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Paul Delaroche

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Paul Delaroche
Paul Delaroche, Autoportrait, Paris, musée Hébert.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Hippolyte de la Roche
Nationalité
Formation
Activité
Période d'activité
Fratrie
Conjoint
Louise Vernet (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
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Maîtres
Genre artistique
Distinctions
Officier de la Légion d'honneur‎ ()
Ordre Pour le Mérite pour les sciences et arts (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Vue de la sépulture.

Hippolyte de la Roche[1], dit Paul Delaroche, est un peintre français né le à Paris où il est mort le .

Détail de L'Hémicycle des Beaux-Arts, 1841, Paris, École nationale supérieure des beaux-arts.

Paul Delaroche est issu d'une famille aisée. Son père, Grégoire-Hippolyte de la Roche (1761-1839), est expert en tableaux et marchand d'art. Le jeune-homme devient l'élève de Louis Étienne Watelet, puis de Antoine-Jean Gros, alors que son frère aîné Jules (1795-1849), également artiste-peintre, est l'élève de Jacques-Louis David.

Il expose pour la première fois au Salon de 1822, et attire l'attention de Géricault[2].

Il ne commence à être remarqué qu'au Salon de 1824 où sont exposés Saint Vincent de Paul prêchant pour les enfants trouvés et Jeanne d'Arc dans sa prison.

Au fil des expositions, il devient connu pour être l'initiateur de l'« anecdote historique », un genre à vocation documentaire et à sensibilité dramatique qui connaît un grand succès et qui s'inscrit dans la veine de la peinture d'histoire. Si Paul Delaroche est un des peintres les plus célèbres de son temps, c'est en grande partie dû au fait que le genre dont il s'est fait une spécialité convient parfaitement à l'idéal du mouvement artistique du « juste milieu » de la monarchie de Juillet.

Il expose dans les années suivantes : La Mort d'Elisabeth, Miss MacDonald secourant le Prétendant, Les Enfants d'Édouard (1830), l'un de ses tableaux les plus populaires, Richelieu traînant ses prisonniers sur le Rhône, Mazarin mourant, Strafford marchant au supplice, Charles Ier insulté par des soldats de Cromwell, Cromwell regardant le cadavre de Charles Ier, Le Supplice de Jane Grey (1833), L'Assassinat du duc de Guise.

Il est admis à l'Institut de France en 1832, où il est alors le plus jeune membre. Il est nommé, peu après, professeur à l'École des beaux-arts de Paris, où il enseigne jusqu'en 1843, date à laquelle un bizutage tragique, qui cause la mort d'un élève, le contraint à fermer son atelier[3].

À partir de 1836, il cesse d'exposer, mais continue à travailler sans relâche : il met quatre ans pour achever la peinture murale de Le Génie des arts entouré des artistes de tous les temps distribuant des couronnes de l'amphithéâtre de l'École en 1841, une vue panoramique qui rassemble 75 figures des plus grands artistes de toutes les époques. Les trois siégeant au centre sont Ictinos, Apelle et Phidias[4].

Parmi ses autres œuvres, on remarque Bonaparte franchissant les Alpes, Napoléon à Sainte-Hélène, Marie-Antoinette après sa condamnation, La Cenci marchant au supplice, Le Dernier adieu des Girondins, et plusieurs sujets religieux : Moïse exposé sur le Nil, Le Christ à Gethsemani, Le Christ sur la croix, Le Christ des affligés, L'Ensevelissement du Christ, La Vierge au pied de la croix, La Vierge chez les saintes femmes, La Vierge en contemplation devant la couronne d'épines, une Jeune martyre.

Paul Delaroche peint également pour le musée de Versailles : Le Baptême de Clovis, Le Sacre de Pépin, Le Passage des Alpes par Charlemagne et son Couronnement à Rome. Il exécute un grand nombre de portraits, parmi lesquels ceux de Guizot, Lamartine[2], Salvandy, Rémusat et Thiers.

L'École de Munich s'est inspirée de sa peinture d'histoire. Il a également influencé des peintres comme Fritz Zuber-Bühler[5].

Après avoir vu pour la première fois un daguerréotype il aurait prophétisé, selon Gaston Tissandier : « À partir d'aujourd'hui la peinture est morte. » Cependant, cette citation, sans doute apocryphe, est contestée par Stephen Bann, pour qui il n'existe pas de phrase plus ressassée et plus fallacieuse[6].

