Morcourt (Somme)
Morcourt | |||||
L'église et la mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de Somme | ||||
Maire Mandat |
Didier Demaison 2020-2026 |
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Code postal | 80340 | ||||
Code commune | 80569 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Morcourtois | ||||
Population municipale |
332 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 44 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 53′ 34″ nord, 2° 39′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 31 m Max. 93 m |
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Superficie | 7,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Corbie | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Morcourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Entre Amiens et Saint-Quentin, Morcourt est un village picard qui se trouve à une dizaine de kilomètres au sud d'Albert. Il est bordé au nord par la vallée de la Somme.
Le territoire communal est limité au nord par un méandre de la Somme et au sud par l'ex-route nationale 29 (actuelle RD 1029).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Chipilly | Étinehem-Méricourt | |||
Cerisy | N | Proyart | ||
O Morcourt E | ||||
S | ||||
Bayonvillers | Harbonnières |
Nature du sol et du sous-sol
[modifier | modifier le code]Dans la vallée de la Somme, le sol est marécageux. En s'éloignant du fleuve, il devient argilo-calcaire, crayeux puis argileux[1],[2].
Relief, paysage, végétation
[modifier | modifier le code]La commune est parsemée de « rideaux » en friche ou boisés qui limitent les vallées. En 1899, la commune comptait 58 hectares d'étangs et marais, résultant de l'extraction de la tourbe[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Somme canalisée et l'Etang Varice[3],[Carte 1].
Le canal de la Somme, construit entre 1770 et 1827, et mis au gabarit Freycinet en 1880, est long 170 km. Il débute à Saint-Simon où il touche au canal de Saint-Quentin et débouche dans la baie de Somme[4].
Quatre plans d'eau complètent le réseau hydrographique : l'étang de la Hutte (9,9 ha), l'étang du Bas (8,4 ha), l'étang Florimond (0,6 ha) et l'étang Varice (1,4 ha)[Carte 1],[5].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[6].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Méaulte à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Morcourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), zones humides intérieures (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), eaux continentales[Note 3] (4,2 %), zones urbanisées (3,5 %), forêts (0,3 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat
[modifier | modifier le code]La commune présente un habitat groupé. La commune, le long de la Somme canalisée, est traversée par la véloroute Vallée de la Somme, voie de circulation réservée aux piétons et aux cyclistes[18].
Toponymie
[modifier | modifier le code]On trouve plusieurs formes pour désigner Morcourt dans les textes anciens : Mourocurtis, Merufli Curtis, Morecourt (1220), Mourecourt (1259), Mourcourt, Morecort[19]
Morcourt est un terme de formation germano-romane. Le suffixe « court », dérive du terme latin Curtis désignant une cour de ferme, une ferme ou un domaine[20]. Le préfixe « Mor » serait dérivé du nom germanique du propriétaire du lieu après les Invasions barbares des Ve siècle et VIe siècle[21],[22].
Chaque département de Picardie, Oise, Somme ou Aisne comporte au moins une commune (ou ancienne commune) s'appelant Morcourt.
La commune homonyme de Morcourt (Aisne), commune de 579 habitants est située à l'est de Saint-Quentin.
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]La première mention écrite de Morcourt apparaît sur une charte du roi Childebert III (656-662) qui confirme la vente de la terre de Morcourt.
La seigneurie de Morcourt est alors dépendante des abbés-comtes de l'Abbaye de Corbie.
En , l'évêque d'Amiens établit une paroisse à Morcourt, détachée de celle de Cerisy.
En 1483, une autorisation royale indique qu'une partie du domaine du Hamel près de Corbie appartient au seigneur de Morcourt.
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Au début du XVIe siècle, l'église de Morcourt fut restaurée. À cette époque, la famille d'Humières détenait la seigneurie de Morcourt.
Le , un jeune homme, supposé huguenot, pénétra dans le chœur de l'église de Morcourt, l'épée à la main en vociférant des menaces contre tous ceux qui chanteraient la messe. Il fut maîtrisé par la force et jeté en prison où il mourut.
En 1605, Daniel de Hardoncourt, écuyer, acquit la seigneurie de Morcourt. En 1641, Claude Petit, avocat à Amiens, acheta 200 journaux de terres du seigneur de Morcourt. En 1645, le marquis de Feuquières acquit la seigneurie de Morcourt.
Le , Claude Patou, laboureur de Morcourt, âgé de 30 ans, fit une déposition auprès du lieutenant général du bailliage d'Amiens, dénonçant les exactions des soldats français cantonnés à Morcourt au cours de l'invasion espagnole.
Avant 1789, Morcourt faisait partie de l'élection et du bailliage de Péronne relevant de la généralité d'Amiens. La cure de la paroisse de Morcourt était rattachée au doyenné de Lihons.
En 1789, le dernier seigneur de Morcourt était Joachim Charles de Seiglière, marquis de Soyécourt[23].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Révolution française
[modifier | modifier le code]Le , les officiers municipaux de Morcourt se rendirent, conformément au décret du , au château de Feuqières (commune d'Harbonnières) pour se faire remettre les titres seigneuriaux de Morcourt. Revenus à Morcourt avec les documents, ils firent sonner les cloches pour appeler les citoyens à s'assembler sur la place du village où furent brûlés les titres.
XIXe siècle
[modifier | modifier le code]L'extraction de la tourbe au XIXe siècle fit la richesse de la commune. Elle entraîna la création d'étangs artificiels aujourd'hui en partie protégés.
En 1899, la seule industrie est représentée par les ouvriers bonnetiers fabriquant bas et chaussettes sur métiers à tisser pour de grands groupes. Cette activité est alors en déclin. Il existait, à la même date, dans la commune, une carrière d'extraction de craie[1].
