The Hoover Company
The Hoover Company | |
Création | à North Canton (Ohio) |
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Fondateurs | W. H. "Boss" Hoover |
Siège social | Glenwillow États-Unis |
Actionnaires | Candy |
Produits | Lave-linge |
Société mère | Techtronic Industries (Bain Capital) |
Site web | http://hoover.com/ |
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The Hoover Company est une entreprise américaine basée à Glenwillow dans l'Ohio et Merthyr Tydfil au pays de Galles. Elle est notable pour avoir dominé le secteur des aspirateurs au point de faire de la marque, par antonomase, un synonyme du produit ou de l'usage de celui-ci, au Royaume-Uni[1] et en Irlande.
La partie de Hoover aux États-Unis faisait partie de la Whirlpool Corporation avant son rachat en 2006 par Techtronic Industries (TTI). La partie de Hoover en Europe a été séparée de sa partie américaine en 1993 et acquise par le fabricant italien d'électroménager Candy.
Histoire
[modifier | modifier le code]L'entreprise est fondée en 1908 par W. H. « Boss » Hoover. La famille Hoover s'en sépare en 1986. En 1989, Maytag Corporation (en) en prend le contrôle, avant de passer elle-même dans le giron de Whirlpool Corporation en 2006. Ce dernier décide de revendre Hoover à TTI.
Produits vendus par la marque
[modifier | modifier le code]Selon le marché, les produits vendus sous la marque Hoover varient du fait que la marque Hoover en Europe est exploité par Candy depuis 1993[2], alors que la marque Hoover en Amérique du Nord est exploitée par Techtronic Industries.
En Europe, les produits vendus sous la marque Hoover par Candy sont des appareils de petit-électroménager (aspirateurs et fers à repasser) et des appareils de gros-électroménager (lave-linge, sèche-linge...).
En Amérique du Nord, seuls des aspirateurs sont vendus sous la marque Hoover par Techtronic Industries.
Sites de production
[modifier | modifier le code]Sites de production en Europe
[modifier | modifier le code]En 1993, Maytag ferme son usine de Dijon qui fabriquait des aspirateurs Hoover, le groupe transfère la production sur le site de Cambuslang en Écosse ce qui entraine plus de 600 licenciements[3],[4].
En 2003, Candy annonce la fermeture du site de Cambuslang en Écosse qui produisait des aspirateurs Hoover. L'usine a fermé en 2005[5] et la production a été transférée en Chine[6].
En , le site de Merthyr Tydfil, qui fabriquait des machines à laver et des sèche-linge arrête sa production ce qui entraîne 337 licenciements[7]. Seule la partie logistique du site reste active[8].
Sites de production en Amérique du Nord
[modifier | modifier le code]Après avoir racheté les activités de Hoover en Amérique du Nord à Whirlpool, Techtronic Industries ferme le site historique de North Canton (Ohio) en [9].
Modèles d'aspirateurs Hoover
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années 1960
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années 1960
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années 1970
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1974
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années 1990
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « The Hoover Company » (voir la liste des auteurs).
- Sylvie Hancil, Histoire de la langue anglaise, Mont-Saint-Aignan, Publication Univ Rouen Havre, , 193 p. (ISBN 978-2-87775-528-3, BNF 43648459, lire en ligne)
- LSA – Libre Service Actualités, « Electroménager : voyage au pays de Candy, le petit italien resté indépendant », lsa-conso.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Hoover ferme définitivement son usine d'aspirateurs de Dijon », sur lesechos.fr, (consulté le )
- L'Usine Nouvelle, « Electromenager : Les mauvaises surprises de Candy avec Hoover europe - Investissements industriels », usinenouvelle.com/, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Green light for nearly 200 homes on Cambuslang Hoover site », sur Scotland Build 2017, (consulté le )
- (en-GB) David Gow, « Hoover shifts production to China », The Guardian, (ISSN 0261-3077, lire en ligne, consulté le )
- WalesOnline, « End of an era at Merthyr Hoover plant », walesonline, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Hoover cuts 300 jobs with Welsh plant closure », Telegraph.co.uk, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Shane Hoover, « North Canton moves forward almost a decade after Hoover Co. », The Repository, (lire en ligne, consulté le )