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Utilisateur:Guérin Nicolas/Brouillon

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But : établissement d'une liste objective des massifs des Pyrénées.


Intérêt du travail

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  • La notion de massif de montagnes existe dans les Pyrénées, elle peut même être très employée pour désigner certaines zones. Toutefois cette notion reste confuse et changeante en fonction de qui l'emploie et où l'on se trouve. On parle tour à tous de « massif », « montagnes de », « Sierra de », « Serra del », « plateau », etc.
  • La liste complète de tous les massifs des Pyrénées n'a jamais vraiment été recensée dans un seul ouvrage, carte, site internet, article, etc. Chaque livre, carte, site internet ne recense que les massifs en fonction de ses vues ou activités. Toutefois, il est possible de dresser une liste exhaustive de tous les massifs des Pyrénées, cela demande seulement un certain travail de recherche bibliographique. Remarque : la question de zones sans nom est posée, mais une recherche fine peut parvenir à réduire ces zones.
  • Un massif peut avoir plusieurs noms ou être découpé en petits secteurs que certains nomment alors massif en fonction de leurs propres intérêts. Exemple : une même montagne reçoit plusieurs noms en fonction du pays, de la région, de la vallée par laquelle on l'aborde. Autre exemple : un regroupement de montagnes peut se faire d'un point de vue national (cas de la frontière franco-espagnol et andorrane), par rapport à un secteur de randonnées, par rapport à l'altitude des sommets comme la liste UIAA des 3000 pyrénéens (cas de la classification en massifs des zones de plus de « 3000 m » ), par rapport à la nature géologique des roches, ou encore à la nature écologiques de la zone (cas des ZNIEFFs). Il en résulte qu'il est nécessaire et utile de faire un tri dans un bordel de noms sans nom.
  • La délimitation des massifs est aussi floue, mal définie, ou encore changeante en fonction des intérêts et des points de vue. Pourtant il existe toujours un consensus qu'une zone appartient à un certain massif plutôt qu'à un autre. Il est donc intéressant de faire une recherche sur les limites de ces massifs, puis de l'exposer clairement.
  • Une meilleure compréhension des Pyrénées peut passer par le dressage d'une telle liste. Ainsi il y a des raisons derrière la répartition des hauts massifs, des massifs de lacs, des massifs des Pré-Pyrénées, des massifs du piémont pyrénéen, des massifs avec une forte diversité écologique, des massifs touristiques, des massifs « emblématiques » d'un point de vue historique ou culturel, etc.


Problématiques des massifs des Pyrénées

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  • Il n'existe pas de définition claire ou officielle, ni critères spécifiques valides pour toute la chaîne : les « massifs » sont nommés d'après les us et coutumes locales, les régions historiques, les pyrénéistes du XIXème et XXème siècles, les randonneurs, les géologues, les spécialistes de la préservation de la nature, les sites internet spécialisés, etc.


  • Les cartes IGN France ont repris certains de ces noms, qui sont devenus officiels, mais sans en donner les contours précis, ni en les nommant tous. De fait, les cartes officielles françaises sont plutôt avares en nom de massif dans les Pyrénées, ne retiennent que les massifs principaux et ne les nomment pas directement par le mot « massif ». Par exemple pour le massif du Vignemale, plus haut massif des Pyrénées coté français, on a un gros mot « Vignemale » marqué sur la carte 1:200000 et débrouilles toi avec ça...


  • Les noms locaux donnés à certains massifs se font à partir de la vue que l'on a sur la montagne depuis la vallée en contrebas ou depuis une autre montagne. La lecture d'une carte IGN grande échelle permettant d'avoir une vue d'ensemble délocalisée, vision globale comme si on voyait les massifs depuis un avion, peut ainsi entrer en « contradiction » avec ce que l'on voit localement sur le terrain. Ainsi à vue d’œil, les habitants, randonneurs ou pyrénéistes (dans le sens alpinistes) nomment souvent une montagne « au loin » (à seulement quelque kilomètres en fait) par un autre nom de massif, alors que vue d'avion ou sur une carte cela apparaîtrait comme étant la même structure de relief qui fait juste un zig-zag ou dont l'érosion a taillé une petite vallée entre le sommet principal et un sommet secondaire. Exemple : massif du Balaïtous (« Pic du Balaïtous à l'échelle 1:25000 » sur Géoportail.) qui donne une vue sur le "massif du Lurien" (« Pic du Lurien à l'échelle 1:25000 » sur Géoportail.). Néanmoins, si on regarde la carte à plus grande l'échelle (« Zone vue à l'échelle 1:100000 » sur Géoportail.) on peut prendre cela pour la même unité de relief avec le vallon du lac d'Artouste au centre.


  • Un problème majeur, conséquence du point précédent, est la démultiplication du nombre de massifs si l'on retient comme valide toutes les dénominations locales répertoriées. Un coup d’œil à l'article Pré-Pyrénées, dont la liste semble complète pour la Catalogne, donne des dizaines de massifs rien que pour la Catalogne sans compter ceux de la chaîne axiale (Besiberri, Encantats, etc). En fait, il semble qu'on entend par Sierra une montagne et pas vraiment un massif ou un groupe de montagne. D'une manière générale dans les Pyrénées, le principe « toute montagne différentiable à vue d’œil a droit à son massif », ou encore « une montagne = un massif » générerait un nombre gigantesque de massifs tous de taille ridicule, de seulement quelque kilomètres de coté (7 kms de long pour 4 kms de large pour le "massif du Lurien"). Imaginons simplement ce que cela donnerait au niveau de l'Himalaya, de la Cordillère des Andes ou encore des Montagnes Rocheuses : des milliers voire des dizaines de milliers de massifs (l'Himalaya fait 600 000 km carrés de superficie, ce qui donnerait théoriquement 6000 massifs de 10 km par 10 km de coté, ou encore plus de 20000 massifs de la superficie du "massif du Lurien", étonnant non!). Il n'est donc pas recommandé d'adopter cette approche, exception faite des montagnes ayant des traits très particuliers, en général géologique, par rapport au reste de la région, comme le Pic-du-Midi d'Ossau (ancienne caldeira volcanique datant de l'orogenèse varisque), le massif de Lherz (massif fait de Lherzolite et de marbre), ou le massif du Pedraforca (mini nappe de charriage à lui tout seul).


