Le Mort qui tue (film)
Apparence
Le Mort qui tue
Le Mort qui tue, affiche Gaumont, 1913.
Réalisation | Louis Feuillade |
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Scénario | Louis Feuillade, d'après le roman Le Mort qui tue (1911) de Pierre Souvestre et Marcel Allain. |
Sociétés de production | Gaumont |
Pays de production | France |
Genre | Film policier |
Durée | 97 min |
Sortie | 1913 |
Série
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Le Mort qui tue est un film d'aventures français de Louis Feuillade, sorti en 1913.
Synopsis
[modifier | modifier le code]Les aventures de Fantômas qui va s'amuser à berner l'inspecteur Juve, cette fois grâce aux empreintes d'un homme qu'il a assassiné, lui arrachant la peau des mains et les recouvrant comme des gants lors de ses méfaits.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Titre : Le Mort qui tue
- Drame en 6 parties et 58 tableaux
- Réalisateur : Louis Feuillade
- Scénario : Louis Feuillade d'après l’œuvre homonyme de Pierre Souvestre et Marcel Allain.
- Images et montage : Georges Guérin
- Décors : Robert-Jules Garnier
- Production : Gaumont
- Produit en :
- Pays d'origine : France
- Format : Noir et blanc - 1,33:1 - Muet
- Durée : 97 minutes
- Date de sortie :
- France :
Distribution
[modifier | modifier le code]- Georges Melchior : Jérôme Fandor, journaliste
- René Navarre : Fantômas / Le banquier Barbey-Nanteuil
- Edmond Bréon : L'inspecteur Juve / Le bandit Crânajour
- Renée Carl : Lady Beltham
- Jane Faber : Princesse Danidoff
- Naudier : Le gardien Nibet
- Yvette Andreyor : Joséphine
- André Luguet : Jacques Dollon, peintre, "le mort qui tue"
- Luitz-Morat : Le sucrier Thomery
- Fabienne Fabrèges : Élisabeth Dollon
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Emmanuelle André, « De l'indice visuel à la trace fantômatique (Fantômas, Louis Feuillade, 1913-1914) », Double jeu. Théâtre / Cinéma, Caen, Presses universitaires de Caen, no 8 « Les images aussi ont une histoire », , p. 97-114.
- Philippe Azoury et Jean-Marc Lalanne, Fantômas, style moderne, Paris / Liège, Centre Pompidou / Yellow Now, coll. « Les cinémas », , 116 p. (ISBN 2-84426-121-3 et 2-87340-167-2, présentation en ligne).
- (en) Emma Bielecki, « Fantômas's shifting identities : From books to screen », Studies in French Cinema, vol. 13, no 1, , p. 3-15 (DOI 10.1386/sfc.13.1.3_1).
- Jacques Champreux, « L'année du « Maître de l'Effroi » », 1895, Paris, Association française de recherche sur l'histoire du cinéma (AFRHC), no hors-série « L'année 1913 en France », , p. 244-263 (lire en ligne).
- Jacques Champreux, « Entretien à propos du DVD de Fantômas », 1895, Paris, Association française de recherche sur l'histoire du cinéma (AFRHC), no hors-série « Louis Feuillade », , p. 343-349.
- Paolo Cherchi Usai, « Les vies parallèles de Fantômas », Les Cahiers de la Cinémathèque. Revue d'histoire du cinéma éditée par l'institut Jean Vigo, no 48 « Louis Feuillade », , p. 71-76 (ISSN 0764-8499).
- Collectif, « Spécial Feuillade / Fantômas », L'Avant-scène cinéma, no 271-272, 1er-, 98 p.
- (en) Sarah Delahousse, « Reimagining the criminal : the marketing of Louis Feuillade's Fantômas (1913–14) and Les Vampires (1915) in the United States », Studies in French Cinema, vol. 14, no 1, , p. 5-18 (DOI 10.1080/14715880.2013.875742).
- (en) Ruth Mayer, « "Never twice the same" : Fantômas's Early Seriality », Modernism/modernity, Johns Hopkins University Press, vol. 23, no 2, , p. 341-363 (DOI 10.1353/mod.2016.0034).
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- Benjamin Thomas, Fantômas de Louis Feuillade, Paris, Vendémiaire, coll. « Contrechamp », , 105 p. (ISBN 978-2-36358-289-8).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]- Fantômas, univers de fiction.
Liens externes
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- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à la bande dessinée :