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Deborah Kerr

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Deborah Kerr
Description de cette image, également commentée ci-après
Deborah Kerr dans Quo vadis (1951).
Nom de naissance Deborah Jane Trimmer
Surnom The English Rose
Naissance
Hillhead (Écosse)
Nationalité Drapeau du Royaume-Uni Britannique
Décès (à 86 ans)
Botesdale (Angleterre)
Profession Actrice
Films notables Les Mines du roi Salomon
Quo vadis
Tant qu'il y aura des hommes
Les Innocents

Deborah Trimer, dite Deborah Kerr [ˈdɛb(ə)ɹə kɑr][1], est une actrice britannique, née le à Hillhead (Écosse) et morte le à Botesdale (Suffolk).

D'abord formée à la danse classique, Deborah Kerr se tourne rapidement vers la comédie, jouant au théâtre à partir de 1937 puis sur grand écran dès le début des années 1940. Révélée par le réalisateur Michael Powell dans ses films Colonel Blimp (1943) et Le Narcisse noir (1947), elle est repérée par les studios hollywoodiens et la font tourner aux États-Unis. Considérée comme l'une des plus grandes actrices hollywoodiennes des années 1950 et nommée six fois à l'Oscar de la meilleure actrice, elle est un exemple marquant d'artiste européenne ayant fait carrière aux États-Unis.

En 1994, après avoir reçu des prix honorifiques du Festival de Cannes et de la BAFTA, Kerr a reçu un Oscar d'honneur pour « une artiste d'une grâce et d'une beauté irréprochables, une actrice dévouée dont la carrière cinématographique a toujours été synonyme de perfection, de discipline et d'élégance »[2]. Également femme de théâtre, Deborah Kerr est nommée en 1998 Commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique (CBE) par la reine Élisabeth II.

Deborah Kerr en 1942.

Deborah Jane Trimmer[3] est née le à Hillhead, Glasgow[4], fille unique de Kathleen Rose (née Smale) et du capitaine Arthur Charles Kerr Trimmer, ancien combattant de la Première Guerre mondiale et pilote qui a perdu une jambe lors de la bataille de la Somme et qui est ensuite devenu architecte naval et ingénieur civil. Trimmer et Smale se sont mariés, tous deux âgés de 28 ans, le à Lydney, Gloucestershire, la ville natale de Smale[5].

La jeune Deborah passe les trois premières années de sa vie dans la ville écossaise de Helensburgh, sur la côte ouest, où ses parents vivent avec les grands-parents de Deborah dans une maison de West King Street. Kerr avait un frère cadet, Edmund Charles (né le ), qui est devenu journaliste. Il est décédé à l'âge de 78 ans lors d'un accident de la route en 2004[6],[7]

Kerr a fait ses études à l'école indépendante de Northumberland House, à Henleaze, Bristol, en Angleterre, et à la Rossholme School, à Weston-super-Mare. Kerr a d'abord suivi une formation de danseuse de ballet et s'est produite pour la première fois sur scène au Sadler's Wells en 1938. Après avoir changé de carrière, elle a rapidement rencontré le succès en tant qu'actrice. Sa tante, Phyllis Smale, qui travaillait dans une école d'art dramatique de Bristol dirigée par Lally Cuthbert Hicks, fut son premier professeur d'art dramatique[8],[9]. Elle adopta le nom de Deborah Kerr lorsqu'elle devint actrice de cinéma (« Kerr » était un nom de famille remontant à la grand-mère maternelle de son grand-père Arthur Kerr Trimmer)[10].

Débuts au Royaume-Uni

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La première apparition de Kerr sur scène a lieu à Weston-super-Mare en 1937, dans le rôle d'Arlequin dans la pièce de la commedia dell'arte Arlequin et Colombine. Elle entre ensuite à l'école de ballet Sadler's Wells et fait ses débuts dans le corps de ballet de Prometheus en 1938. Après avoir joué plusieurs rôles secondaires dans des productions de Shakespeare à l'Open Air Theatre de Regent's Park, à Londres, elle rejoint la compagnie de répertoire de l'Oxford Playhouse en 1940, jouant notamment « Margaret » dans Dear Brutus et « Patty Moss » dans The Two Bouquets[8].

Kerr joue son premier rôle au cinéma dans la production britannique Espionne à bord (1940), à l'âge de 18 ou 19 ans, mais ses scènes sont coupées. Elle joue un rôle secondaire important dans La Commandante Barbara (1941), réalisé par Gabriel Pascal[11].