  • Autre conséquence des dénominations trop locales est que certaines zones ont reçues plusieurs noms, ces derniers pouvant eux-mêmes délimiter des zones qui se recoupent mais légèrement différentes, ou des zones qui sont incluses dans d'autres zones plus larges (on parlera alors de sous-massif ou massif secondaire). Exemple : le massif de Cauterets qui regroupe du nord au sud le "massif du Cabaliros", le "massif du Moun Né" (inclus le Cabaliros mais pas le Barbat), le "massif du Barbat" (inclus le Moun Né mais pas le Cabaliros, inclus aussi certains lacs du Marcadau), le "massif du Marcadau" (inclus toute la zone des lacs jusqu'à la Grande Fache mais pas le Barbat). Si on regarde sur une carte, tous ces massif semblent être sur une même montagne entre les vallées de Saint-Savin / Marcadau à l'est et celle d'Estaing à l'ouest (« Zone vue à l'échelle 1:200000 » sur Géoportail.).


  • Le Pyrénéisme au XIXème a aussi apporté quelques problèmes : la conquête « héroïque » des hauts sommets pyrénéens fait que l'on s'est concentré sur tout ce qui dépasse 3000 m, au point de donner un nom à chaque point de relief « 3000 » ayant plus de 5 ou 10 m de dénivelé avec le suivant. Cela a eu plusieurs conséquences :
  • chaque zone de 3000 a eu droit à son massif au point de concentrer par endroit certains « massifs » dans une petite zone. Exemple : le massif de Perdiguère a reçu l’appellation "massif des Gourgs-Blancs" dans sa partie ouest et "massif du Maupas" dans sa partie est, le centre étant le "massif de Perdiguère" proprement dit, tout ça sur la même crête de montagne d'une longueur de 6 à 7 km.  
  • en dehors ou en dessous de la zone des « 3000 » ce n'est plus vraiment le même massif. Le mot massif est alors attribué à une zone restreinte autour de « sommets exceptionnels ». Exemple avec le massif du Vignemale : du XIXème siècle aux sites internet spécialisés d'aujourd'hui, et dont l'article Wikipédia lui-même ne fait pas exception[1], ce massif semble commencer au Clot de la Hount (3 289 m) au nord pour finir au pic du Milieu (3 130 m) voire au petit Pic de Tapou (2 923 m) au sud, soit 3 kms de long... Exit donc toute le reste de la crête qui descend doucement direction sud-est jusqu'au port de Boucharo. Exit aussi les deux lignes de crêtes qui partent au nord et qui entourent le lac de Gaube à 6 kms de là, cachons donc cette « montagne à vaches » l'on ne saurait aussi appeler massif du Vignemale, plus haut massif des Pyrénées françaises (cocorico).
  • L'étendue des massifs des « 3000 » dépend de l'étendue de la zone des sommets de plus de 3000 mètres et donc de la définition même du mètre. Imaginons que par les aléas de l'Histoire on ai défini le mètre avec 5% de moins, alors on aurait eu beaucoup plus de « 3000 », surtout sur la crête frontière, et le massif du Balaïtous ne ferait peut être plus qu'un avec le massif du Vignemale, le massif du Mont-Perdu avec le massif de la Munia, le massif de Batchimale avec le massif de Perdiguère, etc.


  • Beaucoup de zones secondaires ou jugées « inintéressantes » ne sont pas nommées, ni par les uns ni par les autres, et ces zones ne sont pas forcément rattachées en tant que zones périphériques aux massifs principaux. En fait il y a des endroits qui semblent n'être associés à aucun nom de massif. Autant pour les endroits populaires on a pléthore de noms qui se marchent les uns sur les autres, autant plus on s'en éloigne... Certains noms donnés par l'INPN (Inventaire national du patrimoine naturel) sont à ce titre éloquent : massif entre les nestes d'Aure et du Louron (deux rivières), Massif en rive droite du Job (rivière), massif en rive gauche du Bastan (rivière). Toutefois la plupart de ces massifs sont facilement rattachables à des massifs principaux, mais un tout petit nombre résiste.


  • Il y a aussi le cas de petites zones de transition, coincées entre deux massifs voire trois, dont on ne sait auxquels et sur quels critères les rattacher. Vue autrement, il est difficile parfois d'établir une limite nette entre deux massifs car soit il y a une zone de transition assez floue (une zone granitique assez plate parsemée de petits vallons et de lacs glaciaires) soit on hésite entre deux vallées pour marquer la limite. Il y aussi le cas des massifs qui se finissent dans la zone du piémont pyrénéen : on descend doucement en altitude pour finir à l'étage collinéen puis dans la plaine, où alors marquer une limite? surtout que la zone collinéenne n'est pas vraiment considérée localement comme appartenant au même massif que la haute montagne.


