Utilisateur:Nanoxyde/Traduction
"Doute|Phrase en italien dont je ne connais pas la traduction|blablabla"
Le BDSM est le nom générique commun donné aujourd'hui dans la littérature (presse?) spécialisée pour représenter un groupe d'ensemble de préférences sexuelles, qui souvent plus de manière inexacte, sont noméés Sadomasochisme ou plus couramment pratique Sado-Maso.
- BDSM ist die heute in der Fachliteratur gebräuchliche Sammelbezeichnung für eine Gruppe miteinander verwandter sexueller Vorlieben, die oft ungenauer als Sadomasochismus oder umgangssprachlich auch als SM oder Sado-Maso bezeichnet werden.
La notion de BDSM, (dont les lettres) (acronyme) anglais signifiant Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sado-Masochisme, décrit un groupe très multiforme de structurations de comportement sexuelles généralement, qui peuvent être en relation avec entre autres avec une dominance et soumission, punition ludique, douleur d'envie ainsi que jeux de liens (?privation de mouvements...).
- Der Begriff BDSM, der sich aus den Anfangsbuchstaben der englischen Begriffe Bondage & Discipline, Dominance & Submission, Sadism & Masochism zusammensetzt, umschreibt eine sehr vielgestaltige Gruppe von meist sexuellen Verhaltensweisen, die unter anderem mit Dominanz und Unterwerfung, spielerischer Bestrafung sowie Lustschmerz oder Fesselungsspielen in Zusammenhang stehen können.
D'autres désignations possibles pour le BDSM sont par exemple le Kinky Sex ou le sexe de cuir(?).
- Weitere mögliche Bezeichnungen für BDSM sind beispielsweise Kinky Sex oder Ledersex.
Principes fondamentaux
[modifier | modifier le code]Toutes les variantes du BDSM ont en commun que les participants se rendent volontairement de leurs égalité sociale dans une pente de pouvoir très prononcée. Le partenaire devot (soumis) cède une certaine partie de son autonomie et la transmet au partenaire dominant (principe nommé Power Exchange : l'échange des pouvoir). Par cet échange, chacun des participants(?acteurs,pratiquants) attisent leur désir réciproque et obtiennent une augmentation de leur libido. Le partenaire dominant devient le Dom ou Top, le partenaire devot Sub ou Bottom. Les actes (?action) de BDSM ont lieu généralement pendant une période de temps définie prenant la forme d'un jeu de rôle sexuel ; le jeu BDSM est aussi appelé session. Beaucoup des pratiques exercées dans le BDSM comme la provocation, la dégradation ou la soumission ne seraient pas ressenties comme nuisibles sans le lien à la préférence sexuelle spéciale comme déagréables. Des rapports sexuels comme les rapports oraux (buco-génitaux) mais aussi rapports vaginaux ou anaux peuvent survenir dans une session, mais ce n'est pas essentiel.
- Alle Varianten des BDSM haben gemeinsam, dass sich die Beteiligten freiwillig aus ihrer Gleichberechtigung in ein sehr ausgeprägtes Machtgefälle begeben. Der devote Partner gibt einen bestimmten Teil seiner Autonomie auf und übergibt sie dem dominanten Partner (Power Exchange). Beide Beteiligten erzielen daraus einen Lustgewinn. Der dominante Partner wird auch Dom oder Top genannt, der devote Partner auch Sub oder Bottom. BDSM-Handlungen finden während einer festen Zeitspanne meist in Form eines erotischen Rollenspiels statt; ein einzelnes BDSM-Spiel wird Session genannt. Viele der innerhalb von BDSM ausgeübten Praktiken wie Schmerzzufügung, Erniedrigung oder Unterwerfung würden ohne den Zusammenhang zur speziellen sexuellen Vorliebe als unangenehm empfunden werden. Geschlechtsverkehr wie etwa Oral-, Vaginal- oder auch Analsex kann innerhalb einer Session vorkommen, ist jedoch nicht essentiell.
La base fondamentale pour la pratique de BDSM est que les partenaires majeurs le pratique en principe volontairement (?dans le principe du volontariat), dans un accord mutuel et dans des mesures sûres. Ces principes de base sont brièvement résumés depuis les années 1990 sous la désignation anglaise SSC : Safe, Sane and Consensual, qui se traduit "Sûr, Sain (avec un entendement clair) et Consensuel (dans un accord mutuel)". Le "volontariat", c'est-à-dire l'arrangement entre les participants, présente une valeur juridique aussi bien qu'éthique, notammant contre les infractions ou crimes contre lautodétermination sexuelle et l'abus de la force sur autrui.
- Die grundlegende Basis für die Ausübung von BDSM ist, dass es prinzipiell von mündigen Partnern freiwillig und unter gegenseitigem Einverständnis in einem sicheren Maße praktiziert wird. Diese Grundprinzipien werden seit den 1990er Jahren unter der englischen Bezeichnung „safe, sane and consensual“, kurz SSC zusammengefasst. Dies bedeutet soviel wie „sicher, mit klarem Verstand und in gegenseitigem Einverständnis“. Die Freiwilligkeit, das heißt die Einvernehmlichkeit zwischen den Beteiligten grenzt BDSM von Vergehen oder Verbrechen gegen die sexuelle Selbstbestimmung und von Gewaltmissbrauch sowohl rechtlich als auch ethisch ab.
D'autres fans du BDSM lui préfèrent un autre code de conduite légèrement différent, nommé avec la désignation anglaise RACK pour Risk-Aware Consensual Kink, qui se focalise davantage sur une action sexuelle concertée, dont le risque est consenti ; ce code souligne ainsi fortement la responsabilité de chacun des partenaires et le potentiel de risque présenté par la pratique du BDSM.
- Einige Anhänger des BDSM bevorzugen einen etwas anderen Verhaltenskodex mit der englischen Bezeichnung RACK (risk-aware consensual kink), was etwa soviel bedeutet wie risikobewusstes einvernehmliches sexuelles Handeln; sie wollen damit die das Risikopotenzial betreffende Eigenverantwortung der beteiligten Partner stärker betonen.
Le "volontariat" comme critère crucial est aussi en vigueur ici, tout comme le consentement éclairé pour les actions de sado-masochisme. Pour se faire, les participants doivent posséder suffisament d'informations et les capacités mentales nécessaires pour leurs compréhensions. Généralement, chaque participant doit être libre de pouvoir révoquer à tout moment ce consentement tacite, notamment grâce à un mot de signal désigné auparavant : le Safeword.
- Die Freiwilligkeit als entscheidendes Kriterium gilt aber auch hier. Die Einwilligung zu einem einvernehmlichen sadomasochistischen Geschehen kann nur geben, wer die Folgen seiner Zustimmung hinreichend abschätzen kann. Für seine Entscheidungsfindung muss der Einwilligende ausreichend Informationen und die notwendigen geistigen Fähigkeiten besitzen. Generell muss es dem Einwilligenden freistehen, die Einwilligung jederzeit widerrufen zu können, beispielsweise mit einem vorher vereinbarten Signalwort, einem sogenannten Safeword.
Sicherheit//Sécurité
[modifier | modifier le code]À côté des recommandations générales pour des Safer sexe des BDSM-Sessions dans la règle exigent largement de grandes mesures de sécurité comme ce que l'on appelle „ Vanilla-Sex « , d.  ; H. comme un Sexualleben sans BDSM-Elemente. Afin que les actions restent toujours dans le cadre souhaité des participants, aient établi dans le BDSM-Szene une série de mesures de sécurité et - conventions. Pour garantir l'arrangement indispensable (Konsensualität) des pratiques, - particulièrement entre partenaires inconnus - à un entretien préliminaire intensif via les désirs des participants et le cours ainsi que les frontières des activités prévues tombera généralement. Des conversations détaillées correspondantes sont en général habituelles une caractéristique de position toutefois typique de BDSM-Sessions et. En plus, généralement aussi un Safeword, lors de la dénomination duquel l'action doit directement être interrompue à tout moment est décidé. Au cas où la capacité linguistique du partenaire se soumettant est limitée, le contact d'oeil ou des signes de la main est les seuls moyens d'information et donc d'importance tout à fait cruciale pour la sécurité des pratiques. L'efficace et l'utilisation confiante de Safewords est une des conditions absolument nécessaires pour BDSM. Le spectre très large de BDSM- le plus divers „jouets « ainsi que techniques de contrôle et de manipulation physiques appliquées rend fréquemment un vaste savoir de détail installant à la session respective des secteurs si différents comme l'anatomie, à physique ou aussi psychologie nécessaire. Des aspects de sécurité pratiques sont généraux importance cruciale. Ainsi, il faut savoir par exemple important lors lier, à quelles places le danger de la compression existe des récipients ou des nerfs et/ou desquels formation de cicatrice claire. Avec l'application de Gerte le n ou fouet n peut constituer la capacité motrice et le savoir anatomique la différence entre une session satisfaisante, des expériences extrêmement déagréables et dommages physiques lourds. Pour reconnaître de bonne heure et si possible éviter un atterrissage forcé psychologique le Bottoms et/ou pour recueillir un tel atterrissage forcé lui après „« , il est important de poursuivre ses réactions einfühlsam et de réagir en conséquence.
Neben den allgemeinen Empfehlungen für Safer Sex erfordern BDSM-Sessions im Regelfall wesentlich weitergehende Sicherheitsmaßnahmen als typischer sogenannter „Vanilla-Sex“, d. h. als ein Sexualleben ohne BDSM-Elemente.
Damit die Handlungen stets in dem von den Teilnehmern gewünschten Rahmen bleiben, haben sich in der BDSM-Szene eine Reihe von Sicherheitsmaßnahmen und -konventionen etabliert.
Um die unabdingbare Einvernehmlichkeit (Konsensualität) der Praktiken sicherzustellen, wird – besonders zwischen unbekannten Partnern – generell zu einem intensiven Vorgespräch über die Wünsche der Beteiligten und den Verlauf sowie die Grenzen der geplanten Aktivitäten geraten. Entsprechende detaillierte Gespräche sind ein typisches Alleinstellungsmerkmal von BDSM-Sessions und allgemein üblich. Zusätzlich wird in der Regel auch ein Safeword vereinbart, bei dessen Nennung die Handlung zu jeder Zeit unmittelbar abgebrochen werden muss. Für den Fall, dass die Sprachfähigkeit des sich unterwerfenden Partners eingeschränkt wird, sind Augenkontakt oder Handzeichen die einzigen Verständigungsmittel und daher von ganz entscheidender Bedeutung für die Sicherheit der Praktiken. Der effiziente und vertrauensvolle Umgang mit Safewords ist eine der absolut notwendigen Voraussetzungen für BDSM.
Das sehr breite Spektrum unterschiedlichster BDSM-„Spielzeuge“ sowie angewandter physischer Manipulations- und Kontrolltechniken macht häufig ein umfangreiches, zur jeweiligen Session passendes Detailwissen aus so unterschiedlichen Gebieten wie Anatomie, Physik oder auch Psychologie notwendig. Praktische Sicherheitsaspekte sind generell von entscheidender Bedeutung. So ist es beispielsweise bei Fesselungen wichtig zu wissen, an welchen Stellen die Gefahr der Quetschung von Gefäßen oder Nerven bzw. die deutlicher Narbenbildung besteht. Beim Einsatz von Gerten oder Peitschen kann das motorische Können und das anatomische Wissen den Unterschied zwischen einer befriedigenden Session, äußerst unangenehmen Erfahrungen und schweren körperlichen Schäden ausmachen.
Um einen psychologischen Absturz des Bottoms frühzeitig zu erkennen und nach Möglichkeit zu vermeiden bzw. um ihn nach einem solchen Absturz „aufzufangen“, ist es wichtig, dessen Reaktionen einfühlsam zu verfolgen und entsprechend zu reagieren.
Teilaspekte // Aspects partiels
[modifier | modifier le code]thumb|180px|Vollfäustlinge werden im Rahmen von Bondage zur Fixierung der Hände verwendet. Das mehrschichtige Akronym BDSM steht für mehrere unter diesem Oberbegriff zusammengefassten physischen und psychischen Teilaspekte:
- B & D Bondage and Discipline (Fesselung und Disziplinierung)
- D & S Domination and Submission (Beherrschung und Unterwerfung)
- S & M Sadism and Masochism (Sadismus und Masochismus)
Ce modèle visant la différenciation de trois aspects du BDSM est aujourd'hui commun dans la littérature de plus en plus, représente toutefois seulement la tentative d'une séparation phénoménologique. Dans l'empreinte individuelle de préférences sexuelles, les aspects séparés ici s'entrecroisent fréquemment.
Dieses Modell zur Differenzierung dreier Aspekte des BDSM ist heute in der Literatur zunehmend gebräuchlich, stellt aber lediglich den Versuch einer phänomenologischen Trennung dar. In der individuellen Ausprägung sexueller Vorlieben überschneiden sich die hier getrennten Aspekte häufig.
Bondage/Discipline
[modifier | modifier le code]Bondage und Discipline sind zwei Aspekte des BDSM, die miteinander nicht zwingend zu tun haben, jedoch auch gemeinsam vorkommen.
Bondage
Hauptartikel: Bondage thumb|180px|Neben Hand- finden auch Daumenschellen im Rahmen von Bondage Verwendung.
Der englische Begriff Bondage (Fesselung) bezeichnet Praktiken der Fesselung zur Erregung und Steigerung sexueller Lust. Bondage ist eine sehr beliebte Spielart aus dem großen Variationsbereich von BDSM, wird vom BDSM teilweise aber auch abgegrenzt. Studien in den USA kamen zum Ergebnis, dass etwa die Hälfte aller Männer und viele Frauen Bondagespiele für erotisch halten.
Bondage im engeren Sinne meint das Fesseln des Partners durch das Zusammenbinden der Gliedmaßen, beispielsweise durch die Verwendung von Handschellen, oder auch das Festbinden des Partners an Gegenständen. Auch das Spreizen der Gliedmaßen kann durch Bondage erreicht werden, beispielsweise durch Fesseln an ein Andreaskreuz, Strappado oder Spreizstangen.
