Bridoré
Bridoré | |||||
Vue du plan d'eau (artificiel) en contrebas du bourg de Bridoré. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Loches | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loches Sud Touraine | ||||
Maire Mandat |
Pascale Morel 2020-2026 |
||||
Code postal | 37600 | ||||
Code commune | 37039 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bridoréens | ||||
Population municipale |
483 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 33 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 01′ 40″ nord, 1° 05′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 76 m Max. 144 m |
||||
Superficie | 14,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Loches (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Loches | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
| |||||
modifier |
Bridoré est un village français qui appartient au canton de Loches et à l'arrondissement de Loches, situé dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Entouré par les communes de Fléré-la-Rivière, Verneuil-sur-Indre et Saint-Hippolyte, Bridoré est situé à 48 km au sud-est de Joué-lès-Tours, la plus grande ville des environs. Le bourg est situé sur une colline culminant à 144 mètres (au-dessus du niveau de la mer) la rivière l'Indre est le principal cours d'eau qui traverse la commune de Bridoré. La commune est proche du parc naturel régional de la Brenne à environ 13 km.
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est bordée sur son flanc est par l'Indre (1,632 km)qui en constitue la limite communale. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 11,49 km, comprend en outre six petits cours d'eau[2],[3].
L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source à une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le département du Cher et se jette dans la Loire à Avoine, après avoir traversé 58 communes[4]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de l'Indre tourangelle[6], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Perrusson. La hauteur maximale historique a été atteinte en novembre 1770. La hauteur maximale mesurée s'établit à 3,30 et a été observée le 21 décembre 1982[7]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[8],[9]. Sur le plan piscicole, l'Indre est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[10].
Deux zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : de la prairie d'Oizay aux Anglées » et « les étangs de la Chaperonnière »[11],[12].
Transports et voies de communications
[modifier | modifier le code]Réseau routier
[modifier | modifier le code]Bridoré est traversé par les routes départementales 943 et 241.
Desserte ferroviaire
[modifier | modifier le code]Bus
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la ligne TER Centre-Val de Loire : Châteauroux ↔ Tours.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[14].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Perrusson à 10 km à vol d'oiseau[15], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bridoré est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loches, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[20]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), prairies (14,1 %), forêts (4 %), zones urbanisées (2,5 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Bridoré est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[26],[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 237 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 207 sont en aléa moyen ou fort, soit 87 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[28].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1997 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Bridore ad Andriam, VIe siècle (H. de Valois, Notiticia gallicanorum.) ; Brioderus vicus, VIIe siècle (Acta Sanctorum, mai, tome V, p. 228 : Acta Sancti Austregisilii) ; Brolium Dore, XIIIe siècle (Dom Housseau, Charte de l'abbaye de Baugerais) ; Breuil Doré, 1454 ; Ymbert de Briault, escuyer, natif de Savoye, demourant au Bridoré, en Touraine, juillet 1496 (A.N.-JJ 227, n° 82, fol. 42) ; Le Bridoré, La paroisse du Bridoré, 1654 (Terrier du Bridoré, passim) ; Le Bridoré, XVIIIe siècle (carte de Cassini) ; Commune d’Oizay Cerçay Bridoré, an VI.
Le chef-lieu de la paroisse d’Oizay fut déplacé au Bridoré au début du XVIe siècle.
Quand le premier nom, issu de briga-ó-durum devenu *Briodr-, a été mal compris, il a été modifié en « breuil doré » ou « breuil d’un certain Doré ».
La forme Brioderus renvoie au gaulois briga « mont » et à un second élément derus, thème obscur qui devrait correspondre au gaulois o-durum « hauteur , lieu fortifié, forteresse », qui serait devenu *Briodr ; puis attraction de l'oïl doré[29] ; Bridoré signifierait alors : « la hauteur fortifiée », qui correspond au site du château, noyau primitif qui donna naissance à la paroisse au XVIe siècle, puis à la commune en 1790.
Histoire
[modifier | modifier le code]Féodalité : voir plus bas le paragraphe « Château de Bridoré ».
Entre 1790 et 1794, la commune de Bridoré annexe les anciennes communes de Cerçay[30] et Oizay[31].
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement les noms de Bridoré-et-Martin et de Cerçay-Bridoré[32].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2021, la commune comptait 483 habitants[Note 6], en évolution de −9,04 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Bridoré se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Loches. Les élèves sont accueillis dans l'école élémentaire publique de la commune.
Loisirs, tourisme et événements
[modifier | modifier le code]La commune possède un plan d'eau (d'origine artificielle), où pêcheurs, campeurs, promeneurs et randonneurs peuvent cohabiter. Une fois par an, le village se mobilise lors de la Fête de Plan d'eau. Une brocante, un concours de pêche et une course de cyclisme sont organisés pour animer la journée qui se finit par un bal dansant.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Martin d'Oizay, inscrite comme monument historique en 1949, remonte au XIIe siècle.
