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Famille Burchard-Bélaváry

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Burchard de Bélavary de Sycava
Image illustrative de l’article Famille Burchard-Bélaváry
Armes de la famille.

Lignées Famille Both
Période XVe – XXe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau de la Hongrie Hongrie
Allégeance Drapeau du Royaume de Hongrie Royaume de Hongrie
Drapeau de l'Autriche-Hongrie Autriche-Hongrie
Drapeau de la Suède Suède
Drapeau de l'Empire russe Empire russe
Drapeau de la Pologne Pologne
Drapeau de la France France
Preuves de noblesse
Autres noblesse hongroise ancestrale (1461, 1557, 1891),
suédoise (vers 1580),
russe (1741, 1784),
polonaise (1790)

La famille Burchard-Bélaváry de Sycava (szikavai és Bélaváry Burchard en hongrois ; Burchard von Bellawary de Sycava en allemand ; Бургардт фон Белавари де Сикава en russe) est une ancienne famille d'origine hongroise.

La famille Burchard Bélaváry de Sykava est issue de la branche Bajna de la famille Both, famille de magnats de Hongrie qui remonte à l'ère des Árpád. Son nom antique est Both de Sykava et Bélavar. János Both Bélavary de Sykava, proscrit du royaume de Hongrie en 1575, s'installe à Tallinn en 1580 sous le nom de Burchard. Ses descendants garderont le patronyme Burchard et y ajouteront ceux de Bélavár et de Zsikava.

Cette famille s'est installée dans diverses régions. Une branche subsista en Haute-Hongrie (Eperjes), une autre en Transylvanie dans le Bihar, une se fixa en Livonie, une autre à Tallinn en actuelle Estonie, et un autre rameau en France après une escale en Pologne. Opposés à l'oppression autrichienne, ses membres prirent part aux soulèvements hongrois de Bocskai (1604-1606), de Bethlen (1619), de Thököly (1677), de Rákóczi (1703-1711) et enfin à la révolution hongroise de 1848 ainsi qu'aux guerres d'indépendances polonaises de 1794, de 1812 et de 1830 qui s'opposaient elles aux tsars.

Personnalités

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Membre de cercles humanistes, sympathisant des idées de Calvin, il est cité comme l'un des premiers en Hongrie à lire ses œuvres[6]. Il se retire dans le comté de Veszprém et termine sa vie à Pápa. Dons royaux de domaines, en même temps que son beau-père Jakab Vízkelety (hu), dans les comtés de Bihar (Hencida, 1556)[7] et de Temes (Radna près Lippa, 1559)[8], don royal du domaine de Vörösvar (1582)[9] pour lui et ses fils. Il était aussi seigneur de Sycava, Bélavár, Gáborján, Váncsod et Gybros.

Dans les pays baltes

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  • Johann-Conrad Burchard (von Belawary de Sikawa) (1718, Landsberg an der Warthe - 1778, Salis). Pasteur et érudit. Après des études à la Halle (1735) et Iéna (1736), il se rend en Livonie puis à Nibben (paroisse de Limbaži, en Lettonie) comme précepteur (Hofmeister) (1739-1743). Pasteur de Salis, en Estonie, de 1743 à 1778, il s'intéresse de près à la langue livonienne et rédige des notes[35],[36],[37],[38], qu'il envoie notamment à l'académicien August Ludwig Schlözer[39]. Il fait partie de cette frange de l'intelligentsia germano-balte, surtout religieuse, qui se passionna à partir du XVIIe siècle pour les langues et cultures autochtones[40]. L'historien et professeur Johann Gottfried Arndt, recteur du Lycée impérial de Riga, lui témoigne sa gratitude dans la deuxième partie de sa "Chronique de Livonie" (Der Liefländischen Chronik)[41]. Il est le père adoptif de Jan Konrad B. (1748-1838) (voir plus bas).