Proche de l'archéologue-égyptologue Charles Lenormant, il compose avec lui les vingt volumes du Trésor de numismatique et de glyptique (1831-1850)[7].

Il épouse le 28 janvier 1835 Louise Vernet, fille d'Horace Vernet[2], dont la mort prématurée en 1845 assombrit ses dernières années[8]. Leur descendance a joint les deux noms et s'appelle encore de nos jours Delaroche-Vernet.

L'œuvre peint a bénéficié d'être reproduit par de nombreux graveurs du vivant de l'auteur qui étaient proches de la galerie Goupil, connue internationalement, laquelle employait Henriquel-Dupont, Luigi Calamatta, Paolo Mercuri, Pierre Martinet, et d'autres, puis elle la fit même photographier dès 1858 par Robert Jefferson Bingham. De nombreuses toiles deviennent ainsi des « chromos », des images inscrites dans le quotidien du foyer, marquant les générations. C'est donc un peintre connu du grand public au XIXe siècle et sa popularité met en lumière l'histoire et l'évolution des goûts en termes d'art et de représentations, comme le résume Henri Delaborde dans son éloge (1857)[9] :

« À côté de M. Ingres et de M. Delacroix qui n'avaient et ne pouvaient avoir, en raison de leur absolutisme, qu'une action circonscrite sur le goût public, il y avait place pour un artiste dont le rôle consisterait à concilier, au moins en apparence, les doctrines ennemies et à se faire l'interprète des aspirations de tous. M. Delaroche prit ce rôle difficile et il le remplit avec un plein succès. »

Liste d'œuvres

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Tableau Titre Date Dimensions Notes Lieu de conservation
Hélène délivrée par Castor et Pollux 1817 Localisation inconnue
Philémon et Baucis reçoivent Jupiter et Mercure 1818 Localisation inconnue
Joas dérobé du milieu des morts par Josabeth vers 1822 355 × 259 cm Troyes, musée des Beaux-Arts
La Descente de Croix 1822 304 × 144 cm Chantilly, musée Condé
Fra Filippo Lippi et Lucrezia Buti 1822 65,2 × 50,5 cm Dijon, musée Magnin
Jeanne d'Arc en prison (esquisse) vers 1823-1824 21,8 × 18,7 cm Londres, The Wallace Collection
Jeanne d'Arc malade interrogée dans sa prison par le cardinal de Winchester 1824 277 × 217,5 cm Rouen, musée des Beaux-Arts
Jeanne d'Arc dans sa prison (réduction) 1825 48,1 × 37,8 cm Londres, The Wallace Collection
Les Suites d'un duel 1825 66 × 82 cm Salon de 1827, n° 307 Collection privée
La Mort du président Duranti 1827 310 × 270 cm perdu, détruit au Palais d'Orsay en 1871
Le Prince de Carignan à la prise du Trocadero 1828 93 × 74 cm Versailles, musée de l'Histoire de France
Le Duc d'Angoulême à la prise du Trocadero 1828 310 × 259 cm Versailles, musée de l'Histoire de France
La Mort d'Elisabeth Ire 1828 422 × 343 cm Base Joconde Paris, musée du Louvre
Portrait du marquis de Pastoret (esquisse) 1829 49 × 37,5 cm Bayonne, musée Bonnat
Portrait du marquis de Pastoret 1829 155,3 × 122,6 cm Boston, Museum of Fine Arts
La Barge du cardinal de Richelieu sur le Rhône 1829 57,2 × 97,3 cm Exposé au Salon Parisien de 1831 Londres, The Wallace Collection
Les Dernières Heures du cardinal Mazarin 1830 56,4 × 97,5 cm Exposé au Salon Parisien de 1831 Londres, The Wallace Collection
Les Enfants d’Édouard 1830 181 × 215 cm Exposé au Salon Parisien de 1831 Paris, musée du Louvre
Les Enfants d’Édouard (réduction) 1831 43,5 × 51,3 cm Londres, The Wallace Collection
Portrait d'Henriette Sontag 1831 73 × 60 cm Exposé au Salon Parisien de 1831 Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage
Cromwell au cercueil de Charles Ier d'Angleterre vers 1831 38 × 45 cm Hambourg, Kunsthalle
Cromwell au cercueil de Charles Ier d'Angleterre 1831 38 × 45 cm Nîmes, musée des Beaux-Arts
La Tentation de saint Antoine 1832 20 × 16 cm Londres, The Wallace Collection
Le Supplice de Jane Grey 1833 246 × 297 cm Musée Londres, National Gallery
Marie Madeleine se rendant à Marseille vers 1833-1835 19,5 × 42 cm Beauvais, musée départemental de l'Oise
L'Assassinat du duc de Guise 1834 57 × 98 cm Chantilly, musée Condé
L'Assassinat du duc de Guise 1834 Blois, musée des Beaux-Arts
Deux têtes de moines camaldules (Dom Bernardino Riglogli et dom Vincenzo Frilli 1834 22,2 × 31 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
Deux têtes de moines camaldules 1834 21,2 × 32,4 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
Tête de moine camaldule 1834 21,7 × 19 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
Tête de moine camaldule 1834 23,3 × 19 cm Musée Nantes, musée des Beaux-Arts
Tête de Christ vers 1834 38 × 27 cm Édimbourg, National Gallery of Scotland
La Conversion de Marie Madeleine vers 1834-1835 20 × 42,5 cm Londres, The Wallace Collection
Un apôtre 1835 46 × 49 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
Les Vainqueurs de la Bastille devant l'hôtel de Ville vers 1835 400 × 435 cm Paris, musée du Petit Palais
Sainte Cécile et les anges 1836 Londres, Victoria & Albert Museum
Anne d'Autriche (d'après Gilbert de Sève) 1836 74 × 61 cm Versailles, musée de l'Histoire de France
Hémicycle de l'école des Beaux-Arts (esquisse) 1836 35 × 212 cm Musée Nantes, musée des Beaux-Arts
L'Art gothique ou le Moyen Âge 53 × 34 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
La Renaissance 52,8 × 33,7 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
Hémicycle des Beaux-Arts 1837-1841 peinture murale Paris, École nationale supérieure des beaux-arts
Lord Strafford mené à l'échafaud 1837 284 × 392 cm Collection particulière
Charles Ier insulté par les soldats de Cromwell 1837 284 × 392 cm Londres, National Gallery
Portrait d'Horace Delaroche, fils de l'artiste 1838 95 × 56,4 cm Paris, musée du Petit Palais
Napoléon Ier à Fontainebleau le 31 mars 1814 1840 181 × 137 cm Paris, musée de l'Armée

