Nathalie Loiseau
Nathalie Loiseau | |
Nathalie Loiseau en 2024. | |
Fonctions | |
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Députée européenne | |
En fonction depuis le (5 ans, 4 mois et 7 jours) |
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Élection | 26 mai 2019 |
Réélection | 9 juin 2024 |
Circonscription | France |
Législature | 9e et 10e |
Groupe politique | RE |
Ministre chargée des Affaires européennes | |
– (1 an, 9 mois et 6 jours) |
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Premier ministre | Édouard Philippe |
Ministre | Jean-Yves Le Drian |
Gouvernement | Philippe II |
Prédécesseur | Marielle de Sarnez |
Successeur | Amélie de Montchalin (secrétaire d'État) |
Directrice de l'École nationale d'administration | |
– (4 ans, 8 mois et 18 jours) |
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Prédécesseur | Bernard Boucault |
Successeur | Patrick Gérard |
Biographie | |
Nom de naissance | Nathalie Lydie Jeanne Ducoulombier |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Neuilly-sur-Seine (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | LREM (2017-2021) HOR (depuis 2021) |
Diplômé de | INALCO IEP de Paris |
Profession | Haute fonctionnaire |
Religion | Catholicisme |
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Nathalie Loiseau, née Ducoulombier le à Neuilly-sur-Seine (alors dans le département de la Seine), est une haute fonctionnaire et femme politique française.
Diplomate, elle travaille pendant vingt-six ans au ministère français des Affaires étrangères. Elle est notamment, pendant la guerre d'Irak en 2003, porte-parole de l'ambassade de France aux États-Unis où elle participe à apaiser les tensions induites par le refus de la France de s'associer aux forces américaines. En 2011, elle est nommée directrice générale de l'administration du Quai d'Orsay, une fonction qu’elle abandonne l'année suivante pour prendre la direction de l'École nationale d'administration.
De 2017 à 2019, elle est ministre chargée des Affaires européennes dans le second gouvernement Édouard Philippe. Elle quitte le Gouvernement pour conduire la liste de la majorité aux élections européennes de 2019. Elle arrive en deuxième position de ce scrutin (22 %), derrière celle du Rassemblement national (23 %).
Elle rejoint en 2021 le parti Horizons, fondé par l'ancien Premier ministre Édouard Philippe. Elle est réélue députée européenne en 2024.
Biographie
[modifier | modifier le code]Origines et formation
[modifier | modifier le code]Nathalie Lydie Jeanne Ducoulombier[1] naît le à Neuilly-sur-Seine[2]. Elle est la fille de Claude Ducoulombier, banquier de profession, et de Josée Prat[3].
Élève au lycée Carnot à Paris, Nathalie Loiseau obtient son baccalauréat à l'âge de 16 ans. Elle intègre l'Institut d'études politiques de Paris, dont elle sort diplômée en 1983[4], puis étudie le mandarin à l'Institut national des langues et civilisations orientales[5],[2].
Carrière professionnelle
[modifier | modifier le code]À l'âge de 19 ans, en 1983, Nathalie Loiseau trouve un emploi dans la mode. Elle livre peu de détails de cette courte carrière dans ce secteur, hormis le souvenir d'avoir livré une robe à l'actrice Marlene Dietrich[5].
Débuts aux Affaires étrangères
[modifier | modifier le code]En 1986, à 22 ans, elle réussit le concours du Quai d'Orsay. Elle est notamment en poste à Jakarta, de 1990 à 1992, où elle rencontre son futur mari[6]. Elle est ensuite secrétaire d’ambassade en Indonésie, au Sénégal et au Maroc. À Dakar, elle se lie d’amitié avec la femme de lettres Catherine Clément[6]. Dans le cadre du conflit en Casamance, elle prend part à la médiation française visant à rétablir la paix dans la région[7]. Envoyée au Maroc, elle est chargée du suivi de la situation au Sahara occidental[8].
Cabinet du ministre des Affaires étrangères
[modifier | modifier le code]En 1993, elle est la benjamine du cabinet du ministre des Affaires étrangères Alain Juppé[9].
