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Henri Leconte

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Henri Leconte
Image illustrative de l’article Henri Leconte
Leconte au tournoi AFAS Tennis Classics en 2010.
Carrière professionnelle
1980 – 1996
Nationalité Drapeau de la France Français
Naissance (61 ans)
Lillers
Taille 1,85 m (6 1)
Prise de raquette Gaucher, revers à une main
Gains en tournois 3 100 561 $
Palmarès
En simple
Titres 9
Finales perdues 7
Meilleur classement 5e (22/09/1986)
En double
Titres 10
Finales perdues 9
Meilleur classement 6e (18/03/1985)
Meilleurs résultats en Grand Chelem
Aust. R.-G. Wim. US
Simple 1/8 F (1) 1/2 1/4
Double 1/4 V (1) 1/16 F (1)
Mixte - 1/16 1/8
Titres par équipe nationale
Coupe Davis 1 (1991)
World Team Cup 1 (1986)

Henri Leconte, né le à Lillers (Pas-de-Calais), est un joueur de tennis français, professionnel de 1980 à 1996.

Il compte dix-neuf titres ATP en simple et en double messieurs à son palmarès, dont le tournoi de double de Roland-Garros, remporté en 1984.

En simple, il a également atteint la finale de ces mêmes Internationaux de France en 1988, et compte deux autres demi-finales à Paris, en 1986, année où il atteint également le dernier carré du tournoi de Wimbledon, ainsi qu'en 1992. Il est ainsi le seul joueur français de l'ère Open à avoir accédé aux demi-finales de Roland-Garros à trois reprises.

Vainqueur de la Coupe Davis avec l'équipe de France en 1991, il remporte en 1986 le Grand Prix Championship Series (ancêtre des Masters 1000) de Hambourg face à Miloslav Mečíř, et atteint son meilleur classement cette même année, à la cinquième place mondiale.

En double messieurs, il conquiert également le tournoi d'Indian Wells en 1992, associé à Guy Forget, et atteint une finale de l'US Open, avec Yannick Noah, en 1985, se classant au sixième rang mondial de la spécialité.

Reconnu parfois comme l'un des joueurs les plus doués à n'avoir jamais remporté de tournoi du Grand Chelem[1], son palmarès en fait néanmoins l'un des meilleurs joueurs français de l'ère Open.

Henri Leconte est né le à Lillers dans le Pas-de-Calais. Il a 6 ans lorsqu'il tient sa première raquette de tennis à la main. En 1969, il commence à prendre des cours au club de tennis de Joinville. Adolescent, il se passionne pour sa discipline de prédilection et arrête l'école en classe de troisième.

Joueur classé en 1re série française alors qu'il était encore cadet, Henri Leconte attira l'attention du monde du tennis en gagnant le titre junior aux Internationaux de France de tennis en 1980. On découvre alors son jeu de gaucher offensif (il pratique le service-volée), fondé sur une prise de risques quasi permanente et très spectaculaire.

En tant que professionnel, il remporte son premier titre en double au tournoi de Bologne en novembre 1981 et son premier titre majeur en simple à Stockholm en novembre 1982. En 1982 il remporte également les 5 étapes du circuit satellite français sur différentes surfaces, cumulant 24 victoires consécutives[2].

En 1984, épaulé par le numéro 1 français de l'époque, Yannick Noah, il remporte le double aux Internationaux de France de tennis, c'est son seul titre du Grand Chelem. Leconte et Noah atteignent un an plus tard la finale de l'US Open et sont seulement dominés, après trois tie-breaks dans les trois premiers sets, par les spécialistes incontestés de l'époque, les Américains Ken Flach et Robert Seguso, sur le score de 6-7, 7-6, 7-6, 6-0. Henri Leconte devient en 1985 numéro 6 mondial en double, ce qui reste son meilleur classement dans cette discipline.

En simple, il entre dans le « top 10 » en 1985 grâce à un quart de finale aux Internationaux de France de tennis (il perd contre Mats Wilander mais avait terrassé, en huitièmes de finale, son rival national Yannick Noah en 5 sets). Il atteint le même stade de la compétition à Wimbledon (battu par un jeune allemand Boris Becker après avoir sorti Ivan Lendl). Il prouve à cette occasion qu'il est à l'aise sur toutes les surfaces. Il réalise la meilleure performance globale sur une année d'un Français en tournoi du Grand Chelem avec deux 1/4 et deux 1/8.