(copie au musée des Beaux-Arts de Leipzig[10])

Tête de Léonard de Vinci 1841 19 × 16 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
File:Paul Delaroche - Hemicycle d'honneur.jpg Henri Gratien, comte Bertrand 1842 80 × 63 cm Versailles, musée de l'Histoire de France
L'Enfance de Pic de la Mirandole 1842 116 × 76 cm Musée Nantes, musée des Beaux-Arts
Portrait du comte Charles de Rémusat 1843 92 × 74 cm Toulouse, musée du Vieux Toulouse
Hérodiade 1843 129 × 98 cm Cologne, Wallraf-Richartz Museum
Portrait de Grégoire XVI 1844 112 × 89 cm Versailles, musée de l'Histoire de France
La Vierge à l'enfant 1844 147,7 × 87,5 cm Londres, The Wallace Collection
Portrait du duc Paul de Noailles
de l'Académie française
1845 Logo monument historique Classé MH (1993),
dépôt de l’État[11]
Maintenon, musée du château
Jeune fille à la balançoire 1845 69 × 52 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
Jeune Fille dans une vasque 1845 154 × 192,8 cm Besançon, musée des Beaux-Arts et d'Archéologie
Portrait du comte Narcisse-Achille de Salvandy 1846 146 × 114 cm Paris, musée du Louvre
Portrait de James-Alexandre, comte de Pourtalès-Gorgier 1846 Paris, musée du Louvre
La Femme de l'artiste, Louise Vernet, sur son lit de mort 1846 62 × 74,5 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
Scène familiale (inachevé) 103 × 97 cm Nantes, musée des Beaux-Arts
Une mère et ses enfants 14,4 × 13,8 cm Londres, The Wallace Collection
Charlemagne traverse les Alpes 1847 420 × 801 cm Versailles, musée de l'Histoire de France
Bonaparte franchissant les Alpes 1848 289 × 222 cm Base Joconde Paris, musée du Louvre
Un enfant apprenant à lire 1848 20,5 × 14,2 cm Londres, The Wallace Collection
Portrait de Ludmille Komar, princesse de Beauvau-Craon 1849 71 × 58 cm Montréal, Musée des beaux-arts de Montréal
Marie Antoinette devant le tribunal vers 1850 21,5 × 16,5 cm Vizille, musée de la Révolution française
La Jeune Martyre chrétienne 1853 73,5 × 60 cm Saint-Pétersbourg, musée de l'Ermitage
Un intérieur vers 1855 25 × 33 cm Paris, musée du Louvre
Sainte Véronique vers 1856 28 × 49 cm Paris, musée du Louvre
L'Évanouissement de la Vierge 1856 27 × 53 cm Paris, musée du Louvre
La Jeune Martyre chrétienne 1856 170,5 × 148 cm Base Joconde Paris, musée du Louvre
Le Retour du Golgotha 1856 27 × 53 cm Beauvais, musée départemental de l'Oise
  • Napoléon à Sainte-Hèlène.
  • Marie-Antoinette après sa condamnation.
  • La Cenci marchant au supplice.
  • Le Dernier adieu des Girondins.
  • Moïse exposé sur le Nil.
  • Le Christ à Gethsemani.
  • Le Christ sur la croix.
  • Le Christ des affligés.
  • L'Ensevelissement du Christ.
  • La Vierge au pied de la croix.
  • La Vierge chez les saintes femmes.
  • La Vierge en contemplation devant la couronne d'épines.
  • Miss MacDonald secourant le Prétendant.
  • Strafford marchant au supplice.
  • Le Baptême de Clovis, Versailles, musée de l'Histoire de France .
  • Le Sacre de Pépin, Versailles, musée de l'Histoire de France.
  • Le Couronnement à Rome, Versailles, musée de l'Histoire de France.