En Pologne, en France

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  • Conrad Burchard Bélaváry (vers 1800, Varsovie - XIXe siècle, Égypte). Officier polonais dans l'Empire russe, il devient général de division en Égypte puis gouverneur de la Nubie avec le titre de Pacha.
  • Jan KonradBurchard von Bélaváry de Sycava dit Burchard (Heinrich Johann, Johann Conrad) (1749, Tallinn - 1838, Lublin). Officier, diplomate, pharmacien, il se fixe en Pologne. Il se rend avec son ami le baron Ewald von Klopmann (1734-1804), ambassadeur du duc de Courlande[47], en mission à la cour d'Angleterre pour traiter secrètement des intérêts de la Pologne. Le prince de Galles lui offre un tableau d'une grande valeur représentant saint Jean. Ce voyage est incidemment pour lui l'occasion de rapporter la culture des asperges, encore inconnue en Pologne. Capitaine de la milice de Varsovie, il prend part en 1794 au soulèvement du célèbre général Kościuszko ; il est son aide de camp avec le grade de capitaine. Dans cette lutte, il sacrifie les grands biens qu'il tient des Krakus-Mayerin, descendants du roi Sigismond de Suède, près de Varsovie. Il devient célèbre dans la capitale polonaise en 1789 lorsqu'il entreprend la livraison de médicaments de sa propre pharmacie de Varsovie à toute l'armée de la république des Deux Nations. Installé à Radom (1795), il y fonde la pharmacie de l'Aigle Blanc (apteki Pod Białym Orłem, rue Żeromskiego 5), la plus ancienne de la ville, devient député puis maire de la ville. Protestant, il est le "Premier fondateur" (1826) et le "Supérieur perpétuel de la paroisse" de Radom[48],[49]. Il reçoit l'indigénat polonais en 1790 au sein du clan Jastrzębiec.
  • Sophie Burchard-Bélaváry (née fin XVIIIe siècle - † Lille), sœur de Jean-Guillaume et fille du précédent. Bravant la tyrannie russe lors de l'insurrection polonaise (1830-1831), elle sut communiquer autour d'elle son ardeur patriotique et, dans le "Club Honoratka", réunion de la société élégante de Varsovie, elle fit un appel décisif aux armes. Quand il fallut renforcer les défenses de Prague et de Varsovie, elle fut du nombre de femmes qui, de leurs mains, travaillèrent à élever les redoutes. Elle accompagna l'armée comme infirmière pour soigner les blessés. Élevée dans la religion protestante, elle se convertit au catholicisme et devient religieuse à Lille.
  • Jean-Guillaume Burchard (János Vilmos, Johann Wilhelm) (1795, Lublin - 1881, Vienne), économiste, banquier, industriel, négociant en vins, officier. Il quitte la Pologne en 1825 pour venir s'installer en Haute-Hongrie sous le seul nom de Burchard pour ne pas attirer la suspicion d'un retour qui aurait été motivé par la succession de la branche éteinte des Bélaváry de Hongrie. Ses enfants reprendront par la suite le nom de Bélaváry[50]. Il habitait d'ordinaire à Eperies, dans l'ancienne maison du prince Georges Ier Rákóczi. Philanthrope, industriel, négociant, il est cité comme l'un des entrepreneurs les plus prospères et actif de la région[51]. Producteur et négociant en vins effervescents, sa fabrique de vinaigre en récolte alors les déchets et les bois de Livohuta, où il passait l'été, alimentaient une verrerie où fut produit pour la première fois en Hongrie du cristal taillé. Impliqué dans diverses activités commerciales fructueuses, il installe des succursales dans plusieurs villes hongroises. Il participe activement à la création de la Caisse d'épargne d'Eperies dont il fut directeur. Il dote la ville d'Eperies de fondations utiles et prend part avec une activité et un dévouement sans bornes, à l'œuvre de régénération qu'avait entreprise, pour le royaume de Hongrie entier, le comte István Széchenyi, « le plus grand des Hongrois ». En 1831, après la guerre de Pologne, il accueille et secourt des émigrés. Il témoigne de son ardent patriotisme en sacrifiant sa fortune, en risquant sa liberté et sa vie. Il utilise ses relations avec la Pologne pour aider à la réunion des volontaires de ce pays lors de l'insurrection hongroise de 1848. Lorsque Schlik entra dans Eperies, il fut immédiatement arrêté et resta en prison du au . À la suite de la retraite des Autrichiens, il quitte Eperies le avec son fils Conrad, âgé de douze ans, pour suivre le quartier général. Le général Jerzy Bułharyn lui remit la Croix d'or de l'ordre militaire de Virtuti Militari. Durant la guerre, Livohuta avait été brûlé par les Russes et de précieux papiers et souvenirs de famille avaient disparu. Il rentre à Eperies le et, malgré ses précautions, est emprisonné jusqu'au . Il ne fut plus inquiété par la suite grâce à son ami le plus cher, Eduard Bujanovics von Aggtelek (1777-1855). Après 1857, il alla vivre à Eger auprès de ses amis, Mgr Gábor Máriássy et du baron Max de Baumgarten (1820-1898), Feldmarschall-Leutnant KuK.
  • Jules-Conrad Gyula Burchard-Bélaváry (1820, Lublin - 1917, Reims). Frère de Konrád et Gusztáv. Ingénieur des mines de formation (Académie KuK des mines de Schemnitz), il participe à l'insurrection hongroise de 1848 comme lieutenant-aide de camp du général Henryk Dembiński. Envoyé à Pest par Dembiński pour annoncer à Kossuth l'entrée des russes en Hongrie, le colonel Asboth qui le reçut lui dit « J'ai bien envie de vous faire fussiller pour répandre de tels bruits ». Malheureusement, le doute n'était plus possible. Par la suite promu capitaine de hussards (17e hussards, Bocskay) et décoré de la Couronne de Hongrie "pour plusieurs actions d'éclats". Il tient de Dembiński ce mot :