Discipline Par des Discipline, on entend discipline du partenaire dans le secteur du BDSM par des impacts avec la main ou „les instruments de punition « , de la pratique desquels ou d'un accueil le profit d'envie érotique résulte du participant. Dans ce cas, l'intensité des impacts peut varier fortement. Une fusion avec des pratiques du secteur des Bondage n'est parfois pas fréquemment, toutefois pas impérative et la délimitation à BDSM purement schmerzbetontem difficilement. À côté des impacts occasionnellement d'autres sortes de punition de corps sont également utilisées n, par exemple avec le Figging. Fréquemment, la notion est utilisée aussi par erreur Discipline , pour décrire un jeu d'éducation e du secteur Domination and offre . Un mélange des deux secteurs arrive, la priorité claire dans l'importance des Discipline est fréquemment toutefois l'administration des impacts. Une autre importance de Discipline est indépendamment de ses Typus, aussi (lui-même) la discipline, la conscience de la responsabilité dans l'utilisation de partenaire et le respect devant son rôle la considération des principes SSC.
Unter Discipline versteht man im Bereich des BDSM die Disziplinierung des Partners durch Schläge mit der Hand oder „Züchtigungsinstrumenten“, aus deren Ausübung oder Empfang der erotische Lustgewinn der Beteiligten entspringt. Hierbei kann die Intensität der Schläge stark variieren.
Eine Verschmelzung mit Praktiken aus dem Bereich von Bondage ist häufig, aber nicht zwingend und die Abgrenzung zu rein schmerzbetontem BDSM manchmal schwierig. Neben Schlägen kommen gelegentlich auch andere Arten von Körperstrafen zum Einsatz, beispielsweise beim Figging.
Häufig wird der Begriff Discipline auch fälschlich gebraucht, um Erziehungsspiele aus dem Bereich Domination and Submission zu beschreiben. Eine Vermischung beider Bereiche kommt häufig vor, der eindeutige Schwerpunkt in der Bedeutung von Discipline ist jedoch die Verabreichung von Schlägen.
Eine andere Bedeutung von Discipline ist die (Selbst-)Disziplin, das Bewusstsein der Verantwortung im Umgang mit dem Partner und der Respekt vor seiner Rolle unabhängig von deren Typus, ebenso die Beachtung der Grundsätze SSC.
Domination and Submission
[modifier | modifier le code][[Bild:Strappado - Model Jassi.jpg|thumb|180px|Strappado mit Handschellen und Ketten. Praktik mit einem deutlichen Immobilisierungs- und Schmerzeffekt.]] Le couple de notion Domination et offre vient de l'Anglais et signifie un pouvoir et dominance ainsi que soumission et subordination . On désigne ainsi un rapport de force inégal entre partenaires qui accepté consciemment et on vise. Le Domination and offre nomme ainsi plutôt la composante psychique du BDSM. Bien que cela soit aussi dans beaucoup de partenariats le cas qui ne se comprennent pas eux-mêmes comme sadomasochistisch, il est considéré consciemment vécu comme le secteur du BDSM. Celui La largeur de variation des empreintes individuelles est grande. Des pratiques spécialement, orientées psychiquement sont z.  ; B. jeux d'éducation , avec lesquels le dominant exige du partenaire devoten certaines structurations de comportement. Des formes spéciales sont par exemple dans ce cas des jeux de rôle érotiques comme l'Ageplay - avec cela une différence d'âge jouée comme arrière-plan fonctionne - ou le Petplay. De façon ponctuelle le rejet sexuel commencé du partenaire peut être une partie également des Domination and offre (voir aussi des Cuckold). La forme la plus connue et probablement klischeebehaftetste de Domination and offre est celle de pouvoir et des Sklaventum . Celui-ci peut être transposé autrement pour la courte durée un „jeu « partenaire égal, mais également en permanence intégré dans le quotidien („24/7 « ) et va avec un petit nombre Partenariats jusqu'à la soumission complète d'un partenaire dans le sens totaux pouvoirs de l'Exchange. Des éléments compensatoires pour maîtrise et soumission participent une assistance et la dévotion qu'et permettent des relations si stables se complètent respectivement.
Das Begriffspaar Domination und Submission kommt aus dem Englischen und bedeutet Herrschaft und Dominanz sowie Unterwerfung und Unterordnung. Man bezeichnet damit ein ungleiches Machtverhältnis zwischen Partnern, das bewusst angenommen und angestrebt wird. Domination and Submission benennt somit eher die psychische Komponente des BDSM. Obwohl dies auch in vielen Partnerschaften der Fall ist, die sich selbst nicht als sadomasochistisch auffassen, gilt es bewusst gelebt als Teilbereich des BDSM. Die Variationsbreite der individuellen Ausprägungen ist dabei groß.
Speziell psychisch orientierte Praktiken sind z. B. Erziehungsspiele, bei denen der dominante dem devoten Partner bestimmte Verhaltensweisen abverlangt. Sonderformen sind hierbei erotische Rollenspiele wie beispielsweise das Ageplay – bei dem ein gespielter Altersunterschied als Hintergrund fungiert – oder das Petplay. Die gezielt eingesetzte sexuelle Zurückweisung des Partners kann ebenfalls Teil von Domination and Submission sein (siehe auch Cuckold). Die bekannteste und wohl klischeebehaftetste Form von Domination and Submission ist die von Herrschaft und Sklaventum. Diese kann für die kurze Dauer eines „Spiels“ ansonsten gleichberechtigter Partner umgesetzt, aber auch permanent in den Alltag integriert werden („24/7“) und reicht bei wenigen Partnerschaften bis hin zur völligen Unterwerfung eines Partners im Sinne des Total Power Exchange. Ausgleichende Elemente für Beherrschung und Unterwerfung sind dabei Fürsorge und Hingabe, die sich jeweils ergänzen und so stabile Beziehungen ermöglichen.
[[Bild:Nippleclamps.jpg|thumb|180px|Kette mit justierbaren Krokodil-Brustklammern.]] a soumission le sous- devient de celui-ci parfois par des symboles comme un collier besitzanzeigendes, un Tätowierung particulier en, Intimschmuck ou beaucoup des cheveux ou le Glatzen kurzgeschnittene démontre à l'extérieur vers. Sporadiquement le rapport de force est fixé par écrit dans de ce que l'on appelle contrats d'esclave dans de plus longues relations. Cette action symbolique doit la solidarité intime des partenaires et ses communs Des présentations „« tenir obligatoirement. Les documents correspondants ne sont en aucun cas juridiques eux après point de vue général contre les bonnes coutumes verstossen.[1] dans le passé a donc conduit absolument toujours à nouveau l'existence de documents de ce genre dans différents liens à titres radicaux dans la presse de boulevard, puisque dans eux les relations à l'intérieur détaillent beaucoup et des pratiques convenues sont spécifiées. Des troisièmes uninformierten conduisent régulièrement des informations de ce genre résolues de leur lien original sur un refus fort et une condamnation des relations étant à la base du document.
Die Unterwerfung des Sub wird von diesem manchmal durch Symbole wie ein besitzanzeigendes Halsband, besondere Tätowierungen, Intimschmuck oder sehr kurzgeschnittene Haare oder Glatzen nach außen hin demonstriert. Vereinzelt wird in längeren Beziehungen das Machtverhältnis in sogenannten Sklavenverträgen schriftlich fixiert. Diese symbolische Handlung soll die innige Verbundenheit der Partner und ihre gemeinsamen Vorstellungen „verbindlich“ festhalten. Rechtlich sind die entsprechenden Schriftstücke in keiner Weise verbindlich, da sie nach allgemeiner Auffassung zum Beispiel gegen die guten Sitten verstoßen.[2] In der Vergangenheit führte die Existenz derartiger Schriftstücke in verschiedenen Zusammenhängen immer wieder zu drastischen Schlagzeilen in der Boulevardpresse, da in ihnen das Innenverhältnis und vereinbarte Praktiken sehr detailliert aufgeführt werden. Bei uninformierten Dritten führen derartige aus ihrem ursprünglichen Zusammenhang gelöste Informationen regelmäßig zu starker Ablehnung und einer Verurteilung der dem Schriftstück zugrundeliegenden Beziehung.
Sadomasochismus
[modifier | modifier le code]Le Sadomasochismus est nommé souvent - contrairement à des Domination and offre - le côté plutôt physique par BDSM. Toutes les pratiques dont le but est provoquer ou le sentiment des douleurs doivent concrètement être arrangées ici. Le Discipline montre des trains sadomasochistische. Contrairement à des Discipline, des impacts jouent toutefois dans des Sadomasochisten, et il y a une multiplicité d'autres pratiques qui sont utilisées, pour produire un rôle plutôt subordonné douleurs. Le Sadomasochismus est pratiqué comparativement rarement de manière autonome ; un mélange avec d'autres aspects du BDSM est fréquent.
Mit Sadomasochismus wird oft – im Gegensatz zu Domination and Submission – die eher physische Seite von BDSM bezeichnet. Konkret sind hier alle Praktiken einzuordnen, deren Zweck das Zufügen oder Empfinden von Schmerzen ist.
Discipline weist sadomasochistische Züge auf. Im Gegensatz zu Discipline spielen Schläge bei Sadomasochisten aber eine eher untergeordnete Rolle, und es gibt eine Vielzahl anderer Praktiken, die verwendet werden, um Schmerzen zu erzeugen. Sadomasochismus wird vergleichsweise selten eigenständig praktiziert; eine Vermischung mit anderen Aspekten des BDSM ist häufig.
Physische Aspekte
[modifier | modifier le code]thumb|250px|Ein mit verschiedenfarbigen Wachsen bedeckter Rücken. Si on considère BDSM à un niveau purement physique, il peut être constaté qu'il est lié en partie provoquer ponctuel des douleurs physiques et d'autres impressions de sens intensives. Les Endorphine dégagés par ceci sont fréquemment comparés dans leurs conséquences par les BDSM-Anhängern au dit Runner' s High ou les suites un Orgasmus. Cet état est qualifié en partie aussi de Trance (état) „tranceähnlicher « et répète comme très agréable décrit. Cette expérience d'une douleur d'envie n'est toutefois pas la motivation importante, pas seule pour beaucoup de BDSM-Praktizierende. Il y a une minorité de BDSM-Anhängern qui participent aux sessions, dont eux-mêmes ne tirent pas (physiques) de satisfaction. Ils se rendent exclusivement dans de telles situations, pour donner une occasion à son partenaire, ses propres besoins et/ou Fetische vivre.
Betrachtet man BDSM auf einer rein körperlichen Ebene, lässt sich feststellen, dass es teilweise mit der gezielten Zufügung von physischen Schmerzen und anderen intensiven Sinneseindrücken verbunden ist. Die hierdurch freigesetzten Endorphine werden in ihren Auswirkungen von BDSM-Anhängern häufig mit dem sogenannten Runner’s High oder den Nachwirkungen eines Orgasmus verglichen. Dieser Zustand wird teilweise auch als tranceähnlicher „Subspace“ bezeichnet und wiederholt als sehr angenehm geschildert. Diese Erfahrung von Lustschmerz ist eine wichtige, aber nicht die einzige Motivation für viele BDSM-Praktizierende. Es gibt eine Minderheit von BDSM-Anhängern, die an Sessions teilnehmen, aus denen sie selbst keinerlei (körperliche) Befriedigung ziehen. Sie begeben sich ausschließlich in solche Situationen, um ihrem Partner eine Gelegenheit zu bieten, seine eigenen Bedürfnisse und/oder Fetische auszuleben.
[[Bild:Wartenbergwheel.jpg|thumb|250px|Ein typisches zur Nervenreizung verwendetes Wartenbergrad.]] Le partenaire plus dominant place dans quelques variantes du BDSM-Spiels le sous- les impressions de sens les plus diverses, en le pinçant par exemple, lui „versohlt « ou instruments aussi différents que des Gerte le n, mord avec des ongles les Hintern, raye fouet n, cire liquide, cubes de glace, Roues de montagne d'entretien, EMS érotique ou semblable à lui utilise. La fixation câble e, agrafes de main ou aussi chaîne n est utilisée également fréquemment. Le choix „jouets « n'est plus de manière appropriée limité que par la richesse d'idée des deux partenaires de jeu ; dans ce cas, en partie des objets quotidiens deviennent également comment Parenthèse de linge n, cuillères de cuisson ou Stretchfolie n de nouvelles dispositions conduit. Fréquemment, on part du principe qu'un BDSM-Erfahrung lustvolle dépend très fortement d'une compétence et de l'expérience du Tops et „de la forme de jour psychologique « du Bottom. La confiance et l'excitation sexuelle aident les partenaires à se déplacer dans l'ambiance zielführende. Quelques BDSM-Anhänger comparent des impressions de sens correspondantes aux compositions et spécifications musicales, avec lesquelles les différentes impressions de sens quasi ceux „notes musicales « de la situation représenter. De cette vue, les expériences sensuelles les plus diverses sont combinées créer d'autant un conduite total, ceux des laisse une impression durable.
In einigen Varianten des BDSM-Spiels setzt der dominantere Partner den Sub unterschiedlichsten Sinneseindrücken aus, indem er ihn beispielsweise kneift, beißt, mit Fingernägeln kratzt, ihm den Hintern „versohlt“ oder so unterschiedliche Instrumente wie Gerten, Peitschen, flüssiges Wachs, Eiswürfel, Wartenbergräder, EMS oder ähnliches an ihm benutzt. Die Fixierung durch Seile, Handschellen oder auch Ketten wird ebenfalls häufig eingesetzt. Die Auswahl geeigneter „Spielzeuge“ ist nur durch den Einfallsreichtum der beiden Spielpartner begrenzt; hierbei werden teilweise auch Alltagsgegenstände wie Wäscheklammern, Kochlöffel oder Stretchfolien neuen Bestimmungen zugeführt.