En 1986, Leconte atteint les demi-finales dans deux tournois du Grand Chelem, aux Internationaux de France de tennis (battu en quatre sets par la révélation du tournoi Mikael Pernfors) et Wimbledon (battu là encore en quatre sets par Boris Becker). Il atteint également, en septembre, les quarts de finale de l'US Open, ne s'inclinant que contre le numéro 1 mondial, Ivan Lendl, en quatre manches. Ces performances lui permettent cette année-là d'atteindre le 5e rang au classement ATP, son meilleur classement.

Il arrive aux Internationaux de France de tennis 1988 avec sur terre battue le titre de Nice en poche et la finale de Hambourg ainsi qu'une victoire sur Boris Becker, 6e mondial mais pas très à l'aise sur terre. Aux deux premiers tours les modestes Simon Youl et Bruno Orešar respectivement no 149 et 100 mondial le poussent dans des matchs en 5 sets. Au tour suivant il se défait plus facilement d'Horacio de la Peña no 107 mondial puis sort vainqueur d'un magnifique combat en 5 sets contre Boris Becker en huitièmes de finale. Pour son quart puis sa demi-finale deux bons joueurs de terre battue se présentent alors à lui Andrei Chesnokov no 19 et Jonas Svensson no 21: il les écarte mais en finale il ne résiste qu'un set contre le Suédois Mats Wilander avant de succomber à la pression (7-5, 6-2, 6-1) et de s'attirer, par un discours d'après-match maladroit, les foudres du public parisien[3]. La désaffection relative que le public lui porte à partir de cet instant ne sera totalement effacée qu'en 1991, année de ses exploits en coupe Davis. Il finit cette année 1988 no 1 français et numéro 9 mondial.

À partir de la défaite contre Wilander, Leconte effectue une traversée du désert ponctuée de douleurs sciatiques et d'opérations du dos impliquant des arrêts, plus ou moins « définitifs », de sa carrière. Mais après la victoire de la France en coupe Davis, il participe aux Internationaux de France de tennis avec une wild card (invitation). Il a une nouvelle fois l'occasion de faire vibrer le public parisien en 1992 en atteignant pour la troisième fois de sa carrière la demi-finale des Internationaux de France de tennis. Il est battu par le Tchèque Petr Korda, gaucher offensif comme lui. Il détient le meilleur ratio de match en 5 sets remporté dans un seul tournoi du grand chelem sur une carrière, à Roland-Garros 7-0, seul Marat Safin fait mieux à l'Open d'Australie avec 8-0.

Il joue la Coupe Hopman en avec Julie Halard. À l'issue de la saison 1992, il reçoit le prix ATP du « Retour de l'année ».

Leconte remporte le dernier titre majeur de sa carrière sur le circuit ATP en juin 1993 au tournoi de Halle, dont il remporte la première édition. Il remporte également cette année-là en mars son dernier titre en double, à Indian Wells, avec Guy Forget.

Il prend sa retraite de joueur en octobre 1996, après avoir remporté neuf titres en simple et dix en double.

Il compte 28 victoires sur des joueurs du top 10 contre 66 défaites sur 94 rencontres, soit 30 % de victoires[4]. Il a battu deux fois le no 1 mondial (Ivan Lendl).

Leconte était surnommé sur les courts « le Cimetière » à cause des nombreux joueurs qui ont connu des défaites cuisantes face à lui[5].

En 1997, il participe à une émission de C'est pas sorcier consacrée au tennis.

Henri Leconte en coupe Davis

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Henri Leconte connaît sa première sélection en double avec Yannick Noah en 1982. En quarts de finale à Roland-Garros, ils battent la paire tchécoslovaque Smid-Slozil. Puis il gagne sa place en simple (au détriment de Thierry Tulasne) pour disputer une première finale de coupe Davis en 1982 à Grenoble, contre les États-Unis de John McEnroe. La France est sévèrement battue 4-1. Leconte perd nettement son simple contre Gene Mayer.

