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Saint-Loubès

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Saint-Loubès
Saint-Loubès
La mairie.
Blason de Saint-Loubès
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes du Secteur de Saint-Loubès
(siège)
Maire
Mandat
Emmanuelle Favre
2020-2026
Code postal 33450
Code commune 33433
Démographie
Gentilé Loubésiens
Population
municipale
10 005 hab. (2021 en évolution de +10,36 % par rapport à 2015)
Densité 399 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 55′ 05″ nord, 0° 25′ 37″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 57 m
Superficie 25,07 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Presqu'île
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Loubès
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Loubès
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Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Saint-Loubès
Liens
Site web www.saint-loubes.fr

Saint-Loubès [sɛ̃ lubɛs] est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Saint-Loubès se situe dans l'Entre-deux-Mers, sur la rive gauche (sud) de la Dordogne, à 18 km au nord-est de Bordeaux, chef-lieu du département et d'arrondissement, à 7,5 km au nord-est de Carbon-Blanc [1]. Elle est bordée à l'est par la Laurence, un ruisseau affluent de la Dordogne.

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont, sur la rive gauche de la Dordogne, Izon à l'est, Saint-Sulpice-et-Cameyrac au sud-est, Montussan au sud-sud-est, Yvrac au sud-sud-ouest, Sainte-Eulalie au sud-ouest, Ambarès-et-Lagrave à l'ouest et Saint-Vincent-de-Paul au nord-ouest ; sur la rive droite, se trouvent d'ouest en est, Cubzac-les-Ponts à l'extrême nord-ouest, en quadripoint (point de la surface de la Terre où quatre frontières différentes se rejoignent), Saint-Romain-la-Virvée au nord-nord-ouest, Asques au nord, à nouveau Saint-Romain-la-Virvée au nord-nord-est, cette commune enserrant celle d'Asques le long de la Dordogne et Lugon-et-l'Île-du-Carnay à l'extrême nord-est.

Communes limitrophes de Saint-Loubès[2]
Cubzac-les-Ponts          

                               (quadripoint)
Saint-Vincent-de-Paul          
Saint-Romain-                Saint-Romain-
la-Virvée      Asques      la-Virvée
La Dordogne
Lugon-et-l'Île-du-Carnay
Ambarès-et-Lagrave Saint-Loubès Izon
Sainte-Eulalie Yvrac               Montussan Saint-Sulpice-et-Cameyrac

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gervais à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

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Natura 2000

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La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Loubès[10],[11]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[12].

Saint-Loubès fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[13],[14], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[15].

Au , Saint-Loubès est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[18]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (27,8 %), cultures permanentes (20,1 %), zones urbanisées (19,9 %), prairies (13,8 %), eaux continentales[Note 4] (10 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5 %), forêts (3,5 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication de transports

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La principale voie de communication routière traversant le territoire communal est la route départementale D 242 qui traverse la ville et mène, vers l'ouest, en direction d'Ambarès-et-Lagrave, à l’accès no 42 de l'autoroute A10 et à la route départementale D 911 (Saint-Vincent-de-Paul et Cubzac-les-Ponts au nord, Carbon-Blanc et Lormont au sud) et, vers l'est, à Saint-Sulpice-et-Cameyrac et Izon et au-delà à Libourne ; depuis cette D 242, commence la route départementale D 115 qui mène, vers le sud-sud-ouest, à Yvrac et à l'accès no 2 de l'autoroute A89 ; une route communale mène, vers le sud-est, à l'accès no 4 de l'autoroute A89.

Accès autoroutier :

La commune abrite une gare SNCF sur la ligne de Coutras à Bordeaux-Saint-Jean du TER Nouvelle-Aquitaine, sur l'axe de la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Loubès est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[24]. Les événements significatifs aux XIXe et XXe siècles sont les crues de 1843 (6,80 m l'échelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siècle, les événements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1988, 1992, 1999, 2009, 2013 et 2021[26],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Loubès.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 613 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 613 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 5] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[29]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[30].

Le nom de la commune a pour origine le nom déformé de saint Loup, évêque de Troyes en 426 et défenseur de la ville contre Attila, mort en 478[31].

En gascon, le nom de la commune est Sent Lobés.

Politique et administration

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La commune de Saint-Loubès fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Carbon-Blanc supprimé au nouveau canton de la Presqu'île[32],[33]. Saint-Loubès fait également partie de la communauté de communes du secteur du même nom.

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 2008 Serge Roux PS Président de la CC du secteur de Saint-Loubès (2000-2014)
2008 2020 Pierre Durand[34] PS Retraité
2020 En cours Emmanuelle Favre[35] DIV  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Les habitants sont appelés les Loubésiens[36].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

En 2021, la commune comptait 10 005 habitants[Note 6], en évolution de +10,36 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3962 3262 5202 4742 4742 5162 4782 5202 541
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5152 5202 5552 3652 4632 4682 6362 7182 729
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 8702 8532 7982 9002 7922 6522 6552 5882 808
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 0683 3284 0274 9566 2077 0907 6398 1139 375
2021 - - - - - - - -
10 005--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Raffinerie de Saint-Loubès créée en 1883 par Alexandre Deutsch et inaugurée en 1886 par Alfred Guérard.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La chapelle Saint-Loup

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de {{{commune}}} Blason
De gueules à la barque de sable de front, habillée d'argent, grand-voile à senestre et foc à dextre, au chef d'or chargé d'un loup passant de sable.
Détails
Officiel, présent sur le site internet de la commune

Bibliographie

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  • Augustin de Comet (préf. Pierre Bardou), Monographie de la Commune de Saint-Loubes, Lorisse, coll. « Monographies des villes et villages de France », (1re éd. 1869) (ISBN 978-2843732065).
  • Pierre Bardou, Saint-Loubès en Entre-deux-Mers - éléments de son histoire des origines à 1914, Groupe girondin des études locales de l'enseignement public, , 161 p. (ISBN 978-1273428128).
  • Saint-Loubès : Demeures et maisons nobles

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bordeaux, il y a une ville-centre et 72 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[28].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 14,1 km pour Bordeaux et 6,1 km pour Carbon-Blanc. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 15 décembre 2014.
  2. Saint-Loubès sur Géoportail, consulté le 18 avril 2015.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Loubès et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  11. Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  12. Espèces, INPN, consulté le .
  13. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  14. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  15. Espèces, INPN, consulté le .
  16. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  18. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Loubès ».
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Loubès », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. Article R214-112 du code de l’environnement
  29. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  31. Saint-Loubès sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 15 décembre 2014.
  32. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance
  33. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde
  34. Commune de Saint-Loubès sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 14 janvier 2012.
  35. Jean-Pierre Nowak et Etienne Millien, « Municipales à Saint-Loubès : Emmanuelle Favre est élue », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  36. Nom des habitants de Saint-Loubès sur habitants.fr
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Inscription MH de la chapelle », notice no PA00088390, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Église paroissiale Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).