Kerr s'est fait connaître en jouant le rôle principal dans le film Les Naufragés de la vie (1941). Le critique James Agate écrit que Les Naufragés de la vie « n'est pas bien éloigné de son rôle de Wendy Hiller au théâtre, mais c'est une œuvre charmante réalisée par une débutante très jolie et prometteuse, si jolie et si prometteuse qu'on entend parler d'elle comme de la nouvelle vedette en vogue »[8].

Deborah Kerr dans Le Roi et moi (1956).

Elle tient le premier rôle féminin dans Penn of Pennsylvania (1941), un film qui passe plutôt inaperçu ; en revanche, Le Chapelier et son château (1942), dans lequel elle partage l'affiche avec Robert Newton et James Mason, remporte un grand succès. Elle incarne une résistante norvégienne dans Riposte à Narvik (1942). Elle remporte un succès immédiat auprès du public : un journal américain spécialisé dans le cinéma rapporte en 1942 qu'elle est l'actrice britannique la plus populaire auprès des Américains[12].

Kerr a joué trois femmes dans Colonel Blimp (1943) de Michael Powell et Emeric Pressburger. Pendant le tournage, selon l'autobiographie de Powell, Powell et elle devinrent amants[13] : « Je me suis rendu compte que Deborah était à la fois la femme idéale et la femme en chair et en os que j'avais toujours recherchée »[13]. Kerr a précisé que son nom de famille devait être prononcé de la même manière que le mot anglais « car » (litt. « voiture »). Pour éviter toute confusion sur la prononciation, Louis B. Mayer, directeur de la Metro-Goldwyn-Mayer, la présenta comme « Kerr rime avec star ! »[14]. Bien que l'armée britannique ait refusé de coopérer avec les producteurs — et que Winston Churchill ait pensé que le film ruinerait le moral en temps de guerre —, Colonel Blimp confondit les critiques lorsqu'il s'avéra être un succès artistique et commercial[13].

Powell espérait réunir Kerr et l'acteur principal Roger Livesey dans son film suivant, A Canterbury Tale (1944), mais son imprésario avait déjà vendu son contrat à la Metro-Goldwyn-Mayer. Selon Powell, sa liaison avec Kerr prit fin lorsqu'elle lui fit comprendre qu'elle accepterait une offre d'aller à Hollywood si elle lui était faite[13].

En 1943, à l'âge de 21 ans, Kerr fait ses débuts dans le West End dans le rôle d'Ellie Dunn dans une reprise de La Maison des cœurs brisés au Cambridge Theatre, volant la vedette à des vedettes telles qu'Edith Evans et Isabel Jeans. « Elle a le don rare, écrit la critique Beverley Baxter, de penser son texte et pas seulement de le mémoriser. Le processus d'évolution d'une jeune fille romantique et écervelée à une femme raide et désillusionnée en trois heures était émouvant et convaincant »[8].

Deborah Kerr dans Le Narcisse noir (1947).

Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle tourne également aux Pays-Bas, en France et en Belgique pour l'Entertainments National Service Association (ENSA), dans le rôle de Mrs Manningham dans Hantise (Gaslight) et Britain (avec Stewart Granger)[15].

Alexander Korda lui donne pour partenaire Robert Donat dans Le Verdict de l'amour, également connu sous le titre Entracte au mariage (1945). Le film est un grand succès en Grande-Bretagne. Il en va de même pour la comédie dramatique d'espionnage L'Étrange Aventurière (1946), dans laquelle elle offre une interprétation désinvolte et enjouée qui domine l'action et éclipse son partenaire Trevor Howard. Ce film était réalisé par le duo Frank Launder et Sidney Gilliat.

Son rôle de religieuse agitée dans l'adaptation de Powell et Pressburger du Narcisse noir (1947) a attiré l'attention des producteurs hollywoodiens. Le film est un succès aux États-Unis et au Royaume-Uni, et Kerr remporte le New York Film Critics Award en tant qu'actrice de l'année. Les exploitants de salles britanniques l'ont élue huitième vedette nationale la plus populaire dans les salles britanniques en 1947[16]. Elle s'est ensuite installée à Hollywood sous contrat avec la Metro-Goldwyn-Mayer.