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Pendant la Grande Guerre, la commune était située de 1914 à 1917 à l'arrière immédiat du front. Le village abrita des ambulances (hôpitaux provisoires proches du front) où s'effectuait le tri des blessés et servit de cantonnement pour les soldats. Les témoignages écrits et photographiques d'Auguste Lematte et Joseph Brenac évoquent la vie du village pendant le conflit[24].
Le village, fortement éprouvé lors de la Première Guerre mondiale[25], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouvait depuis 1801 dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement d'Amiens[27].
Pour l'élection des députés, Morcourt fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bray-sur-Somme[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Morcourt est rattaché au canton de Corbie
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Morcourt est membre depuis 2002 de la communauté de communes de Corbie et Villers-Bretonneux, qui a pris depuis le nom de communauté de communes du Val de Somme.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2021, la commune comptait 332 habitants[Note 4], en évolution de +15,68 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]L'école primaire publique de Morcourt compte 27 élèves à la rentrée scolaire 2017[37], dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal qui, en 2020, scolarise 154 élèves[32].
Économie
[modifier | modifier le code]Activités économiques et de services
[modifier | modifier le code]L'activité dominante de la commune reste l'agriculture. Cependant il existe des activités artisanales dans la commune. Le village bénéficie de milieux humides propices aux activités de loisirs, telle la pêche.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Église Saint-Fuscien-et-Saint-Gentien
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Fuscien-et-Saint-Gentien a été construite au Moyen Âge (XIIe et XVIe siècles)[38].
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Église Saint-Fuscien-et-Saint-Gentien façade principale et clocher.
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Chevet de l'église Saint-Fuscien-et-Saint-Gentien.
-
Calvaire adossé à l'église.
Marais
[modifier | modifier le code]La commune de Morcourt compte environ 100 hectares de marais, dont 30 hectares de surface d'eau. Un belvédère permet de surplomber le marais et offre une vue sur la Somme. 42 ha des marais de Morcourt, entre Bray-sur-Somme et Lamotte-Warfusée, sont classés Natura 2000 et depuis 2017, sont inclus dans le site Ramsar « Marais et tourbières des vallées de la Somme et de l'Avre ». Les milieux tourbeux et para-tourbeux doivent faire l'objet d'une restauration afin de préserver les espèces menacées de la vallée de la Somme[39]par des actions de déboisement et de fauche, pour restaurer les prairies para-tourbeuses où la molinie bleue et le sélin à feuilles de Carvi sont en forte régression[40]. Le marais est répertorié dans la Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) continentale n° 220 320 014 : « Méandres et cours de la Somme entre Bray-sur-Somme et Corbie »[41].
Prairie aux Grands Prés
[modifier | modifier le code]La prairie aux Grands Prés a été inaugurée en 2017 en lien avec le Conservatoire d'espaces naturels de Picardie[42].
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Mairie.
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Salle des fêtes.
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École.
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Lieux de promenade et de pêche.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- L'abbé Haclin (1818-1903). Curé du village, il a rédigé une « Notice historique » sur le village de Morcourt.
- Achille Moy, curé de Cerisy-Gailly, auteur en 1903 d'une monographie sur Morcourt (disponible à la bibliothèque municipale d'Amiens).
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 143 à 149 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2) p. 103-108.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Morcourt sur le site de l'Institut géographique national
- Page spécifique du site de la communauté de communes
- « Dossier complet : Commune de Morcourt (80569) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Morcourt »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 12 SE, Amiens [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Morcourt » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Carpentier, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
- Lire la notice de l'instituteur en ligne, sur le site des archives.
- Sandre, « l'Etang Varice »
- Sandre, « le canal de la Somme »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Morcourt et Méaulte », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Meaulte » (commune de Méaulte) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Morcourt ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La Véloroute Vallée de Somme / Conseil départemental de la Somme », sur Conseil départemental de la Somme (consulté le ).
- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 143 à 149 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2) p. 103
- Charles Rostang, Les Noms de lieux, Paris, Presses universitaires de France, 1969
- Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
- Ernest Nègre, op. cit.
- Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, Amiens, Société des Antiquaires de Picardie, 1865, réédition partielle Bray-sur-Somme et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, Res Universis, p. 143 à 149 (ISBN 2 - 87 760 - 446 - 2) p. 105-107
- « Morcourt - La Communauté de communes du Val de Somme », sur La Communauté de communes du Val de Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
- « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Faire-part de décès de Monsieur Roland DEMAISON », sur memoire.lavoixdunord.fr, (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Procès-verbal administratif du conseil de communauté du 11 octobre 2012 » [PDF], Communauté de communes du Val de Somme (consulté le ) « Avant d'entamer les points inscrits à l'ordre du jour, Monsieur le Président présente ses condoléances à Madame Isabelle Demaison, conseillère générale du Canton de Corbie et à Monsieur Didier Demaison, maire de Morcourt, à la suite du décès de leur père Roland Demaison, ancien maire de Morcourt et à ce titre délégué communautaire lors du précédent mandat. ».
- « Didier Demaison, maire de Morcourt : « Ma tâche ne me semble pas terminée » : Didier Demaison, maire depuis 2008, a annoncé qu'il se représenterait aux élections municipales. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Morcourt, d'après nature, 24 septembre 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Courrier picard, édition Picardie maritime, 22 juin 2017, p. 17.
- https://www.cen-hautsdefrance.org/le-marais-communal-de-morcourt-0
- https://inpn.mnhn.fr/zone/znieff/220320014/tab/commentaires
- « La culture, un trait d'union indispensable à Morcourt : Cent habitants ont assisté aux premiers vœux dominicaux. Les projets fleurissent malgré la rigueur budgétaire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).