Diego Arria
Diego Arria | |
Fonctions | |
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Président du conseil de sécurité des Nations unies | |
– (30 jours) |
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Représentant permanent du Venezuela aux Nations unies | |
– | |
Prédécesseur | Andrés Aguilar Mawdsley |
Successeur | Adolfo Taylhardat |
Ministre vénézuélien de l'Information et du Tourisme | |
– (1 an, 2 mois et 10 jours) |
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Prédécesseur | aucun (création) |
Successeur | Celestino Armas |
Gouverneur du District fédéral | |
– (2 ans, 9 mois et 25 jours) |
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Président | Carlos Andrés Pérez |
Prédécesseur | Guillermo Álvarez Bajares |
Successeur | Manuel Montilla Cáceres |
Député au Congrès de la République | |
– (1 an) |
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Président de la corporation nationale de hôtellerie et du tourisme | |
– (4 ans, 10 mois et 21 jours) |
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Directeur de la banque interaméricaine de développement | |
– (3 ans) |
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Biographie | |
Nom de naissance | Diego Enrique Arria Salicetti |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Caracas (Venezuela) |
Nationalité | vénézuélienne |
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Diego Arria est un économiste, écrivain, diplomate et homme politique vénézuélien, né à Caracas le . Issu de la société civile, il devient député au Congrès de la République en 1973, puis gouverneur du District fédéral de la capitale entre 1974 et 1977. Il est ensuite nommé ministre du Tourisme entre 1977 et 1978 et achève sa carrière politique entre 1991 et 1993 aux Nations unies.
Il devient représentant du gouvernement autoproclamé de Juan Guaido à l’ONU à partir de 2019. Il a eu l’occasion de s’y exprimer, bien que l'ONU ne le reconnaisse comme ambassadeur du Venezuela[1].
Il est signataire en 2020 de l'appel lancé par Santiago Abascal, le dirigeant du parti espagnol Vox, visant à combattre le communisme dans le monde. L'appel s’entend également comme un premier pas vers la création d'une internationale de la droite radicale afin de mener une « bataille culturelle contre la gauche »[2].
Références
[modifier | modifier le code]- « Michelle Bachelet, la Chilienne qui a oublié d’où elle vient », sur Médelu,
- (es) « La carta de Abascal para "frenar el avance comunista" que firman 50 líderes mundiales », sur El Confidencial,