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Saulnes

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Saulnes
Saulnes
Vue générale de Saulnes.
Blason de Saulnes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Briey
Intercommunalité CA Grand Longwy Agglomération
Maire
Mandat
Adrien Zolfo
2020-2026
Code postal 54650
Code commune 54493
Démographie
Gentilé Saulnois(e)[1]
Population
municipale
2 312 hab. (2021 en évolution de −4,42 % par rapport à 2015)
Densité 578 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 00″ nord, 5° 49′ 36″ est
Altitude Min. 275 m
Max. 398 m
Superficie km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Longwy (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Luxembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villerupt
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saulnes
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Saulnes
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Saulnes
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Saulnes
Liens
Site web saulnes.mairie.com

Saulnes (prononcé : [soːn] Écouter) est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie

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Description

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Saulnes est délimitée au nord et à l’est par la frontière franco-luxembourgeoise. Le village est arrosé par le Ru de la Côte Rouge qui se jette dans la Moulaine, un affluent de la Chiers.

Communes limitrophes

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Les communes voisines sont Longlaville, Herserange et Hussigny-Godbrange en France, ainsi que le village de Lasauvage (commune de Differdange) et la cité de Rodange (commune de Pétange) au Grand Duché du Luxembourg. Aucune route ne relie directement Saulnes à Longlaville, ni aux communes luxembourgeoises.


Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de la Cote Rouge[2],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Saulnes[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification concerne le périmètre des anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants hydrographiques associés qui s’étend sur 2 418 km2. Les bassins versants concernés sont celui de la Chiers en amont de la confluence avec l'Othain, et ses affluents (la Crusnes, la Pienne, l'Othain), celui de l'Orne et ses affluents et celui de la Fensch, le Veymerange, la Kiesel et les parties françaises du bassin versant de l'Alzette et de ses affluents (Kaylbach, ruisseau de Volmerange). Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[3].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 930 mm, avec 14,7 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 21 km à vol d'oiseau[6], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte hydrographique et des infrastructures de transport de la commune en 2022.

Au , Saulnes est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Longwy (partie française)[Note 3], une agglomération internationale regroupant onze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,6 %), zones urbanisées (16,7 %), terres arables (14,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,9 %), prairies (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 204, alors qu'il était de 1 200 en 2015 et de 1 136 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 90,6 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 8,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 73,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 26,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saulnes en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,3 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,5 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Saulnes en 2020.
Typologie Saulnes[I 2] Meurthe-et-Moselle[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 90,6 88,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,3 2,1 9,7
Logements vacants (en %) 8,1 9,3 8,2
  • Anciennes mentions : Tzonen (1473), Zonnen (1495), Tzoenen (1531), Sonne la Basse et Sonne la Haute (1689)[16], Sône la haute et la basse (1749)[16], Sonte haute et Sonte basse (1756)[16], Sosne ou Saulne haute et basse (1779)[16], Sonne Haut et Bas (1793)[17], Sosne (1801)[17].
  • En luxembourgeois : Zounen[18], en allemand : Zohnen[19] et Sonne[20].

Ancien Régime

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Ancienne communauté de la province du Barrois qui se divisait en deux hameaux : Haute et Basse, sachant que Saulne-la-Haute était le principal[16].

Saulnes était une annexe de la paroisse d'Herserange dans le diocèse de Trèves[16].

La forge de Saulnes est signalée dès 1474 avec un petit haut fourneau, mais il semblerait qu'elle soit abandonnée au milieu du XVIe siècle

Époque contemporaine

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C'est sur l'emplacement de la forge de Saulnes que la Société des Hauts-Fourneaux de Saulnes-Raty et Cie[21] met à feu un premier haut fourneau en , un second en 1878 ou 1880, puis un troisième en 1882. À la fin du XIXe siècle, l'usine compte quatre hauts-fourneaux dont trois sont à feu. Un chemin de fer industriel privé permet le fonctionnement des usines[22].

La gare de Saulnes sur la ligne de Longwy à Villerupt-Micheville est mise en service le [23]. La ligne cesse son trafic voyageurs le [24]. La section de Saulnes à Hussigny-Godbrange ferme aux marchandises le et celle de Saulnes à Longwy est déclasse le [24].

La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [25].