Porte-parole de l’ambassade de France aux États-Unis
[modifier | modifier le code]Elle est d' à juillet 2007 responsable du service de presse et porte-parole de l’ambassade de France aux États-Unis. En 2003, pendant la guerre d'Irak à laquelle ne s'est pas associée la France, l'administration et l'opinion publique américaine deviennent hostiles. Nathalie Loiseau et l'ambassadeur, Jean-David Levitte, réagissent : « Bush, le Congrès et le troisième pouvoir étaient contre nous. Et tous les gourous de la com nous conseillaient de laisser passer », explique Jean-David Levitte. « Avec Nathalie, qui dirigeait le service de communication, nous avons décidé de riposter. Et nous avons gagné. Tout ce temps, elle est restée d’un calme et d’une sérénité à toute épreuve. Elle a du sang-froid »[6]. Initiative inhabituelle[10], Jean-David Levitte et Nathalie Loiseau rédigent ensemble une lettre ouverte via le Washington Post[11]. La campagne anti-française se calme[11].
Épisode polémique : DRH au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères
[modifier | modifier le code]En 2009, elle est nommée directrice des ressources humaines au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.
Françoise Nicolas, agent en poste au Bénin de 2008 à 2010, l'accuse en 2017, puis à nouveau en 2019, d'avoir couvert des faits de violences et un « système de créations de dépenses fictives » à l'ambassade de France[12],[13] et la tient responsable des persécutions qu'elle aurait subies après avoir signalé ces malversations financières au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères[14],[15].
Les allégations de 2017 avaient fait l’objet d’un droit de réponse de Nathalie Loiseau[16]. En retour, Mondafrique a évoqué le caractère « contradictoire » de la réponse de Nathalie Loiseau ainsi que « la solidité du dossier dont dispose Françoise Nicolas » qui revêt un « caractère d’intérêt général »[12].
Directrice générale de l'administration du ministère des Affaires étrangères
[modifier | modifier le code]Alain Juppé lui confie en la fonction de directrice générale de l'administration du ministère des Affaires étrangères[11],[17]. Elle en est évincée fin . À ce sujet, une de ses amies diplomates évoque « le fait du prince, Laurent Fabius »[6].
Directrice de l'ENA
[modifier | modifier le code]Le , sans en être une ancienne élève, elle est nommée directrice de l’École nationale d’administration (ENA)[6]. Elle s'engage à réformer à la fois le contenu des enseignements et le processus de recrutement. Elle dit vouloir « prêter attention aux élèves et leur enseigner le management. Ils sont intelligents, mais cela ne suffit pas à faire d'eux de bons managers »[11]. Elle s’attelle également à réformer les concours d'entrée pour renforcer l'égalité des chances[18]. En 2019, elle livre son retour d'expérience lors de sa prise de fonction au sein de la direction de l'école en déclarant : « Je n’ai pas été accueillie avec des fleurs, en n’étant pas ancienne élève, femme et moins de 50 ans, j’avais l’impression d’être une romanichelle quand je suis arrivée à la tête de l’ENA »[19].
Parcours politique
[modifier | modifier le code]Débuts
[modifier | modifier le code]En 1984, aux côtés notamment de Christophe Bay, un haut fonctionnaire ayant contribué officieusement au programme de Marine Le Pen en 2017, Nathalie Loiseau est candidate aux élections étudiantes de l'Institut d'études politiques de Paris sous l’étiquette de l'Union des étudiants de droite[20],[21]. En 2019, ce dernier est décrit par Mediapart comme « un syndicat né sur les cendres du GUD », une organisation étudiante française d'extrême droite réputée pour ses actions violentes et étant alors proche du Front national[20]. L'entourage de Nathalie Loiseau dément l'information dans un premier temps mais, confrontée au document de Mediapart, elle finit par reconnaître « une erreur de jeunesse »[21]. Elle affirme n'avoir à l'époque « pas perçu » la couleur politique de ce mouvement[20],[22],[23]. Elle s'indigne également que ses détracteurs remettent en cause son engagement politique en déclarant : « J’entends certains aujourd’hui me prêter une proximité avec l’extrême droite[24]. C’est révoltant. C’est le contraire de ma vie et de mon engagement depuis trente-cinq ans »[25].
En 1989, elle se présente aux élections européennes sous son nom patronymique Nathalie Ducoulombier. Elle figure en 49e position sur la liste fédéraliste « Initiative pour une démocratie européenne », menée par Franck Biancheri et sur laquelle figure l'éditorialiste Élisabeth Lévy[26]. La liste obtient 0,17 % des suffrages et finit dernière[27].
Ministre chargée des Affaires européennes
[modifier | modifier le code]Le , elle est nommée ministre chargée des Affaires européennes dans le second gouvernement Édouard Philippe, pendant la première présidence d'Emmanuel Macron[28],[29].