Contrat avec la Metro-Goldwyn-Mayer

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Le premier film de Kerr pour la MGM à Hollywood est une satire de l'industrie publicitaire naissante, Marchands d'illusions (1947), avec Clark Gable et Ava Gardner. Elle joue ensuite aux côtés de Walter Pidgeon dans Quand vient l'hiver (1947). Elle reçoit la première de ses nominations aux Oscars pour Édouard, mon fils (1949), un drame tourné en Angleterre avec Spencer Tracy[17].

À Hollywood, l'accent et les manières britanniques de Kerr lui valent une succession de rôles de dames anglaises raffinées, réservées et « convenables ». Kerr profite néanmoins de toutes les occasions pour se débarrasser de son étiquette. Elle tient le rôle principal dans la comédie J'ai trois amours (1950)[18].

Dans Le Prisonnier de Zenda (1952).

Elle apparaît dans deux grands succès consécutifs de la MGM. Les Mines du roi Salomon (1950) est tourné en Afrique avec Stewart Granger et Richard Carlson[19] et est immédiatement suivi par le péplum Quo Vadis (1951), tourné à Cinecittà à Rome, dans lequel elle incarne l'indomptable Lygia, une chrétienne du premier siècle.

Elle joue ensuite la princesse Flavia dans le remake Le Prisonnier de Zenda (1952) avec Granger et Mason. Entre-temps, le studio Paramount l'a empruntée à la MGM pour apparaître dans Tonnerre sur le temple (1951) avec Alan Ladd.

En 1953, Kerr « fait montre de son talent théâtral » dans le rôle de Portia dans Jules César de Joseph Mankiewicz[8]. Elle incarne ensuite Élisabeth Ire d'Angleterre dans La Reine vierge (1953) avec Granger et Jean Simmons, puis apparaît aux côtés de Cary Grant dans La Femme rêvée (1953), une comédie qui ne rencontre pas son public.

De Tant qu'il y aura des hommes (1953) aux théâtres de Broadway

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Dans La Reine vierge (1953).

Kerr s'est éloignée des stéréotypes en jouant un rôle qui mettait en valeur sa sensualité, celui de Karen Holmes, une épouse militaire américaine aigrie, dans Tant qu'il y aura des hommes (1953) de Fred Zinnemann, pour lequel elle est nommée à l'Oscar de la meilleure actrice. La scène de ce film dans laquelle elle et Burt Lancaster se livrent à des ébats illicites et passionnés au milieu de vagues déferlantes sur une plage hawaïenne figure dans toutes les anthologies de l'érotisme au cinéma[20].

Après s'être imposée comme actrice de cinéma, elle fait ses débuts aux théâtres de Broadway en 1953, dans Thé et Sympathie de Robert Anderson, pour lequel elle est nommée aux Tony. Kerr interprète le même rôle dans l'adaptation cinématographique de Vincente Minnelli sortie en 1956 ; son partenaire de scène John Kerr (sans lien de parenté) y apparaît également. En 1955, Kerr remporte le prix Sarah-Siddons pour sa prestation à Chicago lors d'une tournée nationale de la pièce. Après ses débuts à Broadway en 1953, elle effectue une tournée aux États-Unis avec Thé et Sympathie[17].

Apogée de carrière

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Par la suite, les choix de carrière de Kerr la feront connaître à Hollywood pour sa polyvalence en tant qu'actrice[3],[14]. Elle interprète une épouse refoulée dans Vivre un grand amour (1955), tourné en Angleterre avec Van Johnson. Elle est une veuve amoureuse de William Holden dans Un magnifique salaud (1956), réalisé par George Seaton. Aucun des deux films n'a connu un grand succès. Cependant, Kerr a ensuite incarné l'enseignante britannique Anna Leonowens dans la version cinématographique de la comédie musicale de Rodgers et Hammerstein Le Roi et moi (1956), avec Yul Brynner dans le rôle principal ; ce fut un énorme succès.

Dans Jules César (1953).

Elle a joué une religieuse dans Dieu seul le sait (1957) aux côtés de son ami de longue date Robert Mitchum, sous la direction de John Huston. Le film est très populaire, tout comme Elle et lui (1957), avec Cary Grant[17].

Kerr participe à trois films avec David Niven : Bonjour tristesse (1958), d'Otto Preminger d'après le roman éponyme de Françoise Sagan, Tables séparées (1958), de Delbert Mann, qui fut particulièrement bien accueilli[21], et Eye of the Devil (1966), réalisé par J. Lee Thompson.