En 1923, la société absorbe la société Lorraine Industrielle qui possède deux hauts fourneaux à Hussigny, ce qui porte à cinq le nombre de ses hauts-fourneaux. En 1955, la société, qui est devenue Société des Hauts-Fourneaux de Saulnes et Gorcy, ne dispose plus que de quatre hauts fourneaux à Saulnes et Hussigny. En 1968, c'est l'arrêt des deux derniers hauts fourneaux de Saulnes, ceux d'Hussigny ayant été éteints dans les années 1960.

En , la commune de Differdange (Luxembourg) achète un terrain de 1,2 kilomètre carré (soit 30 % de la superficie totale) situé sur le territoire de la commune de Saulnes en France pour la somme de 2,5 millions d'euros. Cette opération doit aboutir pour le mois de février de la même année et vise à empêcher la construction d'une décharge dans la région[26].

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Briey du département de Meurthe-et-Moselle.

Elle faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Longwy, année où elle intègre le canton d'Herserange[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Villerupt.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté d'agglomération dénommée depuis 2021 Grand Longwy Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2017 sous le nom de communauté d'agglomération de Longwy par transformation de la communauté de communes de l'Agglomération de Longwy et auquel la commune a adhéré en 1998 en lui transférant un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette communauté de commune avait elle-même été créée en 2002 par transformation d'un district constitué en 1960 et qui avait progressivement intégré d'autres communes.

La commune est également membre de l'Agglomération transfrontalière du pôle européen de développement.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1792 1808 J Lecoq   Saulnes Haute
1792 1808 J Courtois   Saulnes Basse
1/12/1808 31/12/1812 Pierre Collinet    
18/12/1815 05/02/1826 G Antoine Laval    
23/02/1826 31/12/1831 Nicolas Marchal    
1832 1860 Louis Doisy    
1860 1871 J Baptiste Teate    
1871 1878 Didier Doisy    
1878 1901 Gustave Raty[Note 6]   Maître de forges
Fondateur de la Société des Hauts Fourneaux de Saulnes
1901 1919 Marc Raty    
1919 1923 Eugène Remy    
1923 1945 Jean Raty[27]   Maître de forges, petit-fils de Gustave Raty
Président de la Chambre syndicale de la sidérurgie française
Commandeur de la Légion d'honneur, Officier de l'Ordre de Léopold et titulaire de la Médaille de l'Aéronautique
1945 1949 Robert Gianotti PCF[28]  
1949 1965 Philippe Auguste Rase[Note 6]    
1965 juin 1995 Ersé Zolfo[Note 7] PCF  
juin 1995 mars 2001 Denis Cruciani[Note 8] SE Musicien
mars 2001[31] En cours
(au 28 juin 2023)
Adrien Zolfo PCF puis LFI Ouvrier
Vice-président de la CA Grand Longwy Agglomération (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[32]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 2 312 habitants[Note 9], en évolution de −4,42 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1872
221248271329412442425474495
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
7421 4851 6111 6821 8502 1222 1582 5281 662
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
2 4943 2122 4152 3603 5363 7253 4182 9532 783
1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
2 4732 4542 3582 3512 4102 312---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.
Temple Antoiniste.
  • Château construit entre 1880 et 1885, pour l'industriel Gustave Raty (1832-1901), créateur et propriétaire des hauts-fourneaux de Saulnes (construits en 1872 et 1874 à l'emplacement de l'une des plus vieilles forges du Pays-Haut et de Lorraine) et en même temps administrateur de la société des aciéries de Longwy depuis 1880.
  • Château construit en second, vers 1900-1905 à proximité immédiate du premier château, aux frais de Gustave Raty, pour son fils Marc, qui l'habita peu.
  • jardin pédagogique
  • petit train de Mine
  • musée de la photographie
  • la Grotte
  • église paroissiale Saint-Jean-Baptiste construite entre 1873 et 1883, la commune épuisée par la construction de ses bâtiments publics n'ayant pu mener à bien la construction d'une seule traite. Aide financière de la société Pierre Giraud établie à La Sauvage (grand-duché de Luxembourg), propriétaire des forges et dépendances de La Sauvage et de biens situés sur le ban de Saulnes. Réception des travaux en 1875, achèvement de l'édifice en 1880. Elle a remplacé une chapelle qui dépendait de l'église mère d'Herserange, située au même emplacement mais parallèle à la rue[réf. nécessaire].
  • un petit temple du culte antoiniste, situé au 50 rue Philippe-Auguste Rase, dédicacé le [36]