Häufig wird davon ausgegangen, dass eine lustvolle BDSM-Erfahrung sehr stark von Kompetenz und Erfahrung des Tops und der „psychologischen Tagesform“ des Bottom abhängig ist. Vertrauen und sexuelle Erregung helfen den Partnern, sich in die zielführende Stimmung zu versetzen. Einige BDSM-Anhänger vergleichen entsprechende Sinneseindrücke mit musikalischen Kompositionen und Aufführungen, bei denen die einzelnen Sinneseindrücke quasi die musikalischen „Noten“ der Situation darstellen. Aus dieser Sicht werden unterschiedlichste sinnliche Erfahrungen kombiniert, um so eine Gesamterfahrung zu schaffen, die einen bleibenden Eindruck hinterlässt.
Beziehungsarten
[modifier | modifier le code]Spielbeziehungen
[modifier | modifier le code][[Bild:Sling.jpg|thumb|250px|BDSM-typische, „Sling“ genannte Schaukel.]]Viele Anhänger des BDSM betrachten die Ausübung von BDSM in ihrem Sexualleben als erotisches Rollenspiel und sprechen in diesem Zusammenhang daher auch von Spiel und spielen. Die Durchführung eines solchen Spieles bezeichnet man als „Session“, und bezogen auf den Inhalt und die Umstände des Spiels spricht man von Scene (englisch für Szene, meint auch Inszenierung).
Analog dazu spricht man auch von Spielbeziehungen und meint damit zweierlei: Zum einen bezeichnet man mit diesem Begriff gewöhnliche gleichberechtigte Partnerschaften, in denen BDSM Teil oder Vorspiel der Sexualität ist. Bestehen mehrere Partnerschaften mit intensiven emotionalen Bindungen über eine längere Zeit hinweg, so kann eine Überschneidung mit der Praxis der Polyamorie bestehen. Es können mit dem Begriff Spielbeziehungen aber auch Partnerschaften gemeint sein, die ausschließlich gelegentliches gemeinsames Ausleben bestimmter sexueller Fantasien zum Ziel haben und in denen sonst kein weiteres partnerschaftliches Verhältnis besteht.
Weitverbreitete Rollenmodelle
[modifier | modifier le code]Tops und Bottoms thumb|180px|Vorderansicht eines typischen Halsbandes. Solche oder ähnliche Modelle werden sehr häufig von Subs getragen und dienen als Symbol der Bereitschaft zur Unterwerfung. Im Bereich BDSM nennt man den Partner einen Top, der die aktive, d.h. kontrollierende Rolle in einer häufig durch die Ausübung von Schmerz, Erniedrigung oder Unterwerfung geprägten Session hat. Der als Bottom, häufiger als Sub bezeichnete Partner setzt sich für die Dauer der Session freiwillig solchen Handlungen aus und ist der passive Teil.
Wenn auch der Top häufig der dominante Teil und der Bottom der devote, d.h. der unterwürfige Partner ist, muss dem nicht unbedingt so sein. Der Top ist manchmal derjenige, der den Anweisungen folgt, d.h. er „toppt“ den Bottom nach dessen Wünschen und auf eine Art und Weise, die dieser ausdrücklich verlangt hat. Eine Person, die in einer Session in diesem Sinne nur scheinbar die Kontrolle ausübt, sich in Wirklichkeit jedoch strikt an die Anweisungen des Bottoms hält, nennt man im angelsächsischen Sprachraum Service Top. Im Gegensatz zum Service Top steht der rein dominante Top, der dem devoten Partner innerhalb der Session Befehle erteilen oder ihn unter Verwendung körperlicher oder psychologischer Kontrolltechniken unterwerfen kann. Wenn er es wünscht, kann er den devoten Partner auch anweisen, eine entsprechende Kontrolle vorübergehend auch über ihn selbst auszuüben.
[[Bild:Spreader bar with cuffs.jpg|thumb|180px|Verstellbare Spreizstange mit Ledermanschetten. Spreizstangen dienen häufig der Fixierung der Extremitäten des bespielten Bottom.]]Ähnliches gilt umgekehrt auch für Bottoms und devote Partner. Hierbei stehen am einen Ende des Spektrums devote Partner, die es genießen, Befehle zu empfangen und auszuführen, dem Empfang körperlicher Stimulationen jedoch gleichgültig bis ablehnend gegenüberstehen. Am anderen Ende des Spektrums steht der Bottom, der körperliche und psychologische Stimulationen genießt, sich aber der Person, die ihm diese zufügt, nicht unterwirft. Der Bottom ist häufig der Partner, der die Rahmenbedingungen festlegt und im Vorfeld Anweisungen direkt oder indirekt erteilt, während der Top sich nach diesen Anleitungen richtet. Trotzdem existiert eine kleine, sehr puristische Schule innerhalb des BDSM, die ein solches Topping from the Bottom als unvereinbar mit den hohen ethischen Standards betrachtet, die aus ihrer Sicht an BDSM-Beziehungen anzulegen sind.
Einige BDSM-Anhänger switchen, das bedeutet, sie spielen beide sowohl die dominante als auch die devote Rolle. Sie praktizieren dies entweder innerhalb einer einzigen Session oder nehmen diese unterschiedlichen Rollen in unterschiedlichen Sessions mit unterschiedlichen Partnern ein.[[Bild:Folsom 2003 bondage demo.jpg|thumb|300px|Demonstration mehrerer Shibari-Bondages auf der aus der Lederbewegung hervorgegangenen Folsom Street Fair 2003, San Francisco.]] Die Gründe hierfür können beispielsweise darin liegen, dass sich ein Switcher in einer Partnerschaft befindet, in der sein Partner die gleiche primäre Ausrichtung wie er selbst hat (beispielsweise zwei Tops), so dass das Switchen die einzige Möglichkeit darstellt, innerhalb der Beziehung alle BDSM-Bedürfnisse erfüllen zu können. Einige Personen wechseln die Rollen, ohne sich selbst als Switcher zu betrachten, da sie es nur sehr unregelmäßig oder nur unter bestimmten Bedingungen tun.
Außererotischer BDSM
[modifier | modifier le code]Im Gegensatz zu solchen Spielbeziehungen stehen partnerschaftliche Beziehungen, die auch über den erotischen Bereich hinaus klar von Vorstellungen aus dem Bereich BDSM bestimmt sind. Die beteiligten Partner pflegen dabei auch in ihrem täglichen Lebens ein entsprechendes Machtverhältnis zueinander und machen Aspekte des BDSM gemeinsam zu ihrem Lebensstil – womit man BDSM nicht mehr als rein sexuelles Phänomen bezeichnen kann. Man spricht hierbei von 24/7-Beziehungen, hergeleitet von 24 Stunden täglich, 7 Tage in der Woche.
Eine weitere Bezeichnung für derartige Verhaltensweisen ist D/s. Diese Bezeichnung leitet sich daraus ab, dass der dominante Partner den submissiven Partner dauerhaft in der Mehrheit seiner Lebensbereiche dominiert; hierbei werden einzelne Lebensbereiche, wie zum Beispiel Arbeit, Familie oder Freunde, aus der D/s-Beziehung ausgeklammert und nicht unter die Kontrolle des dominanten Partners gestellt. Einige D/s-Beziehungen umfassen hingegen sämtliche Lebensbereiche, derartige Konstellationen werden unter der Bezeichnung Total Power Exchange, kurz TPE umschrieben. In D/s- und erst recht TPE-Beziehungen finden Änderungen der Machtverhältnisse (sogenanntes Switchen) nicht statt. TPE-Beziehungen dürften das am geringsten verbreitete Rollenverhalten innerhalb des BDSM-Spektrums darstellen.
Professionelle Dienstleistungen
[modifier | modifier le code][[Bild:Gags bit 01.JPG|thumb|180px|Typischer im Bereich BDSM eingesetzter Knebel aus Leder, Stahl und Holz.]]Eine Domina bietet sexuelle Dienstleistungen aus dem Bereich BDSM entgeltlich an. Viele Dominas verstehen sich dennoch nicht als Prostituierte, da es im Regelfall nicht zum Geschlechtsverkehr zwischen Domina und Kunden kommt. Die männliche Entsprechung der Domina, vorwiegend im Umfeld männlicher Homosexueller, heißt Sado.
Weitaus seltener können auch die Dienste einer professionellen Sklavin oder Zofe in Anspruch genommen werden. Eine Zofe duldet gegen Bezahlung und nach Absprache dominantes Verhalten, verbale Demütigungen und dergleichen, eine Sklavin auch Fesselungen und schmerzhafte Praktiken wie Spanking, Nadelung und teilweise weniger verbreitete Praktiken wie Spiele mit Kot und Urin sowie Analverkehr oder Anilingus. Beide dulden teilweise auch den Geschlechtsverkehr.
Im nichtkommerziellen BDSM-Bereich ist der Begriff Domina unüblich. Eine Frau mit dominanten Neigungen wird als FemDom, umgangssprachlich häufig auch als Domse bezeichnet.
Szene, Subkultur und Öffentlichkeit
[modifier | modifier le code]thumb|250px|Demonstration einer teilweisen Hängebondage. Es existiert eine BDSM-Szene, in der sich gleichgesinnte Menschen über BDSM-relevante Themen und Probleme austauschen können. Diese Szene hat den Charakter einer Subkultur, weil BDSM von der Öffentlichkeit und den Medien noch immer meist als „bizarr“, „pervers“ oder „krank“ betrachtet wird. Da sie Unverständnis und Ausgrenzung fürchten, verbergen viele Menschen ihre Neigung vor der Gesellschaft.
Diese Szene zeigt sich vor allem im Internet, in Szenemedien wie Zeitschriften und auf Veranstaltungen wie SM-Partys, Stammtischen und Erotikmessen. Mit der jährlich in Berlin stattfindenden Folsom-Europe-Parade gibt es in Deutschland eine aus der Leder-Subkultur hervorgegangene Veranstaltung, die BDSM im Rahmen öffentlicher Straßenveranstaltungen thematisiert.
Wie in den meisten Subkulturen existiert ein spezifisches Vokabular, das sich oft erst mit einigen Erläuterungen erschließt. Grundsätzlich nennt man BDSM-praktizierende Menschen „BDSMler“, „SMler“ oder „Sadomasochisten“. Neben der Unterscheidung zwischen Tops und Bottoms werden nur innerhalb bestimmter Vorstellungen aus dem Bereich Domination and Submission auch die Bezeichnung Sklave oder Sklavin gebraucht. Ebenfalls vorwiegend im Bereich Domination and Submission werden analog zu den diesen Begriffen die Begriffe Dom (bzw. FemDom) und Sub verwendet. Die meisten anderen verwendeten Bezeichnungen beziehen sich zumeist auf bestimmte Gegenstände (z.B. Flogger, Andreaskreuz oder Sling) oder Praktiken (z.B. Wachsspiel, Atemkontrolle oder Bondage) und sind häufig englischsprachig.
Zur Unterscheidung von dominanten und devoten Personen werden vor allem im Internet die Namen (Pseudonyme, Nicknames) häufig in großen (für dominant) und kleinen (für submissiv) Anfangsbuchstaben geschrieben. Dadurch wird symbolisch der dominante Part hervorgehoben und der submissive, devote unter den dominanten gestellt.
Symbole
[modifier | modifier le code][[Bild:Ring_der_o.jpg|thumb|180px|Ring der O als Fingerring.]] BDSM- und Fetisch-Motive haben sich im Alltagsleben der westlichen Gesellschaften durch so unterschiedliche Faktoren wie avantgardistische Mode, Rap, Hip-Hop, Heavy Metal, Science-Fiction-Fernsehserien und Spielfilme immer weiter ausgebreitet und werden von vielen Menschen bereits nicht mehr bewusst mit ihren BDSM-Wurzeln in Verbindung gebracht. Die Verwendung von Intimpiercings ist mittlerweile, nachdem sie noch in den 1980er Jahren überwiegend auf die Punk- und BDSM-Szene beschränkt war, ebenfalls nicht mehr rein szenentypisch, sondern in weiten Bevölkerungskreisen verbreitet.
Die Leather-Pride-Flagge ist ein Symbol, das neben der Lederbewegung auch immer häufiger für die BDSM-Szene – neben dem Ring der O – steht. Das im angelsächsischen Raum verbreitete Triskelion ist in den deutschsprachigen Ländern hingegen eher selten anzutreffen, hat aber auch gerade auf Grund dieser geringeren Verbreitung eine höhere Signalwirkung als der beispielsweise auch in der Gothic-Szene und als Modeschmuck verbreitete Ring der O.
Vorurteile
[modifier | modifier le code]thumb|180px|Brustwarzenpiercing. Intimpiercings sind mittlerweile nicht mehr nur im BDSM-Bereich verbreitet. Es existieren zahlreiche Vorurteile, Klischees und Stereotypen bezüglich des BDSM in der Öffentlichkeit.
Keine Seltenheit sind Missverständnisse, die daraus resultieren, dass „Vanillas“ nicht wie BDSMler zwischen dem wirklichen Leben und dem Praktizieren von BDSM unterscheiden. So gehen manche davon aus, dass Submissive im BDSM auch im sonstigen Leben gerne Schmerz und Erniedrigung erfahren würden, und dass Dominante im Alltagsleben auch wie im BDSM dominant seien. Umgekehrt behauptet ein anderer Mythos, Submissive und Dominante würden im BDSM genau das Gegenteil ihres echten Lebens praktizieren – so seien die Kunden von Dominas meist erfolgreiche Geschäftsmänner. Beide Positionen sind jedoch einseitig. Zwischen der Stellung im Alltag und im BDSM-Spiel kann, muss aber kein Zusammenhang bestehen. [[Bild:CSD 2006 Cologne BDSM 07.jpg|thumb|180px|Vorführung eines männlichen Subs in Zentai, Harnisch und Ketten auf dem CSD, Köln 2006.]] Aus der BDSM-Praxis kennen viele Personen vor allem das Erkaufen sadomasochistischer Dienstleistungen von Dominas durch männliche Kunden, hieraus entspringen ebenfalls viele Klischees. Ein weiteres verbreitetes Klischee geht davon aus, dass innerhalb des BDSM Frauen grundsätzlich den Mann dominieren, was jedoch nicht zwingend der Fall ist; ebenso wird BDSM häufig auf körperlichen Schmerz meist grober Natur reduziert, ohne den vielen unterschiedlichen Spielweisen gerecht zu werden, die auf anderen Effekten beruhen. Neben dem Klischee der peitscheschwingenden Domina stellt der in Leder gekleidete Sadomasochist ein ebenfalls weitverbreitetes Rollenklischee dar.
