Cet article (ou certaines de ses sections) semble fondé sur un néologisme dont l'usage en français n'est pas avéré par des sources suffisantes ().
Vous pouvez aider en ajoutant des références. À défaut de sources suffisantes, l'article pourra faire l'objet d'un débat d'admissibilité, ou les sections concernées modifiées en conséquence. Voir la page de discussion pour plus de détails.
Pour améliorer la vérifiabilité de l'article ainsi que son intérêt encyclopédique, il est nécessaire, quand des sources primaires sont citées, de les associer à des analyses faites par des sources secondaires. Motif : Des sources en langue étrangère peuvent être utilisées pour développer un concept. En revanche, le titre, lui, doit absolument être sourçable dans un contexte francophone = Wikipédia n'est pas un dictionnaire de langue !
La mise en forme de cet article est à améliorer ().
La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».
Comment faire ?
Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Le détail des points à revoir est peut-être précisé sur la page de discussion.
Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Le datactivisme (littéralement « data activisme ») est un mot valise formé par la fusion du terme anglais data (donnée) et du mot « activisme ». Il désigne une forme de militantisme, notamment sur Internet, dont l'objectif est de plaider un changement grâce à la diffusion de certaines données[1], notamment statistiques (statactivisme).
En France, le terme est encore méconnu malgré l'existence de plusieurs mouvements sociaux qui pourraient s'y apparenter[2].
En France, la société coopérative et participative DatActivist s'est organisée autour de cette notion. Créée en 2016, son objectif est d'ouvrir les données, les rendre utiles et exploitables[3]. DatActivist travaille avec différentes ONG, administrations, laboratoires de recherches, sociétés privées… qui souhaitent publier, réutiliser ou faire réutiliser des données. Elle effectue différentes actions auprès de ces organisations afin de former, vulgariser ou accompagner autour d'une stratégie d'open data[4]. À l'origine, la société souhaite combattre les omissions volontaires d’informations et les limites des données (agrégées, obsolètes ou inutilisables)[3]. En 2008, DatActivist et Greenpeace se sont mobilisés afin qu'un menu végétarien au minimum par semaine soit disponible dans les cantines scolaires. Pour cette enquête nommée “Y a-t-il trop de viande à la cantoche ?”, Greenpeace a recueilli 12 000 réponses auprès de 3 200 villes françaises. Les résultats révèlent que 69% des enfants sont obligés de manger de la viande ou du poisson presque tous les jours[5]. Les journalistes ont largement relayé la campagne. Elle s’est soldée par la loi Egalim de 2018, obligeant l’instauration d’un menu végétarien par semaine[6].[pertinence contestée]
↑Nayra Vacaflor, « Entretien avec Stefaan Verhulst, GovLab. Collective data, empowerment citoyen, data activisme : des preuves réelles que le Big Data fait partie d’une intelligence collective », Communication et organisation. Revue scientifique francophone en Communication organisationnelle, no 54, , p. 243–250 (ISSN1168-5549, lire en ligne, consulté le )