  • Des scientifiques comme les géologues (voir Bureau de recherches géologiques et minières ou BRGM) ou spécialistes des milieux naturelles (voir Inventaire national du patrimoine naturel ou INPN) ont bien officialisés certains noms avec des limites plus précises, mais la liste est loin d'être complète et les zones nommées ne recoupent pas forcément celles nommées par les locaux-randonneurs-pyrénéistes. Ces noms reflètent plutôt des zones liées à leur activités de recherche :
  • Les géologues dont le BRGM nomment « massif » des couches rocheuses de même nature, en général granitique plus rarement sédimentaire, et les limites de ces roches ne recoupent pas forcément celles liées au relief, un même « massif » granitique pouvant traverser plusieurs vallées profondes avant de finir en plein milieu d'une montagne. Il y a cependant des exceptions comme les zones de plateaux où relief et nature des roches correspondent assez précisément.
  • L'INPN utilise le nom de « massif » pour lister les ZNIEFF et les noms données rejoignent assez bien ceux en usage tout en leur conférant une source fiable et d'autorité. La liste établie est donc exploitable. Toutefois, cette liste est loin d'être complète (elle ne nomme les massifs que là où il y des ZNIEFF), et les limites des ZNIEFFS ne correspondent en général qu'à la zone environnementale à protéger, souvent en deçà de la zone de relief totale. Là aussi, la zone de ZNIEFF peut s'arrêter en haut d'une montagne, comme par exemple au niveau de la crête frontière franco-espagnole puisqu'au-delà ce n'est plus du ressort de l'administration française (idem pour le réseau Natura 2000 coté espagnol).  


  • La frontière franco-espagnole et andorrane est aussi un problème, chacun voyant et nommant son propre massif en fonction de son propre pays, de sa propre culture :
  • L'attribution d'un nom aux massifs situés sur la frontière peut parfois être problématique. Exemple : le massif du Luchonnais, majoritairement situé en France dans le Luchonnais, continue coté espagnol. On lui préférera le nom de massif de Perdiguère, aussi bien en usage coté français et synonyme, que les espagnoles nomment de leur coté Perdiguero. Autre exemple : le massif de la Pierre Saint-Martin se situe en fait majoritairement en Espagne où il se nomme Lara-Belagua, on lui préfèrera donc le nom de massif de Larra-Belagua
  • Il y a des noms de massifs qui « s'arrêtent » à la frontière, au beau milieu d'une ligne de crête de sommets à 3000 m... Voir exemple plus haut de ceux des ZNIEFF. Les noms de ces massifs sont aussi donnés par les randonneurs qui définissent un secteur de randonnée, dont la limite est la frontière. Exemple : le nom massif du Marcadau qui s'arrête à la Grande Fache sur la frontière. Aussi la Sierra Marqués coté espagnol qui s'arrête à la frontière alors que le relief continue dans la vallée d'Aure où la montagne n'a pas de nom...
  • La crête frontière est une ligne alternée de montagnes et de cols, et certaines de ces hautes montagnes peuvent sembler se retrouver « seules » sans attribution d'un massif incluant les alentours. Exemple : crête frontière entre la Haute-Garonne et le Val d'Aran avec de Pic de Crabères, crête frontière entre l'Ariège et l'Andorre avec le Pic de Tristagne.


  • Enfin les zones de basse montagne peut être difficiles à classer et à délimiter. Il ne s'agit plus là de haute montagne avec des hauts sommets dominants qui s'imposent à l’œil et des profondes vallées bien identifiables, mais plutôt d'un réseau de monts et grosses collines mélangés à de petites vallées. De plus, le tout n'est pas clairement individualisé par rapport aux premiers massifs de haute-montagne, et souvent on passe de l'un à l'autre par une pente douce. Les contours sont donc flous au maximum. Pour couronner le tout, ces montagnettes moins spectaculaires donc moins populaires n'ont reçu que peu d'attention, faisant que peu de noms de massif circulent. Et bien sur ces massifs sans nom ne sont souvent pas considérés comme les contreforts des premiers massifs centraux plus majestueux, auxquels on pourrait les rattacher.


  • Exemples caractéristiques de la taille des massifs :
  • La majorité des massifs font entre 10 et 30 km de long, mais peuvent être de forme carrée, rectangulaire, triangulaire, ronde, etc.

Méthode de résolution

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  • Considérer les massifs de montagnes pour ce qu'ils sont, une unité de relief homogène (un bloc continu) ayant des caractéristiques propres, et non simplement pour les activités humaines que l'on peux y faire (randonnées, ski, alpinisme, etc). En contrepartie, il faut essayer de définir une série de critères qui permettent de définir un massif. Et bien sur, les critères historique ou populaires sont à considérer, mais il faut les élargir à d'autres domaines.


  • En conséquence, il faut opter pour une approche multi-critères : un massif doit être individualisable par rapport aux autres par une série de spécificités propres que l'on liste ici :
  • Reliefs : une montagne est un relief positif (ensemble de sommets) qui peut se délimiter par rapport à un relief négatif (vallées) ou à un plateau. Mais cela peut aussi être un changement de pente ou d'altitude, comme le passage d'un paysage de haute montagne à celui de basse montagne / étage collinéen.
  • Histoire : la délimitation et dénomination d'un massif peut-être aussi être de nature historique comme le cas des massifs de "3000 mètres" sélectionnés au XIXème siècle en fonction de leur hauteur très élevée pour les Pyrénées. Cas aussi des régions historiques ou régions naturelles qui donnent leur nom au massif (exemple : Corbières pour massif des Corbières, Luchonnais pour massif du Luchonnais).
  • Randonnées : les cartes de randonnées donnent des noms aux massifs, souvent un par montagne (un peu trop donc), et les délimitent en fonction des secteurs de randonnées. Les noms et zones considérées ne sont pas forcément officielles ou logiques d'un point de vue du relief (secteur miniature ou s'arrêtant à la frontière). Toutefois, cela donne une bonne indication pour la délimitation de certains massifs, ou le rattachement de la zone à un massif.
  • Géologie : les géologues ont donné des noms officiels de massif à certaines zones en fonction du type de roche, même si ces zones ne définissent pas forcément une unité de relief. Toutefois, quand le relief et la nature du terrain correspondent, le nom du massif géologique peut prévaloir (cas des plateaux). De plus, pour les cas flous de limite entre deux massifs, le nom géologique officiel peut permettre de trancher.
  • Écologique : un critère spécifique est aussi la végétation, flore et faune du massif. Celles-ci peut refléter un micro-climat, la nature du terrain, le changement d'altitude, etc. Les noms de massifs forestiers ou de ZNIEFF peuvent faire autorité.
  • Touristique et sports d'hiver : les sites de tourisme et autres nomment parfois des zones de avec des noms nouveaux, noms qui peuvent se répandre par la suite et en remplacer d'autres. Ces noms peuvent être retenus, mais on préférera utiliser un nom plus traditionnel quand il y en a un. Exemple : le nom des stations de sports d'hiver, reprenant parfois le nom d'un sommet environnant, à fait que les gens considèrent désormais le massif par le même nom. Il est parfois utile de retenir ce nom basé sur un usage populaire récent.
  • Administratif : des noms administratif peuvent parfois être donnés à des zones qui recoupe un massif de montagne.