Während es immer wieder zu Überschneidungen mit unterschiedlichsten Formen des Fetischismus kommen kann, besteht entgegen landläufiger Meinung kein zwangsläufiger Zusammenhang zwischen BDSM und Fetischen wie zum Beispiel Latex, Lack und Leder. Das häufige Vorkommen derartiger Kleidungsstücke lässt sich teilweise mit der Funktion als quasi-formalisierter Dresscode erklären. Die relative Offenheit gegenüber alternativen sexuellen Lebensstilen führt dazu, dass Fetischismus im Umfeld von BDSM häufig wesentlich offener ausgelebt wird als in anderen gesellschaftlichen Zusammenhängen.
Ein weiteres weitverbreitetes Vorurteil ergibt sich daraus, dass man im BDSM nur die Ausübung körperlicher und geistiger Gewalt sieht, während eine tiefe emotionale Verbundenheit zwischen den beteiligten Partnern für viele Außenstehende angesichts oberflächlich als bloße Gewalt erscheinender Handlungen zunächst nicht vorstellbar erscheint.
Da der Begriff BDSM mehrere, in ihren möglichen Ausprägungen zum Teil sehr unterschiedliche Teilaspekte umfasst und diese bei Einzelnen in sehr verschiedenen Schwerpunkten vorkommen, ist das Spektrum der auftretenden Interessen und Persönlichkeiten sehr groß und ausgesprochen uneinheitlich. Aufgrund mangelnder Informationen in der Gesamtbevölkerung führt dies, zusammen mit weitverbreiteten Vorurteilen, immer wieder häufig dazu, dass Handlungen und Aussagen einzelner BDSM-Praktizierender zugleich allen anderen zugeschrieben werden.
Dass das Bekanntwerden eines privaten Engagements im diesem Bereich noch immer zu erheblichen beruflichen Problemen führen kann, zeigt exemplarisch der Fall des UN-Waffeninspekteurs Jack McGeorge aus dem Jahre 2003.
Coming-out
[modifier | modifier le code]Hauptartikel: Coming-out
thumb|180px|An einer Kette befestigtes Bondagearmband aus Leder und Stahl. Bei einigen Personen, die sich von durch den Begriff BDSM umschriebenen Situationen angezogen fühlen, kommt es im Laufe ihres Lebens zum so genannten Coming-out. Während sich Homosexuelle auch in der Öffentlichkeit zunehmend zu ihrer sexuellen Ausrichtung bekennen, halten sich Sadomasochisten noch immer vergleichsweise bedeckt. Obwohl je nach Erhebungsbasis etwa 5 bis 25 Prozent der US-amerikanischen Bevölkerung entsprechende Neigungen aufweisen[3] [4], sind abgesehen von einigen Künstlern so gut wie keine Prominenten als Sadomasochisten bekannt. Ein entsprechendes Bekanntwerden der eigenen Neigungen kann für Sadomasochisten noch immer verheerende berufliche und gesellschaftliche Auswirkungen haben (Persona non grata). Die Ursache hierzu sehen einige Autoren in einer Mischung aus mangelnder Aufklärung der Öffentlichkeit, reißerischer Berichterstattung in den Medien und der massiven Kritik seitens einiger Feministinnen, deren Aufrufe zu Gesetzesverschärfungen Anhänger von BDSM beispielsweise in der Schweiz an den Rand der Legalität drängen. Innerhalb feministischer Kreise lässt sich die Auseinandersetzung zwischen sadophoben und solchen Feministinnen mit einer BDSM gegenüber neutralen bis positiven Grundhaltung bis in die 1970er Jahre zurückverfolgen (vgl. Samois). Auch Beispiele wie der Spanner Case in Großbritannien zeigen, dass eine Stigmatisierung der Betroffenen als Illegale möglich ist. Hier ist ein wichtiger Unterschied zu der nur ansatzweise vergleichbaren Situation Homosexueller zu sehen. Der im Einzelfall entstehende Leidensdruck wird in der Regel öffentlich weder thematisiert noch zur Kenntnis genommen, führt jedoch oft zu einer schwierigen psychologischen Situation, in der die Betroffenen einem hohen emotionalen Stress ausgesetzt sind.[5]
Die erste Phase des „Sich-bewusst-Werdens“ oder das „Sich-Selbst-Eingestehens“ stellt die Erkenntnis oder aber auch die Entscheidung dar, dass man für BDSM-Szenarien offen ist, bzw. entsprechende Bedürfnisse klar für sich selbst einordnen kann. Sie wird auch als inneres Coming-out bezeichnet. Bei zwei durchgeführten Befragungen kommen die Autoren unabhängig voneinander zu dem Ergebnis, dass sich 58 Prozent [6] bzw. 67% [7] der Gesamtstichprobe bis zum 19. Lebensjahr über ihrer sexuelle Veranlagung bewusst geworden waren. Andere Befragungen kommen zu ähnlichen Ergebnissen. thumb|180px|Paar auf dem CSD 2006 in Köln. Unabhängig vom Alter kann das Coming-out manchmal in eine Lebenskrise führen, die sich bis hin zu Selbsttötungsabsichten oder realisierter Selbsttötung steigern kann. Im Gegensatz zu den durch Homosexuelle in jahrzehntelanger Arbeit aufgebauten Netzwerken existiert ein rein sadomasochistisches Beratungsnetz in Deutschland erst[8] in Ansätzen. Hier spielt das Internet als erste Anlaufstelle eine wichtige Rolle zur Vernetzung der Beteiligten, wie auch die Situation in den USA zeigt. Die dortige Organisation Kink Aware Professionals (KAP) bietet hilfesuchenden BDSM-Anhängern die Möglichkeit, Kontakte zu Ärzten, Psychologen und Juristen zu finden, die mit den Besonderheiten der Thematik vertraut sind und dem Thema offen gegenüberstehen.
Auch in Deutschland finden sich mittlerweile erste entsprechende Vernetzungen, beispielsweise über die Initiative des BDSM Berlin e.V.. Auch die von SMart Rhein-Ruhr e.V. und maydaySM e.V. angebotenen BDSM-Notfalltelefone bietet Menschen, die im Zusammenhang mit BDSM in Not geraten sind, erste Hilfestellung und Beratung. Jugendlichen, die sich für die Thematik BDSM interessieren, steht in vielen deutschen Städten die auf Jugendarbeit spezialisierte Gruppe SMJG als Ansprechpartner zur Verfügung.
Nachdem sich in den USA und in Großbritannien mit der National Coalition for Sexual Freedom (NCSF) bzw. der Sexual Freedom Coalition (SFC) erste Interessenvertretungen gebildet haben, die es sich zur Aufgabe machen, proaktive Öffentlichkeitsarbeit zum Thema BDSM zu betreiben, zeichnet sich eine ähnliche Entwicklung auch im deutschsprachigen Raum ab. Hierbei treten nach außen hin häufig die größeren regionalen Vereine wie BDSM Berlin und SMart Rhein-Ruhr, aber auch die 2003 gegründete Bundesvereinigung Sadomasochismus e.V. mit der Entwicklung von Informationsmaterial und Pressearbeit in Erscheinung. Mit der seit 1996 betriebenen Website und Mailingliste Datenschlag entstand im Internet die weltweit größte Bibliographie sowie eine der ausführlichsten historischen Quellensammlungen zum Thema BDSM.
SM-Partys und -Clubs
[modifier | modifier le code]thumb|BDSM-Szene: Junge Frau am Andreaskreuz.
SM-Partys sind Veranstaltungen, auf denen sich BDSM-Anhänger und Interessierte treffen, um zu kommunizieren, Erfahrungen und Erlebnisse auszutauschen und zu „spielen“. Die Partys ähneln oft denen der Schwarzen Szene mit mehr oder minder striktem Dress-Code; in der Regel frivole Kleidung bzw. Teilbekleidung aus Lack (Vinyl, PVC), Leder, Latex, Lycra o.ä., die körperbetonend wirkt bzw. die sekundären Geschlechtsmerkmale besonders betont. Ziel solcher Dresscodes ist, eine erotisierende Stimmung zu erzeugen und Spanner fernzuhalten.
BDSM wird auf diesen Partys öffentlich, beispielsweise auf einer Bühne, oder mehr oder weniger privat in Separees ausgelebt. Geschlechtsverkehr steht hierbei nicht im Mittelpunkt der Aktivitäten. Ein Grund für die relativ große Verbreitung dieser Art von Veranstaltungen ist das Vorhandensein von „Spielgeräten“, für die es in den meisten Wohnungen keinen Platz gibt, wie beispielsweise Andreaskreuze, Strafböcke oder Käfige. Weiterhin besteht im Allgemeinen kein Problem durch Lärmbelästigung wie im privatem Rahmen. Solche Partys bieten sowohl Exhibitionisten als auch Voyeuren ein Forum, ihre Neigung ohne soziale Ablehnung auszuleben. BDSM-Partys gibt es mittlerweile in jeder größeren Stadt.
In einigen Städten existieren spezielle BDSM-Clubs mit einem Programm, in dem sich Partys mit themenfreien „Spielabenden“ abwechseln, analog zum Geschäftsbetrieb herkömmlicher Diskotheken. Die soziale Kontrolle auf diesen Partys bzw. in den Clubs ist jedoch in der Regel weitaus höher als in einer normalen Diskothek. Auf Konsensualität bei öffentlichen SM-Spielen wird strikt geachtet.
Neben kommerziellen Veranstaltungen gibt es auch privat organisierte bzw. nicht oder nur mäßig gewinnorientierte Partys, die von BDSM-Gruppen und Einzelpersonen organisiert werden. Minderjährige haben weder zu Partys noch in Clubs Zutritt.
Empirie und Psychologie
[modifier | modifier le code]Vorkommen
[modifier | modifier le code][[Bild:BDSM Company on Taiwan Pride 2005.jpg|thumb|300px|BDSM-Aktivisten auf der Taiwan Pride 2005, Taipeh]]BDSM wird von allen Schichten der Gesellschaft praktiziert und kommt sowohl bei heterosexuellen als auch bei homosexuellen Männern, Frauen [9] und Transgendern in unterschiedlichsten Ausprägungen und Intensitäten vor.[10] Diese reichen von „Fesselspielchen“ szenefremder Paare im heimischen Schlafzimmer, die sich selbst mit dem Begriff BDSM nicht bewusst in Verbindung bringen, bis hin zu öffentlich inszenierten „Klinikspielen“ und Vorführungen auf Partys und öffentlichen Großveranstaltungen, wie beispielsweise auf den international in mehreren Großstädten stattfindenden Folsom-Paraden.
Der Frauenanteil liegt merklich höher als bei den meisten anderen ehemals als Paraphilie eingeordneten Verhaltensweisen. Die Schätzungen über den Anteil sexueller Vorlieben aus dem Bereich BDSM in der Bevölkerung reichen von 5 bis 25 Prozent, je nach der Art der Fragestellung.
Eine 1997 veröffentlichte nicht-repräsentative Untersuchung auf Fragebogenbasis über die sexuellen Gewohnheiten US-amerikanischer Studierender kam bei einer Antwortquote von knapp 8,9 Prozent zu dem Ergebnis, dass 15 Prozent der bekennenden homosexuellen Studenten, 21 Prozent der bekennenden lesbischen und bekennenden bisexuellen Studentinnen, 11 Prozent der heterosexuellen Studenten und 9 Prozent der heterosexuellen Studentinnen BDSM-Phantasien angaben [4]. Praktische Erfahrungen mit BDSM gaben in allen Gruppen um die 6 Prozent der Befragten an. In der Gruppe der bekennenden bisexuellen und bekennenden lesbischen Frauen lag die Quote mit 21 Prozent erheblich höher. Unabhängig von ihrer sexuellen Orientierung waren unter den Befragten etwa 12 Prozent aller befragten Studenten, 16 Prozent der bekennenden bisexuellen und bekennenden lesbischen Studentinnen und 8 Prozent der heterosexuellen Studentinnen an Spanking interessiert. Erfahrung mit dieser sexuellen Praktik gaben 30 Prozent der heterosexuellen Männer, 33 Prozent der bekennenden bisexuellen und bekennenden lesbischen Frauen, sowie 24 Prozent der bekennenden schwulen und bekennenden bisexuellen Männer und der heterosexuellen Frauen an. [4] Auch wenn diese Studie mit einer Erhebungsbasis von 1.752 antwortenden von 20.000 befragten US-amerikanischen, zielgruppenspezifischen Teilnehmern keinen Anspruch auf Repräsentativität erheben kann, weisen auch andere Untersuchungen auf ähnliche Größenordnungen in verschiedenen befragten Gruppen hin. [11] [12] [13]
In einer 1999 veröffentlichten, repräsentativen Untersuchung des Instituts für rationale Psychologie gaben rund zwei Drittel der interviewten Frauen an ihrem Sexualpartner hin und wieder ausgeliefert zu sein wollen, 69 Prozent bejahten Phantasien, die sexuelle Unterwerfung zum Inhalt hatten, 42 Prozent gaben Interesse an expliziten BDSM-Praktiken an, 25 Prozent an Bondage.[14]
Durch eine gesteigerte Medienberichterstattung seit ungefähr Mitte der 1990er Jahre sind einige Elemente des BDSM popularisiert worden. So finden sich sowohl schwarze Lederbekleidung als auch sexuelle Spiele wie Fesseln und Dominanz-Rollenspiele zunehmend auch außerhalb von BDSM-Bezügen wieder. Laut einer Befragung von 317.000 Personen in 41 Ländern verwendeten rund 20 Prozent der weltweit Befragten bereits einmal Masken, Augenbinden oder andere Formen des Bondages, 5 Prozent bekannten sich ausdrücklich zu Sadomasochismus[15], im Jahr zuvor bekannten sich weltweit 19 Prozent der Befragten zu praktiziertem Spanking und 22 Prozent zum Gebrauch von Augenbinden und/oder Handschellen.[16] Einige BDSM-Accessoires wie den Ring der O kann man mittlerweile auch in den Schmuckkollektionen bekannter internationaler Designer wie Calvin Klein finden.
