Aller au contenu

Chemin de fer du Vivarais

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Chemin de fer du Vivarais
Image illustrative de l'article Chemin de fer du Vivarais
Train dans les gorges du Doux

Pays Drapeau de la France France
Création Juin 1969
Écartement de voie Voie métrique (1,000 m)
Ligne exploitée Saint-Jean-de-Muzols - Lamastre
Site internet http://www.trainardeche.fr/

Le chemin de fer du Vivarais (CFV) est un chemin de fer touristique à voie métrique se trouvant en Ardèche. Aujourd'hui, il relie Saint-Jean-de-Muzols (alt. 130 m) à Lamastre (alt. 373 m) en 33 km. Il possède la particularité d'être exploité en traction vapeur avec des locomotives de type Mallet. Jusqu'à la fermeture du réseau, ce chemin de fer était surnommé « Le Mastrou », appellation qu'il a conservé pour son exploitation touristique.

Après avoir été interrompues à l'été 2008, à la suite de difficultés financières, les circulations ont repris entre la gare de Tournon-Saint-Jean (située à 3 km de Tournon-sur-Rhône, à Saint-Jean-de-Muzols) et Lamastre le .

Pendant la période d'interruption des circulations ferroviaires (2011 et 2012), il est exploité avec des vélorails entre Saint-Jean-de-Muzols et Boucieu-le-Roi. En 2013, après la reprise des circulations ferroviaires entre Tournon-Saint-Jean et Lamastre, l'exploitation du vélorail se poursuit entre les gares de Boucieu-le-Roi et de Troye[1]. Le parcours de descente de 12 km entre Boucieu-le-Roi et Troye se fait en vélorail et le retour à Boucieu-le-Roi avec l'autorail historique Billard, de 1938, classé monument historique.

Depuis le , un nouveau parcours de vélorail entre la gare de Boucieu-le-Roi et la halte de Monteil a été créé avec départ de Boucieu en autorail et retour depuis Monteil en vélorail.

Origines de la ligne

[modifier | modifier le code]

Le chemin de fer du Vivarais exploite une section de l’ancien réseau du Vivarais exploité par la compagnie de chemins de fer départementaux, (CFD). Le réseau du Vivarais était un réseau de chemin de fer à voie métrique desservant les départements de l'Ardèche et de la Haute-Loire. Il était constitué de 4 lignes :

Ces lignes ont été ouvertes entre 1891 et 1903. L'ensemble du réseau mesurait 201,2 km. La ligne Tournon-Lamastre, reprise par le Chemin de fer du Vivarais, faisait partie d'un ensemble de trois lignes, déclarées d'utilité publique le 28 juillet 1886 dans le cadre d'une convention entre la Compagnie de chemins de fer départementaux, le département de l'Ardèche et celui de la Haute-Loire.

Elles formaient le « premier réseau ».

lignes longueur date d'ouverture fermeture
Lavoûte-sur-Loire - Yssingeaux 22,1 km 9 novembre 1890 28 février 1952
Tournon - Lamastre 32,6 km 12 juillet 1891 31 octobre 1968
La Voulte-sur-Rhône - Le Cheylard 47,5 km 13 septembre 1891 31 octobre 1968

Le réseau a été fermé en deux étapes :

  • le 28 février 1952 pour la ligne Raucoules - Yssingeaux - Lavoûte-sur-Loire ;
  • le 31 octobre 1968 pour les lignes du Cheylard à Dunières et du Cheylard à La Voulte-sur-Rhône.

La ligne Tournon - Lamastre

[modifier | modifier le code]

La construction

[modifier | modifier le code]
Un train au départ de Tournon, gare de correspondance avec la SNCF

La construction de la ligne Tournon - Lamastre, se déroula dans le cadre de la réalisation du premier réseau du Vivarais, qui comprenait trois lignes. D'importants moyens étaient mis en œuvre. En 1886, pour des raisons économiques, les ingénieurs décidèrent de construire une voie métrique, dont le tracé de Tournon à Lamastre emprunterait la vallée du Doux. Plus d'un millier d'ouvriers armés de pelles, de pioches et d'un peu de dynamite bâtirent alors 20 km de murs de soutènement, des viaducs maçonnés et un tunnel : un véritable travail réalisé à la main, à dos d'âne et à dos d'homme !

Le tronc commun SNCF

[modifier | modifier le code]
Un train emmené par la Mallet 403 vient de quitter Tournon, et circule sur le tronc commun SNCF. On voit la file du troisième rail sur l'intérieur de la voie standard

Le départ des trains avait lieu jusqu'en 2008 en gare CFV de Tournon, contigue à la gare SNCF ; le dépôt et l'atelier de réparations se trouvaient aussi à cet endroit.

Pour accéder à la gare de Tournon, depuis Saint-Jean-de-Muzols, la voie emprunte la ligne SNCF Givors - Nimes, sur une longueur de 2,2 km via un troisième rail inseré dans la voie normale.

Il existe sur cette section, deux tunnels et un viaduc sur le Doux. Cette ligne a été ouverte par le PLM en été 1879.

Il y avait un impératif : les locomotives devaient démarrer rapidement et surtout parcourir ces 2,2 km le plus vite possible, dès que le signal autorisait le train à passer.

Le passage des convois par le tronc commun SNCF est aujourd'hui abandonné du fait du coût de la redevance demandée par RFF pour emprunter ces 2,2 km et du fait de la sécurité ferroviaire pour gérer la signalisation coté SNCF lors du remplacement du viaduc métallique par un ouvrage en béton.

Les départs se font aujourd'hui depuis la nouvelle gare de Tournon - Saint Jean, construite sur la commune de Saint-Jean-de-Muzols pour le CFV (voir détail du projet pour le programme touristique de 2013).

