Affaire du viol collectif de New Delhi
L'affaire du viol collectif de New Delhi commence le avec le viol par six hommes, dans un autobus de New Delhi, d'une étudiante en kinésithérapie de 23 ans. L'événement et l'hospitalisation consécutive de la victime, également agressée sexuellement avec une barre de fer rouillée, puis sa mort le , entraînent en Inde des réactions de grande ampleur, qui relancent le débat sur la condition des femmes[1] et sur l'application de la peine de mort[2] dans le pays. En signe de deuil, les forces armées indiennes et de nombreux établissements annulent leurs festivités du nouvel an[3].
Le , Navanethem Pillay, Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme demande à l'Inde un « débat d'urgence » sur les mesures à prendre pour faire face au « problème national » que constituent les violences sexuelles, tout en estimant que « la peine de mort n'est pas la solution »[4].
Notes et références
- ↑ « Inde : l'étudiante victime d'un viol collectif a été incinérée à New Delhi » sur L'Express.fr, 30 décembre 2012.
- ↑ « Étudiante violée en Inde : la famille veut la peine de mort pour ses bourreaux » sur L'Express.fr, 31 décembre 2012.
- ↑ « Viol à New Delhi : l'Inde en deuil pour le nouvel an » sur Le Point.fr, 31 décembre 2012.
- ↑ « Viol en Inde : l'ONU demande un débat » sur Le Figaro.fr, 31 décembre 2012.