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Saulnes Blason
Écartelé : aux 1er et 4e d'azur à deux bars adossés d'or accostés de deux croix de Lorraine de même et accompagnés en chef et en pointe de deux croisettes recroisetées d'argent, aux 2e et 3e d'or à trois marteaux de sable ; sur le tout d'argent au haut fourneau de sable enflammé de gueules.
Détails
Saulnes faisait partie du Barrois et était situé dans le bailliage de Villers la Montagne. A la fin du XVIIIe siècle, le roi en était seul seigneur. Sa richesse est symbolisée par les marteaux et le haut fourneau
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Site de la mairie
  • « Saulnes », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
  • « Usine de Saulnes : Raty & Cie », sur industrie.lu (consulté le ).

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Longwy (partie française) comprend deux villes-centres (Longwy et Mont-Saint-Martin) et neuf communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. a et b Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
  7. Une rue de la commune porte le nom de ce maire[29].
  8. Un parc de la commune porte le nom de ce maire[30]
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Saulnes » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saulnes ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Saulnes » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Saulnes - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Saulnes - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Meurthe-et-Moselle » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. « Fiche communale de Saulnes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  3. « SAGE Bassin ferrifère », sur gesteau.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saulnes et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Longwy (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c d e et f M. Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868 sous les auspices de la Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Paris, Imprimerie nationale.
  17. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Luxemburger Wörterbuch, Luxemburg, P. Linden, 1950-1977
  19. René Klein, Hexen in Sassenheim, p. 46.
  20. Richard Böckh, Der Deutschen Volkszahl und Sprachgebiet in den europäischen Staaten, Berlin, J. Guttentag, 1869
  21. « Les industries de la famille Raty », sur industrie.lu (consulté le ).
  22. « Raty & Cie : le chemin de fer industriel », https://rail.lu (consulté le ).
  23. « Ligne Longwy - Saulnes - Hussigny-Godbrange - Villerupt-Micheville », sur rail.lu (consulté le ).
  24. a et b André Gibert et José Banaudo, Trains oubliés - Volume 1 : L'Alsace-Lorraine - L'Est, Menton, Éditions du Cabri, , p. 173.
  25. Journal officiel du 11 février 1921, p. 1866.
  26. « 2,5 millions d'euros: Differdange acquiert 120 hectares en France », RTL 5minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Jean Raty (1894-1958) », Annales des mines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Ouvrir enfin la voie du renouveau social et économique. », Saulnes Mag, no 35,‎ , p. 11 (ISSN 1284-1986) « Alors que le PCF, a joué le rôle majeur que l'on sait dans la Résistance, puis dès la Libération en tant que force motrice de la Gauche, Saulnes a élu au lendemain de la guerre, le premier maire communiste du Pays-Haut en la personne de Robert Gianotti. Avec Ersé Zolfo, dès 1965, notre commune a depuis toujours élu un maire communist ».
  29. « Rue Ersé Zolfo », Saulnes Mag, no 35,‎ , p. 2-3 (ISSN 1284-1986) « Ersé ZOLFO qui fut élu en 1959 et Maire de Saulnes de 1965 à 1995 ».
  30. « Le parc Denis-Cruciani a été inauguré : La municipalité de Saulnes a inauguré le parc Denis-Cruciani, dans le quartier des Vauziers. Musicien, l’homme a été maire de la ville de 1995 à 2000 », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Nous souhaitons donner la priorité à la propreté de la ville » : Il s’agit du 5e mandat de maire de Saulnes pour Adrien Zolfo qui a pris la suite de Denis Cruciani en 2000. C’est à la tête d’une équipe renouvelée à plus d’un tiers qu’il s’est présenté aux suffrages du mois de mars. Les 19 conseillers municipaux sont issus de milieux divers : associatif, syndical et professionne », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Adrien Zolfo reconduit dans sa fonction de maire », Le Républicain lorrain,‎ 28/5/2020 mis à jour le 2/6/2020 (À la suite des élections du 15 mars, le conseil municipal s’est réuni samedi 23 mai à la salle municipale pour élire le maire et les adjoints. Adrien Zolfo a été réélu à l’unanimité des 19 voix. Ensuite, à l’unanimité, le conseil a décidé la nomination de cinq adjoints, consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Régis Dericquebourg, Les Antoinistes, Belgique, Brepols, , 174 p. (ISBN 2-503-50325-X), p. 167-171.