Un train arrivant en gare de Lamastre.

Ouvrages d'art

[modifier | modifier le code]
Autorail Billard N°314 dans une tranchée ouverte du site rocheux, en aval de la halte de Clauzel et du tunnel de Mordane

La section de 2,2 km qui était en tronc commun avec la SNCF, au départ de Tournon, comprend :

  • 2 tunnels passant sous la ville, longs de 640 et 40 mètres
  • un ancien viaduc métallique sur le Doux de 165 mètres de long, remplacé par un ouvrage en béton.

La ligne comprend 3 viaducs traversant le Doux :

  • le viaduc de Troye, (km 6), 4 arches de 20 m
  • le viaduc d’Arlebosc, (km 21), 5 arches de 12 m
  • le viaduc du Garnier, (km 23,) 6 arches de 12 m

La ligne comprend un tunnel :

  • le tunnel de Mordane, (km 9), longueur: 265 mètres

À ces ouvrages, il faut ajouter plusieurs viaducs et ponts à une, deux ou trois arches. Également des ouvrages construits à flanc de montagne avec des arches en courbe accrochées à la roche.

Les installations pour la traction vapeur

[modifier | modifier le code]

On trouve des installations spécifiques pour la traction à vapeur sur la ligne, prévues pour le fonctionnement des locomotives :

  • Des ponts tournants : quatre, d'une longueur de 8 mètres, 1 à Tournon, 1 à Lamastre et Saint-Jean-de-Muzols et un autre de 12 mètres à Colombier-le-Vieux
  • L'alimentation en eau : cinq grues à eau alimentées par un château d'eau. Il en existe 1 à Tournon, 1 à Saint-Jean-de-Muzols, 2 à Boucieu et 1 à Lamastre.
  • Des quais à charbon : trois, 1 à Tournon, 1 à Saint-Jean-de-Muzols et 1 à Lamastre.
  • Des fosses de visites : deux, 1 à Tournon et 1 à Lamastre.

Ambulant postal

[modifier | modifier le code]
Timbre à date crénelé d'ambulant postal sur la ligne du Cheylard à Tournon daté du 10 novermbre 1913.

Un service d'ambulant postal a fonctionné sur cette ligne avant la guerre 14. Les lettres étaient déposées dans les gares et, dans le train, un employé oblitérait la lettre avec un timbre à date rond à créneaux, typique des cachets d'ambulants postaux français du début du XXe siècle.

Exploitation touristique

[modifier | modifier le code]

À la fermeture du réseau du Vivarais en 1968, un groupe d’amateurs passionnés décide de sauvegarder une partie du réseau et son matériel roulant. Le 14 juin 1969 une exploitation touristique démarre entre Saint-Jean-de-Muzols et Lamastre. La société CFTM (Chemin de Fer Touristique de Meyzieu) assure l'exploitation, suppléée par l'association Sauvegarde et gestion de véhicules anciens (SGVA). Il faut attendre février 1970 pour accéder à la gare SNCF de Tournon.

Exploitation jusqu'en 2008

[modifier | modifier le code]

La nouvelle ligne Tournon - Lamastre, longue de 33 km, est officiellement inaugurée le 18 avril 1970. Le départ se fait de Tournon. En 1973, le CFV est contraint d’acheter le matériel roulant, la voie ferrée et les gares. La société CFTM devient l'un des seuls exploitants de chemins de fer touristiques propriétaire des infrastructures et du matériel roulant.

Jusqu'au début de l'année 2008, les circulations avaient lieu des mois d'avril à octobre les dimanches et jours fériés, et étaient quotidiennes en juillet et août. Le trajet complet en train à vapeur durait 2 heures.

Après avoir fonctionné sans aucune aide pendant 35 ans, le CFV a dû chercher un partenaire. Le département de l’Ardèche devenait actionnaire majoritaire du CFV en 2004, lors de la réalisation de la Société d'économie mixte (SEM) se substituant au CFTM, avec engagement du département d'effectuer un apport de fonds correspondant au prorata des actifs du CFTM. Ces apports de fonds devaient être concrétisés sous la forme d'investissements sur la voie et le matériel roulant.

Cependant, ces investissements restaient en grande partie réalisés sur les fonds propres de la société, créant ainsi un déficit d’exploitation. Ainsi, 7 km de voies ont pu être refaits, mais les locomotives à vapeur, très coûteuses à entretenir, se retrouvent hors d'état de circuler au début de la saison 2008, conduisant à la fermeture du réseau[2].

Interruption de l'exploitation

[modifier | modifier le code]

Le 10 avril 2008, le conseil général de l’Ardèche, actionnaire majoritaire du Chemin de Fer du Vivarais prenait la décision de suspendre les circulations pour l'année 2008[3]. L'association de soutien du CFV, la SGVA tente d'encourager la reprise, et intervient régulièrement sur le réseau, pour limiter la dégradation de l'infrastructure et du matériel roulant[4].

Activités depuis 2011

[modifier | modifier le code]

En 2011, une exploration avec des vélo-rails à la descente et un autorail au retour a été mise en place dans l'attente du retour de la traction vapeur[5]. C'est la société de gestion de sites culturels et touristiques Kléber Rossillon qui est chargée de mettre en place le Vélorail des Gorges du Doux. Il emprunte la voie ferrée sur douze kilomètres.

Rénovation et reprise des activités ferroviaires en 2013

[modifier | modifier le code]

En mai 2012, l'attribution de subventions de la part de la Région Rhône-Alpes, (145 000 euros), du Département de l'Ardèche (150 000 euros), et de l’État (90 000 euros), ainsi que les participations des communautés de communes du Tournonais et de Lamastre, des sociétés les « Courriers Rhodaniens », et « Kléber Rossillon », permettent la relance de l'activité ferroviaire pour la saison touristique 2013.

