Ouézy
Ouézy | |
Le lavoir. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Communauté de communes Val ès Dunes |
Maire Mandat |
Joël Duguey 2020-2026 |
Code postal | 14270 |
Code commune | 14482 |
Démographie | |
Population municipale |
236 hab. (2021 ) |
Densité | 52 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 05′ 00″ nord, 0° 06′ 12″ ouest |
Altitude | Min. 14 m Max. 76 m |
Superficie | 4,55 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Troarn |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
modifier |
Ouézy est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 236 habitants[Note 1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Ouézy se situe au pied de coteaux argileux, à la lisière du pays d'Auge et de la plaine de Caen. S'élevant au nord de la commune, ces coteaux sont constitués de bosquets et de prairies. Au sud s'étendent des terres planes et labourables propices à la culture céréalière. La commune est baignée par le Laizon, ruisseau du bassin côtier de la Dives.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 666 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mézidon Vallée d'Auge à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 782,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Ouézy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,5 %), forêts (30,4 %), prairies (19,9 %), zones urbanisées (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme Oisiacum en 1025[14].
Le toponyme serait issu d'un anthroponyme latin[14] ou roman[15] tel qu'Otius ou Autius.
À l'époque médiévale, Ouézy portait le nom d'Ociciacus et se situait dans le Pagus Oximensis (comté d'Hiémois)[16].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Une partie de la paroisse d'Ouézy passe sous la dépendance de l'abbaye de Jumièges dès le début du XIe siècle. Une charte de Richard II, duc de Normandie, signée à Falaise en 1027, nous renseigne sur les donateurs de ces prés, bois, eaux, moulins et pêcheries offerts aux moines : il s'agit de trois frères nommés Evrad, Aubin et Théormar. D'autres bienfaiteurs vinrent immédiatement renforcer le domaine concédé en offrant des terres situées dans des paroisses voisines. Ainsi l'abbaye de Jumièges établit-elle bientôt un prieuré à Ouézy[17].
Au cours de l'été 1047, le roi Henri Ier vient prêter main-forte au jeune duc de Normandie, Guillaume le bâtard. Il aurait établi son campement au lieu-dit les Forges, sur les rives du Laizon.
En 1066, Guimont d'Ouézy, seigneur dudit lieu, combat aux côtés de Guillaume à Hastings. Cette famille blasonnera de gueules au chevron d'or accompagné de trois besans d'argent. Elle incorporera à son nom le fief d'Olendon, près Falaise.
En 1088, est attesté Hervé d'Ouézy, fils de Richard.
Au cours du XIIe siècle, le prieuré d'Ouézy s'étend encore avec des dons consentis par un seigneur voisin, Herbert de Méry. Ce dernier regrette manifestement ses libéralités et une contestation l'oppose aux moines de Jumièges. Un accord intervient entre 1127 et 1141. Cette conciliation revêt un certain éclat car elle a lieu au prieuré en présence de Jean, évêque de Lisieux, et de Guillaume, abbé de Jumièges ainsi que d'une foule de notabilités locales parmi lesquelles Hervé d'Ouézy.
Vers cette époque, Roger, seigneur de Cesny-aux-Vignes, fait lui aussi quelques dons, pour le salut de son âme et celui de ses aïeux, de trois acres de terre sises entre le marais et la route d'Ouézy à Cesny. À son tour, le fils de Roger, Guillaume de Cesny, conteste aux moines les libéralités de son père et un accord est signé en 1198 et 1213 à Ouézy « en face de toute la paroisse ». Cette charte nous renseigne sur le personnel du prieuré nommé ici par l'abbé de Jumièges. Renouf, prieur, est entouré de deux moines, Odon de Fourneville et Pierre de Caen ainsi que du prêtre Henry qui assure vraisemblablement le ministère paroissial.
À une date qui reste inconnue, Rose d'Ouézy, veuve de Guillaume Clarel, officier de l'abbaye de Jumièges, consent en compagnie de son fils à un don en faveur du prieuré. Il consiste notamment en un tiers de leur fief sis à Ouézy et en un tiers de leur vignobles situés en Angleterre. Ils abandonnent en outre leur droit de passage dans le bois des moines à Ouézy.
Avant 1250, cesse la vie monastique au prieuré d'Ouézy. À cette époque, les terres possédées ici par Jumièges sont affermées à un certain Osmond. En 1251, l'abbé de Jumièges trouve meilleur preneur. Les possessions de l'abbaye de Jumièges sont érigées en baronnie.
En 1275, Aélicie d'Ouézy cède à l'abbaye de Jumièges ses droits sur les moulins d'Ouézy.