Lors des années suivantes, Leconte grimpe au classement mondial mais ne va pas particulièrement briller en Coupe Davis, à l'exception d'une victoire sur Ivan Lendl en Tchécoslovaquie, en 1984. La France ne pourra faire mieux que demi-finaliste en 1983 et 1988.

Il faudra attendre 1991 pour voir la France, emmenée par le capitaine (et parfois joueur) Yannick Noah, atteindre une nouvelle finale contre les États-Unis de Pete Sampras (numéro 6 mondial à l'époque) et Andre Agassi (numéro 3 mondial). Leconte, tombé à la 159e place du classement ATP, est appelé à la surprise générale pour cette finale. Après la défaite initiale de Guy Forget face à Andre Agassi, personne ne croit vraiment aux chances des tricolores. Mais ce week-end, Leconte est sur un nuage, il retrouve son « panache » et son « génie » et devient le héros de cette finale en dominant Pete Sampras en trois petits sets (6-4, 7-5, 6-4) puis en battant, avec Guy Forget, les ultra-favoris Flach-Seguso sans trembler (6-1, 6-4, 4-6, 6-2), prenant ainsi sa revanche sur la finale perdue de l'US Open 1985. La France s'impose 3-1 à Lyon et remporte sa première coupe Davis depuis celle remportée par les Mousquetaires en 1932.

Au total, Henri Leconte a joué pour l'équipe de France pendant treize saisons consécutives, remportant 41 matchs et en perdant 25. Particulièrement performant en double (17 victoires - 5 défaites), il est invaincu avec Guy Forget (11 victoires) et il a gagné ses 14 derniers doubles joués ( à ).

Il faisait également partie avec Thierry Tulasne de l'équipe de France qui remporta la World Team Cup à Düsseldorf en 1986.

En simple messieurs

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En double messieurs

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Autres résultats

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Autres titres

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Autres performances marquantes de sa carrière

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Victoire sur le top 10

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Parcours dans les tournois du Grand Chelem

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Année Open d'Australie Internationaux de France Wimbledon US Open Open d'Australie
1980 n.o. 1er tour (1/64) H. Simonsson
1981 n.o. 1er tour (1/64) Bengoechea 2e tour (1/32) M. Wilander
1982 n.o. 1er tour (1/64) P. McNamara 1er tour (1/64) R. Tanner 1er tour (1/64) S. Denton
1983 n.o. 2e tour (1/32) J. Higueras 2e tour (1/32) R. Van't Hof
1984 n.o. 2e tour (1/32) P. McNamee 3e tour (1/16) J. Connors
1985 n.o. 1/4 de finale M. Wilander 1/4 de finale Bo. Becker 1/8 de finale H. Günthardt 1/8 de finale J. McEnroe
1986 n.o. 1/2 finale M. Pernfors 1/2 finale Bo. Becker 1/4 de finale I. Lendl n.o.
1987 3e tour (1/16) P. Annacone 1er tour (1/64) R. Osterthun 1/4 de finale I. Lendl 1/8 de finale J. Connors n.o.
1988 3e tour (1/16) T. Witsken Finale M. Wilander 1/8 de finale T. Mayotte 3e tour (1/16) J. Frawley n.o.
1989 1er tour (1/64) Gunnarsson n.o.
1990 3e tour (1/16) M. Pernfors 1/4 de finale J. Svensson 2e tour (1/32) A. Antonitsch 2e tour (1/32) A. Cherkasov n.o.
1991 2e tour (1/32) M. Vajda 3e tour (1/16) G. Forget n.o.
1992 1er tour (1/64) G. Forget 1/2 finale P. Korda 3e tour (1/16) G. Forget 3e tour (1/16) Washington n.o.
1993 1er tour (1/64) S. Bruguera 1/8 de finale Bo. Becker 1er tour (1/64) J. Eltingh n.o.
1994 2e tour (1/32) M. Damm 1er tour (1/64) P. Haarhuis 1er tour (1/64) À. Corretja n.o.
1995 1er tour (1/64) J. Frana n.o.
1996 1er tour (1/64) T. Johansson n.o.