  • Faire un tri dans la pléthore de noms donnés à l'aide des critères ci-dessus : beaucoup de noms font doublons, certains nomment des zones trop petites ou sans caractéristiques particulières, ou encore qui ne suis pas le relief, d'autres noms correspondent à des zones qui se chevauchent. Toutefois, Respecter les noms d'usage au maximum tout en évitant de littéralement « microscopiser » les Pyrénées en une multitude de tous petits massifs de taille kilométrique (voire hectométrique) au prétexte de garder un maximum de noms. Beaucoup de noms servent de toutes façons à désigner une montagne (voire un sommet) et non un massif, car souvent il y a confusion entre ces notions. Il faudra particulièrement examiner les noms de massif qui s'arrêtent sur la frontière franco-espagnole et andorrane car ces délimitations, bien que totalement artificielles, peuvent parfois être populaires.


  • Rechercher des sources officielles, d'autorité (exemple : publications scientifiques), ou encore amateur de bonne qualité (ouvrages et sites internet), le principe étant d'éviter un travail inédit (sauf l'établissement de la liste en elle-même bien sûr) :
  • Carte IGN de la France métropolitaine qui contient des noms de massifs. Site gouvernemental officiel.
  • Liste des ZNIEFF et autres zones Natura 2000 des espèces à protéger par l'INPN : cette liste utilise souvent les noms de massif dans lesquelles les espèces vivent. Et puis c'est un site gouvernemental donc les noms utilisés peuvent avoir un caractère officiel.
  • Carte géologique de France du BRGM et les notices associées. La carte utilise peut de noms de massifs mais les notices en utilise plus. Site gouvernementale officiel. Attention : un nom de massif en géologie correspond au type de roche et ne recoupe pas forcément un relief, bien lire la notice. D'autres sites de géologie peuvent venir en complément comme par exemple une carte géologique simplifiée des Hautes-Pyrénées.
  • sites internet de randonnées qui reprennent certains noms de massifs : visorando, camptocamp, Carte de randonnées dans les Pyrénées, etc. Ce dernier site a fait un travail de sélection des massifs de la chaîne centrale, même si certains noms cités ne le sont que par ce site (exemple : "massif de Gourette" que l'on ne retrouve nulle part ailleurs et qui correspond en fait au massif de Ger, ou massif du Pic de Ger, dénomination plus standard).
  • faire une recherche internet des noms : les noms les plus acceptés sont souvent les plus populaires et se retrouvent donc en grand plus nombre sur la toile. Il faut au moins trente références internet de la part de sites différents pour valider un nom. En dessous de 30, le nom est rejeté sauf s'il est validé par une source gouvernementale, il existe en effet des massifs en dehors des zones touristiques et qui ne sont pas très populaires sur la toile. Question : pourquoi 30 et pas 10 ou 50? Le nombre 30 correspond à plusieurs pages de résultats sur un moteur de recherche, et pas que la première (équivalent à 10 résultats), et semble refléter la popularité d'une chaîne de montagne modeste comme les Pyrénées sur internet (exiger 50 sites de références serait trop, on n'est pas dans l'Himalaya ni même dans les Alpes).

Pyrénées-Atlantiques

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Aide : liste Natura 2000 par massifs dans les Pyrénées-Atlantiques

  • Massif de l'Ursuya ? Voir BDLISA Base de Données des LImites de Systèmes Aquifères, 404AM Massif de l'Ursuya (pdf).
  • Autres noms : "massif de Larrun Xoldokogaina"
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  • Conclusion :
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  • Sommets principaux :
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Massif à cheval sur les Pyrénées-Atlantiques, la Navarre et la province de Huesca en Aragon, parfois appelé "massif des Trois Rois". La majeure partie du massif se trouve en Espagne.

  • Autres noms : "massif de la Pierre-Saint-Martin" pour le secteur nord coté français, "massif d'Anie" ou "massif du Pic d'Anie" pour le secteur est coté français.
  • Références :
  • Problèmes :
  • Conclusion :
  • Autres noms :
  • Références :
  • Problèmes :
  • Conclusion :

Situé en Béarn au sud de Pau et au nord du massif du Moulle de Jaout, il est délimité à l'est par la plateau de Ger. C'est une zone de basse montagne, entre 200 m de hauteur au nord et 500 m de hauteur au sud, constituée d'un réseau de collines entremêlées de petites vallées. Géologiquement les terrains sud font partie de la zone nord-pyrénéenne et les terrains nord font partie de la zone sous-pyrénéenne, le front de chevauchement nord-pyrénéen passant au milieu de la zone (d'après la carte géologique du BRGM au 1:100000). Les couches géologiques datent principalement du Crétacé supérieur (−100 à −66 Ma) dans la partie sud et du Miocène (−23 à −5 Ma).