Psychologische Einordnung
[modifier | modifier le code]Früher wurden viele der innerhalb von BDSM gelebten Praktiken generell dem Sadismus oder dem Masochismus zugerechnet und im Sinne einer Triebstörung seitens der Psychiatrie als krankhaft eingeschätzt.
So gilt Sadomasochismus nach ICD-10 als „Störung der Sexualpräferenz“ (Schlüssel F65.5), die dort wie folgt beschrieben wird: Es werden sexuelle Aktivitäten mit Zufügung von Schmerzen, Erniedrigung oder Fesseln bevorzugt. Wenn die betroffene Person diese Art der Stimulation erleidet, handelt es sich um Masochismus; wenn sie sie jemand anderem zufügt, um Sadismus. Oft empfindet die betroffene Person sowohl bei masochistischen als auch sadistischen Aktivitäten sexuelle Erregung.[17]
Erst mit dem Erscheinen des DSM IV im Jahr 1994 wurden Diagnosekriterien veröffentlicht, nach denen BDSM eindeutig nicht mehr als Störung der Sexualpräferenz angesehen wird. Die Diagnose Sadismus oder Masochismus darf demnach hinsichtlich der sexuell motivierten Ausprägung dieser Störungen nur noch gestellt werden, wenn der Betroffene anders als durch die Ausübung sadistischer oder masochistischer Praktiken keine sexuelle Befriedigung erlangen kann, oder seine eigene sadistisch oder masochistisch geprägte Sexualpräferenz selbst ablehnt und sich in seinen Lebensumständen eingeschränkt fühlt oder anderweitig darunter leidet. Eine Überlagerung von sexuellen Präferenzstörungen und der Ausübung von BDSM-Praktiken kommt jedoch vor.
Neuere Untersuchungen zum Thema Verbreitung von BDSM-Phantasien und -Praktiken schwanken erheblich in der Bandbreite ihrer Ergebnisse. Zusammenfassend lässt sich jedoch feststellen, dass die überwiegende Mehrheit der Autoren davon ausgeht, dass zwischen 5 und 25 Prozent der Bevölkerung regelmäßig Sexualpraktiken ausübt, die mit der Lust an Schmerzen, bzw. mit Macht und Ohnmacht in Verbindung stehen. Der Bevölkerungsanteil mit entsprechenden Phantasien wird sogar regelmäßig höher beziffert.[18]
thumb|180px|Aufblasbare Knebel lassen sich individuell anpassen. Es existieren nur wenige Studien, die psychologische Aspekte des Themas BDSM unter Berücksichtung moderner wissenschaftlicher Standards betrachten. Eine zentrale Untersuchung zu dem Thema stammt von dem US-amerikanischen Sexualwissenschaftler Charles Moser und wurde 1988 im Journal of Social Work and Human Sexuality[5] veröffentlicht. Er kommt zu dem Schluss, dass es generell an Daten über die psychologischen Probleme von BDSM-Anhängern fehlt, sich aber dennoch einige grundsätzliche Tatsachen herauskristallisieren. Er betont, dass es keinerlei Anzeichen dafür gibt, dass BDSM-Anhänger gemeinsame Symptome oder irgendeine gemeinsame Psychopathologie haben und auch aus der klinischen Literatur kein konsistentes Bild von BDSM-Anhängern hervorgegangen ist. Moser weist darauf hin, dass nicht nachgewiesen werden kann, dass BDSM-Anhänger überhaupt irgendwelche besonderen psychiatrischen oder gar auf ihren Vorlieben beruhenden, spezifisch nur bei ihnen auftretende Probleme haben, die im direkten Zusammenhang mit ihrer Orientierung stehen.
Probleme treten teilweise in Bezug auf die Einordnung der eigenen Neigungen durch die Betroffenen auf. So ist die Frage nach der eigenen „Normalität“ gerade in der Phase des eigenen Coming-Out (siehe auch dort) häufig. Gerade in Beziehungen mit Vanillas kann das Entdecken entsprechender Neigungen nach Moser die Furcht vor einer Zerstörung der aktuellen Beziehung nach sich ziehen. Dies, zusammen mit der Furcht vor Diskriminierung im Alltag, führt bei einigen BDSM-Anhängern zu einem teilweise sehr belastenden Doppelleben. Zugleich kann das Verleugnen von BDSM-Neigungen jedoch auch zu Stress und Unzufriedenheit mit dem sogenannten „Vanilla“-Lebensstil führen und erweckt bei einigen Betroffenen die Befürchtung, keinen Partner zu finden. Hierzu stellt Moser fest, dass BDSM-Anhänger, die Probleme beklagen, BDSM-Partner zu finden, zumeist auch Probleme haben, Nicht-BDSM-Partner zu finden. Der Wunsch, die entsprechenden Neigungen abzulegen, ist ein weiterer möglicher Grund für psychologische Probleme der Betroffenen, da dies in der Regel nicht möglich ist. Der Wissenschaftler stellt in seiner Arbeit abschließend fest, dass BDSM-Anhänger nur selten Gewalttaten begehen. Aus seiner Sicht steht die eventuelle Beteiligung von BDSM-Anhängern an gewaltsamen Handlungen meist in keinem Zusammenhang mit der in ihrem Leben vorhandenen BDSM-Komponente.
Moser kommt in seiner Arbeit zusammenfassend zu dem Schluss, dass keinerlei wissenschaftliche Grundlage existiert, die es begründen könnte, Personen dieser Gruppe Arbeits- oder Sicherheitsbescheinigungen, Adoptionsmöglichkeiten, Sorgerechte oder andere gesellschaftlichliche Rechte oder Privilegien zu verwehren.
Geschichte
[modifier | modifier le code]Historische Wurzeln
[modifier | modifier le code]thumb|250px|Tomba della Fustigazione Schon seit dem 9. Jahrhundert v. Chr. wurde in Artemis Orthia, einer der bedeutendsten religiösen Stätten der antiken griechischen Stadt Sparta der Kult der Orhtia, eine präolympischen Religion praktiziert. Hierbei kam es zu regelmäßigen diamastigosis genannten rituellen Flagellationen.
Eines der ältesten grafischen Zeugnisse sadomasochistischer Praktiken stammt aus einem etruskischen Grab in Tarquinia. In der Tomba della Fustigazione (Grab der Züchtigung, Ende des 6. Jahrhunderts v. Chr.) sind zwei Männer dargestellt, wie sie eine Frau beim Liebesspiel mit einer Rute und mit der Hand schlagen. Ein anderes Zeugnis über Flagellation findet sich im 6. Buch der Satiren des antiken römischen Dichters Juvenal (1. bzw. 2. Jahrhundert n. Chr.), ein weiteres Zeugnis findet sich im Satyricon von Petronius, wo zur sexuellen Erregung eines Delinquenten gepeitscht wird.
Anekdotische Erzählungen über Menschen, die sich im Rahmen des Vorspiels oder als Ersatz für Sex freiwillig fesseln oder auspeitschen ließen, reichen bis ins 3. und 4. Jahrhundert zurück.
Bereits im Kamasutra werden vier Schlagarten beim Liebesspiel, die für Schläge zulässigen Trefferzonen des menschlichen Körpers und die Arten der lusterfüllten Schmerzenslaute des Bottoms dargestellt. Die Textsammlung weist ausdrücklich darauf hin, dass Schlagspiele genauso wie Kneifen und Beißen beim Geschlechtsverkehr nur in gegenseitiger Übereinstimmung stattfinden dürfen, da sie nicht von allen Frauen als lustvoll empfunden werden.thumb|180px|Kupferstich ca. 1780 Aus dieser Sicht dürfte das Kamasutra den ersten schriftlich überlieferten Text über SM-Praktiken und -Sicherheitsregeln darstellen. Weitere Texte mit sadomasochistischen Bezügen tauchten im Laufe der Jahrhunderte weltweit immer wieder auf.
Einige Autoren sehen das mittelalterliche Phänomen der höfischen Liebe in all seiner sklavischen Unterwerfung und Hingabe als weiteren, zumindest teilweisen Vorläufer von BDSM. Andere Quellen sehen BDSM als eine spezielle Art des Sexualverhaltens, welche ihren Ursprung am Anfang des 18. Jahrhunderts hat, als es in den westlichen Gesellschaften üblich wurde, Sexualverhalten medizinisch und juristisch zu kategorisieren (vgl. Begriffsgeschichte). Berichte über auf Flagellation spezialisierte Bordelle reichen sogar bis zum Jahr 1769 zurück, und in John Clelands Roman Fanny Hill aus dem Jahre 1749 werden ebenfalls Flagellationsszenen beschrieben.
Andere Quellen verwenden eine wesentlich weiter gehende Definition und schildern BDSM-ähnliches Verhalten in noch früheren Epochen und aus ganz anderen Kulturräumen, beispielsweise die mittelalterlichen Flagellanten oder die Gottesgerichte einiger amerikanischer Indianervölker.
Obwohl die Namen Marquis de Sade und Leopold von Sacher-Masoch eng mit den Begriffen Sadismus and Masochismus verbunden sind, ist es es doch gerade im Fall de Sades offensichtlich, dass sich dessen Biographie und Verhaltensweisen mit dem für das moderne Verständnis des heutigen BDSM ganz wesentlichen Begriff der Freiwilligkeit nicht in Übereinstimmung bringen lassen.
Die Wurzeln der modernen BDSM-Kultur liegen im Dunkeln. BDSM-Motive und Bilder haben während des gesamten 20. Jahrhunderts an den Rändern der westlichen Kultur existiert. Robert Bienvenu sieht die Wurzeln des modernen BDSM in drei wesentlichen Quellen, die er als „europäischen Fetisch“ (seit 1928), „amerikanischen Fetisch“ (seit 1934) und „schwule Lederbewegung“ (seit den 1950er Jahren) bezeichnet.[[Bild:Paddle.jpg|thumb|250px|Hölzerne Paddel werden häufig für Spanking eingesetzt.]] Eine andere Wurzel sind die in Bordellen ausgeübten Sexualpraktiken, die bis ins 19. Jahrhundert, wenn nicht noch früher zurückreichen. Während der 50er und 1960er Jahre des 20. Jahrhunderts produzierte Irving Klaw die ersten Reklamefilme und Fotografien mit BDSM-Motiven und veröffentlichte erstmals Comics der heute berühmten Bondage-Künstler John Willie und Eric Stanton. Sein Modell Bettie Page wurde zugleich eines der ersten erfolgreichen Modelle im Bereich Fetischfotografie und eines der berühmtesten Pinup-Girls des US-amerikanischen Mainstreams. Der von Willie inspirierte italienische Graphiker und Autor Guido Crepax prägte in der zweiten Hälfte des 20. Jahrhunderts entscheidend den Stil europäischer Erwachsenencomics. Die Künstler Helmut Newton und Robert Mapplethorpe sind die prominentesten Beispiele für die zunehmende Verwendung von BDSM-Motiven in der modernen Fotografie und die sich hieraus noch immer ergebende öffentliche Diskussion.
Lederbewegung
[modifier | modifier le code][[Bild:Flogging demo folsom 2004.jpg|thumb|Flogging-Vorführung auf der Folsom Street Fair 2004, San Francisco.]] Weite Teile des heutigen BDSM-Gedankenguts lassen sich auf die männliche homosexuelle Leder-Subkultur, die sich nach dem Zweiten Weltkrieg aus der US-amerikanischen Motorradfahrer-Subkultur entwickelte, zurückführen.[19]
In seinem 1972 veröffentlichten Buch Leatherman's Handbook fasste Larry Townsend diese Ideen zusammen, die man später als „Old Guard“-Lederbewegung bezeichnen sollte. Der in diesem Werk beschriebene Verhaltenskodex basierte auf strengen Formvorschriften und festgeschriebenen Rollen in Bezug auf das Verhalten der Beteiligten (beispielsweise kein Switchen) und hatte noch keinen echten Bezug zu Lesben und Heterosexuellen.
Erst der 1981 in den USA von der lesbisch-feministischen BDSM-Organisation Samois veröffentlichte Titel Coming to Power führte schließlich auch in der lesbischen Gemeinschaft zu einer höheren Akzeptanz und zu mehr Verständnis des Themas BDSM. In Deutschland vertraten die entsprechenden Vertreterinnen auch innerhalb der Frauenbewegung die Auffassung, dass BDSM und Feminismus miteinander vereinbar sind. Sie gerieten hierbei mit dem fundamentalistischeren Teil der Bewegung um Alice Schwarzer in Konflikt, der in BDSM die Grundlage von Frauenhass und Gewaltpornographie sieht.
Die Lederbewegung wird heute meistens eher als Teilmenge der BDSM-Kultur betrachtet, anstatt als eine aus der Schwulenkultur stammende Entwicklung, obwohl in der Vergangenheit ein großer Teil der organisierten BDSM-Subkultur tatsächlich homosexuell war. Die sogenannte New-Guard-Lederbewegung entstand in den 1990er Jahren als Reaktion auf die der Old Guard-Lederbewegung zugrunde liegenden Beschränkungen. Diese neue Ausrichtung begrüßte das Switchen und begann einerseits, geistige Aspekte in ihr Spiel zu integrieren und andererseits zunehmend die strikte Rollenauffassung und Ablehnung von Heterosexuellen und Frauen durch die alte Bewegung aufzugeben.