Élections européennes de 2019
[modifier | modifier le code]En , son nom est régulièrement avancé pour devenir tête de liste aux élections européennes[30]. Elle démissionne du Gouvernement le , après avoir été investie à la tête de la liste La République en Marche - MoDem[31].
Alors que Nathalie Loiseau est jugée peu charismatique et suscite plusieurs polémiques[32],[33],[34],[35], notamment avec l'agression verbale d'un candidat concurrent (le 19 avril 2019, sur Paris Première, elle affirme que Nicolas Dupont Aignan mérite « vraiment deux claques...deux claques » pour son attitude jugée complotiste[36],[37]), Emmanuel Macron s'implique activement dans la campagne au point d’être considéré comme la véritable tête de liste de la majorité aux élections européennes[38],[39] : il estime impératif que l’alliance LREM-MoDem-Agir-MR-AC arrive en tête du scrutin — une hypothèse longtemps privilégiée par les sondages — et apparaît seul sur des affiches électorales, un fait inédit pour ce type de scrutin[40]. Le , en déplacement au Mémorial de Caen, Nathalie Loiseau déclare vouloir « un Blitzkrieg positif » pour les dernières semaines avant le scrutin des européennes, ce qui fait réagir plusieurs personnalités politiques[35],[41],[42]. Le , la liste conduite par Nathalie Loiseau termine finalement en deuxième position, avec 22,41 % des suffrages exprimés et 21 élus ; la liste du Rassemblement national arrive en tête avec 23,33 % des suffrages exprimés et 22 sièges[43]. La liste d'Europe Écologie Les Verts arrive troisième avec 13,48 % et 13 élus[43].
Députée européenne
[modifier | modifier le code]Le , avant son entrée en fonction comme députée européenne, Nathalie Loiseau renonce à la présidence du groupe centriste au Parlement européen. Cette décision intervient après plusieurs maladresses, notamment des critiques de sa part en off à l'endroit d'Angela Merkel, de Manfred Weber et des élus du groupe ADLE, dont l'ex-Premier ministre belge Guy Verhofstadt[44],[45],[46]. Dans un premier temps, elle nie ses déclarations. Le 12 juin, Le Canard enchaîné confirme la véracité de ces propos peu diplomatiques. Sous pression, Nathalie Loiseau renonce à la présidence du groupe centriste[47]. Les médias indiquent que l'Élysée est directement à l'origine de cette décision[48],[49]. Elle renonce également à prendre la tête de la délégation des députés européens LREM[50]. Elle choisit comme assistantes parlementaires Sixtine Dufay, qui exerça auprès de Philippe Juvin (LR), ayant depuis été remplacée, et Hélène Loncol, qui fut l'assistante d'Alain Lamassoure[51]. Après sa défaite, Nathalie Loiseau admet des erreurs de communication en déclarant : « J'ai parlé cash et je le paie cash »[52], estimant que le monde politique est « un milieu darwinien et malthusien »[53].
Le , elle est élue présidente de la sous-commission sécurité et défense du Parlement européen[54]. Elle est également vice-présidente de la délégation pour les relations avec l'Assemblée parlementaire de l'OTAN.
À partir de septembre 2019, elle devient la coordonnatrice du groupe Renew Europe au sein de la commission spéciale sur l’ingérence étrangère dans l’ensemble des processus démocratiques de l’Union européenne, y compris la désinformation[55].
Le , elle est élue présidente de la nouvelle délégation permanente du Parlement européen à l'Assemblée parlementaire UE-Royaume-Uni (D-UK)[56] et devient à ce titre co-présidente du groupe de contact du Parlement européen sur le Royaume-Uni[57].
En 2022, elle met en garde l'Union européenne face au risque de « devenir une grosse Suisse molle » ; elle est contrainte de s'excuser auprès des Suisses après cette gaffe diplomatique[58].
Elle est cinquième sur la liste Besoin d'Europe aux élections européennes de 2024 et est réélue.
Vie privée et familiale
[modifier | modifier le code]Nathalie Ducoulombier se marie le avec Bertrand Loiseau, directeur exécutif adjoint à l'innovation de l'Agence française de développement. Catholique pratiquante[59], Nathalie Loiseau a quatre enfants[60] : les trois premiers, dont des jumeaux[61], sont nés au Sénégal et le dernier aux États-Unis[6].
Prises de position
[modifier | modifier le code]Réforme de l'ENA
[modifier | modifier le code]En 2019, lorsque le président de la République, Emmanuel Macron, annonce son intention de supprimer l’ENA, Nathalie Loiseau se dit « soulagée qu’on donne un coup de pied dans la fourmilière »[62]. Selon un document retrouvé par Mediapart, elle disait cependant en 2017 : « Supprimer l’ENA devient l’argument des hommes politiques sans idées ou des journalistes sans culture »[62].
