sa description du château de Fontainebleau de 1642, le père Dan insiste sur l'élément le plus remarquable du jardin qui[13] :

« est une tres-belle, & grande Statuë de marbre blanc, qui représente Hercule , que le feu Roy ayant trouvée en ce Chasteau y fit dresser, & et lever sur un piedestal. Elle est de Michel Ange, laquelle il fit à Florence dans le Palais de Strozzi, & qui fut apportée en France par le Sieur Jean Baptiste della Palle. »

À cette date, l'emplacement et l'identification de la statue de Michel-Ange ne fait donc aucun doute[5],[7]. C'est à cet endroit qu'est réalisé le dessin d'Israël Silvestre en 1649. La statue de Michel-Ange est située au centre du jardin. Vers le milieu du XVIIe siècle, quatre autres statues sont ajoutées pour orner les quatre coins du jardin[7]. Un guide de voyage de 1648 signale que « le jardin de l'étang présente un Hercule en marbre blanc » mais cite pas son auteur (ni d'ailleurs le nom des autres artistes des œuvres décrites à Fontainebleau)[20].

En 1667, un inventaire du château fait mention dans un entrepôt d'« un Hercule où il manque le derrière de la teste, une cuisse et une jambe au dessous du genou, dans un entrepôt »[21]. Liliane Chatelet-Lange suppose qu'il s'agit de la statue de Michel-Ange[21], mais cette hypothèse n'est habituellement pas retenue. L'inventaire montrant cependant qu'en 1667, il existe deux statues d'Hercule en marbre à Fontainebleau, l'une dans un entrepôt, l'autre sur le piédestal au centre du jardin de l'étang[7].

En 1680, des restaurations sont effectuées sur les cinq statues et en 1682, un plan les montre toujours en place[7].

Plusieurs gravures du XVIIe siècle montrent la disposition du jardin avec la statue d'Hercule au centre[22],[23],[24],[25],[26].

Le dernier témoignage direct est celui d'un inventaire de 1707 qui rapporte une[21] « figure de marbre blanc de six pieds, dix pouces représantant Hercule qui tient dans sa main droite une massüe, ayany la main gauche appuyée sur la hanche et l'épaule et le bras couverte d'une peau de lion dont la chute depuis la main jusqu'aux pieds est de bronze avec le bout d'en bas de la massüe. » On peut noter des ajouts de bronze dans la partie basse de la statue, il peut s'agir de dorures, d'ajouts esthétiques ou de réparation.

En 1708 le Dictionnaire universel, géographique et historique de Thomas Corneille dans son article sur le château de Fontainebleau ne parle de l'étang que pour la grosseur de ses carpes, alors qu'il mentionne un autoportrait de Michel-Ange dans le cabinet du roi[27].

Disparition après le jardin de l'étang

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Le jardin de l'étang est détruit vers 1713-1714 lors d'une restructuration de la cour de la fontaine[28],[7]. Après cette date, toute trace de la statue disparait.

En 1731, Pierre Guilbert en parle au passé en insistant sur l'origine prestigieuse (« de la main même de Michel-Ange »[14]).

Léon de Laborde qui publie le registre des comptes royaux rapporte une mention manuscrite écrite dans la marge, qu'il attribue à Jean-François Félibien (v. 1658-1733)[29] : « En regard des lignes 26 et suivantes, se trouve cette note : Cette statue d'Hercules estoit de la main de Michel-Ange. Elle a disparu. Je l'ai vu dans ma jeunesse, elle estoit située au milieu du parterre du jardin de l'estang qui a esté supprimé. »[30]. S'il s'agit bien de Jean-François Félibien, il s'agit d'un témoignage direct. L'auteur de la mention est bien renseigné sur l'auteur de la statue, considérée comme suffisamment remarquable pour être l'objet d'une annotation.

Dans ces deux derniers témoignages, rien ne semble connu de ce qui est advenu à la statue.