Le projet complet comprend une nouvelle gare située à l'entrée des gorges du Doux à 3 km de Tournon-sur-Rhône (appelée gare de Tournon-Saint-Jean), la rénovation de la gare de Lamastre avec un parking de 209 places, une vingtaine de places pour autobus et camping-cars ainsi que la modernisation et la création de nouvelles infrastructures, (Renouvellement de voie, ouvrages d'arts consolidés après contrôles).

L'investissement total prévisionnel est de 3,304 millions d’euros répartis sur vingt-cinq ans[6].

L'exploitation a été confiée à une société qui a pris le nom de « SNC Chemin de Fer du Vivarais[7] » conduite par les sociétés « Kléber Rossillon » et « Courriers Rhodanien ».

Voyageurs transportés pendant l'exploitation touristique

[modifier | modifier le code]

Une importante fréquentation a eu lieu dès l'ouverture, avec des résultats dépassant les espérances des promoteurs de la ligne. Le chiffre s'est ensuite stabilisé sur trente années (1974-2004), toujours compris entre 48 000 et 58 000 voyageurs. Les meilleures années ont été 2000 à 2002, avec un record en 2001 de 69 117 voyageurs.

Rappelons que le chiffre est calculé sur le nombre d'Aller - Retour et non de trajets simples, comme certaines lignes touristiques ou de transports. De ce fait, il faudrait multiplier ce chiffre par deux pour obtenir une évaluation comparable avec les autres lignes de chemin de fer.

  • En 1986, on comptait un nombre total de voyageurs de 832 911.
  • En 1990, le chiffre de 1 042 842 voyageurs est atteint.
  • En 2000, le chiffre de 1 564 405 voyageurs est atteint.

Nombre de voyageurs par année :

Nombre de voyageurs de 1969 à 1978
Année Voyageurs
1969 9259
1970 18 917
1971 33 280
1972 36 726
1973 41 480
1974 50 412
1975 50 288
1976 52 400
1977 53 700
1978 57 000
Nombre de voyageurs de 1979 à 1988
Année Voyageurs
1979 56 869
1980 53 100
1981 56 500
1982 53 180
1983 54 700
1984 49 600
1985 52 500
1986 53 000
1987 53 800
1988 47 515
Nombre de voyageurs de 1989 à 1998
Année Voyageurs
1989 55 654
1990 52 963
1991 56 001
1992 49 323
1993 52 675
1994 48 258
1995 48 393
1996 52 000
1997 49 419
1998 50 915
Nombre de voyageurs de 1999 à 2004
Année Voyageurs
1999 54 189
2000 60 389
2001 69 117
2002 65 049
2003 58 828
2004 57 364

Intérêt historique

[modifier | modifier le code]

L'emploi de la traction à vapeur et l'utilisation de véhicules anciens distingue le CFV de bien d'autres chemins de fer touristiques et font de Tournon-Lamastre une "ligne musée".

Les locomotives à vapeur de type Mallet 030-030, conçues en 1902 et 1932, sont des pièces de collection. Leurs conditions d'exploitation confèrent à ce chemin de fer un intérêt historique particulier.

Les locomotives Mallet sont bien adaptées aux voies étroites de montagne. Ce type de machine repose sur un double châssis articulé (la partie avant est mobile, et la partie arrière est fixe). Une articulation permet à la machine de suivre les courbes serrées de 100 m de rayon, rencontrées sur le tracé.

La vapeur alimente successivement le groupe arrière de deux cylindres haute-pression, puis les cylindres du groupe avant basse-pression, ce qui permet de récupérer un surcroit d'énergie motrice pour la traction. Ces locomotives de 48 tonnes tractent des rames de 250 tonnes sur les rampes de forte déclivité du Vivarais (jusqu'à 27/1000).

Le voyageur stationné sur la plateforme de la première voiture de la rame, immédiatement derrière la locomotive, peut observer pendant toute la durée du voyage, la cabine et le travail de l'équipe de conduite. Le mécanicien assure la conduite de la machine et vérifie la pression ainsi que les 50 points de graissage avant le départ. Le chauffeur enfourne dans la chaudière 1 200 kg de charbon à la montée et seulement 200 kg à la descente, tout en alimentant la chaudière en eau (6 à 8 000 litres pour monter, et la moitié pour descendre).

La mise en chauffe d'une locomotive demande près de quatre heures de travail. Sous l'abri de la locomotive, la température peut dépasser 70 °C, obligeant l'équipe de conduite à rechercher l'air frais par les ouvertures.

La petite gare Saint-Jean-de-Muzols qui se trouve juste avant Tournon enregistra des records d'affluence entre 1942 et 1944. L'occupant allemand fouillant les voyageurs au terminus, les passagers chargés de produits destinés au marché noir, préféraient descendre à l'arrêt précédent.

Matériels roulants

[modifier | modifier le code]

Le chemin de fer du Vivarais et les associations liées préservent 149 véhicules dont 35 classés[8] au titre objet des Monuments historiques, dont 6 locomotives à vapeur de type Mallet construites entre 1902 et 1932.