Les Innocents (1961), Casino Royale (1967) et fin de carrière

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Elle tourne deux films à la MGM : Le Voyage (1959) la réunit avec Brynner ; J'ai épousé un Français (1959), une comédie dramatique tournée à Paris et à Londres avec Maurice Chevalier. Les deux films font un bide, tout comme Un matin comme les autres (1959) avec Gregory Peck[22].

Dans Horizons sans frontières (1960).

Kerr retrouve Mitchum dans Horizons sans frontières (1960), tourné en Australie, puis dans Ailleurs l'herbe est plus verte (1960), avec Cary Grant. Elle apparaît dans le dernier film avec Gary Cooper, La Lame nue (1961), et joue dans le film gothique Les Innocents (1961) adapté de la nouvelle d'Henry James Le Tour d'écrou, où elle incarne une gouvernante tourmentée par des apparitions dans l'Angleterre de la fin du XIXe siècle. Le film est classé par de nombreux amateurs du genre comme un chef-d'œuvre[23],[24],[25]. Les scénaristes William Archibald et Truman Capote reçurent un prix Edgar-Allan-Poe du meilleur scénario.

Kerr fait ses débuts à la télévision britannique dans Three Roads to Rome (1963) de Ronald Marriott. Elle joue une autre gouvernante dans Mystère sur la falaise (1964) et travaille à nouveau avec John Huston dans La Nuit de l'iguane (1964)[26].

Elle rejoint Dean Martin et Frank Sinatra dans un ménage à trois pour une comédie romantique, Les Inséparables (1965).

En 1965, les producteurs des comédies britanniques Carry On lui proposent un cachet comparable à celui du reste de la distribution réunie, mais elle le refuse pour jouer dans une version théâtrale avortée de Des fleurs pour Algernon. Elle remplace Kim Novak dans Le Mystère des treize (1966) avec Niven, et retrouve ce dernier dans la comédie Casino Royale (1967), obtenant la distinction d'être, à 45 ans, la « Bond girl » la plus âgée de tous les films de James Bond, jusqu'à Monica Bellucci, à l'âge de 50 ans, dans 007 Spectre (2015). Casino Royale est un succès, tout comme un autre film qu'elle tourne avec Niven, Prudence et La Pilule (1968)[27]. Elle tourne L'Arrangement (1969) avec Elia Kazan, son metteur en scène depuis la production théâtrale de Thé et Sympathie. Elle revient au cinéma une dernière fois en 1985 avec The Assam Garden (en)[28].

Vie privée

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Deborah Kerr en 1973.

Kerr épouse en premières noces l'officer de la Royal Air Force Anthony Bartley le 29 novembre 1945. Ils ont eu deux filles, Melanie Jane (née le 27 décembre 1947) et Francesca Ann (née le 18 décembre 1951, qui a épousé l'acteur John Shrapnel). Francesca leur a donné trois petits-fils, les acteurs Lex Shrapnel et Tom Shrapnel ainsi que l'écrivain Joe Shrapnel. Melanie est sociologue médicale et universitaire à la retraite. Leur mariage a été perturbé par la jalousie de Bartley envers la célébrité et la réussite financière de sa femme[10], et par le fait que sa carrière l'éloignait souvent de la maison. Ils divorcent en 1959.

Elle épouse en secondes noces l'écrivain Peter Viertel le 23 juillet 1960. En épousant Viertel, elle devient la belle-mère de la fille de ce dernier, Christine Viertel. Bien qu'elle ait longtemps résidé à Klosters, en Suisse, et à Marbella, en Espagne, Kerr est retournée en Grande-Bretagne pour se rapprocher de ses propres enfants lorsque sa santé a commencé à décliner. Son mari, quant à lui, continue de vivre à Marbella[29].

Stewart Granger a déclaré dans son autobiographie qu'en 1945, elle lui avait fait la cour à l'arrière de sa voiture avec chauffeur, alors qu'il tournait César et Cléopâtre[30]. Bien qu'il ait été marié à Elspeth March, il affirme que Kerr et lui ont eu une liaison[31]. Interrogée sur cette révélation, Kerr a répondu : « Quel galant homme ! »[32].

Kerr est décédée à l'âge de 86 ans le 16 octobre 2007 à Botesdale, un village du comté de Suffolk, en Angleterre, des suites de la maladie de Parkinson[33],[34]. Trois semaines après sa mort, son mari Peter Viertel décède d'un cancer le 4 novembre[35]. Au moment de la mort de Viertel, le réalisateur Michael Scheingraber tournait le documentaire Peter Viertel: Between the Line, qui comprend des souvenirs concernant Kerr et les Oscars[36].