En 1737, les fragments de quatre statues provenant du jardin sont inventoriées dans un entrepôt. Il pourrait s'agir des quatre statues des angles du jardin, ce qui semble exclure la statue d'Hercule de ce sort peu enviable[7].

Destin de la statue

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Dès le XIXe siècle, les spécialistes sont surpris de la disparition d'une statue si prestigieuse[31]. On peut cependant mettre en perspective le sort de l'Hercule avec celui de l'Esclave rebelle et de l'Esclave mourant de Michel-Ange, tous deux acquis par François Ier puis offerts ensuite par le roi Henri II au connétable Anne de Montmorency. Il a également été remarqué que la disparition du jardin de l'étang survient à une époque de défaveur de l'œuvre de Michel-Ange[5]. Pourtant, une quinzaine d'années plus tard Pierre Guilbert reste impressionné par le nom prestigieux de l'auteur de la statue.

Sa nature en marbre exclut une refonte comme cela pourrait être le cas d'un objet en bronze[31].

La statue, fragilisée par un siècle et demi d'intempéries a-t-elle été fragilisée, endommagée ou brisée lors de son déplacement ? La statue a-t-elle été remisée en attendant une déplacement ? Puis oubliée dans des réserves et peut-être plus tard subtilisée par un amateur conscient ou non de l'origine[32] ?

Il a été rapporté en 1958, sans plus de détail, que des « éléments de la fontaine elle-même sont restés à Fontainebleau, dans une propriété particulière[15] ». Une redécouverte, comme celle d'une caryatide de la fontaine d'origine reste toujours possible[31],[32],[33].

