Cime de Peirabroc
Cime de Peïrabroc | |||||
Cime de Peïrabroc et mont Clapier, vus depuis la cime de la Malédie. | |||||
Géographie | |||||
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Altitude | 2 940 à 2 947 m[1],[2],[3] | ||||
Massif | Massif du Mercantour-Argentera (Alpes) | ||||
Coordonnées | 44° 07′ 08″ nord, 7° 24′ 48″ est[1],[3],[2] | ||||
Administration | |||||
Pays | France Italie |
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Région française Région italienne |
Provence-Alpes-Côte d'Azur Piémont |
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Département Province |
Alpes-Maritimes Coni |
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Ascension | |||||
Voie la plus facile | depuis le refuge de Nice | ||||
Géologie | |||||
Roches | Migmatite | ||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Italie
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Piémont
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Le cime de Peïrabroc est un sommet frontalier entre la France et l'Italie. Sa partie française est située dans la haute Gordolasque, dans le département des Alpes-Maritimes.
Géographie
[modifier | modifier le code]La cime de Peïrabroc est située sur la crête frontière, entre la France et l'Italie, au nord-ouest du mont Clapier. Son versant français fait partie du parc national du Mercantour, et son versant italien fait partie du parc naturel des Alpes maritimes. Son contrefort ouest forme la cime de Pagari[4].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'auteur de la première ascension reste inconnu. La première ascension en conditions hivernales a été effectuée par Victor de Cessole, Daniel Barthélemy et Antoine Fantini, le [5] et la première ascension de la cime par sa face nord est effectuée par Victor de Cessole, le [6].
Accès
[modifier | modifier le code]L'itinéraire de la voie normale démarre du refuge de Nice, pour rejoindre ensuite les lacs de Pagari. Il remonte ensuite le grand couloir d'éboulis entre les cimes de Pagari sur la gauche et de Peïrabroc sur la droite. Le sommet est atteint par l'arête ouest, en restant côté français[4].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Carte IGN classique » sur Géoportail.
- Visualisation sur le géoportail italien.
- Visualisation sur le géoportail du Piémont.
- Vincent Paschetta, Haut pays niçois, Mercantour Sud : Merveilles, Haute-Roya, Haute-Vésubie, Argentera, Didier et Richard, (ISBN 2-7038-0017-7 et 978-2-7038-0017-0, OCLC 417586826, lire en ligne)
- ↑ Victor de Cessole et Fernand Nœtinger, La Suisse niçoise, Sirius, (ISBN 2-904027-00-9 et 978-2-904027-00-0, OCLC 466119505, lire en ligne), p. 460
- ↑ G. Pringué, « Rapport annuel de 1907 », La Montagne : revue mensuelle du Club alpin français, (lire en ligne)
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Cartographie
[modifier | modifier le code]- Carte 3741OT au 1/25 000 de l'IGN : « Vallée de la Vésubie - Parc national du Mercantour »
- Sommet des Alpes françaises
- Sommet des Alpes italiennes
- Sommet du massif du Mercantour-Argentera
- Sommet dans les Alpes-Maritimes
- Sommet dans le parc national du Mercantour
- Sommet dans le parc naturel des Alpes maritimes
- Ligne de partage des eaux entre mer Adriatique et mer Méditerranée
- Frontière entre la France et l'Italie
- Belvédère (Alpes-Maritimes)