Internet
[modifier | modifier le code][[Bild:Leather, Latex, and BDSM pride.svg|thumb|250px|Die Leather-Pride-Flagge, ein Symbol für die BDSM- und homosexuelle Leder-Subkultur.]] In der Mitte der 1990er Jahre bot erstmals das Internet die Gelegenheit, rund um die Welt, aber gerade auch in den jeweiligen lokalen Regionen andere Menschen mit speziellen sexuellen Vorlieben zu finden und sich anonym mit ihnen auszutauschen. Dies führte geradezu zu einer Explosion in der Verbreitung von Informationen und dem Interesse am Thema BDSM. In dieser frühen Phase spielte insbesondere die Usenet-Gruppe alt.sex.bondage eine Pionierrolle. Neben herkömmlichen Sexshops begannen in der Folgezeit immer mehr Anbieter in Online-Sexshops auch BDSM-Spielzeug in ihr Sortiment aufzunehmen oder sich gleich ausschließlich auf die sich immer klarer abzeichnende „neue“ Zielgruppe zu spezialisieren.
Das ehemalige Nischensegment entwickelte sich so zu einem festen Bestandteil des Geschäfts mit Erotikzubehör. Heute führen praktisch alle wichtigen deutschen Anbieter von Sexspielzeug Artikel, die ursprünglich überwiegend in der BDSM-Subkultur Verwendung fanden. Gepolsterte Handschellen, Latex-, Lack- und Lederbekleidung sowie exotischere Gegenstände wie beispielsweise Streichel-Peitschen und Reizstromgeräte zur erotischen Elektrostimulation finden sich in Angebotskatalogen, die sich an eine klassische Vanilla-Zielgruppe wenden und zeigen so, dass sich einige Grenzen zunehmend verschieben.
Seit einigen Jahren hat sich das Internet zum zentralen Instrument der Vernetzung Interessierter entwickelt. Neben unzähligen privaten und kommerziellen Webangeboten finden sich zunehmend auch Angebote von zahlreichen Vereinen und Selbsthilfegruppen. Diese bieten neben umfangreichen Hintergrundinformationen auch Hilfe bei unfreiwilligem Outing und Gesundheitsfragen, sowie Kontaktlisten zu mit dem Thema vertrauten Psychologen, Medizinern und Rechtsanwälten.
Begriffsgeschichte
[modifier | modifier le code]thumb|180px|Portrait des Marquis de Sade von Charles-Amédée-Philippe van Loo (1761).Die Entwicklung des Begriffs BDSM ist vielschichtig. Ursprünglich waren Sadismus und Masochismus reine Fachausdrücke für psychologische Erscheinungen, die als psychische Erkrankung eingestuft wurden. Die Begriffe leiten sich von den Autoren Marquis de Sade und Leopold von Sacher-Masoch ab.
1843 veröffentlichte der ungarische Arzt Heinrich Kaan unter der Bezeichnung Psychopathia sexualis eine Schrift, in der er die Sündenvorstellungen des Christentums in medizinische Diagnosen umwandelt. Die ursprünglich theologischen Begriffe „Perversion“, „Aberration“ und „Deviation“ wurden so erstmals Teil der Wissenschaftssprache. Der deutsche Psychiater Richard von Krafft-Ebing führte in seiner Schrift Neue Forschungen auf dem Gebiet der Psychopathia sexualis 1890 die Begriffe „Sadismus“ und „Masochismus“ erstmals in die Medizin ein.[20] Nachdem Sigmund Freud 1905 in seinen Drei Abhandlungen zur Sexualtheorie Sadismus und Masochismus als aus einer fehlerhaften Entwicklung der kindlichen Psyche entstehende Krankheiten dargestellt hatte und so die weitere Beurteilung des Themas auf Jahrzehnte hinaus grundlegend beeinflusste, prägte schließlich 1913 der Wiener Psychoanalytiker Isidor Isaak Sadger in seinem Artikel Über den sado-masochistischen Komplex erstmals den zusammengesetzten Begriff „Sado-Masochismus“.[21]
Einige BDSM-Anhänger wandten sich in der Vergangenheit wiederholt gegen eben diese ursprünglich von singulären historischen Figuren abgeleiteten Begrifflichkeiten, die zugleich einen pathologischen Bezug beinhalteten. Sie argumentierten, dass es sinnlos sei, ein so komplexes Phänomen wie BDSM auf zwei einzelne Menschen zurückzuführen, genauso gut könne man statt von Homosexualität von „Leonardismus“ sprechen.
Die BDSM-Szene versuchte sich mit dem Ausdruck „B&D“ für Bondage und Discipline von dem pejorativ konnotierten Begriff „S&M“ abzugrenzen. Die Abkürzung BDSM wurde wahrscheinlich in den frühen 1990er Jahren in der Subkultur um die Newsgroup news:alt.sex.bondage geprägt. Sie ist dort im Juli 1991 zum ersten Mal nachweisbar. Später wurde auch der Bereich Domination and Submission in den Bedeutungsumfang von BDSM integriert, wodurch das heute gebräuchliche mehrschichtige Akronym entstand.
Rechtlicher Status
[modifier | modifier le code][[Bild:BDSM triskelion.svg|thumb|180px|Das BDSM-Triskelion ist ein weiteres Symbol des BDSM.]]
Es hängt sehr von der Rechtslage einzelner Staaten ab, ob Praktiken aus dem BDSM keine rechtliche Relevanz haben oder eine Straftat darstellen können. Eine eventuelle Strafbarkeit einvernehmlich ausgeführter BDSM-Praktiken resultiert zumeist daraus, dass Praktiken wie Schlagen, Fesseln u. Ä. normalerweise die Persönlichkeitsrechte verletzen, weswegen sie grundsätzlich immer bestraft werden.
In Deutschland, den Niederlanden, in Japan und in den skandinavischen Ländern stellen diese Praktiken grundsätzlich keine Straftat dar. In Österreich gibt es keine gefestigte Rechtslage, während in der Schweiz BDSM-Praktiken teilweise strafbar sein können. Spektakuläre Fälle wie der amerikanische Skandal um People v. Jovanovic und der britische Spanner Case zeigen, in welche schwierigen Grenzbereiche das Thema Beteiligte und Behörden führen kann.
Deutschland
[modifier | modifier le code]Mit gegenseitigem Einverständnis sind partnerschaftlich ausgeübte Praktiken aus dem Bereich BDSM in Deutschland im Regelfall nicht strafbar.
Im Rahmen von Handlungen aus dem Bereich BDSM können folgende Straftatbestände relevant werden:
- Sexuelle Nötigung (Modèle:Zitat de § StGB)
- Sexueller Missbrauch widerstandsunfähiger Personen (Modèle:Zitat de § StGB)
- Beleidigung und Tätliche Beleidigung (Modèle:Zitat de § StGB)
- Körperverletzung (Modèle:Zitat de § StGB)
- Gefährliche Körperverletzung (Modèle:Zitat de § StGB)
- Freiheitsberaubung (Modèle:Zitat de § StGB)
- Nötigung (Modèle:Zitat de § StGB)
Für die Verwirklichung des Tatbestands der Nötigung muss die Anwendung von Gewalt oder die Drohung mit einem „empfindlichen Übel“ gegeben sein, im Falle der Sexuellen Nötigung die Drohung mit einer Gefährdung für Leib und Leben. Sofern die Fortdauer der Handlung durch den Gebrauch eines Safewords unverzüglich beendet werden kann, sind beide Tatbestände nicht zu verwirklichen.
Ähnliches gilt für den Tatbestand des Sexuellen Missbrauchs widerstandsunfähiger Personen. Danach ist zu bestrafen, wer unter Ausnutzung der Widerstandsunfähigkeit sexuelle Handlungen an einem anderen vornimmt. Solange der nötige Widerstand, die Fortdauer der Handlung zu unterbrechen, durch den Gebrauch des Safewords aufgebracht werden kann, ist der Tatbestand nicht zu verwirklichen, da eine echte Widerstandslosigkeit nicht besteht.
Eine Beleidigung kann gemäß Modèle:Zitat de § StGB nur auf Antrag des Beleidigten verfolgt werden.
Eine Freiheitsberaubung ist verwirklicht, wenn das Opfer gemäß objektiver Betrachtung in der Freiheit der Wahl seines Aufenthaltsortes eingeschränkt wird.
Nach Modèle:Zitat de § StGB handelt derjenige, der eine Körperverletzung mit Einwilligung der verletzten Person vornimmt, nur dann rechtswidrig, wenn die Tat trotz der Einwilligung gegen die guten Sitten verstößt. Am 26. Mai 2004 hat der 2. Strafsenat des Bundesgerichtshofes entschieden, dass sadomasochistisch motivierte Körperverletzungen nicht an sich sittenwidrig sind und damit § 228 StGB gilt[22]. Allerdings ist das Urteil über die Sittenwidrigkeit im Einzelfall abhängig vom Grad der Rechtsgutverletzung, mit anderen Worten von den drohenden gesundheitlichen Folgen der Körperverletzung. Die Grenze zur Sittenwidrigkeit ist laut BGH auf jeden Fall überschritten, wenn „bei vorausschauender objektiver Betrachtung aller maßgeblichen Umstände der Einwilligende durch die Körperverletzungshandlung in konkrete Todesgefahr gebracht wird.“ In dem Grundsatzurteil hob der BGH ein Urteil des Landgerichts Kassel auf, in dem ein Mann, der seine Partnerin auf deren Wunsch gewürgt und dabei unwillentlich erwürgt hatte, wegen fahrlässiger Tötung zu einer Bewährungsstrafe verurteilt worden war. Eine Verurteilung wegen Körperverletzung mit Todesfolge hatte das Landgericht abgelehnt, da die Tat seiner Auffassung nach mit Einwilligung des Opfers geschehen sei.
Nachdem in der Vergangenheit sadomasochistische Praktiken in Sorgerechtsprozessen wiederholt als Druckmittel gegen ehemalige Partner eingesetzt worden waren, stellte das Oberlandesgericht Hamm im Februar 2006 fest, dass die sexuelle Neigung zum Sado-Masochismus der Erziehungsfähigkeit eines Elternteils nicht entgegensteht.[23]
Österreich
[modifier | modifier le code][[Bild:Rattan_cane.jpg|thumb|70px|Rohrstock aus Rattan. Verbreitetes Züchtigungs-
mittel beim BDSM.]]
Nach § 90 StGB ist eine Körperverletzung (§§ 83, 84 StGB) oder eine Gefährdung der körperlichen Sicherheit (§ 89 StGB) nicht strafbar, wenn das „Opfer“ einwilligt und die Verletzung oder Gefährdung nicht gegen die guten Sitten verstößt. Nach ständiger Rechtsprechung des Obersten Gerichtshofes ist eine Körperverletzung nur dann sittenwidrig und somit strafbar, wenn sie eine schwere Verletzung (das ist eine Gesundheitsschädigung oder eine Berufsunfähigkeit, die länger als 24 Tage dauert) oder den Tod des „Opfers“ zur Folge hat. Eine leichte Verletzung ist bei Einwilligung des „Opfers“ grundsätzlich erlaubt. Bei der Gefährdung der körperlichen Sicherheit kommt es darauf an, wie wahrscheinlich es ist, dass eine Verletzung auch tatsächlich eintritt. Ist die schwere Verletzung oder gar der Tod wahrscheinlich, so ist die Gefährdung jedenfalls strafbar.
Zum konkreten Fall der Körperverletzung durch Handlungen im BDSM-Bereich gibt es allerdings keine gefestigte Rechtsprechung. Es kann durchaus sein, dass der Oberste Gerichtshof im BDSM-Bereich auch leichte Körperverletzung als sittenwidrig und somit als strafbar ansieht. Ob eine Handlung gegen die guten Sitten verstößt, hängt in Österreich nämlich davon ab, ob einem vorbildlichen Menschen die Sorge um die Gesundheit des „Opfers“ wichtiger wäre als die Rücksicht auf dessen Wünsche. Es besteht also keine Rechtssicherheit.
Schweiz
[modifier | modifier le code]Die sexuelle Mündigkeit beginnt in der Schweiz mit 16 Jahren, was auch für BDSM-Spiele gilt. Selbst Kinder (d. h. unter 16-jährige) machen sich nicht strafbar, sofern der Altersunterschied zwischen den Beteiligten unter drei Jahren liegt. Gewisse Praktiken erfordern jedoch die Einwilligung zur leichten Körperverletzung und sind deshalb erst ab 18 Jahren erlaubt. Seit der Verschärfung des Schweizerischen Strafgesetzbuches Art. 135 und 197 am 1. April 2002 ist in der Schweiz der Besitz von „Gegenständen oder Vorführungen [...], die sexuelle Handlungen mit Gewalttätigkeiten zum Inhalt haben“, strafbar. Dieses Gesetz kommt einer pauschalen Kriminalisierung von Sadomasochisten nahe, da bei so gut wie jedem Sadomasochisten Medien zu finden sind, die diesen Kriterien entsprechen. Kritiker bemängeln weiterhin, dass Sadomasochisten nach dem Wortlaut des Gesetzes in die Nähe von Pädophilen und Päderasten gestellt werden.
Großbritannien
[modifier | modifier le code]Das britische Strafrecht kennt keine Einwilligung in Körperverletzung, entsprechende Handlungen sind auch einvernehmlich unter Erwachsenen illegal, diese Rechtslage wird auch durchgesetzt. Dies führt zu der etwas skurrilen Situation, dass Großbritannien und insbesondere London als Weltzentrum der eng verwandten Fetischismus-Szene gelten, es aber für die BDSM-Szene fast ausschließlich private und keine mit der deutschen Spielparty-Szene vergleichbaren Veranstaltungen gibt. Dieser Umstand wird z. B. in dem Film Preaching to the Perverted komödiantisch gelungen aufs Korn genommen. Aufmerksamkeit erreichten vor allem mehrere Gerichtsverfahren, die unter der Bezeichnung Spanner Case zusammengefasst werden und als Vorlage für diesen Film gelten. Im Verlauf dieser Verfahren wurde eine Anzahl homosexueller BDSMler wegen der Ausübung einvernehmlicher sadomasochistischer Praktiken in Großbritannien verurteilt. Am 19. Februar 1997 urteilte der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte bezüglich dieser Verfahren, dass jeder Staat eigene Gesetze gegen Körperverletzung erlassen darf, unabhängig davon, ob die Körperverletzung einvernehmlich ist oder nicht.
