Familles de Tournemire
Apparence
Plusieurs familles ont porté ou portent le nom de Tournemire.
En Auvergne
[modifier | modifier le code]- Famille de Tournemire, attestée à Tournemire (Cantal), famille française noble actuellement subsistante[1].
- Famille de Salhas de Tournemire,
En Rouergue
[modifier | modifier le code]- Famille Jourdain de Tournemire, à partir du XIIe siècle, seigneur de Tournemire (Aveyron) dans le Rouergue, qui a porté le nom de Jourdain de Tournemire, puis de Tournemire[2].
En Bretagne
[modifier | modifier le code]- René de Tournemine, baron de La Hunaudaye, chevalier du Saint-Esprit en 1578 (nommé mais pas reçu toutefois)[réf. nécessaire]
Personnalités non rattachées
[modifier | modifier le code]- Jean de Tournemire (Johannes de Tornamira (1330?-139.)[3], né à Pouzols, près d'Albi vers 1329. Médecin, maître régent de l'Université de Montpellier, médecin du pape Grégoire XI en 1387, auteur de plusieurs traités[4]. En 1384, à la mort du chancelier de la faculté de Montpellier Johannes Jacobi, le pape Clément VII le nomme pour lui succéder à ce poste[5].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante au XXIe siècle, 2002, page 182.
- ↑ Louis Lainé, Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France, tome VII, p. 87.
- ↑ « Jean de Tournemire (1330?-139.) », sur data.bnf.fr (consulté le )
- ↑ Bourgeois de Montpellier, anoblissement avec sa femme par lettres patentes en 1368, selon Godé de Soudé, Gourdon de Genouillac, Dictionnaire des anoblis 1270-1868.
- ↑ Pierre Theil, L'esprit éternel de la médecine : Anthologie des écrits médicaux anciens, t. 3 : Le Moyen Age européen, Paris, Annales de Médecine Praticienne et Sociale, , 458 p., p. 421-422.