« Mon Bien cher Jules… j'ai voulu vous laisser au moins une petite preuve de ce que je vous dois, pour ce que vous avez fait pour sauver mes jours ou ma liberté, lorsqu'à la bataille de Szegedin vous êtes descendu de cheval pour me l'offrir et m'avez en quelque sorte forcé à le monter à votre place de celui que l'infanterie ennemie avait tué sous moi… Je vous prie de garder ce parpier et partout dans tels lieux où vous pourriez rencontrer quelque ami à moi…, montrez-lui cette lettre pour qu'il sache que ce qu'il fera pour vous, j'en serai reconnaissant comme s'il l'avait fait pour moi-même ou pour un de mes fils. »

Lettre en français du général Dembiński, datée de Choumla, .

Après la défaite, Jules-Conrad et son frère Gustave séjournent au camp de Widdin puis à Choumla, auprès de leurs anciens chefs, Dembiński et Wysocki, et de leurs amis, le prince Edmond de Pauliny, son ami le plus cher, futur lieutenant-colonel italien, le comte Władysław Poniński, colonel de Lanciers, le comte Jan Aleksander Fredro, et Leopold Kabat et Władysław Kossak, inséparables frères d'armes. Les deux frères Burchard échappent à un internement en Asie grâce à l'influence du comte Zamoyski et à l'appui de Stratford de Redcliffe, ambassadeur britannique dans l'empire Ottoman, qui leur procure de faux passeports suisses. Réfugié en France, il débarque à Marseille puis s'installe à Reims où il devient négociant puis patron de la maison Burchard-Delbeck & Cie. Il est élu président (1893-1897) puis président d'honneur du Syndicat de Grandes Marques.

