Discussion:Posca
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Posca est féminin
[modifier le code]La posca est de genre féminin, et non masculin , car tel est le genre du mot latin, voir p.ex. [1] ou tout bon dictionnaire latin.
On trouve sur le web les deux genres, voir google://posca+vinaigre, mais je soupçonne qu'une confusion populaire vienne d'un certain marqueur nommé «le posca» google://"le posca"+marqueur
147.210.22.149 6 avril 2007 à 12:58 (CEST)
- Ça me paraît juste. Je corrige. --Localhost 6 avril 2007 à 14:32 (CEST)
fiel (l'opium)
[modifier le code]Est-ce que la mention de fiel (l'opium) est correcte? Le lien vers fiel est redirigé vers bile, et je ne vois pas le lien entre bile et opium. Timothy Cooper (discuter) 18 décembre 2015 à 10:01 (CET)
Geste de compassion ?
[modifier le code]Concernant le geste de donner du "vinaigre" à Jésus crucifié, s'agit-il d'un geste de compassion ou - a contrario - d'une humiliation supplémentaire, comme seuls savent en trouver les bourreaux et autres chargés d’exécutions ? La réponse se trouve peut-être non dans la boisson, mais dans l'éponge : pourquoi des gardes avaient-ils donc une (des) éponge (s) avec eux ? En fait, dans le monde romain l'éponge servait de "papier hygiénique" (elle était rincée après usage, voire "désinfectée" au vinaigre). La langue grecque avait même un mot spécifique, ξυλοσπόγγιον (xylospongion), pour désigner les éponges piquées sur un bâton que l'on trouvait dans les latrines publiques, et qui servaient aux utilisateurs successifs qui les remettaient ensuite dans un bassin où un flux d'eau les rinçait.
Aussi, et contrairement à ce qui est affirmé dans l'article, il est bien possible que ce geste ait été correctement interprété par les commentateurs anciens...
"Pour vous, considérez, je vous prie , mes frères, la barbarie et la scélératesse de ceux qui sont autour de Jésus. Nous, quelque grand nombre d'ennemis que nous ayons, quelques outrages et quelques maux qu'ils nous aient fait subir, si nous voyons qu'on les fasse mourir, nous les plaignons et nous les pleurons; mais ces misérables, rien n'a pu les fléchir : les douleurs, les tourments qu'endure Jésus ne les ont point attendris ; au contraire, toujours plus cruels, plus furieux, ils inventent de nouvelles moqueries, ils emplissent une éponge de vinaigre et la lui présentent à la bouche" (Jean Chrysostome, Homélie 85 sur St Jean)