Albert De Smaele (homme politique)
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Alberto (Albert) Ippolito Giuseppe Maria De Smaele (Turin, - Uccle, ) est un ministre belge ayant siégé comme technicien indépendant.
Parcours
[modifier | modifier le code]Albert De Smaele étudie et réalise un doctorat d'ingénieur civil architecte à Rome. Il devient ingénieur électronicien à Liège. Il est aussi docteur en philosophie (Université Cornell, États-Unis).
Dans la période juste avant la Libération, il réussit à détourner les socialistes wallons, et André Renard en particulier, de leur projet de faire exploser les centrales électriques.
Il fut un politicien et technicien extraparlementaire :
- ministre des Affaires économiques dans le gouvernement Van Acker I, de février à ;
- ministre des Affaires économiques dans le gouvernement Van Acker II, d' à ;
- ministre du Commerce extérieur dans le gouvernement Spaak I, du 13 au ;
- ministre du Rééquipement national dans le gouvernement Van Acker III, de mars à .
En 1947, il est commissaire général du pavillon belge de l'Exposition universelle "Urbanisme et Habitation".
En 1956, il est président du Conseil central de l'économie. Il y est choisi pour ses sympathies libérales. Il préside la branche belge de Fraternité mondiale (World brotherhood) à partir de 1954[1],[2] et préside ensuite aussi le comité exécutif européen[3] de cette association internationale fondée en 1950.
Publications
[modifier | modifier le code]- Problèmes actuels. Conférences, Bruxelles, .
- Vingt ans d'expérience de démocratie économique en Belgique, 1967.
- Les nouvelles voies de la démocratie européenne, in: Res Publica, 1965.
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jean Redent, « Albert De Smaele, ministre des affaires économiques », in Le Face à main, .
- Paul Van Molle, Het Belgisch Parlement, 1894-1972, Bruxelles, 1972.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (nl) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en néerlandais intitulé « Albert De Smaele (politicus) » (voir la liste des auteurs).