Diptyque Burchard

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Le diptyque dit Burchard est un bas-reliefs terminé à la fin des années 1630, initié par le sculpteur Arent Passer et terminé par son atelier et par son fils Dionysius, à Tallinn[53]. Sa hauteur est d'environ 2 mètres. De style baroque, il représente la Crucifixion et de la Résurrection de Jésus. Commandé par Burchard III (ou II), on y voit l'effigie de sa mère (ou épouse) Dorothée de Spreckelsen et celle de son aïeul, Jean Ier, en costume hongrois. On y voit également un personnage en armure complète qui représente Jean II (†1636). Le diptyque est probablement destiné orner l'entrée de la pharmacie de l'Hôtel de Ville avant d'être introduit dans le bâtiment. Il est malheureusement impossible de confirmer la paternité du sculpteur Arent Passer mais les historiens s'accordent pour dire qu'il en est l'initiateur et aurait fait terminer l'œuvre par ses étudiants les plus qualifiés ainsi que par son fils[54]. Redécouverts par Johannes Burchart VIII en 1829 sur le mur de la pharmacie, il les inclus dans sa célèbre collection de curiosités ("Mon Faible"). Par la suite, le diptyque est exposé au sein du monastère Sainte-Catherine de Tallinn[55].

Principales alliances

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Hagymássy (début XVe), Vizkelety (XVIe), von Kampferbeck (ca 1580), Davidson (ca 1600), von Spreckelsen (ca 1620), fintai Darholcz (fin XVIIe), kisfaludi Madarász (début XVIIe), tótdiósi Dióssy (ca 1610), Cholnoky (début XVIIe), buthkai és izbugyai Viczmándy (ca 1630), Abaffy (ca 1660), Dessewffy (1663), Buchow (1641), von Thieren (1649, 1698, 1712), von Wistinghausen (1678, 1747), von Cahl (1679), (von) Rodde (ca 1680), vajai Vay (ca 1690), Nozdroviczky (XVIIe), Majláth (ca 1690), Salemann (1705)[57], szlavniczai Sándor (ca 1715), Oom (1747), von zur Mühlen (1757), Riesenkampff (1760), Rausch von Traubenberg (ca 1770), von Rosenberg (1774), (von) Gernet (1774), von Schumacher d'Unnipitch (1774), Brockhausen (1782), von Kursell (ca 1785), Krakus-Mayerin (1786), von Knorring (1787), von Brummer (ca 1790), von Smitten (1801), von Braunschweig (1805), von Erschell (ca 1810), Afanassiev (ca 1820), Wiemuth (ca 1822), Bukovszky von Stolzenburg (ca 1820), von Glehn (1823, 1831), Waligórski (vers 1830), landséri Oláh (ca 1850), Wojakowski (1824), von Török (ca 1890), Delbeck (1857), Henriot (1887), Noël (1887, 1896), Pallavicini (1901), Fuchs (1903), du Authier (ca 1905), Ameil (ca 1923).