Les listes suivantes ne sont pas exhaustives et devront être complétées ou actualisées au fil du temps (dernière actualisation en février 2024) :

Matériels moteurs

[modifier | modifier le code]

Locomotives à vapeur

[modifier | modifier le code]
Locomotives Type Origine Constructeur et date Numéro constructeur Informations techniques Photo
401 Mallet 030+030T CFD SLM Winterthur, 1902 1406 Garée à Lamastre à l'état d'épave.
403 Mallet 030+030T CFD SLM Winterthur, 1903 1491 En service continu de 1993 à 2006.
Restaurée avec une chaudière neuve
et remise en service le 26 juin 2013.
Logo monument historique Classé MH (1987)[9]
404 Mallet 030+030T CFD SLM Winterthur, 1903 1492 En service continu de 1993 à 1995.
413 Mallet 030+030T CFD SACM, 1932 7628 Restaurée en 1986, arrêtée en 2001.
414 Mallet 030+030T CFD SACM, 1932 7629 Restaurée en 1972, arrêtée en 2007.
Restaurée à nouveau avec une chaudière neuve
et remise en service le 17 juillet 2015.
104 Mallet 020+020T PO-Corrèze Blanc-Misseron, 1906 340 Restaurée en 1997, arrêtée en 2006.
Propriété de la SGVA[10]. Transférée aux ateliers de Lamastre en pour une remise en état de marche.
E.327 230T Réseau breton Fives-Lille, 1909 3582 Arrivée en bon état en 1969,
en service sur le CFV dès 1970.
Transférée aux GECP en 1979.
Logo monument historique Classé MH (1987)[11]
22 040T entreprise Paul Frot à Meaux Corpet-Louvet, 1923 1614 Remise en état de présentation en 1985
puis en monument à Isardrome sur l'A7.
Transférée aux VFV en 2004. Remise en service pour la saison 2011. Propriété de la FACS.
24 040T entreprise Paul Frot à Meaux Corpet-Louvet, 1923 1616 Restaurée en 1974.
Transférée à la SABA en 2009.
Propriété de la FACS.
31 030T Tramways de l’Ouest du Dauphiné (TOD) Pinguély, 1909 240 Restaurée en 1978.
Propriété de la SGVA. En cours de restauration à Boucieu le Roi.
Logo monument historique Classé MH (1987)[12]
103 030T Chemins de fer du Morbihan Pinguély, 1905 167 En monument "pot de fleurs" à Tournon de 1991 à 2017.
Transférée à la SABA le 2 mai 2017[13]

Les autorails « Billard » sont conçus dans les années 1930 pour un service rapide sur des lignes secondaires aux voies légères. Ils ont une puissance de 80 et 150 chevaux et peuvent atteindre la vitesse de 55 km/h.

Autorails Constructeur et type Origine Année Numéro constructeur Observations Photo
213 Billard A 150 D ex CFD Vivarais 1938 2009 Logo monument historique Classé MH (1996)[14], en service
214 Billard A 150 D ex CFD Vivarais 1940 2025 en service
314 Billard A 80 D ex CFD Charentes 1937 1006 arrêté depuis 2007, garé a Lamastre en attente de restauration
316 Billard A 80 D ex CFD Charentes 1939 1025 en service
207 De Dion-Bouton ND ex CFD Vivarais 1935 125 garé a Lamastre en attente de restauration
ZM 8, ZR 4 Brissonneau et Lotz ex réseau du Var (Toulon St Raphaël) 1935 - en attente de restauration a Tournon Logo monument historique Classé MH (1996)[15]
X 2001 CFD - Montmirail ex-Chemins de fer de la Corse 1975 - arrivé sur le CFV le 29 janvier 2016[16]. Démoli en , après récupération de pièces pour les Chemins de fer de Provence.
X 2002 CFD - Montmirail ex-Chemins de fer de la Corse 1975 - arrivé sur le CFV le 4 juillet 2016. Démoli en , après récupération de pièces pour les Chemins de fer de Provence.
X 2005 CFD - Montmirail ex-Chemins de fer de la Corse 1976 - arrivé sur le CFV le 30 juin 2016. Démoli en , après récupération de pièces pour les Chemins de fer de Provence.
X 5001 CFD - Montmirail ex-Chemins de fer de la Corse 1981 - arrivé sur le CFV le 29 janvier 2016 , en service.
X 5002 CFD - Montmirail ex-Chemins de fer de la Corse 1982 - arrivé sur le CFV le 29 janvier 2016[16], brûlé à la suite d'un incident technique. Fin de service : 2019. (Pas de restauration en cours)[17].

Locotracteurs

[modifier | modifier le code]
Locotracteurs Constructeur et type Origine Année Numéro constructeur Observations Photo
X CFD Montmirail ex CFD Yonne / châssis loco 23 St Léonard (726) 1887 1948 107A
Y CFD Montmirail ex CFD Yonne / châssis loco 24 St Leonard (727) 1887 1948 107B en service
PE-5 Pétolat (Dijon) ex CFD Saône et Loire 1930 Transféré par la SGVA à Boucieu-le-Roi
le 10 mars 2020 pour restauration.
BB 404 CFD Montmirail ex-CFD Vivarais / Chemins de fer de la Corse 1963 ex-CFD Vivarais 040-003
de retour sur le CFV en 2011
en état de marche
BB 405 CFD Montmirail ex-Chemins de fer de la Corse 1966 arrivé sur le CFV en 2011
en attente de restauration
T 62 type BB Brissonneau et Lotz ex-Chemins de fer de Provence 1951 arrivé sur le CFV le
en attente de restauration
T 66 type BB Brissonneau et Lotz ex-Voies Ferrées du Dauphiné / Chemins de fer du Jura / Chemins de fer de Provence 1950 arrivé sur le CFV le
en service
  • le X et le Y construit par les CFD à Montmirail, (3 essieux moteurs transmission à bielles)
  • le Pétolat construit à Dijon, (2 essieux transmission à chaine)
  • Société Anonyme des usines A. Pétolat, Dijon (Côte d'Or)
Draisines Constructeur et type Prigine Année Numéro constructeur
1 Campagne CFD 1932 1696
2 Campagne CFD 1932 1704
3 Billard "DU 50" entreprise de TP 1957 -