  • La Lecture de la Bible, fusain et rehauts de pastel et de craie blanche, 21,5 × 27,7 cm[12]. Paris, Beaux-Arts de Paris[13]. D'une facture très achevée, ce dessin met en scène Thomas More, personne emblématique de la Renaissance anglaise (décapité en 1535 sous henri VIII), dans un cadre familier qui contraste avec son destin tragique. Assis à une table il fait la lecture à ses quatre enfants qui boivent ses paroles.
  • La Mort du chevalier Bayard, plume, encre brune et aquarelle, 10,2 × 14,9 cm[14]. Paris, Beaux-Arts de Paris[15]. Delaroche fait écho à l'intérêt porté dans les années 1820 à Pierre Terrail, seigneur Bayard le chevalier "sans peur et sans reproche". Souvent portraituré lors d'épisodes glorieux, Delaroche choisit ici de représenter sa mort. Chemise ouverte, casque posé à terre et entouré de soldats reccueillis auprès de lui, cette interprétation ne pouvait qu'émouvoir le public.

Expositions

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Notes et références

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  1. Le Petit Robert des noms propres.
  2. a b et c Grand Larousse Encyclopédique en dix volumes, t. 3, , p. 881.
  3. (en) Mary Lathers, Encyclopedia of the Romantic Era, 1760-1850, Christopher John Murray éd., New York, Routledge, 2013, p. 275, 1336 p. (ISBN 978-1-13545-579-8).
  4. Alain Bonnet, « Une histoire de l’art illustrée : l’hémicycle de l’École des beaux-arts par Paul Delaroche », Histoire de l'art, vol. 33, no 1,‎ , p. 17–30 (DOI 10.3406/hista.1996.2713, lire en ligne, consulté le )
  5. « Fritz Zuber-Buhler », sur historyofpainters.com (consulté le ).
  6. Stephen Bann (trad. Pierre Camus), « Photographie et reproduction gravée : L’Économie visuelle au XIXe siècle », sur Études Photographiques, .
  7. Charles Lenormant et Paul Delaroche (éditeurs), Trésor de numismatique et de glyptique, ou Recueil général de médailles, monnaies, pierres gravées, bas-reliefs, tant anciens que modernes, les plus intéressants sous le rapport de l'art et de l'histoire, avec figures gravées par Henriquel-Dupont (procédé Achille Collas), Paris, Rittner et Goupil et Vve Lenormant, 1831-1850, en 20 volumes — lire en Gallica.
  8. Amédée Durande, Joseph, Carle et Horace Vernet. Correspondance et biographies, Paris, Hetzel, (lire en ligne), p. 103.
  9. Œuvre de Paul Delaroche, notice de Henri Delaborde, sur Gallica.
  10. (de) « Initiator des Bildermuseums: Jan Nicolaisen über Adolph Heinrich Schletter », sur LVZ - Leipziger Volkszeitung (consulté le )
  11. « Tableau : portrait du duc de Noailles », notice no PM28000973, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  12. « La lecture de la Bible, Paul Delaroche, sur Cat'zArts »
  13. Sous la direction d’Emmanuelle Brugerolles, Le dessin romantique, de Géricault à Victor Hugo, Carnets d’études 50, Beaux-Arts de Paris les éditions, 2021, p 99-102, Cat. 18
  14. « La Mort du chevalier Bayard, Paul Delaroche, sur Cat'zArts »
  15. Sous la direction d’Emmanuelle Brugerolles, Le dessin romantique, de Géricault à Victor Hugo, Carnets d’études 50, Beaux-Arts de Paris les éditions, 2021, p 103-105, Cat. 19
  16. D'après le dictionnaire Bellier et Auvray, qui peut être sujet à caution : voir Didier Rykner, « Deux tableaux de Léon-Marie-Joseph Billardet acquis par Nantes », sur latribunedelart.com, (consulté le ).
  17. Catalogue[Lequel ?] de la Galerie Alexis Bordes, pp. 15-16, Paris, .