Filmographie

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Télévision

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Distinctions

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Récompenses

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Nominations

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Notes et références

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  1. Prononciation en anglais britannique retranscrite selon la norme API
  2. « British actress Kerr dies at 86 », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. a et b Russell Leadbetter, « The King and I actress Deborah Kerr is Glasgow's star - and there is a birth certificate to prove it », Glasgow Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Deborah Kerr profile » [archive du ], The Herald, Glasgow (consulté le )
  5. Lawrence Goldman, Oxford Dictionary of National Biography 2005-2008, Oxford, Oxford Univ Press, (ISBN 978-0199671540, lire en ligne), p. 642
  6. « 'Road rage' killer's appeal win », BBC News,‎ (lire en ligne)
  7. « Killer's term cut », Worcester News,‎ (lire en ligne [archive du ])
  8. a b c d et e « Obituaries: Deborah Kerr », The Daily Telegraph, London,‎ (lire en ligne [archive du ] Accès payant, consulté le )
  9. Richard Sater et Robert Pardi, « Deborah Kerr », International Dictionary of Film and Filmmakers, Detroit, St. James Press,‎ (ISBN 978-1558624498, lire en ligne [archive du ])
  10. a et b Braun, Eric. Deborah Kerr. St. Martin's Press, 1978. (ISBN 0-312-18895-1).
  11. « Major Barbara », sur Time Out Worldwide, (consulté le )
  12. « FILM NOTES. », The West Australian, Perth, National Library of Australia,‎ , p. 13 (lire en ligne, consulté le )
  13. a b c et d Michael Powell, A Life in Movies, Faber, , reprint éd. (ISBN 978-0571204311)
  14. a et b Douglas Martin, « Deborah Kerr, Actress Known for Genteel Grace and a Sexy Beach Kiss, Dies at 86 », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. Ann T. Keene, Kerr, Deborah (1921-2007), actress, Oxford University Press, coll. « American National Biography Online », (DOI 10.1093/anb/9780198606697.article.1803828, lire en ligne)
  16. 'Bing's Lucky Number: Pa Crosby Dons 4th B.O. Crown', The Washington Post 3 January 1948: p. 12.
  17. a b et c Dennis McLellan, « Deborah Kerr, 86; 'Eternity' star », sur Los Angeles Times, (consulté le )
  18. « Please Believe Me », sur WarnerBros.com, (consulté le )
  19. Thomas F Brady, « Deborah Kerr Gets Metro Movie Lead », The New York Times,‎
  20. « AFI's 100 Years...100 Passions », sur American Film Institute (consulté le )
  21. « Separate Tables », sur Variety, (consulté le )
  22. « Screen: Fitzgerald on the Way Down; 'Beloved Infidel' Opens at the Paramount Gregory Peck, Deborah Kerr Head Cast », sur The New York Times, (consulté le )
  23. Andrew Pulver, « The Innocents: No 11 best horror film of all time », sur the Guardian, (consulté le )
  24. « The Innocents (1961) » [archive du ], sur British Film Institute (consulté le )
  25. Stafford, Jeff, « The Innocents », sur Turner Classic Movies (consulté le )
  26. « The Night of the Iguana », sur Variety, (consulté le )
  27. Roger Ebert, « Prudence and the Pill movie review (1968) », sur RogerEbert.com, (consulté le )
  28. « FILM: 'ASSAM GARDEN,' WITH DEBORAH KERR », sur The New York Times, (consulté le )
  29. « Actress Deborah Kerr Dies at 86 », CBS News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. Stewart Granger, Sparks Fly Upward, Harper Collins, , 88–91 p. (ISBN 978-0399126741, lire en ligne)
  31. « Stewart Granger », sur Lenin Imports (consulté le )
  32. Tom Vallance, « Obituary: Stewart Granger », The Independent, London,‎ (lire en ligne)
  33. Clark, Mike (18 October 2007). "Actress Deborah Kerr dies at age 86". USA Today.
  34. « Actress Deborah Kerr has died », Associated Press,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  35. « Peter Viertel, 86, Writer », Variety,‎ (lire en ligne, consulté le )
  36. « Between The Lines A film by Michael Scheingraber », eeweems.com (consulté le )

Liens externes

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