Voitures à voyageurs

[modifier | modifier le code]

Le parc se compose de trois rames :

Les voitures ex-Sarthe / POC en gare de Lamastre.
Voiture MOB AB4 93, ici à Vevey le 16 novembre 2013
Voiture B 61 ex-St.Gallen - Gais - Appenzell.
Rame dite « Vivarais », provenant de l'ancien réseau du Vivarais
Voitures Vivarais Constructeur Origine Année Type Observations
AAB 1609 De Dietrich CFD 1931 bogies Incendiée en 2014
Logo monument historique Classé MH (1992)[18]
CCC 1658 De Dietrich CFD 1931 bogies garée à Lamastre en attente de restauration
Logo monument historique Classé MH (1992)[19]
CCC 1661 De Dietrich CFD 1927 bogies garée à Lamastre en attente de restauration
Logo monument historique Classé MH (1992)[20]
CCC 1662 De Dietrich CFD 1927 bogies Incendiée en 2014
Logo monument historique Classé MH (1992)[21]
BCifv 1751 De Dietrich CFD 1904 essieux Logo monument historique Classé MH (1992)[22]
Cv 1801-1802 De Dietrich CFD 1904 essieux Logo monument historique Classé MH (1992)[23],[24]
ASfv 1005, voiture salon De Dietrich CFD 1902 essieux exposée dans le nouveau musée à la gare de Tournon/St-Jean
Logo monument historique Classé MH (1992)[25]

De Diétrich :

  • 1879 : Société de Dietrich et Compagnie de Lunéville
  • 1905 : Société Lorraine des anciens établissements de Dietrich et Cie de Lunéville,
La voiture AB 91 à Tence.
La voiture C 136 à Tournon St-Jean.
Rame dite "Bretonne", provenant de l'ancien Réseau breton
Voitures Constructeur Origine Année Type Observations
AB 88 De Dietrich Réseau breton 1913 bogies acquise en 2015, ex VFV, propriété SGVA
AB 89 De Dietrich Réseau breton 1913 bogies Logo monument historique Classé MH (1992)[26], propriété FACS en gestion par la SGVA
AB 90 De Dietrich Réseau breton 1913 bogies cédée par le GECP en échange d'une voiture CP
AB 91 De Dietrich Réseau breton 1913 bogies acquise en 2015, ex VFV, propriété SGVA
C 103 De Dietrich Réseau breton 1891 bogies Logo monument historique Classé MH (1992)[27]
C 106 De Dietrich Réseau breton 1891 bogies caisse reconstruite en 2013Logo monument historique Classé MH (1992)[28]
C 112 De Dietrich Réseau breton 1895 bogies caisse restaurée en 2013
C 117 De Dietrich Réseau breton 1895 bogies
C 120 Société Franco-Belge Réseau breton 1903 bogies Transférée aux VFV en 2015
C 126 Société Franco-Belge Réseau breton 1903 bogies Transférée aux VFV en 2015
C 134 Carel Fouché & Cie Réseau breton 1909 bogies
C 136 Carel Fouché & Cie Réseau breton 1909 bogies en livrée verte
ABCdf 14, renumérotée 107 De Dietrich Réseau breton 1895 bogies Logo monument historique Classé MH (1992)[29], propriété FACS en gestion par la SGVA
AS 1000, voiture salon De Dietrich Réseau breton 1903 bogies
  • Société franco-belge de matériel de chemin de fer, Raismes, Nord
Rame dite "Corrèze ou Sarthe" ex PO-Corrèze
Voitures Constructeur Origine Année Type Observations
B 39-41 Carel Fouché & Cie Tramways de la Sarthe/PO-Corrèze 1909 bogies transférées à la SABA en 2009
Logo monument historique Classé MH (1992)[30],[31],[32]
Propriété de la FACS.
Voitures suisses 202 et 205 ex C.F. Électrique Veveysans, à Lamastre.
voiture B 506 ex chemin de fer de Provence.
Rame dite « Suisse » provenant de divers chemins de fer suisses
Voitures Constructeur Origine Année Type Observations
B 313 SIG Bière-Apples-Morges ex SZB 1921 bogies
AB 24 SIG Montreux-Oberland Bernois 1906 bogies
AB 25 SIG Montreux-Oberland Bernois 1906 bogies
C141[33] Ringhoffer Montreux-Oberland Bernois ex B41 1911 bogies
B42 Ringhoffer Montreux-Oberland Bernois ex 42 1911 bogies
AB 93 Ringhoffer Montreux-Oberland Bernois 1911 bogies
AB 51-B 61 SIG St.Gallen - Gais - Appenzell 1910 bogies
241 SIG GFM ex CFF Brunig 801 1925 et 1930 bogies caisse détruite en 2012
246 SIG GFM ex CFF Brunig 820 1925 et 1930 bogies incendiée en 2014
248 SIG GFM ex CFF Brunig 1925 et 1930 bogies caisse détruite
arrivée en
202, 205 SWS C.F. Électriques Veveysans 1911 essieux incendiées en 2014
221 Geissberger GFM ex Chatel Saint Denis - Palézieux 1901 essieux
A 1227 FFA-SIG Chemins de fer rhétiques 1962[34] bogies arrivée le
A 1228 FFA-SIG Chemins de fer rhétiques 1962[34] bogies arrivée le
A 1229 FFA-SIG Chemins de fer rhétiques 1962[34] bogies arrivée le
A 1230 FFA-SIG Chemins de fer rhétiques 1962[34] bogies arrivée le
B 242 Chemins de fer rhétiques ex-2272
puis Chemin de fer de la Mure
bogies arrivée en
B 244 Chemins de fer rhétiques ex-2243
puis Chemin de fer de la Mure
bogies arrivée en
B 245 Chemins de fer rhétiques ex-2244
puis Chemin de fer de la Mure
bogies arrivée en
  • Franz Ringhoffer, Prag Smichov (Tchéquie)
  • SIG : Schweizerische Industrie Gesellschaft, Neuhausen (Suisse)
  • SWS : Schweizerische Wagon & Aufzügefabrik AG Schlieren, Zürich (Suisse)
  • Ateliers Geissberger & Cie, à Zürich (Suisse)
Une voiture provenant des Chemins de fer de Provence
Voitures Constructeur Origine Année Type Observations
B 506 Desouches & David Chemins de fer de Provence 1891 bogies rachetée par le GECP[10]
Logo monument historique Classé MH (1992)[35]
  • Ets. Desouches, David & Cie, Pantin (Oise).
Baladeuses construites à partir de wagons couverts, ex Chemins de fer rhétiques
Voitures Constructeur Origine Année Type Observations
Gak-bl 5401,5402,5403,5404[36],
5405[37],5406[38],5407,5408,
Chemins de fer rhétiques 1979 bogies Wagons couverts transformés à Lamastre en 2012-13