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Louis-Antoine Prat, Paul Delaroche, Paris, New York, Louvre éd. ; Le Passage, coll. « Cabinet des dessins » (no 25), , 86 p. (ISBN 978-2-35031-367-2, BNF 42695990).
  • Marie-Pierre Foissy-Aufrère, La "Jeanne d'Arc" de Paul Delaroche : Salon de 1824 : exposition au Musée des beaux-arts de Rouen, 15 janvier-14 mars 1983, Rouen, Musée des beaux-arts, , 146 p. (BNF 34740181).
  • (en) Stephen Bann, Painting history : Delaroche and Lady Jane Grey : exhibition, National Gallery, London, from 24 February to 23 May 2010, New Haven, Yale university press, , 168 p. (ISBN 978-1-85709-479-4, BNF 42160516).
  • Stephen Duffy, Paul Delaroche, 1797-1856 : paintings in the Wallace collection : exhibition held at the Wallace collection, London, 11 September 1997-12 January 1998, Londres, Trustees of the Wallace collection, (ISBN 0-900785-62-4, BNF 37625004).
  • Claude Allemand-Cosneau (dir.) et Isabelle Julia (dir.), Paul Delaroche : un peintre dans l'Histoire : exposition : Nantes, Musée des beaux-arts, 22 octobre 1999-17 janvier 2000, Montpellier, Pavillon du Musée Fabre, 3 février-23 avril 2000, Nantes, Paris, Montpellier, Musée des beaux-arts ; Réunion des musées nationaux ; Musée Fabre, , 333 p. (ISBN 2-7118-3879-X, BNF 37058595).
  • (en) Stephen Bann, Paul Delaroche : history painted, Londres, Reaktion books, (ISBN 1-86189-007-9, BNF 36966987).
  • J. D'Erlo, « Paul Delaroche, peintre (1797-1856) », Les Contemporains, no 671,‎ , p. 16 (ISSN 2016-7830, BNF 32080625).
  • Eugène de Mirecourt, Delaroche. Decamps, Paris, Librairie des contemporains, , 3e éd., 64 p. (BNF 34213088).
  • Dictionnaire Bénézit.
  • Claude Allemand-Cosneau et Isabelle Julia, Paul Delaroche, un peintre dans l'histoire, Paris, RMN, 1999.
  • Jules Goddé, Catalogue Raisonné de Paul Delaroche, œuvre reproduit en photographie par Robert Jefferson Bingham accompagné d'une notice de Henri Delaborde, éditeur Goupil & Cie, 19 boulevard Montmartre et 9 rue Chaptal, 1858, notice 27.p., 86 planches photos, liste des élèves de l'artiste, liste des souscripteurs.
  • Laure Boyer, « Robert Jefferson Bingham, photographe du monde de l'art sous le Second Empire », Études photographiques, no 12, , p. 21 (texte en ligne).
  • Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Paul Delaroche » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, (lire sur Wikisource) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Liens externes

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