Transition écologique
[modifier | modifier le code]Lors de la campagne pour les élections européennes de 2019, Nathalie Loiseau se positionne en faveur d'une transition écologique plus importante. Elle affirme que seulement 1 % de l'épargne européenne est utilisée pour la transition écologique en et estime que 40 % du budget de l'Union européenne devrait être destiné à la transition écologique[63],[64].
Controverse
[modifier | modifier le code]En , il est révélé par des déclarations au média en ligne Politico qu'à la suite d’une demande du Parlement européen à tous les membres de la sous-commission sécurité et défense de faire vérifier leurs téléphones, la présence du logiciel espion Pegasus a été détectée dans les téléphones de deux députées européennes, dont celui de Nathalie Loiseau ainsi que dans celui d’un collaborateur du Parlement européen[65].
Synthèse des résultats électoraux
[modifier | modifier le code]Élections européennes
[modifier | modifier le code]Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.
Année | Parti | Circonscription | Voix | % | Rang | Sièges obtenus | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
2019 | LREM (MoDem-Agir-MR-UDE-AC) | France | 5 079 015 | 22,42 | 2e | 23 / 79 |
Distinctions
[modifier | modifier le code]Décorations françaises
[modifier | modifier le code]Décorations étrangères
[modifier | modifier le code]Prix
[modifier | modifier le code]Publications
[modifier | modifier le code]- Choisissez tout, Paris, JC Lattès, , 250 p. (ISBN 978-2-7096-4484-6)
- La démocratie en BD (ill. Aki), Paris, Casterman, , 45 p. (ISBN 978-2-203-13233-7)
- Le monde actuel en BD : L’Europe en BD (ill. Nathalie Desforges), Paris, Casterman, , 50 p. (ISBN 978-2-203-19653-7, lire en ligne) (une bande dessinée pour enfants)[71]
- La guerre qu'on ne voit pas venir, Paris, L'observatoire, (ISBN 1032925175)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Nominations au Journal officiel de la République française »
- « Européennes: «J'ai été accueillie comme une romanichelle»... Nathalie Loiseau revient sur son arrivée à l'ENA », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- Vincent Michelon, « La grande confrontation sur LCI : 3 choses à savoir sur Nathalie Loiseau, tête de liste LaREM aux élections européennes », sur lci.fr, (consulté le ).
- Véronique Forge, « La directrice de l’ENA, Nathalie Loiseau : une ambition au féminin », sur Business O Féminin, (consulté le ).
- « Six choses à savoir sur Nathalie Loiseau, future tête de liste LREM aux européennes », sur Franceinfo, (consulté le ).
- Pascale Nivelle, « Nathalie Loiseau. Femme d’État », sur Libération, (consulté le ).
- Éric Hacquemand, « Le jardin secret de Nathalie Loiseau », sur parismatch.com, (consulté le ).
- « Nathalie Loiseau, de l’ENA aux affaires européennes », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
- Marion Mourgue, « Remaniement, Europe : les juppéistes s'activent », Le Figaro, , p. 6 (lire en ligne, consulté le ).
- Pascal Riché, « M. Bush, je vous fais une lettre... », sur liberation.fr, (consulté le ).
- Benoît Floc’h, « Nathalie Loiseau, une diplomate à l'ENA », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- La rédaction de Mondafrique, « Afrique, Nathalie Loiseau n’aime pas les lanceurs d’alerte », sur Mondafrique,
- « LA LANCEUSE D'ALERTE QUI ACCUSE NATHALIE LOISEAU », Le Média, (lire en ligne)
- La rédaction de Mondafrique, « "Nathalie Loiseau m'a Tuer" », sur mondafrique.com, (consulté le )
- Françoise Nicolas, « Nathalie Loiseau m'a Tuer », blog de Mediapart, (lire en ligne).
- La rédaction de Mondafrique, « Le droit de réponse de Nathalie Loiseau, ministre des affaires européennes », sur mondafrique.com, (consulté le )
- Marianne Gomez, Denis Peiron, « Nathalie Loiseau, une féministe catholique au Quai d’Orsay », sur La Croix, (consulté le ).
- Benoît Floc’h, « L'ENA s'apprête à réformer ses trois concours d'entrée », sur Le Monde, (consulté le ).