Fourgons à bagages

[modifier | modifier le code]
Fourgons Constructeur et type Origine Année Observations
DDifv 2607 De Dietrich CFD Vivarais 1904
DDifv 2608 De Dietrich CFD Vivarais 1904
DDifv 2611 De Dietrich CFD Vivarais 1904
DDifv 2612 De Dietrich CFD Vivarais 1904
Df 225 ? Réseau breton 1913 transféré sur le SABA
Logo monument historique Classé MH (1992)[39]
Efv 901 CFMCF CF La Mure-Gap 1932
D 4210 FFA-SIG Chemins de fer rhétiques 1961 arrivé en [40]
D 4212 FFA-SIG Chemins de fer rhétiques 1961[41] arrivé le
  • CFMCF : Compagnie Française de Matériel de Chemin de fer, Maubeuge, Ardennes.

Wagons de marchandises

[modifier | modifier le code]
  • Wagons à 2 essieux
Wagons couverts
Wagons couverts Origine Constructeur Année Observations
K 4058, 4060 CFD Vivarais (4039 - 4063) De Dietrich 1903 Le K 4058 est Logo monument historique Classé MH (1992)[42]
Kifv 4085, 4086 CFD Vivarais (4078 - 4087) De Dietrich 1904
Kv 4094, 4099 CFD Vivarais (4088 - 4107) De Dietrich 1904 Le Kv 4099 est Logo monument historique Classé MH (1992)[43]
Kv 4627, 4629 à 4631, 4633 CFD Vivarais (4625 - 4639) Marly 1927 Le Kv 4630 estLogo monument historique Classé MH (1992)[44]
Wagons tombereaux
Wagons tombereaux Origine Constructeur Année Observations
Gfv 45, G 51, Gf 54 CFD Vivarais (31 - 60) La Buire 1886 Le G 51 est Logo monument historique Classé MH (1992)[45]
G 234 CFD Vivarais (209-238) La Buire 1904
Gfv 5144 CFD Vivarais (5135-5154) De Dietrich 1902 Logo monument historique Classé MH (1992)[46]
Gv 5632, 5637-42, 5649 CFD Vivarais (5631-5650) De Dietrich 1906 Le Gv 5649 est Logo monument historique Classé MH (1992)[47]
G 5653-55, 5657 CFD Lozére (5651-5660) Decauville 1903
Gv 5660,5667 CFD Lozére (5661-5680) Decauville 1904
Gv 5682, 5684 CFD Vivarais (5681-5695) De Dietrich 1911
Gv 5783-4, 5788, 5790, 5800 CFD Vivarais (5781-5800) Marly 1927
Ulf 1706 Réseau Breton (1651-1736) - 1907
  • Société anonyme des chantiers de la Buire, Lyon
  • Ateliers de Marly, Nord
Wagons plats
Wagons plats Origine Constructeur Année Observations
Jt 94, 115 CFD Vivarais (94 - 117) De Dietrich 1886 Le Jt 115 est Logo monument historique Classé MH (1992)[48]
Ht 142 CFD Vivarais (114 - 143) De Dietrich 1886
H 6180 CFD Vivarais (6180-6200) De Dietrich 1902
Ht 6327, CFD Vivarais (6320-6359) Blanc Misseron 1903
Htv 6562, 6567, 6580, 6588 CFD Vivarais (6561-6590) Decauville 1905 Le Htv 6562 est Logo monument historique Classé MH (1992)[49]
H 6598 (ex citerne), 6602, 6604 CFD Vivarais (6591-6605) Decauville 1905
Anciens châssis de voitures voyageurs transformés en wagons plat
Wagons Origine Constructeur Année Type Observations
1752 CFD Vivarais(BCifv 1751-52) De Dietrich 1904 essieux
RQyv 6, 10, 15 CFD Vivarais (CCCv 4-15) La Buire 1890 à bogies Le Rqyv 15 est Logo monument historique Classé MH (1992)[50]
Rqyv 20 CFD Vivarais (ABCv 18-28) La Buire 1886 à bogies
Ryv 1321 "ex" ABCv21 CFD Vivarais (ABCv18-28) La Buire 1902 à bogies
Ryv 1427 CFD Vivarais (CCCv1425-1432) De Dietrich 1902 à bogies
Ryv 1901 CFD Vivarais (ABifv 1901-1904) Decauville 1905 à bogies
Ryv 1610, 1612 CFD Vivarais (AAB 1609-1612) De Dietrich 1932 à bogies

Wagons trémie

[modifier | modifier le code]
Le wagon-trémie n° Ty 7.
  • Ty 4, Ty 6, Ty 7, Ty 8, Ty 9 et Ty 10, type: trémie auto-déchargable, 1948, ex "Mines Orne ", Moyeuvre-Grande (Moselle), Société Lorraine des aciéries de Rombas.
  • Lv 8001, Lv 8003 et Lv 8008, type: trémie auto-déchargable à deux essieux, provenant des Chemins de fer de la Corse.