Notes et références

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  1. Az aradi káptalan regisztrumtöredéke és regisztrumának előszava., rapport de l'Académie hongroise des sciences, E. Gálffi, Kolozsvár, 2010 ; Lien
  2. Iván Nagy, XV. Zaránd vármegye helységei[1]
  3. József Vagner, Adalékok a Nyitrai székes-káptalan történetéhez, Huszár István, 1896 En ligne sur archive.org
  4. a et b archives
  5. Kenyeres István, KisPéter: 16th századi uradalmi utasítások, Szentpétery Imre Történettudományi Alapítvány, 2002, (ISBN 9 63204 594 7), (ISBN 978 9 63204 594 8)
  6. Oláh Róbert:Kálvin művei a kora újkori magyarországi könyvtárakban, Tiszántúli Református Egyházkerület Nagykönyvtára, Debrecen, 2011, p 127. [2]
  7. Király Személye Körüli Minisztérium Levéltára - Királyi Könyvek - 3.384
  8. Király Személye Körüli Minisztérium Levéltára - Királyi Könyvek - 3.769
  9. Libri Regii · Királyi Könyvek 1527—1918
  10. Király Személye Körüli Minisztérium Levéltára - Királyi Könyvek - 3.733
  11. Király Személye Körüli Minisztérium Levéltára - Királyi Könyvek - 3.898
  12. Csanád vármegye törtńete 1715-ig, Samu Borovszky, 1896, réimp. par BiblioLife, 2010, (ISBN 1-14353-213-9) et (ISBN 978-1-14353-213-9)
  13. Pálffy Géza: Katonai igazságszolgáltatás a királyi Magyarországon a XVI-XVII. században, Pálffy Géza, Győr, 1995 (ISBN 9 63722 802 0)
  14. Az első kuruc mozgalmak korának költészete par Béla Stoll, Imre Varga, 1986 (ISBN 9 63053 492 4) et (ISBN 978 963053 492 5)
  15. Zoltán Fallenbüchl : Állami (királyi és császári) tisztségviselők a 17. századi Magyarországon, Osiris Kiadó, Budapest, 2002 (ISBN 963 200 458 2)
  16. A Székelyföld leirása (Description de la Transylvanie), Volumes 2-3 par Balázs Orbán, 1869 (ISBN 1 16076 468 9) et (ISBN 978 116076 468 1)
  17. A szepesi kamara vezető tisztviselői 1646-1672 között Par Gecsényi Lajos–Tatjana Guszarova, Osiris, 2003, Budapest
  18. Egy kora újkori ügyvéd pályaképe - Szepsy (Zepsy) János (Un avocat des Temps modernes - János Szepsy (Zepsy)), Par Dominkovits, Szeged, 2001 Péter
  19. János József Gudenus : A magyarországi főnemesség XX. századi genealógiája A-J, Ed. Natura, 1990 (page 302) (ISBN 9 63233 304 7) et (ISBN 978 9 63233 304 5)
  20. Michael Knaisz de Miskoltz: Chronologo-provinciale ordinis fratrum minorum S. Francisci conventualium[3], Belnay, Poszony, 1803
  21. István Kovács: Honvédek, hírszerzők, légionisták. A szabadságharc lengyel résztvevőinek életrajzi lexikona, 1848-1849, Ed. Magyar Naplo, Budapest, 2015
  22. Hof- und Staats-Handbuch der Österreichisch-Ungarischen Monarchie für …, volume 30, K.K. Hof- und Staatsdruckerei, 1904 ; vol 31, 1905
  23. Magyar írók élete és munkái: Brediceanu Kajusz-Czeglédy Rózsika, József Szinnyei, Pál Gulyás - 1942
  24. Erzsébet Burchard-Bélavary sur Kislexikon
  25. Hof- und Staats-Handbuch der Österreichisch-Ungarischen Monarchie für …, Volume 30, K.K. Hof- und Staatsdruckerei, 1904 ; vol 31, 1905
  26. Bureau central des statistiques, Hongrie, Statisticheskoe obozrenie, 1928
  27. Branczik Márta, "BUDAPEST 1918-1940 KÖZÖTT" lien
  28. magyar muzeumok.hu
  29. Büttner Miklós sur nevpont
  30. Köztelek, Budapest, 1899. május hó 27
  31. Hungarian Aces of World War 2, Györgu Punka, 2002 (ISBN 1 84176 436 1)
  32. Site officiel de l'armée hongroise
  33. a b et c DAS REVALER BÜRGERBUCH 1710-1786, Georg Adelheim, Estländische Druckerei, Tallinn, 1934
  34. Die Rittergüter im Kreise Jerwen seit der Schwedenzeit, H. v. Hirschheydt, 1970 (ISBN 3 77770 979 4)
  35. Eberhard Winkler, Salis-Livische Sprachmaterialien. Allemagne: Finnisch-Ugrisches Seminar an der Universität München, 1994 [4]
  36. Finnisch-ugrische Forschungen. Finlande: Red. der Zeitschrift, 1999 [5]
  37. Johann Gottfried Arndt, Liefländische Chronik (p.10), Ed. Gebauer, Halle, 1753 [6]
  38. Publications of Võro Institute, nr. 33, october 2018 [7]
  39. Vunk, Aldur. The relationship between the Enlightenment and the survival of the Livonian language in Salaca Parish. Eesti ja soome-ugri keeleteaduse ajakiri. Journal of Estonian and Finno-Ugric Linguistics 9, no. 2: 35–59. http://dx.doi.org/10.12697/jeful.2018.9.2.02
  40. Voir: Yves Plasseraud, S. Pourchier-Plasseraud, "Les Germano-Baltes", Ed. Armeline, Crozon, 2022 (ISBN 978-2-910878-46-7)
  41. Bergmann, Gustav von, Geschichte von Livland(Biographie lutherischer Prediger in der Provinz Livland), Leipzig, 1776 [8]
  42. Grosses und allgemeines Wappenbuch verlegt par Bauer & Raspe in Nürnberg., 1891, 1892
  43. National Archives of Estonia (AIS) [9]
  44. Archives européennes "monasterium", Fond BurchardBelavary
  45. St. Petersburgische Zeitung du 25 août 1835 (page 847)
  46. AIS, Site des archives d'Estonie
  47. Ewald baron von Klopmann, Abrégé de l'histoire du tabago, Archives de la ville de Riga, Lituanie
  48. Jerzy Jędrzejewicz, Radom: szkice z dziejów miasta, Arkady, 1961
  49. Bulletin de la Société Evangélique de Radom, Nr 1-2/1990
  50. ...mindvégig veletek voltunk, par István Kovács, ed. Osiris, 1998 (ISBN 9 63379 372 6) et (ISBN 978 9 63379 372 5)
  51. Dr. Patrik Derfiňák: Prešovská sporiteľňa, účastinná spoločnosť (1845 – 1923). Prešov : Institut d'histoire de la Faculté de philosophie de l'Université de Prešov et Ed. Universum-EU Vol.6, 2016, p. 170-172. (ISBN 80-89046-40-1) ISSN 1336-7528 [10]
  52. Saint-Cyr.org
  53. (fi) Helmi Üprus (et), Raidkivikunst Eestis XIII-XVII sajandini, Tallinn, [11]
  54. (et) Urmo Treisalt, Tallinna raidkivikunsti eripäradest. Varauusaegsete aknasammaste inventeerimine, Tallinn, Académie estonienne des arts,
  55. (en) Juhan Maiste, Sten Karling and Baltic art history, Tallinn, Eesti Kunstiakadeemia, , p.52-53
  56. Armorial de J.B. RIETSTAP
  57. Archives Nationales d'Estonie en ligne Saaga TLA.236.1.9:137, mariage du 19 décembre 1705 de Katharina Burchard et Joachim Salemann (et), Tallinn ; p. 137/180

