Le Monteil-au-Vicomte
Le Monteil-au-Vicomte | |||||
Château du Monteil-au-Vicomte | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Guéret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Creuse Sud-Ouest | ||||
Maire Mandat |
Christian Meyer 2020-2026 |
||||
Code postal | 23460 | ||||
Code commune | 23134 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Monteillois | ||||
Population municipale |
215 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 55′ 52″ nord, 1° 56′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 505 m Max. 683 m |
||||
Superficie | 14,4 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Felletin | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
modifier |
Le Monteil-au-Vicomte est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est à 4,8 km de Chavanat[1], 5,3 de Saint-Pierre-en-Bellevue et 13,2 de Saint-Hilaire-la-Plaine.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]- Commune membre du Parc naturel régional de Millevaches.
- Carte de l'occupation des sols de Le Monteil-au-Vicomte sur le Géoportail de l'ARB Nouvelle-Aquitaine : Entités paysagères:
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le Taurion traverse la commune[2].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 208 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontarion à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 155,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Le Monteil-au-Vicomte est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), prairies (21,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (2,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune du Monteil-au-Vicomte est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 30,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 169 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 52 sont en aléa moyen ou fort, soit 31 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité 2 faible[19].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval du barrage de Lavaud-Gelade, un ouvrage sur le Taurion de classe A[Note 1] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 17,4 millions de mètres cubes[21]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune du Monteil-au-Vicomte est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- D3 vers Chavanat, Villemonteil, Charbonnier.
- D10 vers Saint-Hilaire-le-Château, Banize.
- D36 vers Vidaillat.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]- Réseau TransCreuse.
SNCF
[modifier | modifier le code]- Gare d'Aubusson,
- Gare de Felletin,
- Gare de Lavaveix-les-Mines,
- Gare de Busseau-sur-Creuse,
- Gare d'Eymoutiers-Vassivière.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Au XIIe siècle, il y avait un château du Monteil.
Le Monteil-le-Vicomte appartenait au Moyen Âge à la maison d'Aubusson, dont faisait partie le seigneur Antoine d'Aubusson.
En 1767, le dernier châtelain est le maire d'Aubusson, il sera ensuite vendu par adjudication en germinal (période allant du au du calendrier grégorien) de l'an II (1794). Il n'en reste aujourd'hui que des ruines.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]Le Monteil-au-Vicomte appartient à la circonscription unique de la Creuse, au canton de Felletin et à la communauté de communes Creuse Sud-Ouest.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2021
[modifier | modifier le code]En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :
- total des produits de fonctionnement : 245 000 €, soit 995 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 192 000 €, soit 780 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 14 000 €, soit 59 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 35 000 €, soit 141 € par habitant ;
- endettement : 29 000 €, soit 119 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 12,9 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 37,51 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 51,47 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 680 €[25].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2021, la commune comptait 215 habitants[Note 2], en évolution de +5,39 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[30] :
- École maternelle et primaire.
- Collèges à Bourganeuf, Aubusson, Felletin, Ahun.
- Lycées à Bourganeuf, Aubusson, Felletin.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[31] :
- Médecins à Saint-Georges-la-Pouge, Royère-De-Vassivière, Pontarion, Peyrat-le-Château, Saint-Dizier-Leyrenne, La Saunière ;
- Pharmacies à Saint-Georges-la-Pouge, Royère-De-Vassivière, Pontarion, Sardent, Peyrat-le-Château ;
- Hôpitaux à Saint-Vaury, Meymac, La Souterraine, Eygurande.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Diocèse de Limoges[32].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Sylviculture et autres activités forestières.
- Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hébergements-Restauration à Le Monteil-au-Vicomte, Saint-Pierre-Bellevue, Vidaillat.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité à Bourganeuf.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château du Monteil inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 19 février 1964[33].
- Vestiges de la chapelle du château fort[34].
- L’église Saint-Pierre du Monteil-au-Vicomte des XIVe, XVe et XVIe siècles. L'édifice a été inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le 1er mai 1933[35] .
- Cloche Église paroissiale Saint-Pierre-de-Vérone[36].
- Croix monumentales[40],[41],[42].
- Monument aux morts[43] : Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 - 1939-1945[44].
- La Rigole du diable creusée par le Thaurion ou peut être par le diable lui-même, c'est une rivière tumultueuse parsemée de blocs rocheux, site très apprécié des randonneurs, des pêcheurs de truites et des conteurs[45].
- La tourbière de la Mazure située entre les communes de Royère-de-Vassivière, Le Monteil-au-Vicomte et Saint-Pierre-Bellevue.
-
Carte postale de l'église vers 1925. -
L’église Saint-Pierre. Vue nord-ouest. -
L’église Saint-Pierre. Portail ouest. -
L’église Saint-Pierre. Porte latérale. -
Carte postale du château vers 1920. -
Rocher du Diable.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre d'Aubusson (1423- 1503), grand maître des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, cardinal, décédé sur l'ile de Rhodes.
- Gaspard I de Fieubet, vicomte du Monteil[46].
- Camille Benassy est né le au Monteil-au-Vicomte et mort le à Royère-de-Vassivière.
- Étienne Bandy de Nalèche né au Monteil-au-Vicomte en 1865 et mort à Paris en 1947, est un haut fonctionnaire français. Il est secrétaire (1893) puis directeur (1895) du conseil d'administration du Journal des débats et président du Syndicat de la presse parisienne. Il est élu membre de l'Académie des sciences morales et politiques en 1937.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | ||
---|---|---|
Détails | Utilisé par la commune. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Monteil-au-Vicomte (Le), p. 785
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Deux autres communes portent le nom de Le Monteil :
- Le Monteil dans le Cantal
- Le Monteil dans la Haute-Loire
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Itinéraires
- Le Taurion.
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Le Monteil-au-Vicomte et Pontarion », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontarion_sapc » (commune de Pontarion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontarion_sapc » (commune de Pontarion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune du Monteil-au-Vicomte », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Monteil-au-Vicomte », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Information des acquéreurs et locataires de biens immobiliers sur les risques naturels et technologiques majeurs de la commune
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Vassiviere », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisses de Limoges
- Notice no PA00100111, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Vestiges de la chapelle du château fort », notice no IA00030501, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Eglise Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Notice no PM23001061, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche Église paroissiale Saint-Pierre-de-Vérone
- Vestiges de la chapelle du château fort, Observatoire du patrimoine religieux
- Notice no PM23001059, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle de la Nativité-de-la-Vierge
- « Presbytère », notice no IVR74_19812301973X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Croix monumentale sur la R.D. 36 », notice no IVR74_19792300117X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Croix monumentale Monteil-au-Vicomte, Chatain », notice no IVR74_19792300097X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- « Croix monumentale Monteil-au-Vicomte, Haute-Besse », notice no IVR74_19792300094X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- Monument aux morts
- « Monument aux morts », notice no IVR74_19792300102X, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- .Creuse... le mystère : Plusieurs légendes coulent dans les eaux de la rigole du Diable au Monteil-au-Vicomte
- Zénon Toumieux, « La vicomté du Monteil », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. 9, , p. 65-273 (lire en ligne)
- « 23134 Le Monteil-au-Vicomte (Creuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).