Wagons spéciaux

[modifier | modifier le code]
Wagons Constructeur et type Origine Année Type
DBfv 19 De Dietrich CFD Vivarais 1886 fourgon de secours
SC 142 De Dietrich CFD Vivarais 1886 groupe désherbeur, ex plat Ht 142
SC 5783 De Dietrich CFD Vivarais 1904 ex tombereau Gv 5783
H 6199 De Dietrich CFD Vivarais 1905 citerne ex plat 6199
SC 6599 Decauville CFD Vivarais 1905 citerne 10 M3 ex plat H 6599
IRv 6570, 6571 Decauville CFD Vivarais 1905 Porte remorques UFR
L6 - SNCF - ancienne remorque de draisine
  • wagon grue no 16, ex CFD Charentes et Deux Sèvres
  • Fau 812, type: tombereau à bogies, équipé d'une benne basculante type « side-dump car », construit en 1991 par Newag et provenant des Transports publics du Chablais.

Wagons divers

[modifier | modifier le code]

Ces wagons ont été acquis sur la ligne Dunières Saint Agrève, ils sont à restaurer excepté deux engins.

Wagons Constructeur et type Origine Année Genre
G 33, 35, 37, 46 La Buire CFD Vivarais 1890 wagons tombereaux
Dfv 2049 De Dietrich CFD Vivarais 1903 châssis fourgon
Ht 6349 Blanc Misseron CFD Vivarais 1903 wagon plat
Ht 6582 Decauville CFD Vivarais 1905 wagon plat
F 149 La Buire CFD Vivarais 1890 couvert restauré par la SGVA
K 4638 Marly CFD Vivarais 1927 couvert restauré SGVA

Remorques d'autorail

[modifier | modifier le code]
Remorques Constructeur et type Origine Année Numéro constructeur Observations
11 Billard CFD Charentes (ancienne 1), Carrosserie Million & Guiet 1937 812
22 Billard CFD Charentes (ancienne 2), Carrosserie Million & Guiet 1937 813
3 Billard CFD Vivarais 1937 811 garée à Lamastre en attente de restauration
  • remorque messagerie
  • "10", remorque messagerie à bogies, ex CFD Indre et Loire, puis Charentes, puis Vivarais, puis Corse.

Matériels ayant quitté la ligne

[modifier | modifier le code]
  • locomotive à vapeur 230T E.327, ex Réseau breton, décembre 1969 à mars 1979, propriété de la FACS, GECP Puget-Théniers.
  • Locomotive à vapeur 040T Corpet no 22, ex entreprise Frot, 1971-2002, VFV, propriété de la FACS.
  • locomotive à vapeur 040T Corpet no 24, ex entreprise Frot, 1971-2009, Train du Bas-Berry, propriété de la FACS.
  • voitures C 120 et 126 ex Réseau Breton , 1970-2015 VFV
  • voitures BDP 501 et AB 505, ex CP, 1970-2002, GECP Puget-Théniers;
  • voiture B 506, ex CP, 1970-2013, GECP Puget-Théniers;
  • voitures 39 à 41 ex tramways de la Sarthe, 1970-2009, Train du Bas-Berry, propriété FACS ;
  • voiture ABC 93, ex MOB, 1983-90, MOB ;
  • remorque messagerie no 20, ex CFD Charentes, 1969-70, CFC Corse ;
  • fourgon Df 225 ex Réseau Breton 1970-2009, Train du Bas-Berry, propriété FACS ;
  • wagon trémie Ty 8, type auto-déchargable ex-Mines Orne (Moselle), prêté au MTVS par la SGVA et livré le 26 mars 2013 à Saint-Omer-en-Chaussée.
  • Châssis wagon 1904, ex ABCifv 1904 CFD Lozère, 1969- novembre 1986, CFBS, pour reconstruction de la voiture salon ;
  • wagons tombereaux, Gv 5632 et G 5657, 1969-2006, Le Pouzin, en monument ;

Matériel classé "Monument Historique"

[modifier | modifier le code]
  • Locomotives à vapeur :
    • 030+030T Mallet no 403
    • 030T Bicabine no 31
  • Autorail :
    • A 150 D Billard no 213
  • Voitures à voyageurs :
    • voiture-salon à essieux, AS 1005
    • voiture de voyageurs à essieux, ABC 1751
    • voitures de voyageurs à essieux, ABC 1801-1802
    • voiture de voyageurs à bogies, AAB 1609
    • voitures de voyageurs à bogies, CCC 1658, 1661 et 1662
    • voiture de voyageurs à bogies, B 506, ex chemins de fer de Provence
    • voitures de voyageurs à bogies, C 103 et C 106, ex Réseau Breton
    • voiture de voyageurs à bogies, AB 89, ex Réseau Breton
    • voiture de voyageurs à bogies, ABCDf 14, ex Réseau Breton
  • Fourgons à Bagages :
    • fourgon à essieux, DBfv 19
    • fourgons à essieux, DDifv 2608 et 2612
  • Wagons de Marchandises
    • wagon couvert, Kv 4058
    • wagon couvert, Kv 4099
    • wagon couvert, Kv 4630
    • wagon tombereau, Gfv 5144
    • wagon tombereau, Gfv 5649
    • wagon plat à traverse mobile, Jt 115
    • wagon plat à traverse mobile, Htv 6562
  • Wagons spéciaux :
    • wagon plat, Porte remorque UFR avec remorque[51], IRv 6571,
    • wagon plat, à bogies, RQyv 15

