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Guerre Quotes

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Mouloud Benzadi
“C'est seulement lorsque l'amour et l'humanité seront réunis,
Que la guerre et la misère en ce monde seront finis.”
Mouloud Benzadi

Mouloud Benzadi
“Tuez des extrémistes,
l'extrémisme réapparaîtra.
Tuez l'idéologie extrémiste, l'extrémisme disparaîtra.”
Mouloud Benzadi

Mouloud Benzadi
“HÉLAS!
parfois, nous devons connaître les horreurs de la GUERRE,
avant de pouvoir apprécier la beauté de la PAIX.”
Mouloud Benzadi

Mouloud Benzadi
“L'une des principales causes de division, de guerre et de violence dans le monde est le sentiment nationaliste.
Le nationalisme
est simplement une autre forme
d'extrémisme.”
Mouloud Benzadi

Mouloud Benzadi
“Le fondamentalisme se manifeste sous différentes formes et couleurs. Les croyances de 'la vérité absolue' et de 'la seule voie' du salut, en font partie.”
Mouloud Benzadi

Mouloud Benzadi
“Dans notre longue histoire, la guerre et la diplomatie se sont révélées insuffisantes pour créer la paix sur notre planète. Il est maintenant temps de rechercher des alternatives et il ne fait aucun doute qu'une langue mondiale et une culture commune peuvent jouer un rôle essentiel dans la construction d'un monde pacifique qui peut nous réunir tous.”
Mouloud Benzadi

Mouloud Benzadi
“La guerre ne tue pas seulement les êtres humains; elle tue aussi l'amour, la confiance et les relations.”
Mouloud Benzadi

Pierre Lemaitre
“Elle les avait démasqués de loin, les petits ambitieux qui la trouvait banale vue de face, mais très jolie vue de dot.”
Pierre Lemaitre, Au revoir là-haut

Virginia Woolf
“quels soucis de gloire, quel intérêt, quelles satisfactions, et elles sont nombreuses, la lutte lui apporte?
Sans la guerre il n y aurait pas de débouchés pour les nombreuses qualités viriles développées par la lutte; se battre ainsi demeure une caractéristique du sexe masculin [...] c est, disent certains la contrepartie de l instinct maternel, qu il ne peuvent, eux, partager”
Virginia Woolf, Three Guineas

Louis-Ferdinand Céline
“Donc pas d'erreur Ce qu'on faisait à se tirer dessus comme ça sans même se voir n'était pas défendu Cela faisait partie des choses qu'on peut faire sans mériter une bonne engueulade. C'était même reconnu encouragé sans doute par les gens sérieux comme le tirage au sort les fiançailles la chasse à courre ... Rien à dire. Je venais de découvrir d'un coup la guerre tout entière. Je venais d'être dépucelé.”
Louis-Ferdinand Céline, Journey to the End of the Night
tags: guerre

François de La Rochefoucauld
“En amour, celui qui est guéri le premier est toujours le mieux guéri.”
François de La Rochefoucauld

Michel Foucault
“Qui, au fond, a eu l’idée de retourner le principe de Clausewitz, qui a eu l’idée de dire : il se peut bien que la guerre soit la politique menée par d’autres moyens, mais la politique elle-même n’est-elle pas la guerre menée par d’autres moyens?”
Michel Foucault, Society Must Be Defended: Lectures at the Collège de France, 1975-1976

Louis-Ferdinand Céline
“J’ai bien dû rester là encore une partie de la nuit suivante. Toute l’oreille à gauche était collée par terre avec du sang, la bouche aussi. Entre les deux y avait un bruit immense. J’ai dormi dans ce bruit et puis il a plu, de pluie bien serrée. Kersuzon à côté était tout lourd tendu sous l’eau. J’ai remué un bras vers son corps. J’ai touché. L’autre je pouvais plus. Je ne savais pas où il était l’autre bras. Il était monté en l’air très haut, il tourbillonnait dans l’espace et puis il redescendait me tirer sur l’épaule, dans le cru de la viande. Ça me faisait gueuler un bon coup chaque fois et puis c’était pire. Après j’arrivais à faire moins de bruit, avec mon cri toujours, que l’horreur de boucan qui défonçait la tête, l’intérieur comme un train. Ça ne servait à rien de se révolter. C’est la première fois dans cette mélasse pleine d’obus qui passaient en sifflant que j’ai dormi, dans tout le bruit qu’on a voulu, sans tout à fait perdre conscience, c’est-à-dire dans l’horreur en somme. Sauf pendant les heures où on m’a opéré, je n’ai plus jamais perdu tout à fait conscience. J’ai toujours dormi ainsi dans le bruit atroce depuis décembre 14. J’ai attrapé la guerre dans ma tête. Elle est enfermée dans ma tête.”
Louis Ferdinand Celine, Guerre
tags: guerre