La présence de vignobles est attestée sur les coteaux d'Ouézy au Moyen Âge ainsi que dans la commune voisine de Cesny-aux-Vignes[18]. Au XIIIe siècle, la baronnie d'Ouézy fournit aux moines de Jumièges 100 muids de vin par an[19]. Une charte de 1241 fait état de vignobles appartenant à Maître Thomas, d'Allemagne, près Caen et situés entre les vignes de Raoul d'Anisy et de Richard Malapert[20]. En 1427, Jehan de Saint-Clair achète à l'abbaye de Jumièges une acre de vigne au lieu-dit le Clos-l'Abbé[21].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]En 1650, subsistent à Canon, en direction d'Ouézy, des vignobles mal entretenus s'étendant sur une dizaine d'acres[22]. En 1669, on cite encore la vigne Jeandun, jouxtant, près du chemin de Mézidon, les vignes vis-à-vis le petit bois, les Plates-Vignes, dites aussi vignes d'Ouésy[21]. Des vignobles ont été réimplantés récemment[Quand ?] à Ouézy.
En 1764, de petites écoles sont attestées à Ouésy sous la baguette de Maître Pierre Pierre[23].
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]1790 : la baronnie d'Ouézy va bientôt[Quand ?] échapper à l'abbaye de Jumièges. Elle est affermée à Jean Morière pour 3 130 livres.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]En 1863, M. Adigard, propriétaire à Ouésy-sur-Laizon, fait don au département du Calvados d'un important fonds de parchemins illustrant l'histoire de la localité[24].
Le , le ministre de la Justice et des Cultes accorde un secours de 1 800 francs à la commune pour la reconstruction du presbytère.
Dix-sept enfants d'Ouézy perdent la vie durant la Première Guerre mondiale.
En , a lieu un tragique fait divers à Ouézy. Par dépit amoureux, un employé des chemins de fer tire trois coups de révolver sur son ancienne fiancée. Atteinte à la tête et au bras, la victime en réchappe.
: M. Delavallée est élu maire. L'adjoint est M. Desrivières.
En , une affaire sordide secoue la commune. Une jeune fille de 15 ans accouche d'un enfant qui meurt peu après. La mère de la parturiente fait disparaître le cadavre du nouveau-né dans le foyer de sa buanderie. Elle est condamnée à un an de prison avec sursis.
Seconde Guerre mondiale : Ouézy compte quatre morts pour la France.
Du au , Ouézy forme avec la commune de Cesny-aux-Vignes, la commune de Cesny-aux-Vignes-Ouézy[25].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de onze[31] dont le maire et un adjoint[30].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2021, la commune comptait 236 habitants[Note 3], en évolution de +3,51 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Ouézy a compté jusqu'à 355 habitants en 1806.
Enseignement
[modifier | modifier le code]La base de données du ministère de l’Éducation nationale indique la présence d'une école primaire publique regroupant une école maternelle et une école élémentaire pour un total de 54 élèves (année 2017-2018) à Cesny-aux-Vignes - Ouézy[36].
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments remarquables
[modifier | modifier le code]La commune compte un monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[37], aucun lieu ni monument répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[38]. Par ailleurs, elle ne compte aucun objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[39] et 140 objets ni à l'inventaire général du patrimoine culturel[40].
Le chœur du XIIe siècle de l'église Saint-Pierre est classé depuis le [41]. On remarque, du côté nord, une porte à plein cintre dans le tympan de laquelle est la représentation d'un moine couché et dormant. Sous l'Ancien Régime, l'abbaye de Jumièges avait le patronage de cette église. La tradition rapporte que l'église primitive d'Ouézy se trouvait à une certaine distance dans la campagne, au lieu-dit Clos Saint-Pierre. Les moines déplacèrent ensuite la paroisse dans leur propre chapelle dédiée à saint Aubin[réf. nécessaire].
Autres lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Au sud de l'église, de l'ancien prieuré, il ne subsiste qu'un bâtiment servant de corps de ferme et présentant des cheminées géminées octogones. Face à la maison d'habitation des moines existait une grange, ornée de colonnes et d'ogives, où s'entreposaient les récoltes et les dîmes relevant du prieuré[42].
Le buste du peintre Jules Louis Rame (1855-1927) est visible dans le cimetière d'Ouézy.
La grille monumentale du château (XVIIIe siècle) est due au maître serrurier caennais, Jules Lechevrel, nommé chevalier de la Légion d'honneur à 90 ans. Reconverti en colonie de vacances puis en centre de cure, le château était, à la fin du XIXe siècle, propriété de William, comte de Bonchamps.
Quatre sépultures franques ont été mises au jour en 1982 à proximité du CD 47. Elles contenaient quatre squelettes en assez bon état de conservation ainsi qu'une fibule en arbalète en bronze pouvant dater de la seconde partie du Ve siècle[43].
Activité et manifestations
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Raoul de la Rivière fait don de ses terres d'Ouézy à l'abbaye de Jumièges en [44].