  • Autres noms :
  • Sommets principaux :
  • Références :
  • Problèmes : où se trouvent les limites nord et ouest? Les limites sud sont faciles à trouver (changement brutal de relief) mais la limite ouest s'arrête-t-elle quand on passe du Béarn au Pays basque?
  • Conclusion :

Massif des Pré-Pyrénées, entièrement dans les Pyrénées-Atlantiques, enserré entre la vallée d'Ossau à l'ouest et la vallée de l'Ouzom à l'est. Au nord il est jointif du piémont pyrénéen suivant une ligne Arudy - Arthez-d'Asson. Au sud-ouest il est bordé par le massif de Ger via la vallée du Valentin (Laruns-Gourette). Au sud-est il est connecté au massif du Gabizos soit par le col d'Aubisque soit par le "col de Tortes" et le GR 10 qui descend suivant l'Arrec d'Arbaze jusqu'à la haute vallée de l'Ouzom (à décider). Il fait partie des Pré-Pyrénées c'est à dire un massif de moyenne montagne fait principalement de roches de la zone nord-pyrénéene. La moitié nord du massif est composée de roche sédimentaires datant du Crétacé et du Jurassique, et la moitié sud est composée de roches sédimentaires datant du Carbonifère et du Dévonien avec des intrusions du Trias (et une intrusion du Crétacé vers Arbéost). À noter la présence d'Ophite dans la moitié sud, signe d'une intrusion magmatique.

  • Autres noms : "massif du Moulle de Jaüt", "massif du Moulle de Jaut", "massif de Jaout", "massif de Jaüt", "massif de Jaut", "massif du Jaut".
  • Références : nom d'usage, noms des randonneurs, INPN massif du Moulle de Jaout, notices de la carte géologique de France du BRGM, recherche internet positive (plus de 30 références en combinant les variantes du nom données plus haut). La zone ZNIEFF recouvre totalement la zone du massif.
  • Problème : massif bien reconnu et bien délimité, sauf pour l'extrême coin sud-est où l'on a le choix entre le col d'Aubisque, ou jusqu'au col de Tortes (au-dessus de Gourette) et au GR 10 dans la vallée de l'Arrec d'Arbaze jusqu'à l'Ouzom, ce dernier tracé étant suivi par la ZNIEFF.
  • Conclusion : massif bien reconnu dont la prononciation locale serait comme « Ja » - « OUTTE » ou comme « Ja » - « HUTTE » suivant la vallée où l'on se trouve, la prononciation « JAU » (en omettant le T) tel que le suggère l'orthographe "Jaut" étant incorrecte. À publier après voir bien choisi le nom.

Petit massif dont la particularité est d'être entièrement calcaire avec des roches datant du Mésozoïque (secondaire), époque du Crétacé supérieur (-100 à -66 Ma), alors que les massifs environnants sont plus anciens datant du Paléozoïque (primaire), extension occidentale de la nappe de Gavarnie, principalement de la période du Dévonien (-420 à -360 Ma). La nature des roches recoupe le relief puisque le massif de Ger est un massif rond tenu en tenaille par deux vallées : la vallée d'Ossau à l'Ouest (poursuivie par le vallon du Soussouéou-Artouste au sud) et la vallée du Valentin au nord puis à l'est. Note : massif exclusivement dans les Pyrénées-Atlantiques (une partie en Hautes-Pyrénées et pré-supposée dans le massif appartient en fait à un autre).

  • Autres noms : "massif du Ger", "massif du Pic de Ger", "massif de Gourette", "massif calcaire de Gourette", "massif des Eaux-bonnes" (peu usité).
  • Références : usage local, INPN : Massif du Ger et du Lurien (associe deux massifs à la géologie et au relief différent), carte géologique de France du BRGM et sa notice 1069 dite « Laruns-Somport », sites spéléo des Pyrénées-Atlantiques, recherche internet positive (plus de 30 réponses de sources différentes pour "massif de/du Ger" dans les Pyrénées-Atlantiques, il y a un autre Pic de Ger).
  • Problème : n'a rien à voir avec le massif du Lurien, ni d'un point de vue relief ni d'un point de vue nature géologique des roches (fin Dévonien ou début Carbonifère soit 250 Ma plus tôt), je ne vois donc pas pour quelle raison l'INPN considère le "massif du Ger et du Lurien" avec le mot massif au singulier, soit c'est un oubli, soit la zone est écologiquement homogène (à démontrer). En tout cas, d'un point de vue relief et géologie, le massif du Lurien se rattache plus à celui du Balaïtous. De plus, les autres sites web considère le massif de Ger comme correspondant au seul secteur entourant le Pic de Ger.
  • Conclusion : petit massif mais qui fait consensus quant au nom et à sa délimitation. Accepté pour publication.

Massif de la zone axiale des Pyrénées, compris entre la vallée d'Aspe à l'ouest, la vallée de la Berthe au nord-ouest, les gorges de Bitet au nord-est, la vallée d'Ossau à l'est, le massif d'Ossau au sud-est, les gorges d'Enfer au sud-ouest.