Jean-Philippe Jaworski
“Les femmes, les enfants et les vieillards à l'abri. Je comprends pourquoi vous aimez tant la guerre, vous les hommes. C'est votre tour de passe-passe pour confisquer le monde.”
Jean-Philippe Jaworski, Chasse royale III

Mohammed Dib
“Sans la mer, sans les femmes, nous serions restés définitivement des orphelins ; elles nous couvrirent du sel de leur langue et cela, heureusement, préserva maints d’entre nous ! Il faudra le proclamer un jour publiquement.”
Mohammed Dib, Qui se souvient de la mer (Minos t. 52)

Pierre Lemaitre
“Le pays tout entier était saisi d'une fureur commémorative en faveur des morts, proportionnelle à sa répulsion vis-à-vis des survivants.”
Pierre Lemaitre, Au revoir là-haut

Sorj Chalandon
“Ta guerre avait fasciné mon ami historien. Un jour que nous dînions ensemble, il m’a demandé si je n’aurais pas préféré avoir un père “seulement” collabo. Quelque chose de simple, une saloperie sur quoi pleurer, cogner, qu’il me faudrait pouvoir admettre ou condamner, mais voilà que j’avais hérité du pire. Je me débattais dans l’épais brouillard qui entourait ton lac allemand. Tu restais une question et ta guerre était une folie. Elle ne me permettait ni de te comprendre ni de te pardonner.
Une fois encore, je t’en ai voulu. J’étais blessé. Ta vérité n’avait pas plus de sens que tes mensonges.”
Sorj Chalandon, Enfant de salaud

John Brunner
“« Votre pays, le mien, tous les pays du monde, partagent la même cause, et le résultat, c’est que des gens qui s’en foutent comme d’une fiente de baleine sont envoyés pour tuer des femmes et des enfants. La voilà, la cause de tous les pays ! Et vous savez ce que c’est que cette cause ? Pour moi, c’est de la rapacité pure et simple, et elle me pue au nez ! »”
John Brunner, Stand on Zanzibar

René de Obaldia
“De retour à la caserne, le fusil rangé au râtelier, après ablutions et avoir revêtu notre tenue kakie, nous nous répandions dans la ville.

Certains d'entre nous, les plus mâles sinon les plus hardis, avaient rendez-vous dans les cafés avec de jeunes femmes dont les maris creusaient ailleurs. Pâles, les yeux
cernés, le sein mobile, ces jeunes et frémissantes créatures s'accrochaient au présent : nos uniformes. Carapaces dont elles nous débarrassaient dans le secret de
chambres initiatiques où elles n'avaient pas tardé à nous entrainer. Comme il était bon de quitter leggings, ceinturon, drap, flanelle, et, enfin nus, de se ressembler !

Comme il était bon d'inventer notre légende, d'afficher l'insolence de nos vingt ans !

En avance de plusieurs lunes sur notre dépucelage, expertes et ne demandant qu'à l'être davantage, ces jeunes mariées fleurant la veuve nous étourdissaient de
voluptés pressenties.

Ô fièvres des lits adultères ! Le sentiment de se trouver en marge de notre destin (mais le destin nous avait placés
là, à cette date et en ce lieu) portait nos étreintes à des violences extrêmes, parfois proches du désespoir.

Cette guerre nébuleuse, fantomatique, dont on osait croire qu'elle allait, un beau jour, s'évanouir par miracle, prit soudain son véritable visage. Le 10 mai 1940, la
foudre s'abattit sur une fraction du globe. Les Prussiens - encore eux ! -, enflés de leurs nombreux cousins, attaquaient la Belgique, la Hollande et le Luxembourg. Sans aucun "préavis". Sans avoir pris de gants ! Le monde civilisé était horrifié ; il ne trouvait point de termes assez durs pour dénoncer cette « odieuse agression », cette
« barbarie d'un autre âge », pour flétrir la violation de neutralité de ces trois petits (et courageux) pays qui ne demandaient qu'à rester neutres !”
René de Obaldia, Exobiographie (Les Cahiers Rouges)
tags: guerre