- Nicolas du Bourget, sieur de Chaulieu (né à Caen en 1642, mort à Ouézy en 1721). Il s'installa dans la paroisse en 1705 par l'acquisition de terres appartenant à Georges Le Sueur. Poète latin, ses œuvres ont été imprimées à Caen chez Jean Cavelier et Richard Poisson (in-8)[45].
- Jean-Baptiste-François de Picquot d'Ouézy, descendant d'un frère de Jeanne d'Arc, Pierre d'Arc, chevalier du Lys.
- Georges-Fernand Dunot, baron de Saint-Maclou (né le à Ouézy, mort le à Lourdes). Sa famille s'était illustrée dans les guerres de la Ligue et comptait 22 militaires tués sur les champs de bataille. Il fut élève de l'école spéciale militaire de Saint-Cyr d'où il sortit avec le no 9 mais une santé précaire lui fit abandonner le métier des armes. Il se tourna alors vers la médecine et fut d'abord reçu officier de santé à 31 ans. Puis il obtint son doctorat à la faculté de Louvain. Membre de la société des antiquaires de Normandie, il donne notamment une étude sur les combats de la Dive en 945[46]. En 1873, il fonde La semaine religieuse de Nice avant de créer à Lourdes le Bureau de constatations des guérisons[47].
- Jules Louis Rame (1855-1927), peintre, né et mort à Ouézy.
- Gabriel Desrivières (1857-1931), artiste-peintre né à Paris, installé à Ouézy, où il meurt le , membre de la Société des beaux-arts de Caen dès .
- Léandre Anicet Fallou (1912-2000), capitaine de réserve de l'Armée de l'air, officier de la Légion d'honneur, médaillé de l'Aéronautique. Il effectua, en 1949, le premier ravitaillement de l'expédition Paul-Émile Victor. Il est mort à Ouézy.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Coupé ondé : au 1er parti au I de de gueules à deux léopards d'or, armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l'autre, au II d'or à un crosseron de sable, au 2e d'azur à trois clés d'argent[48]. |
|
---|---|---|
Détails | Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armoiries de la Normandie. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Résumé statistique d'Ouézy sur le site de l'Insee
- Inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale 2021 .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Ouézy et Mézidon Vallée d'Auge », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mezidon-Canon » (commune de Mézidon Vallée d'Auge) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mezidon-Canon » (commune de Mézidon Vallée d'Auge) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 89
- Polyptyque de l'abbé Irminon, M. B. Guérard, t. 1, P. 53, Impr. royale (Paris)-1844.
- Chanoine Georges Simon, Une possession de Jumièges en Pays d'Auge, Congrès scientifique du XIIIe centenaire de l'abbaye de Jumièges, t.1, p. 169.
- Bulletin de la société historique et archéologique de l'Orne, Alençon, 1910, T. 29, p. 193.
- Histoire de l'abbaye de Jumièges, Société de l'Histoire de Normandie, t. 2, p. 10.
- Léchaudé d'Anisy, T. 2, P. 5.
- Archives du château de Canon.
- Mémoires de l'Académie royale des sciences, arts et belles-lettres de Caen - Chalopin fils (Caen)- 1910, p. 42.
- Inventaire historique des actes transcrits aux insinuations ecclésiastiques de l'ancien Diocèse de Lisieux, abbé Piel, t. 3 impr. E. Lerebour (Lisieux )-1891-1895, p. 734.
- Rapports et délibérations du conseil général du Calvados, Caen, Veuve Pagny, 1863, p. 291.
- Pauline Machard, « Après 33 ans de discorde, Cesny et Ouézy ont mis fin à leur union », sur le site du quotidien Ouest France, (consulté le ).
- Après 33 ans de discorde, Cesny et Ouézy ont mis fin à leur union
- « Près de Caen. Municipale partielle à Ouézy les 8 et 15 avril 2018 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « La commune d'Ouézy (14482) : les chiffres-clés », sur le site du quotidien Le Monde (consulté le ).
- « Joël Duguey a été élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2020 : « Municipales à Ouézy. Joël Duguey est réélu maire à l’unanimité », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Calvados (14) > Cesny-aux-Vignes-Ouezy > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Liste des monuments historiques de la commune de Ouézy », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Ouézy à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Ouézy », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune de Ouézy à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Église d'Ouezy », notice no PA00111218, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bulletin monumental, Société française d'archéologie, 1844, P. 182.
- Archéologie historique. Fouilles exécutées par la Direction régionale des Antiquités historiques de Basse-Normandie en 1982, Annales de Normandie, 1983, p. 314.
- Généalogie de la famille de la Rivière. R. de la Rivière. 1970. Archives Nationales.
- Manuel du bibliographe normand, par Édouard Frère, Éditions Le Brument, Rouen, 1857.
- Bulletin des Antiquaires de Normandie, 1892, t. 16, p. 74.
- Nouvelle biographie normande, N.-N. Oursel, A. Picard (Paris, 1886-1912, P. 404.
- « Ouézy », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).