  • Autres noms : "massif de Sesques", "massif de l'Escarpu".
  • Références :
  • Problèmes :
  • Conclusion :

Petit massif mais très identitaire dans la région, au point d'être plus connu au niveau national que d'autres massifs locaux bien plus larges comme le massif des Arbailles. le massif du Moulle de Jaout ou encore le massif d'Aspe. C'est un massif de la chaîne axiale qui à la particularité d'être un reste déformé d'une caldeira volcanique datant du tardo-hercynien (fin du cycle varisque), le pic du Midi d'Ossau étant lui même issu d'une éruption volcanique de type caldeira (éruption par les bords de la caldeira du volcan et non au centre, voir Santorin). Il se termine à l'ouest par la vallée d'Aspe, au nord-ouest par le massif du Sesques, au nord-est et à l'est par la vallée d'Ossau.

  • Autres noms : "massif du Pic-du-midi-d'Ossau", "massif de l'Ossau"
  • Références :
  • Problèmes :
  • Conclusion :

Un des massifs dits « 3000 pyrénéens », le plus à l'ouest de la chaîne des Pyrénées, à cheval sur les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées et la province de Huesca. Le nom « Balaïtous » est unanimement reconnu comme massif, mais son extension l'est beaucoup moins dès qu'on considèrent les sommets en dessous de 3000 mètres. Le massif est en plus sur la frontière franco-espagnole. Il est bordé à l'ouest par le massif d'Ossau (petit mais costaud, un des massifs emblématiques des Pyrénées-Atlantiques), au nord-ouest par le massif de Ger, au nord-est par le massif du Gabizos, à l'est par la vallée d'Arrens jusqu'au col Peyre Saint-Martin, au sud par les vallées de Salent de Gallego qui forment un "S", au sud-ouest par le col du Pourtalet (ou éventuellement le col de Peyrelue). En son sein se trouve la vallée du Soussouéou.

  • Problème : sa délimitation n'est pas aisée comme la plupart des massifs à cheval sur la crête frontière, et il manque des références de ce coté là. Ce qui semble acquis c'est que la Grande Fache n'en fait pas partie. L'antenne nord-ouest est appelée "massif du Lurien", c'est une zone très touristique (station de ski Artouste, petit train d'Artouste, lac d'Artouste, etc), et c'est peut être pour ça qu'on l'a individualisé du reste du massif.
  • Conclusion : article déjà publié (ébauche) mais il faudra bien définir ses limites et sourcer ces dernières. Il n'y a pas d’ambiguïté sur le nom, c'est massif du Balaïtous.

Hautes-Pyrénées

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1
Coteaux du Madiranais
Plateau de Ger
Val d'Adour
Plateau de Cieutat-Orignac
Plateau de Lannemezan
6
Coteaux de Gascogne
Piémont béarnais
Forêt de Mourle
Piémont bigourdan
Massif du Lhéris et Baronnies
Piémont commingeois
Massif du Moulle de Jaout
Massif du Granquet
Massif du Montaigu
Massif du Pic-du-Midi-de-Bigorre
Massif de l'Arbizon
Massif de la Barousse
Massif du Gar-Cagire
Massif du Burat
Massif de Ger
Massif du Gabizos
Massif du Pic-du-Midi-d'Arrens
Massif de Cauterets
Massif d'Ardiden
Massif du Néouvielle
Massif du Balaïtous
Massif des Pics-d'Enfer
Massif de Panticosa
Massif du Vignemale
Massif du Mont-Perdu
Massif de la Munia
Massif de Suelza
Massif de Batchimale
Massif du Perdiguère
Massif des Posets
Massif de la Maladetta

La liste pour les Hautes-Pyrénées est complète.

Voir à la section Pyrénées-Atlantiques.

Il est le frère oriental du massif du Moulle de Jaout, avec le même relief et les mêmes couches géologiques. Ces deux massifs devaient former à l'origine qu'un seul relief homogène, mais que l'érosion de l'Ouzom a progressivement coupé en son milieu. À l'ouest, la vallée de l'Ouzom le sépare du massif du Moulle de Jaout, à l'est c'est la vallée d'Arrens puis du Gave de Pau qui le termine. Au nord, au niveau de Lourdes, le gave de Pau bifurque à l'ouest puis continue de marquer la limite du massif jusqu'à Saint-Pé-de-Bigorre. À partir de là, le changement de relief (on passe de la moyenne montagne à la basse montagne) marque la limite des grottes de Bétharram jusqu'à Arthez-d'Asson à l'entrée de la vallée de l'Ouzom. Géologiquement parlant, le secteur nord, c'est-à-dire la massif de Saint-Pé-de-Bigorre jusqu'à la crête du Granquet-Pibeste, fait partie de la zone nord-pyrénéenne (Pré-Pyrénées) et est composé de roches sédimentaires du mésozoïque (couches du Crétacé et Jurassique), alors que le secteur sud fait partie de la zone axiale des Pyrénées (la faille nord pyrénéenne passe entre ces 2 secteurs) et se compose de couches principalement du Dévonien entrecoupées par des couches du Trias et Crétacé, et des intrusions d'ophites. Note : bien que le Pic du Pibeste soit un sommet secondaire, c'est le nom du massif le plus populaire ce sommet surplombe Lourdes.

  • Autres noms : "massif du Granquet", "massif du Pibeste-Aoulhet" au nord-est, "massif de l'Estibète" à l'ouest (sur la même crête que le Pibeste) ou encore "massif de l'Estibète-Granquet", "massif de Saint-Pé-de-Bigorre" au nord.
  • Problèmes : il y a plusieurs choix dans le nom, et le chaînon sud, à l'ouest d'Argelès-Gazost, n'est pas inclus par tous dans le massif (ce secteur n'a alors pas de nom...). De plus, la limite avec le massif du Gabizos pourrait être plus au nord que le col de Soulor pour les raisons géologiques écrites plus haut (toutefois, personne ne rattache la région au nord du Soulor au massif de Gabizos).