- « «Je n’ai pas été accueillie avec des fleurs, en n’étant pas ancienne élève, femme et moins de 50 ans, j’avais l’impression d’être une romanichelle quand je suis arrivée à la tête de l’ENA.» », Libération, (lire en ligne)
- Ellen Salvi et Marine Turchi, « Etudiante, Nathalie Loiseau a figuré sur une liste d’extrême droite », Mediapart, (lire en ligne).
- « Candidate sur une liste d’extrême droite, Nathalie Loiseau plaide « une erreur de jeunesse » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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- « Nathalie Loiseau, une tête de liste serial-gaffeuse qui accumule les "erreurs" (Voir la Vidéo) », sur huffington post.fr, (consulté le ).
- « Nathalie Loiseau, rempart contre l'extrême droite aux européennes ? Son message en prend un coup », sur Marianne, (consulté le ).
- « Candidate sur une liste d’extrême droite, Nathalie Loiseau plaide « une erreur de jeunesse » », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Nathalie Loiseau était-elle (avec Elisabeth Lévy) sur une liste concurrente à Simone Veil en 1989 ? », sur liberation.fr, (consulté le ).
- « Liste LREM aux européennes : 5 choses que vous ignorez sur Nathalie Loiseau », sur leparisien.fr, le Parisien, (consulté le ).
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- « Européennes : personne n'écoute Nathalie Loiseau », sur liberation.fr, (consulté le ).
- « Élections européennes 2019 : Nathalie Loiseau démissionne pour mener la liste LRM », sur lemonde.fr, (consulté le ).
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- Christelle Bertrand, « Après les gaffes, Nathalie Loiseau tente de relancer sa campagne pour les élections européennes », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- Geoffroy Clavel, « Nathalie Loiseau, symbole de l'angle mort de la Macronie », sur Le HuffPost, Le Huffington Post, (consulté le ).
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- « Dupont-Aignan, la thèse complotiste sur Notre-Dame et l’attaque de la mosquée de Bayonne », sur le Nouvel Obs,
- N. Dupont-Aignan, « Nathalie Loiseau (LREM) déclare que Nicolas Dupont-Aignan mérite 2 claques », sur Twitter,
- Serge Raffy, « Européennes : Macron, la vraie tête de liste », sur Nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
- Patrick Martin-Genier, « La vraie tête de liste qu'était Emmanuel Macron subit une double défaite majeure », sur Le HuffPost, Le Huffington Post, (consulté le ).
- Gaël Nofri, « Emmanuel Macron sur une affiche électorale: une entorse à la tradition républicaine », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
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- Au Parlement européen, Nathalie Loiseau se tire une balle dans le pied en insultant ses collègues, nouvelobs.com, 12 juin 2019
- « Nathalie Loiseau, itinéraire d'un sabordage », sur CNEWS (consulté le )
- Jean Quatremer, Parlement européen: Macron débranche Loiseau, liberation.fr, 13 juin 2019
- Serge Raffy, « Nathalie Loiseau n’a plus qu’une mission : se faire oublier », sur Nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
- Anne Rovan et Mathilde Siraud, « Loiseau renonce à être chef de file des eurodéputés macronistes », Le Figaro, (lire en ligne, consulté le ).
- Laura Mercier, « Au Parlement européen, LRM mise sur les assistants expérimentés », sur contexte.com, (consulté le ).
- Par Valérie Hacot et Pauline ThéveniaudLe 23 juin 2019 à 16h03, « Nathalie Loiseau : «J'ai parlé cash et je le paie cash» », sur leparisien.fr, (consulté le )
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- « La nouvelle délégation Royaume-Uni au Parlement européen offre l'espoir d'un renouvellement des relations entre l'UE et le Royaume-Uni », sur Renew Europe,
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- « Nathalie Loiseau et la «grosse Suisse molle», ou la diplomatie de la gaffe », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
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- Laurent Mauduit, « ENA: le double discours de Nathalie Loiseau », sur mediapart.fr, (consulté le ).
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- Lucile Quillet, « Qui sont les femmes d'influence françaises 2014 ? », sur lefigaro.fr, .
- Anne-Marie Rocco, « Le prix de la femme d’influence 2017 dédié à la mémoire de Simone Veil », sur challenges.fr, .
- « Les lauréates du Prix de la Femme d'Influence 2014 », sur femmesdinfluence.fr, .
- « Riposte maladroite, bourdes, BD bizarre : la campagne horribilis de Nathalie Loiseau », sur franceinter.fr, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Femmes ministres en France
- Liste des députés européens de France de la 9e législature - Liste des députés européens de la 9e législature
Liens externes
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