Aller au contenu

Saint-Doulchard

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Doulchard
Saint-Doulchard
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Bourges
Intercommunalité Communauté d'agglomération Bourges Plus
Maire
Mandat
Richard Boudet
2020-2026
Code postal 18230
Code commune 18205
Démographie
Gentilé Dolchardiens[1]
Population
municipale
9 645 hab. (2021 en évolution de +2,27 % par rapport à 2015)
Densité 402 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 20″ nord, 2° 21′ 27″ est
Altitude Min. 119 m
Max. 167 m
Superficie 24,01 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Bourges
(banlieue)
Aire d'attraction Bourges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Doulchard
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Doulchard
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Doulchard
Géolocalisation sur la carte : Cher
Voir sur la carte topographique du Cher
Saint-Doulchard
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Saint-Doulchard
Liens
Site web site officiel

Saint-Doulchard est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Doulchard s’étend sur 2 401 hectares, dans la périphérie nord-ouest de la ville de Bourges, et en lisière sud de la Sologne.

Saint-Doulchard fait partie de la communauté d'agglomération de Bourges Plus, agglomération de plus de 100 000 habitants. Elle est située à l'orée de la Sologne, au carrefour des routes qui mènent vers Tours et Orléans et au-delà vers Chartres et Paris. Saint-Doulchard est traversée du nord-ouest au sud par la route nationale 76 et par les lignes SNCF.

Communes limitrophes de Saint-Doulchard
Berry-Bouy Saint-Éloy-de-Gy Vasselay
Saint-Doulchard
Marmagne Bourges

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 760 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bourges à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 742,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records BOURGES (18) - alt : 161m, lat : 47°03'33"N, lon : 2°21'35"E
Records établis sur la période du 01-03-1945 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,4 3,7 5,8 9,5 13 14,8 14,7 11,3 8,5 4,6 2,2 7,6
Température moyenne (°C) 4,5 5,1 8,4 11,1 14,8 18,4 20,5 20,5 16,7 12,9 7,9 5 12,1
Température maximale moyenne (°C) 7,4 8,9 13,1 16,3 20,1 23,8 26,2 26,2 22,1 17,2 11,2 7,9 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−20,4
16.01.1985
−16,4
14.02.1956
−11,3
01.03.05
−3,8
04.04.22
−2,6
07.05.1957
3,4
05.06.1969
4,6
10.07.1948
4,6
22.08.1946
1,8
20.09.1962
−5
30.10.1997
−9,1
24.11.1998
−14
20.12.1946
−20,4
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,6
30.01.02
22,8
27.02.19
29,4
25.03.1955
29,4
16.04.1949
32
27.05.05
39,5
27.06.19
41,7
25.07.19
39,9
10.08.03
36,4
04.09.23
31,9
02.10.23
23,4
07.11.15
20
16.12.1989
41,7
2019
Ensoleillement (h) 655 935 1 559 1 856 2 156 2 274 2 486 2 398 194 127 766 595 18 889
Précipitations (mm) 58 51 52,8 62 75,9 58,4 63,5 53,5 56,7 74,2 69,3 67,4 742,7
Source : « Fiche 18033001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Saint-Doulchard est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourges, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 111 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,2 %), zones urbanisées (27,5 %), prairies (12,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,7 %), forêts (7 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Doulchard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Yèvre et le Moulon. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bourges, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portés à 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[16],[17]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[18],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Doulchard.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[19]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 743 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3729 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2002, 2006, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[22].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Préhistoire et Antiquité

[modifier | modifier le code]

En 2020, est découverte dans la commune une sépulture collective du néolithique, correspondant à une période comprise entre 3 100 et 2 900 ans avant J.-C. Il s'agirait de la première découverte de ce genre et dans cette fourchette temporelle dans le Cher. La sépulture comprend au minimum 44 individus[24].

Dans l'Antiquité nommée Ampeliacum, qui signifie littéralement « coteaux aux vignes », Saint-Doulchard est une terre agricole riche dotée, on le suppose, d'une villa romaine[25].

Au Moyen Âge, elle accueillera le moine ermite Dulcardus qui lui donnera son nom : Saint-Doulchard. S'implante alors autour des reliques du saint une communauté ecclésiastique inspirée de saint Ursin, l'évangélisateur de la région, avec le couvent des Ursulines. Un village se constitue alors autour de son clocher. La paroisse Sanctus Dulcardus est mentionnée dès 1065[25].