Le massif du Gabizos est un petit massif de la zone centrale (axiale) des Pyrénées, à cheval sur les Pyrénées-Atlantiques et les Hautes-Pyrénées, dont l'intérêt est d'être bien individualisé et délimité par les randonneurs, l'un des premiers massifs de hautes montagnes en venant de Pau - Lourdes. Deux vallées le délimitent : à l'ouest la vallée du Valentin (vallée de Gourette) et à l'est la vallée d'Arrens. Au sud, il est jointif du massif du Balaïtous via le "col d'Ausseilla" et a vallée du Labas. Au nord, les randonneurs arrête le massif au col de Soulor. C'est un massif quasiment constitué de roches sédimentaires du Dévonien (nappe de Gavarnie ?) exclusion faite des zones de moraines de la période glaciaire récente. La délimitation du massif à plusieurs raisons :

- À l'ouest la vallée du Valentin est profonde et débouche sur un autre petit massif bien individualisé par les locaux/randonneurs lui aussi, le massif de Ger, dont la composition géologique est complètement différente puisqu'il s'agit d'un massif calcaire du crétacé (250 Ma plus tardif que les roches du Gabizos);
- Au sud, on rentre aussi dans un autre secteur de randonnée, le massif du Balaïtous (un des « 3000 pyrénéens »), même s'il n'y a pas de vallée profonde. La petite vallée du Labas marque aussi une limite géologique puisqu'on passe précisément dans cette vallée de roches sédimentaires dévoniennes au nord à des roches sédimentaires du Carbonifère et surtout aux roches granitiques du pluton occidental de Cauterets (la limite est bien nette sur la carte géologique de France);
- À l'est la vallée d'Arrens, profonde et large, marque une rupture dans le relief et l'on voit apparaître des roche de l'Ordovicien plus à l'est dans le massif du Pic-du-Midi-d'Arrens.
- Au nord, le massif du Gabizos pourrait s'étendre plus au nord (ouest et est), dans le massif du Moulle de Jaout et le massif du Pibeste, tant il y a une certaine continuité dans la nature des roches et l'absence de vallées profonde. Ce sont alors les usages locaux et des randonneurs qui définissent le massif comme ça : au nord du col de Soulor et du col d'Aubisque, on ne trouve que de la moyenne montagne sous les 2000 mètres plus ronde et moins escarpée que le Gabizos. Les ZNIEFF s'arrêtent aussi au sud du col de Soulor.
  • Autres noms : "massif des Gabizos", "massif de Gabizos"
  • Problème : la délimitation nord du massif correspond à des usages locaux et de randonnées, et l'on pourrait étendre la zone du massif jusqu'au vallons servant de pied au Moulle de Jaout et au Soum de Granquet, là où se termine les terrains du Dévonien (nappe de Gavarnie) et où passe la faille nord-pyrénéenne (d'après carte géologique de France à 1:100000). Néanmoins, personne n'appelle vraiment ces secteurs par "massif du Gabizos".
  • Conclusion : massif bien individualisé et connu, accepté pour publication. Il faudra chercher des sources pour bien délimiter le massif, surtout au nord.

Massif du sud-ouest des Hautes-Pyrénées en Val d'Azun, coincé entre la vallée d'Arrens à l'ouest (nommée aussi val d'Arrens) et la vallée d'Estaing à l'est, et connecté au sud au massif de Cauterets par le col dit "Pourtet de Hèche". Petit massif, peu touristique donc peu connu sauf des locaux, mais bien individualisé et que l'on distingue du massif de Cauterets (massif du Grand Barbat-Moun Né-Pic du Cabaliros + massif du Marcadau), l'usage ne rattachant pas le massif du Pic-du-Midi-d'Arrens au massif de Cauterets. C'est un massif de zone axiale des Pyrénées, fait de roches granitiques au sud (pluton occidental de Cauterets) et sédimentaires au nord datant du Dévonien (prolongement occidental de la nappe de Gavarnie). Note : normalement le nom c'est "massif du Pic du Midi d'Arrens" (sans traits d'union) mais vu les conventions sur Wikipedia, on rajoute les traits d'union.

  • Autres noms : normalement "massif du Pic du Midi d'Arrens", "massif du Val d'Azun".
  • Références : INPN : Massif du Pic-du-Midi-d'Arrens, la notice 1070 dite « Argelès-Gazost » de la carte géologique de France du BRGM parle des « massifs du Pic du Midi d'Arrens et du Petit Gabizos », quelques cartes de randonnées, à peu près une trentaine de réponses sur internet en combinant la recherche "massif du Pic du Midi d'Arrens" et "massif du Val d'Azun".
  • Problème : petit massif attirant peu les randonneurs donc peu de sources / références pour l'article.
  • Conclusion : massif bien identifié, accepté pour publication. Rechercher plus de sources pour écrire l'article, peut-être dans les ouvrages d'histoire concernant le Val d'Azun et le Lavedan.

Massif de la zone axiale des Pyrénées, situé entre la vallée d'Estaing à l'ouest et la vallée de Saint-Savin poursuivie par la vallée du Marcadau à l'est. Au nord, ces deux vallées se rejoignent à Argelès-Gazost finissant le massif en pointe. Ce massif est la réunion de plusieurs massifs de randonnées qui se chevauchent sans former d'unité de relief par eux-mêmes, mais dont le tout forme une unité de relief. Ainsi du nord au sud on a le massif du Cabaliros, le massif du Moun Né, le massif du Barbat, et le massif du Marcadau jusqu'à la frontière franco-espagnole. Au sud de la frontière commence le massif des Pics d'Enfer. Note : le nom du massif est choisi par rapport au nom géologique « massif de Cauterets » qui couvre toute la partie sud de la frontière au sud jusqu'au Grand Barbat inclus au nord. On aurait plus choisir un autre nom. Découper le massif en 3 ou 4 petits massifs semble difficile et incohérent du point de vue du relief.