Notes et références

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  1. a b c d et e Giorgio Vasari (trad. de l’édition de 1568 par Léopold Leclanché), Vies des peintres, sculpteurs et architectes de Giorgio Vasari, vol. 5, Philippe-Auguste Jeanron, 1839-1841 (sur Wikisource), p. 114.
  2. (it) Ascanio Condivi, Vita di Michelangelo Buonarroti, N. Capurro (Pisa), (BNF 30263638, lire en ligne Accès libre), p. 11.
  3. a b et c Charles Blanc, L’œuvre et la vie de Michel Ange : dessinateur, sculpteur, peintre architecte et poète, Gazette des Beaux-Arts (Paris), (BNF ark:/12148/bpt6k932186f, lire en ligne Accès libre), p. 230.
  4. a et b John Edwards, « Michelangelo's Lost Hercules » (consulté le ).
  5. a b c d e f g h i et j Charles de Tolnay, « L'Hercule de Michel-Ange à Fontainebleau », Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France,‎ , p. 69-72 (lire en ligne).
  6. a b c et d Joannides 1977, p. 550.
  7. a b c d e f g et h Joannides 1977, p. 553.
  8. a b c et d Joannides 1977, p. 552.
  9. Joannides 1977, p. 551.
  10. Robert Jean Knecht, Renaissance Warrior and Patron: The Reign of Francis I, Cambridge University Press, , 640 p. (lire en ligne), p. 441-442.
  11. Joannides 1977, p. 554.
  12. Joannides 1981, p. 23.
  13. a b et c Dan 1642, p. 177.
  14. a b et c Pierre Guilbert, Description historique des chateau, bourg et forest de Fontainebleau, vol. 2, (lire en ligne Accès libre), p. 87.
  15. a et b M. A. Bray, « Une statue de Michel-Ange à Fontainebleau », Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France,‎ , p. 98 (lire en ligne Accès libre).
  16. a b et c Thomas Clouet, « Fontainebleau de 1541 à 1547. Pour une relecture des Comptes des Bâtiments du roi », Bulletin Monumental (Fait partie d'un numéro thématique : Le château de Fontainebleau), nos 170-3,‎ , p. 195-234 (lire en ligne Accès libre).
  17. a et b Dan 1642, p. 37.
  18. Laborde 1877, p. 198 et 199.
  19. Vincent Droguet, « Une figure retrouvée de la fontaine d'Hercule à Fontainebleau ou du bon usage des cariatides », dans Primatice architecte, Sabine Frommel, , 251-255 p. (ISBN 978-2-7084-0854-8, lire en ligne).
  20. Claude de Varennes, Le voyage de France, dressé pour la commodité des Francois & des Estrangers, (lire en ligne), p. 174
  21. a b et c Liliane Chatelet-Lange, « Michelangelos Herkules in Fontainebleau », Panthéon, no 30,‎ , p. 456 (ISSN 0031-0999), cite in Joannides 1977, p. 553.
  22. « Veuë du bastiment de la cour des fontaines et du Jardin de l'Estan », sur Israël Silvestre et ses descendants (consulté le )
  23. « Veüe de la cour des Fontaines et du Jardin de l'Estang à Fonteine-Bleau », sur Israël Silvestre et ses descendants (consulté le )
  24. « Veüe et perspective du Jardin, de l'Etang et de la Cour des Fontaines de Fontaine-Bleau », sur Collections numérisées de la bibliothèque de l'INHA (consulté le )
  25. « Divers veuës du Chasteau et des bastiments de Fontaine belleau », sur Israël Silvestre et ses descendants (consulté le )
  26. « Château de Fontainebleau - gravure de Perelle », sur Meisterdrucke (consulté le )
  27. Thomas Corneille, Dictionnaire Universel, Geographique Et Historique, vol. 2, (lire en ligne), p. 114
  28. Pierre Guilbert, Description historique des chateau, bourg et forest de Fontainebleau, vol. 1, (lire en ligne Accès libre), p. 38.
  29. Laborde 1877, p. XVII.
  30. Laborde 1877, p. 410.
  31. a b et c Frédéric Reiset, « Niccolo dell'Abbate et les peintres de Fontainebleau », Gazette des beaux-arts, vol. 2,‎ , p. 266 (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  32. a et b « Le mystère de l’hercule de Michel-Ange dérobée », sur Le blog du sculpteur Jacky Kooken (consulté le ).
  33. « Deux bronzes authentifiés comme les seuls de Michel-Ange », sur Le Figaro (consulté le )

Bibliographie

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  • Pierre Dan, Le Trésor des merveilles de la maison royale de Fontainebleau, Paris, Sébastien Cramoisy, , 354 p. (BNF 30297459, lire en ligne Accès libre), p. 177. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Léon de Laborde, Les comptes des bâtiments du Roi (1528-1571) : suivis de documents inédits sur les châteaux royaux et les beaux-arts au XVIe siècle, vol. 1, Société de l'histoire de l'art français, (BNF 30704076, lire en ligne Accès libre), p. 198. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • M. A. Bray, « Une statue de Michel-Ange à Fontainebleau », Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France,‎ , p. 98 (lire en ligne Accès libre). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Charles de Tolnay, « L'Hercule de Michel-Ange à Fontainebleau », Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France,‎ , p. 69-72 (lire en ligne Accès libre). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • L. Chatelet-Lange, « Michelangelos Herkules in Fontainebleau », Panthéon, no 30,‎ , p. 456
  • (en) Paul Joannides, « Michelangelo's Lost Hercules », The Burlington Magazine, vol. 119, no 893,‎ , p. 550-555 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Paul Joannides, « A Supplement to Michelangelo's Lost Hercules », The Burlington Magazine, vol. 123, no 934,‎ , p. 20-23 (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Thomas Clouet, « Fontainebleau de 1541 à 1547. Pour une relecture des Comptes des Bâtiments du roi », Bulletin Monumental (Fait partie d'un numéro thématique : Le château de Fontainebleau), nos 170-3,‎ , p. 195-234 (lire en ligne Accès libre). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Articles connexes

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Liens externes

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