N.B. : à droite du résultat se trouve le nom de l'ultime adversaire.

Année Open d'Australie Internationaux de France Wimbledon US Open Open d'Australie
1980 n.o. 1er tour (1/32)
B. Manson
B. Taróczy
1981 n.o. 1er tour (1/32)
D. Carter
P. Kronk
1er tour (1/32)
H. Günthardt
P. McNamara
1982 n.o. 2e tour (1/16)
T. Viljoen
D. Visser
1983 n.o. 1er tour (1/32)
J.L. Damiani
R. Ycaza
1984 n.o. Victoire
P. Složil
T. Šmíd
1er tour (1/32)
B. Dyke
W. Masur
1985 n.o. 1/8 de finale
Giammalva
Willenborg
2e tour (1/16)
K. Evernden
M. Robertson
Finale
K. Flach
R. Seguso
1986 n.o. 1/2 finale
S. Edberg
A. Järryd
1er tour (1/32)
M. Schapers
Woodforde
n.o.
1987 1/8 de finale
P. Annacone
van Rensburg
2e tour (1/16)
P. Doohan
L. Warder
1er tour (1/32)
K. Flach
R. Seguso
n.o.
1988 1/8 de finale
R. Leach
J. Pugh
n.o.
1989 n.o.
1990 1/4 de finale
G. Connell
G. Michibata
n.o.
1991 n.o.
1992 2e tour (1/16)
L. Jensen
L. Warder
n.o.
1993 1/4 de finale
L. Jensen
M. Jensen
n.o.
1994 1er tour (1/32)
J. Garat
M. Ruah
n.o.
1995 n.o.
1996 1er tour (1/32)
O. Delaitre
J. Tarango
n.o.

N.B. : le nom du ou de la partenaire se trouve sous le résultat ; le nom des ultimes adversaires se trouve à droite.

Année Indian Wells Miami Monte-Carlo Hambourg Rome Canada Cincinnati Stockholm puis Essen puis Stuttgart[6] Paris
1990 1er tour
J. Tarango
1/2 finale
T. Muster
1/2 finale
Bo. Becker
2e tour
A. Mancini
1er tour
S. Bruguera
1991 1er tour
J. Arias
3e tour
M. Chang
1er tour
C. Caratti
1er tour
A. Cherkasov
1/8 de finale
F. Santoro
1992 1er tour
T. Muster
1/4 de finale
J. Hlasek
1993 1er tour
J. Stoltenberg
2e tour
S. Edberg
1/8 de finale
A. Medvedev
1994 1er tour
M. Gustafsson
1/8 de finale
M. Gustafsson
2e tour
W. Ferreira
1995 1er tour
D. Rikl
2e tour
S. Bruguera
1996 1er tour
D. Rikl

N.B. : sous le résultat se trouve le nom de l’ultime adversaire.

Classement ATP en fin de saison

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Année 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996
Rang 28 en diminution 30 en augmentation 27 en augmentation 16 en augmentation 6 en diminution 21 en augmentation 9 en diminution 115 en augmentation 30 en diminution 161 en augmentation 61 en diminution 101 en augmentation 94 en diminution 134 en diminution 1001
Année 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996
Rang 55 en augmentation 32 en augmentation 7 en diminution 22 en diminution 93 en diminution 129 en augmentation 35 en diminution 653 en augmentation 153 en augmentation 106 en diminution 147 en augmentation 92 en diminution 178 en diminution 303 en diminution 792

Distinctions

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Déboires financiers

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Désirant soustraire ses revenus au fisc français, Henri Leconte confie ses biens au gestionnaire de fortune suisse Jacques Heyer, auquel il avait été présenté par son ami Nicolas Sarkozy. En 1997, le scandale éclate : Jacques Heyer est un escroc. Leconte sort ruiné de cette affaire. Il évoque ainsi sa mésaventure : « Un sale jour, j’ai reçu un coup de fil d'un avocat. Il a été clair : “Henri, tu n’as plus rien !” Non seulement, l'ami arnaqueur était parti avec des millions, mais [...] il m’escroquait tranquillement, façon petite fourmi, depuis des années. »[7]

Reconversion

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Il joue toujours au tennis sur le circuit ATP Champions Tour, réservé aux ex-gloires du tennis.