Temps modernes

[modifier | modifier le code]

Révolution et Empire

[modifier | modifier le code]

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom d'Unité-sur-Yèvre[26].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Depuis l'implantation du chemin de fer au XIXe siècle, l'installation de l’usine Michelin en 1950, jusqu’à nos jours, la ville à la faveur d’une gestion raisonnée, a su devenir attractive en région Centre. Sa fiscalité modérée[Combien ?] lui permet d’attirer les entreprises, les emplois, dans ses parcs d’activités, et d'accroître sans cesse sa population.

Depuis 2002, la commune a intégré la communauté d’agglomération de Bourges et voit actuellement le transfert de certaines de ces compétences dans les domaines de l’eau, de l’assainissement, de l’environnement et du développement économique.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1965   M. Denis    
av. 1974 1976
(décès)
Hector Bernard DVD  
février 1976 1993
(démission)
Henri Debord
(1913-1997)
DVD Conseiller général de Saint-Doulchard (1982 → 1994)
1993 mars 2001 Pierre Hospital DVD Conseiller général de Saint-Doulchard (1994 → 2001)
mars 2001 novembre 2001
(démission)
Édouard Rubio DVD  
novembre 2001 mai 2020 Daniel Bézard[27]
(1949-2023)
DVD Médecin généraliste
Vice-président de Bourges Plus
mai 2020 En cours Richard Boudet DVD Directeur de cabinet
Conseiller départemental de Saint-Doulchard (2021 → )
9e vice-président du conseil départemental (2021 → )
2e vice-président de Bourges Plus (2020 → )

Politique environnementale

[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[28].

Saint-Doulchard est jumelée avec la ville de Darłowo (Pologne).

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 9 645 habitants[Note 2], en évolution de +2,27 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
500397500422506537568619755
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7918428739781 0731 2041 3441 3561 379
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5541 5551 5761 5691 6491 7841 9152 4732 582
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4 5525 2746 6097 9289 1499 0189 0489 0209 197
2015 2020 2021 - - - - - -
9 4319 6649 645------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Presse écrite

[modifier | modifier le code]

Télévision

[modifier | modifier le code]

Saint-Doulchard est une ville active économiquement, son dynamisme se reflète à travers les nombreux territoires en mutation actuellement, des nouveaux quartiers et lotissements qui bourgeonnent aux périphéries de la ville, aux anciens quartiers et faubourgs proches du cœur de l’agglomération berruyère en cours de revitalisation : cette ville de taille moyenne est riche en projets d'aménagements[Lesquels ?].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Église
Église de Saint-Doulchard.

L'église du bourg de style roman a été construite au XIe siècle ; elle a été restaurée au XXe siècle et possède un reliquaire de forme élégante de style Louis XV. C'est dans ce reliquaire que se trouvent les reliques des saints Fructueux, Reparat et Illuminat. On suppose qu'il contient également des reliques de saint Doulchard. Ces reliques faisaient autrefois l'objet d'un pieux pèlerinage.

L'église détient une peinture du XVIIe siècle.

Château de Varye
Château de Varye.

Le château de Varye, construit en 1870 sur trois niveaux, est devenu un haut lieu culturel autour de la peinture, de la musique, de la littérature et autres. Le domaine de Varye jouit d'un parc d'une superficie de quatre hectares environ. Le domaine est ouvert au public depuis la réhabilitation du château.

Au cœur du domaine de Varye, un gîte d'étape d'une capacité d'accueil de 19 couchages reçoit les enfants du centre de loisirs ou des particuliers.

Château de Vouzay

Le château de Vouzay est connu pour avoir été la retraite de l'abbé de Choisy.

Le couvent des Annonciades

est un haut lieu spirituel de Saint-Doulchard.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 20/07/2008.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-Doulchard et Bourges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bourges » (commune de Bourges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bourges » (commune de Bourges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Bourges », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bourges », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consult�� le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Doulchard », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Bourges », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  17. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. « La sépulture du néolithique révélée par les archéologues au nord de Bourges livre ses premiers secrets. », sur leberry.fr, (consulté le ).
  25. a et b « Mairie de Saint Doulchard - Une Longue Histoire », sur mairie-saintdoulchard.fr (consulté le ).
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Doulchard », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  27. « Daniel Bezard, ancien maire de Saint-Doulchard, est décédé », Le Berry républicain,‎ (lire en ligne).
  28. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]