Albert Camus
“Devant les perspectives terrifiantes qui s'ouvrent à l'humanité, nous apercevons encore mieux que la paix est le seul combat qui vaille d'être mené. Ce n'est plus une prière, mais un ordre qui doit monter des peuples vers les gouvernements, l'ordre de choisir définitivement entre l'enfer et la raison.”
Albert Camus

Andrzej Sapkowski
“Si notre capacité à tirer profit de notre expérience et à en retenir les leçons était décisive, nous aurions oublié depuis longtemps ce qu'est la guerre. Mais aucune expérience, aucune analogie n'est parvenue à empêcher ceux qui veulent la guerre de la faire, et il en sera toujours ainsi.”
Andrzej Sapkowski, Le Sang des elfes

Hoda Barakat
“Le fracas des explosions les faisait à peine ciller et les pressait contre la poitrine des mères, les accrochait au cou des pères. De fatigue, la peur des adultes s'était envolée. Comme il était naïf le proverbe des temps de paix qui affirmait que la peur chassait le sommeil, c'était au contraire le besoin de dormir qui chassait tout le reste, guerres et tremblements de terre.”
Hoda Barakat, The Stone of Laughter

Jean Giono
“On se moque des diseurs de bonne aventure. Il faut sinon se moquer, en tout cas se méfier des bâtisseurs d'avenir. Surtout quand pour bâtir l'avenir des hommes à naître, ils ont besoin de faire mourir les hommes vivants. L'homme n'est la matière première que de sa propre vie.
Je refuse d'obéir.”
Jean Giono, Refus d'obéissance

“Nécessairement imparfait, un traité de paix ne peut, à lui seul. résoudre tous les problèmes qui ont justifié la guerre à laquelle il est supposé mettre fin, pas plus que ses concepteurs ne peuvent anticiper tous les changements entraînés par la guerre elle-même. Il n'est, en définitive, que ce que les puissances qui l'ont signé, (…), veulent bien en faire. Il participe d'une construction en devenir qui, (…), suppose modération et compréhension - (Pierre Journoud, page 79, 2012).”
Laurent Henninger et Thierry Widemann, Comprendre la guerre : Histoire et notions

“Dis-le toi désormais
Même s'il est sincère
Aucun rêve jamais
Ne mérite une guerre

(Tell yourself from now on
Even if it is sincere
No dream ever
Is worth a war)”
Jaques Brel

Abhijit Naskar
“Des Livres, pas Des Bombes
(Le Sonnet)

Les bombes tuent les terroristes,
Les livres tuent le terrorisme.
Les missiles tuent les extrémistes,
La pleine conscience tue l'extrémisme.

Les balles tuent les fanatiques,
La bonté tue l'intolérance.
La loi enchaîne les gens violents,
L’amour réforme la violence.

Le Sarin ne paralyse que les méchants,
Le service guérit la méchanceté.
C4 ne fait que retarder les préjugés,
La curiosité guérit les préjugés.

La violence ne peut plus être une révolution.
La gentillesse est le remède à toute dégradation.”
Abhijit Naskar, L'humain Impossible: Cent Sonnets pour Ma Famille Mondiale

“Les pires crimes sont commis avec les idées; les armes ne servent qu'à les figer dans le sang.”
Javad Djavahery, My Part of Her

Abhijit Naskar
“La haine ne fait que voyager à travers le monde, jusqu'à ce qu'une personne choisisse de briser le cycle. La guerre ne fait que migrer d'une frontière à l'autre, jusqu'à ce qu'une nation choisisse de briser le cycle.”
Abhijit Naskar, L'humain Impossible: Cent Sonnets pour Ma Famille Mondiale

Abhijit Naskar
“Bombardez le monde avec de la musique, pizza et la poésie, pas Semtex, C4 et RDX !”
Abhijit Naskar, L'humain Impossible: Cent Sonnets pour Ma Famille Mondiale

Antoine de Saint-Exupéry
“Dans un monde devenu désert, nous avions soif de retrouver des camarades: le goût du pain rompu entre camarades nous a fait accepter les valeurs de guerre. Mais nous n'avons pas besoin de la guerre pour trouver la chaleur des épaules voisines dans une course vers le même but.”
Antoine de Saint-Exupéry, Wind, Sand and Stars

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