En 2001, il remporte les 24 heures sur glace de Chamonix.

Il devient consultant dans un premier temps pour France Télévisions de 1996 à 2003, lors des diffusions du tournoi de Roland-Garros, puis pour Direct 8 en [8], puis pour Canal+ Sport les Spécialistes en 2009, et enfin pour la chaine Eurosport dans l'émission intitulée : Avantage LECONTE depuis mai-[9].

Il a associé son nom au tennis du prestigieux palace "La Mamounia" au Maroc entre octobre 2009 et octobre 2012.

Il a également été conseiller municipal pour la ville de Levallois-Perret, où il est domicilié, de janvier 2008 à mars 2010. Puis il a été élu président de la section tennis du Levallois Sporting Club en décembre 2009.

En , il anime l'émission Voisins, vont-ils se mettre d'accord ? sur TF1. Deux autres épisodes ont été diffusés en et en .

Il fait un passage comme chroniqueur à l'émission de radio Les Pieds dans le plat, sur Europe 1, au cours de la saison 2013-2014.

En 2019 il tourne un clip publicitaire pour la société de régime amaigrissant Comme j'aime.

Fin 2023, il sort un livre autobiographique intitulé Balles neuves.

Vie privée

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Henri Leconte et son épouse Florentine au festival de Cannes 2010.

En décembre 1984 Henri Leconte épouse à Neuilly-sur-Seine Brigitte Bonnel, divorcée de Guy Drut, avec laquelle il a un fils, Maxime né le 6 mars 1986. Puis, il a une fille, Sara-Luna, en 1996 de son union célébrée l'année précédente avec la torera française Marie Sara Bourseiller, dont il se sépare à la fin des années 1990[10].

En 2005, il épouse l'ex-mannequin Florentine Delchambre, avec qui il a un fils, Ulysse, né en 2005 et une fille, Marylou, née en 2007. En , Florentine et Henri Leconte se séparent. Henri Leconte est vu à Roland-Garros au bras de la créatrice de bijoux Maria Dowlatshahi[11], ainsi qu'aux obsèques de Liliane Bettencourt[12] en . Son fils aîné, Maxime, a participé à l'émission Secret Story 1 sur TF1 en 2007[13]. En 2020, il se lance dans la promotion télévisuelle du programme minceur "Comme J'aime". Son fils Ulysse participe en 2024 à l'émission Secret Story 12 à son tour, avec comme secret "J'ai été découvert dans la saison 1 de Secret Story" alors qu'il était à l'époque âgé de 2 ans.

Article connexe

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Liens externes

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Notes et références

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  1. « On refait l'Histoire : Qui est le plus grand joueur à ne jamais avoir gagné de Grand Chelem ? », sur Eurosport, (consulté le )
  2. « player – Tennisarchives.com », sur www.tennisarchives.com (consulté le )
  3. (fr) Finale de Roland-Garros : le discours d'Henri Leconte
  4. http://www.atpworldtour.com/Tennis/Players/Le/H/Henri-Leconte.aspx?t=mr
  5. Agassi, Andre, 1970- (trad. de l'anglais), Open, Paris, Plon, , 500 p. (ISBN 978-2-259-20942-7, OCLC 642291922, lire en ligne)
  6. Les Masters 1000 de Stockholm (1990-1994), d'Essen (1995) et de Stuttgart (1996-2001) se sont succédé.
  7. David Servenay, « Quand Sarkozy l'avocat ne méprisait pas les paradis fiscaux », sur Rue89, nouvelobs.com (consulté le ).
  8. (fr) « Direct 8 se lance dans le tennis avec Henri Leconte » sur le site de Télé 2 Semaines, 16 janvier 2008.
  9. « Avantage Leconte », sur programme.tv (consulté le ).
  10. gala.fr
  11. L'ex d'Henri Leconte, amère, évoque leur séparation : « Il m'a quittée pour une autre. »
  12. Pure People, article de septembre 2017.
  13. Télé 2 semaines, Maxime est le fils d'Henri Leconte