BDSM in Kultur und Medien
[modifier | modifier le code]Presse und TV
[modifier | modifier le code]thumb|250px| Teilnehmer des CSD 2006 in Köln. In der deutschen Presse überwiegt eine einseitige Berichterstattung über BDSM bzw. über Personen und Ereignisse aus diesem Bereich. Die Redaktionen benutzen vor allem immer wieder das Schlagwort Sado-Maso – häufig auf der Titelseite auch großer Publikationen. Während sich ein gesellschaftlicher Konsens herausgebildet hat, das Thema Homosexualität in den Medien behutsamer und ausgewogener zu behandeln, dienen Begriffe aus dem BDSM-Bereich regelmäßig dazu, Vorurteile und diffuse Ängste in weiten Bevölkerungskreisen zu schüren. Die Darstellung ist oft einseitig und undifferenziert und konzentriert sich mehr auf die extremen (Lustmord) und die glamourösen Aspekte (SM-Partys), statt tatsächlich über das Thema zu informieren. Insbesondere die äußerst geringen Kenntnisse über das Konzept des Safe, Sane, Consensual bieten einigen Redakteuren einen weiten Spielraum, der es erlaubt, das Thema fast beliebig zu instrumentalisieren.
In den vergangenen Jahren gab es für dieses Vorgehen mehrere prägnante Beispiele:[[Bild:Folsom 2004 Janus Booth.jpg|thumb|250px| Spanking-Vorführung auf der Folsom Street Fair 2004 in San Francisco.]]
- Einige Medien wie die Berliner Zeitung berichteten polemisch über den Regierenden Bürgermeister und bekennenden Homosexuellen Klaus Wowereit unter der Überschrift „Wowereit und das Sado-Maso-Fest“, nachdem dieser ein Grußwort zur Folsom-Europe-Parade verfasst hatte. Die Redaktionen sprachen beispielsweise von einer „echt harten Nummer“, nachdem die lokale CDU das Grußwort Wowereits als „mit der Würde des hohen Amtes nicht vereinbar“ bezeichnet hatte und Flugblätter aufgetaucht waren, in denen behauptet wurde, Wowereit „verharmlose rassistische Vergewaltigungspornographie als Lebensfreude pur“. Im Jahr 2006 unterstützte der zu diesem Zeitpunkt um eine Wiederwahl kandidierende Wowereit die Veranstaltung erneut mit einem Grußwort. Sein konservativer Gegenkandidat Friedbert Pflüger erklärte hingegen, von ihm würde das Festival kein Grußwort bekommen, man müsse schon genau darüber nachdenken, welche Veranstaltung man mit einem Grußwort auszeichne.
- Die Münchner Abendzeitung titelte im Oktober 2005 „Aufstand gegen Sado-Maso-Party“ und berichtete im Innenteil unter der Schlagzeile „Sado-Maso-Party erregt Allgäuer“ über die Anmietung eines Schlosses durch einen Veranstalter von SM-Partys. Zitate wie „Es war ein gigantischer Sündenpfuhl mit 150 Leuten“ trugen dazu bei, Vorurteile zu schüren, während lokale Zeitungen berichteten, nach außen hin sei es bei der Veranstaltung so gesittet wie bei einer Familienfeier zugegangen. Bereits im Jahr zuvor hatte ein RTL-Kamerateam ohne Drehgenehmigung und mit versteckter Kamera Aufnahmen auf der gleichen Veranstaltung gemacht. Der Sender verglich damals die Party auf seiner Webseite mit dem Film Eyes Wide Shut.
- Im Fall des als Kannibale von Rotenburg bekanntgewordenen Armin Meiwes kam es in vielen Boulevardblättern und Fernsehsendungen wochenlang immer wieder zu Hinweisen auf die angeblichen Sado-Maso-Spiele des Täters mit seinem Opfer.
- Die Schlagzeile „Michael Jacksons Anwalt als SMler enttarnt“ stellte indirekt eine weitere, wenn auch falsche, so doch sehr publikumswirksame Assoziation zwischen BDSM und Pädophilie her.
- Nach dem Bekanntwerden des ehrenamtlichen BDSM-Engagements des UN-Waffeninspekteurs Jack McGeorge verglichen einige Kommentatoren BDSM wiederholt mit den Foltertechniken des Regimes Saddam Husseins, andere die heutige Diskriminierung von BDSM-Anhängern mit der Situation von Homosexuellen in der Vergangenheit.
- Die von der Feministin Alice Schwarzer herausgegebene Zeitschrift EMMA setzte ihre PorNO-Kampagne gegen Frauenhass und Gewaltpornographie fort. In ihr vertritt Schwarzer unter anderem die Auffassung, dass sado-masochistische Praktiken generell mit verurteilenswerter Gewalt gegenüber Frauen gleichzusetzen sind. Der Fotograf Helmut Newton wurde in der Publikation erneut der „Pornografisierung der Modefotografie“ und „seiner darin ungehemmt ausgelebten sado-masochistischen Obsessionen“ beschuldigt.[24]
Ganz allgemein finden sich nur wenige Journalisten, die über das Thema BDSM vorurteilslos und ausgewogen berichten und so zu einer Aufklärung in der deutschen Öffentlichkeit beitragen.
Nachdem im Rahmen des Spanner Case deutlich wurde, dass BDSM-relevante Nachrichteninhalte in den Mainstreammedien teilweise vollkommen unberücksichtigt bleiben, wurde unter dem Namen „Schlagworte“ im Frühjahr 1997 eine geschlossene, nicht-moderierte Mailingliste gegründet, um aktuelle Ereignisse zeitnah zu publizieren. Ziel ist es, eine Multiplikatorwirkung vergleichbar mit einem Schneeballsystem zu erzielen.
Belletristik
[modifier | modifier le code]thumb|180px|Leopold Ritter von Sacher-Masoch. Hauptartikel: Sadomasochistische Literatur
In der Literatur ist vor allem Sadomasochismus ein Dauerbrenner und hat einige Klassiker hervor gebracht, z. B. Die Geschichte der O von Anne Declos (unter dem Pseudonym Pauline Réage), Justine von Marquis de Sade, Venus im Pelz von Leopold von Sacher-Masoch oder die Kultcomics von Eric Stanton. Als literarisches Kuriosum zu erwähnen ist Marthas Brief an Leopold Bloom in Ulysses von James Joyce. Der 1978 erschienene Roman 9 1/2 Wochen. Erinnerungen an eine Liebesaffäre von Elizabeth McNeill bildete die inhaltliche Grundlage für die sehr erfolgreiche Hollywoodverfilmung 9 1/2 Wochen. Eine moderne deutschsprachige sadomasochistische Autobiografie ist Dezemberkind von Leander Sukov aus dem Jahr 2005.
Zusammen mit der von der bekannten US-amerikanischen Autorin Anne Rice unter dem Pseudonym A. N. Roquelaure veröffentlichten drei Bände umfassenden Dornröschen-Trilogie (The Claiming of Sleeping Beauty, 1983), Beauty's Punishment (1984) und Beauty's Release (1985) zeigt sich hier, dass das Thema BDSM mittlerweile in lange nicht vorstellbarer Offenheit in der internationalen Literatur angekommen ist.
Eine ab Juli 2006 unter der Bezeichnung Bild-Erotik-Bibliothek veröffentlichte Literaturreihe der BILD und der Verlagsgruppe Random House ist der deutlichste Anhaltspunkt für das auch kommerzielle Potenzial der Thematik. Von neun Bänden der Reihe haben drei Titel den eindeutigen Schwerpunkt Sadomasochismus bzw. BDSM. Neben dem ebenfalls von Anne Rice unter dem Pseudonym Anne Rampling veröffentlichten Starttitel Verbotenes Verlangen (Exit to Eden) erscheinen in der Reihe der sadomasochistische Klassiker Geschichte der O. und der drastische Roman Brennende Fesseln (Topping from Below) von Laura Reese.
Obwohl den Klassikern der SM-Literatur de Sade und Sacher-Masoch ein Hang zu der Sexualität, die sie beschrieben haben, nicht abgesprochen werden kann, so ist doch zwischen den realen sexuellen Handlungen und den in Literatur umgesetzten Phantasievorstellungen zu unterscheiden. Es wäre eine unsinnige Forderung an die Authentizität von Literatur, dass der Autor praktizieren müsse, was er beschreibt. Tagebuchaufzeichnungen, Interviews und Erlebnisberichte bleiben Fiktion des Gelebten. So haben die sadomasochistischen Rituale als theatralische Inszenierungen zwar Fetischcharakter, nicht jedoch ist der Fetisch die Literatur. SM-Literatur beinhaltet auch keine besondere Philosophie oder Moral, sondern stellt wie jede andere Literaturgattung dem jeweiligen Zeitgeist ihrer Epoche dar. Mag sie in der Vergangenheit auch größerer Verfolgung ausgesetzt gewesen sein und mag sie deshalb besondere Strategien gegen Zensurmaßnahmen entwickelt haben – spätestens in der Gegenwart setzt sich, trotz weiter vorherrschender Behinderungen, zumindest bei den Autoren die Einsicht durch, dass SM-Literatur keiner besonderen Rechtfertigung mehr bedarf.
Sachbücher
[modifier | modifier le code][[Bild:Chastity belt.jpg|thumb|Moderne Keuschheitsgürtel finden im Bereich BDSM z.B. bei Rollenspielen Verwendung.]]
Hauptartikel: Sadomasochistische Literatur
Im November 1981 veröffentlichte die US-amerikanische feministische Lesben-Gruppe Samois unter dem Titel Coming to Power: Writing and graphics on Lesbian S/M ein Buch, in dem sich Kurzgeschichten mit konkreten Hinweisen und Handlungsanleitungen abwechselten; es gilt als weltweit erstes BDSM-Handbuch. Sein Konzept wurde weltweit von vielen späteren Publikationen übernommen. Seit spätestens Ende der neunziger Jahre gibt es auch in Deutschland entsprechende Literatur, die sich sowohl an hetero- als auch an homosexuelle Lesergruppen richtet. Die bekannteste dieser Veröffentlichungen im deutschsprachigen Raum ist wahrscheinlich Das SM-Handbuch von Matthias T. J. Grimme.
Mit dem Sachbuch Die Wahl der Qual von Kathrin Passig und Ira Strübel ist erstmals auch eine Veröffentlichung auf dem Markt, die sich nicht an Personen aus der BDSM-Subkultur wendet, sondern weiten Bevölkerungskreisen eine breite Wissensbasis zum Themenbereich BDSM vermitteln und so Vorurteile abbauen will. Neben den Sachbüchern mit konkretem Praxisbezug gibt es eine umfangreiche Literatur zu mit dem Thema verbundenen wissenschaftlichen Publikationen.
Deutschsprachige Sachbücher
- Kathrin Passig und Ira Strübel: Die Wahl der Qual. Rowohlt-Verlag 2004, (ISBN 3-499-61692-0) (Ein informatives Buch für Personen, die sich erstmalig mit der Thematik BDSM auseinandersetzen wollen.)
- Matthias T. J. Grimme: Das SM-Handbuch. Charon-Verlag 2002, (ISBN 3-931406-01-6) (Ein eher technisches Handbuch mit Schwerpunkten bei der Erklärung von Praktiken und Sicherheitshinweisen)
- Thomas A. Wetzstein et. al.: Sadomasochismus. Szenen und Rituale, Reinbek bei Hamburg, rororo 1994, (ISBN 3-499-19632-8) (Basiert auf Auseinandersetzung einer soziologischen Forschergruppe der Universität Trier mit Szenen und Ritualen des Sadomasochismus)
- Olaf May: Strafrecht und Sadomasochismus, Shaker Verlag 1997, (ISBN 3-826-555-953)
- Norbert Elb: SM-Sexualität. Selbstorganisation einer sexuellen Subkultur, Psychosozial-Verlag 2006, (ISBN 3898064700)
- Arne Hoffmann: Der Kick im Kopf. Schwarzkopf & Schwarzkopf 2004 – (ISBN 3-896-024-558)
Englischsprachige Sachbücher
- Jay Wiseman: SM 101: A Realistic Introduction. Greenery Press (CA) 1998, (ISBN 0-9639763-8-9) (umfangreiches Nachschlagewerk inklusive einiger Schwerpunkte wie „BDSM als Lebensstil“ und „BDSM in der Schwangerschaft“)
- Phillip Miller, Molly Devon, William A. Granzig (Vorwort): Screw the Roses, Send Me the Thorns: The Romance and Sexual Sorcery of Sadomasochism. Mystic Rose Books 1995, (ISBN 0-9645960-0-8) (Ein reichbebildertes und umfangreiches Handbuch mit Schwerpunkten bei der Erklärung von Praktiken und Sicherheitshinweisen)
- Dossie Easton, Janet W. Hardy: The New Topping Book. Greenery Press (CA) 2002, (ISBN 1-890159-36-0) (Praktische und theoretische Einführung für Tops mit Schwerpunkt auf psychologischen Aspekten, praktischen und technischen Fragen, sowie detaillierten Tipps zur Partnersuche)
- Dossie Easton, Janet W. Hardy: The New Bottoming Book. Greenery Press (CA) 1998, (ISBN 1-890159-35-2) (Praktische und theoretische Einführung für Bottoms mit Schwerpunkt auf psychologischen Aspekten, praktischen und technischen Fragen, sowie detaillierten Tips zur Partnersuche)
- Pat Califia (Hrsg.), Robin Sweeney (Hrsg.):The Second Coming: A Leatherdyke Reader., Alyson Publications 1996, (ISBN 1555832814) (Fortsetzung des lesbisch-feministischen BDSM-Klassikers Coming to Power)
- Mark Thompson (Hrsg.): Leatherfolk: Radical Sex, People, Politics, and Practice., Alyson Publications 1991, (ISBN 1555836305), (28 Essays bekannter sadomasochistischer Autoren und Aktivisten)
- Lady Green (Hrsg.), Jaymes Easton (Hrsg.): Kinky Crafts: 101 Do-It-Yourself S/M Toys, Greenery Press (CA) 1998, (ISBN 0-9639763-7-0) (Detaillierter Ratgeber zu Selbstbau von BDSM-Spielzeug)
Film und Fernsehen
[modifier | modifier le code]Nachdem BDSM zunächst unterschwellig als Motiv in einigen Filmproduktionen auftauchte, wurden Anfang der 1960er Jahre bedeutende literarische Werke wie beispielsweise die Die Geschichte der O und Venus im Pelz zum Teil sehr explizit verfilmt. Spätestens mit der Verfilmung von 9 1/2 Wochen wurde das Thema BDSM auch sehr publikumswirksam und kommerziell erfolgreich breiten Zuschauerschichten nahegebracht, wobei hierbei auf eine ästhetische Massenkompatibilität geachtet wurde. Seit den späten 1990er Jahren gelang es Filmen wie Preaching to the Perverted und Secretary, kommerziellen Anspruch und Authentizität zunehmend miteinander zu verbinden.