Filmographie

[modifier | modifier le code]

De très nombreuses scènes de films ont été tournées en décors naturels sur les différents sites des Chemins de Fer du Vivarais.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Le vélorail, de Boucieu-le-Roi à Troye
  2. Communiqué du SGVA
  3. [PDF]http://www.ardeche.fr/departement-institution/espace-presse/communiques-presse/le-mastrou/downloadFile/file/COmmunique_de_presse_Mastrou.pdf Communiqué de presse du Conseil général
  4. http://trainduvivarais.org/ Voir le site de l'association de soutien la SGVA]
  5. Le vélorail des Gorges du Doux
  6. Le Réveil du Vivarais, le 10 mai 2012. Fac Similé
  7. Train de l’Ardèche - Voyage historique dans les gorges du Doux
  8. Le chemin de fer du Vivarais, Jean Arrivetz et Pascal Bejui, La Régordane
  9. Notice no PM07000323, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  10. a et b « La lettre du MASTROU N°7 », sur lamastre.net (consulté le )
  11. Notice no PM06000777, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  12. Notice no PM07000324, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  13. « La locomotive a quitté le quai Farconnet », sur ledauphine.com (consulté le )
  14. Notice no PM07000434, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  15. Notice no PM07000435, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  16. a et b « 29 Janvier 2016 : déchargement d’autorails à Saint Jean de Muzols », sur train-du-vivarais.com (consulté le )
  17. Incendie sous l'autorail à Saint-Barthélemy-le-Plain : 85 personnes évacuées sur le Dauphiné Libéré, le 8 août 2019.
  18. Notice no PM07000393, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  19. Notice no PM07000390, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  20. Notice no PM07000391, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  21. Notice no PM07000392, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  22. Notice no PM07000397, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  23. Notice no PM07000396, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  24. Notice no PM07000395, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  25. Notice no PM07000386, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  26. Notice no PM07000417, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  27. Notice no PM07000387, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  28. Notice no PM07000409, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  29. Notice no PM07000416, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  30. Notice no PM07000413, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  31. Notice no PM07000414, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  32. Notice no PM07000415, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  33. N° 141 attribué à la place de 41, cela pour éviter toute confusion avec la voiture B 41 ex PO-Corrèze
  34. a b c et d « RhB - Technische Daten Personenwagen », sur rail-info.ch (consulté le ).
  35. Notice no PM07000412, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  36. ex 5411 au cf rhétiques
  37. ex 5410
  38. ex 5409
  39. Notice no PM07000418, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  40. « Le fourgon 4210 quitte la Suisse pour une retraite active en Ardèche », sur facebook.com (consulté le )
  41. http://www.haribu.ch/RhB.pdf
  42. Notice no PM07000408, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  43. Notice no PM07000407, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  44. Notice no PM07000406, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  45. Notice no PM07000404, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  46. Notice no PM07000403, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  47. Notice no PM07000405, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  48. Notice no PM07000401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  49. Notice no PM07000402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  50. Notice no PM07000400, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  51. Seule la remorque posée sur le wagon est classée
  52. http://www.autourdu1ermai.fr/bdf_fiche-film-138.html

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Jean Claude Riffaud, Le réseau du Vivarais, MTVS no 13, 1980
  • Henri Domengie, Les petits trains de jadis - Sud-est de la France, Les éditions du Cabri, 1985
  • Jean Arrivetz, Pascal Bejui, Les Chemins de fer du Vivarais, Grenoble, Presses et Éditions ferroviaires, 1986
  • Jean Arrivetz, « Le Chemin de fer du Vivarais », article paru dans la revue Chemin de fer régionaux et urbains, no 237 (1999-III) éditée par la FACS
  • Jérôme Camand, « Le chemin de fer du Vivarais », dans Petits trains de France, Sélection du Reader's Digest, 2002 (ISBN 2-7098-1324-6), pp. 98-107
  • Pierre Virot, « Les cent ans de la mallet 403 du Vivarais », dans Chemin de fer régionaux et urbains no 297 (2003-III)
  • « Retour sur le réseau du Vivarais », éditorial, Chemins de Fer régionaux et Tramways, no 327, juillet 2008.
  • Pascal Bejui, Christophe Etiévant, Vincent Piotti, Le réseau du Vivarais au temps des CFD, Editions La Régordane, 2008 (puis nouvelle édition en 2011)
  • Bernard Collardey, « Le Vivarais et les Voies ferrées du Velay : deux touristiques aux confins du Massif central », Rail Passion (hors série),‎ , p. 58-71 (ISSN 1261-3665)
  • François Collardeau, Pascal Bejui, Vivarais, Velay, les trains du renouveau, Editions La Régordane, 2011
  • Michel Allignol, " Ligne 134" pièce de théâtre sur l'aventure de la ligne La Voulte sur Rhône /la Voute sur Loire, de sa création à sa fermeture. disponible sur internet et aux Éditions ABS
  • Claude Wagner, Les chemins de fer du Vivarais et du Velay au fil du temps 1886 - 2015, Editions LR Presse, 2016
  • Il y a 50 ans : la fin du CFD Vivarais, Chemins de Fer régionaux et Tramways, bimestriel de la FACS no 389, septembre/octobre 2018
  • Didier Zylberyng, Les Les trains historiques de charme en France: Le réseau du Vivarais, édition OUEST FRANCE, (ISBN 9 782737 352782), p. 127-139

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier | modifier le code]