Bibliographie

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  • Meliorisz B., A Bothfalvi B. -család címere, Turul, 1901 (netlexicon.hu)
  • Récits de famille, Histoire de la Famille Burchard-Bélavàry par Marcel Burchard-Bélavary, Éditions Berger-Levrault et Cie, Nancy, 1906 ; La Hulpe, Bruxelles, 2001
  • Le Petit Futé, Estonie, 2006- 2007
  • Yves Beauvois, Léon Noël, de Laval à de Gaulle, via Pétain, Presses universitaires du Septentrion, 2001 (ISBN 2-85939-646-2) et (ISBN 978-2-85939-646-6)
  • Mémoires du général Dembinski
  • Archives de l'armée française, historique du 156e RI ; Le quinze six pendant la grande guerre, Berger-Levrault et Cie, Nancy, Paris, Toulouse
  • Armorial général de Jean-Baptiste Rietstap ; Burchard von Bélavary de Sycava
  • Site officiel du musée historique d'Estonie de Tallinn, voir liens.
  • The Business Strategy of Fathers and Sons : A Hungarian Family in the 19th and 20th Centuries, Judit Klement, ed. in AETAS - Journal of history and related disciplines (1-2/2005) Lien pdf
  • Nagykanizsa - Romlottvár "- le château médiéval Botszentgyörgy, George Szekér dipl. Architecte, 2007, Budapest
  • Archives de la famille Von Wimpffen.
  • De la littérature : La vie créative en Slovaquie au début du XXe siècle, Váross, Bratislava 1971, p. 28, 33, 65, 123 à 28, 33, 65, 123.

Articles connexes

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Liens externes

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