Mit der Entwicklung von dokumentarisch geprägten Produktionen wie SICK: The Life and Death of Bob Flanagan, Supermasochist und Wir leben ... SM! entwickelt sich mittlerweile ein weiterer filmischer Zugang zur Thematik, der sich gezielt auch an breite Zuschauergruppen wendet.
Nachdem im deutschen Fernsehen Filme mit BDSM-Thematik wie beispielsweise 9 1/2 Wochen, Tokio Dekadenz oder Secretary regelmäßig gezeigt werden, gibt es seit dem Jahr 2001 mit der kanadischen Produktion KinK erstmals auch eine eigenständige Fernsehserie, die BDSM zum Inhalt hat. Sie ist bisher in Deutschland nicht ausgestrahlt worden.
Das Spektrum der im Verlauf der vergangenen vier Jahrzehnte entstandenen Produktionen ist sehr groß und zeigt, dass BDSM-Themen mittlerweile fest im filmischen Mainstream verankert sind: thumb|250px|Weiblicher Bottom in Bondage durch ledernem Monohandschuh.
- 1925: A Woman of the World
- 1966: Belle de jour – Schöne des Tages, Luis Buñuel
- 1969: Venus im Pelz und diverse weitere „Venus im Pelz“-Verfilmungen
- 1974: Martha, Rainer Werner Fassbinder
- 1975: The Story of Joanna, Gerard Damiano
- 1975: Die Geschichte der O und diverse weitere „Geschichte der O“-Verfilmungen
- 1976: Im Reich der Sinne
- 1976: Maîtresse
- 1976: The Image (Verfilmung des Jean de Berg Klassikers Das Bild)
- 1980: Sinfonía erótica
- 1983: Die flambierte Frau
- 1984: Gwendoline (Just Jaeckins Verfilmung des Comic-Klassikers von John Willie)
- 1984: Domina – Die Last der Lust
- 1985: Verführung: Die grausame Frau
- 1986: Blue Velvet
- 1986: 9 1/2 Wochen
- 1986: Matador
- 1987: Personal Service, (Komödie über ein BDSM-Bordell basierend auf dem Leben Cynthia Paynes)
- 1992: Tokio Dekadenz
- 1994: Undercover Cops
- 1996: Die Peitsche der Pandora
- 1997: Preaching to the Perverted (Der Film wird allgemein als Reaktion auf den Spanner Case angesehen)
- 1997: SICK: The Life and Death of Bob Flanagan, Supermasochist (Interviews mit dem sterbenden Performancekünstler Bob Flanagan)
- 1999: 8MM, (Häufig als extrem sadophob kritisierte Hollywoodproduktion über BDSM, Sexuellen Missbrauch und Snuff-Filme mit Nicolas Cage.)
- 1999: Moonlight Whispers
- 1999: Romance X
- 1999: Tops & Bottoms
- 1999: Wilde Nächte – Leidenschaft ohne Tabus
- 2000: Dirty Pictures (Der Film beruht auf dem Verfahren um die Mapplethorpe-Ausstellung in Cincinnati)
- 2000: Quills – Macht der Besessenheit und diverse weitere Verfilmungen zum Leben des Marquis de Sade
- 2001: Beyond Vanilla
- 2001: CSI Slaves of Las Vegas (2.Staffel, Folge 8) (Die Folge stellt die Figur der „Lady Heather“ in den Handlungsmittelpunkt)
- 2001: Kink (nur Englisch)
- 2001: Die Klavierspielerin
- 2002: Secretary
- 2003: CSI Lady Heather's Box (3.Staffel, Folge 15) („Lady Heather“ steht in einem 90 minütigen Serienspecial erneut im Handlungsmittelpunkt)
- 2003: Wir leben ... SM! (Dokumentar- und Coming-Out-Film)
- 2004: Bettie Page: Dark Angel
- 2005: Extasy in Berlin 1926 von Maria Beatty
- 2005: The Notorious Bettie Page
- 2006: Beruf: Domina – das Geschäft mit Lust und Peitsche. (Dokumentation des Autors Markus Matzner über zwei Schweizer Dominas) online und kostenlos unter Beruf: Domina
- 2006: 24/7 The Passion of Life
- 2006: Psychopathia sexualis (nur Englisch)
- 2006: Verfolgt
Neben diesen eher ästhetisch orientierten Filmen existiert ein breiter Markt für sadomasochistische Pornografie in Form von Pornofilmen.[25] Der spanische Regisseur Jess Franco schuf als typischer Vertreter des Exploitation-Genres eine große Anzahl Filme, die unter anderem auf Werken des Marquis de Sade basieren und in Deutschland teilweise indiziert sind.
Marketing
[modifier | modifier le code]Seit Anfang der neunziger Jahre werden Motive des BDSM immer wieder im Rahmen größerer Marketingkampagnen gezielt eingesetzt. Bekannte Beispiele im deutschsprachigen Raum sind Plakatmotive der Zigarettenmarken Camel und West, die ein in „typische“ Lederkleidung drapiertes Kamel, beziehungsweise eine Domina mit Peitsche zum Inhalt haben. Während West das damalige Motiv wegen „Verstosses gegen die guten Sitten“[26] noch zurückziehen musste, fanden BDSM Motive in den folgenden Jahren immer wieder Verwendung. In Kanada präsentiert Mini 2005/2005 die Winterausstattung des Mini-Coopers in Form einer Interaktiven BDSM-Session, in der der User mit Unterstützung einer virtuellen Domina unterschiedlichste Schlagwerkzeuge auf dem Fahrzeug austesten kann und dabei die optionalen Sonderausstattungen erläutert bekommt. Der deutsche Dübelhersteller Fischer nutzt in einem persiflierenden Videoclip ebenfalls sadomasochistische Sujets zur Darstellung der Qualität seiner Produkte. In den USA tritt Anheuser-Busch als Sponsor der Folsom Street Fair auf, und die Jeansmarke Diesel schaltete in den letzten Jahren wiederholt sadomasochistische Anzeigenmotive in Modemagazinen. Die Markenanbieter persiflieren hierbei teilweise weitverbreitete Klischees und versuchen sich durch den angedeuteten Tabubruch erhöhte Aufmerksamkeit zu sichern und zugleich das Image der betroffenen Marken unkonventioneller und prägnanter zu gestalten.
Podcasts
[modifier | modifier le code]Nachdem die unterschiedlichsten Möglichkeiten des Internets in den vergangenen Jahren immer wieder recht schnell aufgriffen wurden, um Informationsangebote zum Thema BDSM bereitzustellen, werden seit Mitte 2005 zunehmend auch Podcasts angeboten, die den Schwerpunkt BDSM haben. Mit der zunehmenden Verbreitung von Videoplattformen wie YouTube finden sich auch auf diesen immer häufiger entsprechende Informationsangebote in Form selbstproduzierter Videoformate.
Zeitschriften
[modifier | modifier le code]In den letzten Jahrzehnten erschienen wiederholt regelmäßige Publikationen zum Thema BDSM. Neben Kleinstverlagen waren hier auch organisierte Gruppen und Vereine aktiv. Die meisten Printmedien wurden zwischenzeitlich wieder eingestellt oder wechselten ins Internet.
Die erstmals 1988 als Vereinszeitschrift erschienen Schlagzeilen gelten heute als zentrales Magazin der deutschsprachigen BDSM-Subkultur. Die regelmäßig erscheinende Zeitschrift wird vom Charon-Verlag in Hamburg herausgegeben.
Siehe auch
[modifier | modifier le code]Weblinks
[modifier | modifier le code]Deutschsprachige Websites
- www.bvsm.de – Bundesvereinigung Sadomasochismus e.V.
- www.bdsm.at – BDSM in Österreich
- www.ig-bdsm.ch – BDSM in der Schweiz
- www.smjg.org – BDSM-Jugendgruppe
- www.smiki.de – Ein Wiki-Projekt. Freie Enzyklopädie des BDSM
Englischsprachige Websites
- www.wipipedia.org – Ein Wiki-Projekt. Freie Enzyklopädie des BDSM und Fetischismus
- Spanking Art wiki – Ein wikia-Projekt. Sammlung von Quellen zum Thema Spanking aus Kunst, Film und Literatur
- D/s ARts: SMBD Darstellung der asiatischen Perspektive auf D/s
Quellen
[modifier | modifier le code]- Weiterhin dérogent obligatoirement, là par exemple une convention correspondante à art. 1 GG (unantastbarkeit d'intouchable de la dignité humaine) et à art. 4 Europäischen européens Convention des droits de l'homme. Une légalité de quelque manière que ce soit différente est après l'opinion dominante auszuschliessen.
- Weiterhin verstößt eine entsprechende Vereinbarung gegen Art. 1 des GG (Unantastbarkeit der Menschenwürde) und gegen Art. 4 der Europäischen Menschenrechtskonvention. Eine wie auch immer geartete Rechtsgültigkeit ist daher nach der Herrschenden Meinung absolut auszuschließen.
- Janus, Samuel S. / Janus, Cynthia L., 1993 The Janus Report on Sexual Behavior, Wiley, New York
- Elliott, Leland / Brantley, Cynthia, Sex on Campus, 1997, Random House, New York
- Charles Moser, in Journal of Social Work and Human Sexuality 1988, (7;1, S.43-56)
- Spengler, Andreas: Sadomasochisten und ihre Subkulturen, Campus Verlag, 1979, Frankfurt am Main / New York
- http://www.datenschlag.org/umfrage/dpb1_ergebnisse.html
- vgl. Eva Daschek und Axel Konrad: Empirische Untersuchung über den Zusammenhang zwischen ausgewählten Faktoren und inklinierendem sexuellem Sadomasochismus, online unter sm-studie
- Zur generellen Rolle von Frauen in der sadomasochistischen Subkultur vgl. z.B. die ausführliche Darstellung bei Breslow et al On the Prevalence and Roles of Females in the Sadomasochistic Subculture: Report of an Empirical Study. Archives of Sexual Behaviour 14/1985, Seite 303-17. Nachgedruckt in Thomas S. Weinberg: S&M – Studies in Dominance and Submission (Hrsg.), Prometheus Books, New York, 1995 (ISBN 0-8797-5-978-X)
- vgl. z.B. Gloria G. Brame, BDSM/Fetish Sex:Overview and Study, online unter gloria-brame.com
- Brokmann, Angela: Macht und Erotik, 1996, Sexologisches Institut e.V. Hamburg, Hamburg
- Person, Ethel S. / Terestman, Nettie / Myers, Wayne A. / Goldberg, Eugene L. / Salvadori, Carol: Gender differences in sexual behaviors and fantasies in a college population, 1989, erschienen in: Journal of Sex and Marital Therapy, Bd. 15, Nr. 3, 1989, S. 187–198
- Breslow, Norman: SM Research Report, v1.1, 1999
- vgl. Arne Hoffmann, Lexikon der Tabubrüche, Schwarzkopf&Schwarzkopf, 2003, (ISBN 3896025171)
- Durex Global Sex Survey 2005, S.15 Online unter Durex Global Sex Survey 2005
- Durex Global Sex Survey 2004, S.14 Online unter Durex Global Sex Survey 2004
- ICD-10-GM Version 2005
- Eine entsprechende ausführliche Sammlung unterschiedlichster wissenschaftlicher Studien findet sich unter http://www.datenschlag.org/txt/statistik.html
- Vgl. hierzu die ausführliche Darstellung von Robert Bienvenu, The Development of Sadomasochism as a Cultural Style in the Twentieth-Century United States, 2003, Online als PDF unter Sadomasochism as a Cultural Style
- Zu der Entwicklung des theoretischen Konstrukts „Perversion“ durch Krafft-Ebing und dessen Bezug zu diesen Begriffen, vgl. Andrea Beckmann, Journal of Criminal Justice and Popular Culture, 8(2) (2001) 66-95 online unter Deconstructing Myths
- Ders. in Über den sado-masochistischen Komplex. In: Jahrbuch für psychoanalytische und psychopathologische Forschungen, Bd. 5, 1913, S. 157–232
- Urteil des Bundesgerichtshofes vom 26. Mai 2004, Aktenzeichen 2 StR 505/03, Fundstelle: BGHSt 49, 166 (bundesgerichtshof.de)
- OLG Hamm in seinem Beschluss vom 01.02.2006 zum Az. 10 UF 147/04, online verfügbar unter NRW-Justizportal
- vgl. die ausführlich kritische Betrachtung hierzu unter Papiertiger#Emma
- vgl. zum Beispiel Linda Williams: Power, Pleasure and Perversion: Sadomasochistic Film Pornography, Representations, Nr.27 (Summer, 1989), S.37-65, University of California Press
- vgl. Roland Seim, Josef Spiegel (Hrsg.): „Ab 18“ - zensiert, diskutiert, unterschlagen. Beispiele aus der Kulturgeschichte der Bundesrepublik Deutschland, Telos Verlag, Münster 2002, (ISBN 393306001X), S.109.