Bridoré possède deux monuments datant du XVe siècle, la forteresse dite de Barbe-Bleue et l'église Saint-Roch.
- Château de Bridoré
La forteresse construite sur le site dit Breuil-Doré est à l'origine du petit village. Dans la première moitié du XIIIe siècle, Josbert Ier de Ste-Maure, Pressigny et Nouâtre, mari d'Agnès de Vendôme, est seigneur de Bridoré[38], et après lui leur fils cadet le maréchal Renaud Ier de Précigny, † croisé en 1270 en Tunisie ; puis l'arrière-petite-fille de ce dernier, Marguerite de Précigny (fille de Renaud III, fils de Renaud II, lui-même fils du maréchal Renaud), et son mari Godemar Ier de Linières, veuf d'Agnès de Sancerre et † en 1340 ; une de leurs enfants, Florie de Linières, † 1406, transmit Bridoré à son premier mari, le premier maréchal Boucicaut, qui suit († 1368 ; aussi sire de La Bourdaisière), puis temporairement à son second époux, le chevalier Maurice Mauvinet, † vers 1375.
Cette forteresse fut rebâtie sous Charles V de même que la chapelle Saint-Roch, devenue église paroissiale, pour le maréchal de France Jean Ier Le Meingre dit Boucicaut (1310-1368), puis par son fils, Jean II Le Meingre dit Boucicaut (1366-1421, sans postérité survivante ; aussi maréchal de France) ; Bridoré passe ensuite à Geoffroi Boucicaut, le frère cadet de Jean II le Meingre, puis à ses deux fils Jean et Louis Le Meingre (fils de sa deuxième épouse Isabeau, fille de Louis de Poitiers-Valentinois-Saint-Vallier ; co-seigneurs de Bridoré, cités en 1463 ; les deux † sans postérité).
Imbert de Batarnay du Bouchage (1438-1523), sire de Montrésor en 1491/1493, conseiller des rois Louis XI, Charles VIII et Louis XII, achète la seigneurie du Bridoré en 1475 à Louis Le Meingre. Il met au point le prototype de la défense enterrée, dont s’inspirera Vauban : la caponnière. Il rehausse le donjon qui atteint ainsi trente mètres et le couvre d’une charpente avec des échauguettes ; mais finalement, Monsieur du Bouchage, alias le riche comte, préférera Montrésor pour sa résidence favorite et le lieu de la nécropole familiale (collégiale de Montrésor). Son fils cadet François de Batarnay († prédécédé en 1513), oncle maternel de Diane de Poitiers et mari de Françoise de Maillé la Jeune, dame de Rillé (1496-1516) , est père de René de Batarnay (1513-v. 1580), père lui-même de Gabrielle de Batarnay (1546-1570) qui épouse en 1570 Gaspard de La Châtre de Nançay (vers 1539-1576), d'où Henri de La Châtre, Ier comte de Nançay en 1609/1610, père d'Edme de La Châtre († 1645). Ce dernier vend Bridoré en avril/mai 1641 à Charles de Boursault, † 1653, seigneur de Viantais et de Voise.
En 1641, le marquis de Viantais, Charles de Boursault, acquiert donc la seigneurie du Bridoré. Le fils de Charles, Pierre de Boursault (1624-1704), maréchal de camp, hérite de Bridoré, puis sa propre fille Anne-Louise, qui cède le domaine le 10 avril 1717 aux religieuses viantaises de Beaulieu, fondées par les sœurs de Pierre, Catherine-Angélique (1619-1712) et Renée-Thérèse de Boursault (~1626-1714). Vendu comme bien national à la Révolution, il reste dans la même famille jusqu’à aujourd’hui. Classé Monument historique en 1911, restauré par les peintres Simone Lefèvre et Pierre Mouveau. Ce sont maintenant leurs petits-enfants, Virginie Feugier et son frère Pierre Alexandre Mouveau, qui assurent la conservation et la restauration de ce site.
- Église Saint-Roch
L'église Saint-Roch de Bridoré, construite au XVe siècle, est inscrite comme monument historique en 1926.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[5].
- Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
- Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
- D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Bridoré », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Les inondations lentes »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 62.
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
- « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bridoré et Perrusson », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Perrusson », sur la commune de Perrusson - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Perrusson », sur la commune de Perrusson - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bridoré ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Loches », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Bridoré », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 175.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cerçay », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Oizay », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Décès d'Hervé Ageorges, maire de Bridoré
- « Municipales : un feuilleton à rebondissements », La Nouvelle République du Centre-Ouest, , p. 13.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Bridoré, p. 427-428 », sur Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de Touraine, t. Ier, par Jacques-Xavier Carré de Busserolle, chez Rouillé-Ladevèze, à Tours, 1878.