  • Autres noms : "massif du Cabaliros" au nord, "massif du Moun Né" ou "massif du Barbat" au centre, "massif du Marcadau" au sud.
  • Références : notices 1070 dite « Argelès-Gazost » et 1082 dite « Gavarnie » de la carte géologique de France du BRGM,
  • Problèmes: toutes une liste de problèmes pour cette unité de relief que les randonneurs aiment à découper en tronçons et faire s'arrêter pille-poil sur la frontière franco-espagnol. Ici ce n'est pas l'absence de noms qui gênent, c'est le trop plein de noms. Les zones désignées par ces noms se recouvrent les unes les autres, et n'ont pas de limites de relief claires. La solution trouvée est de les rassembler en une seule unité de relief homogène dont le nom n'est pas issu de la randonnée mais de la géologie. Le cas de la limite sud n'a pas été résolu : faire arrêter un massif sur la crête frontière, au niveau des plus hauts sommets de la chaîne, parait incohérent, mais le secteur espagnol et le secteur français on des noms et des usages trop différents ici. La seule limite faisant intervenir un peu le relief (voir la géologie) place alors la Grande Fache dans le massif des Pics d'Enfer.
  • Conclusion : article déjà publié sous forme d'ébauche, le cas de la limite sud n'a pu être résolu (voir carte des massifs des Hautes-Pyrénées). Trouver des sources avant de rédiger cet article.

Plus haut massif des Pyrénées françaises à cheval sur la crête faisant office de frontière franco-espagnole, ce massif comprenant de nombreux « 3000 » (voir la liste UIAA des 3000 pyrénéens) est célèbre pour ses couloirs d'alpinisme, son histoire au sein du pyrénéisme, ses glaciers, son profil majestueux depuis la vallée en contrebas, plus le secteur du lac de Gaube qui est très touristique. Le massif est délimité à l'ouest par le col d'Arratille, puis au nord-ouest par la vallée du Marcadau, au nord-est par la vallée de Lutour et le massif d'Ardiden, à l'est par la vallée d'Ossoue jusqu'au port de Boucharo, et au sud la haute vallée de l'Ara.

  • Autres noms : "massif du Gaube" au nord (carte IGN France), "sierra de Sandaruelo" au sud-est, "massif de Gavarnie" au niveau du cirque de Gavarnie, "macizo de Vignemale" sur les cartes IGN Espagne.
  • Problèmes : massif dont l'existence et le nom ne souffre d'aucune contestation, mais dont les limites fluctuent fortement en fonction des ouvrages et des sites internet. C'est donc un massif très problématique quant à son étendue et qui semble souffrir de plusieurs handicaps :
  • Les alpinistes considèrent appellent plutôt « massif » la zone des sommets pyrénéens de plus de 3000 mètres, ce qui représente trois bouts de crêtes (la crête frontière, la crête du Petit Vignemale et celle du Montferrat) et ne correspond pas vraiment à l'idée que l'on ce fait d'un massif de montagnes.
  • Les secteurs à vocation touristique comme la vallée du lac de Gaube ou l'ouest du cirque de Gavarnie peuvent paraître différentes du cœur du massif d'un point de vue activités humaines (en contradiction avec le relief qui lui est continu depuis la zone cœur des 3000 m jusqu'aux zones de plus basse altitude).
  • La limite orientale avec le massif du Mont-Perdu est floue, on ne l'appelle plus Mont-Perdu mais pas encore Vignemale. Quant à la notion de "massif de Gavarnie", elle est là pour nommer l'ensemble des montagnes qu'on voit depuis le cirque de Gavarnie. On peut définir deux frontières orientales : une frontière plus à l'est composée de la vallée des Pouey Aspé (gave des Tourettes)-Port de Boucharo-source est du Barranco Lapazosa, ou une frontière plus à l'ouest avec la vallée des Especières-col des Especières-source ouest du Barranco Lapazosa.
  • Coté espagnol on a aussi des problèmes : .........
  • Conclusion : massif qui à la fois un des plus connus des Pyrénées et un des plus mal défini. L'article existe mais se résume à décrire la zone des « 3000 m ». Ça va être la joie pour trouver des limites et des sources qui font consensus.

Massif bien individualisé entre la vallée de Saint-Savin (ou vallée de Cauterets) et la vallée de Lutour à l'ouest, la vallée de Luz-Saint-Sauveur et vallée de Gavarnie à l'est, et la vallée d'Ossoue au sud. Massif en partie granitique à l'ouest (pluton oriental de Cauterets) et en partie sédimentaire au nord et à l'est (roches de la nappe de Gavarnie datant du Paléozoïque (primaire). Ce massif fait partie de la zone axiale des Pyrénées.

  • Autres noms : "massif de l'Ardiden", "massif de Luz-Ardiden" (peu usité, fait référence à la station de ski Luz-Ardiden située dans le nord du massif), "massif d'Aspé" au sud (très peu usité, attention il y a aussi un massif d'Aspe dans les Pyrénées-Atlantiques).
  • Problème : la connexion avec le massif du Vignemale fait hésiter entre deux cols, celui de la Hourquette d'Ossoue (2734 m) et celui du col d'Estom Soubiran (2686 m). Toutefois, la Hourquette d'Ossoue est directement sous le Vignemale et rattachée à ce dernier par la tradition Pyrénéiste. De plus, l'antenne nord du massif de Gaube, rattaché au massif du Vignemale, passe par la Hourquette d'Ossoue. Le col d'Estom Soubiran comme limite d'impose donc.
  • Conclusion : un des massifs les mieux définis des Hautes-Pyrénées et avec de nombreuses références. L'article existant est à désébaucher. Le secteur sud mérite une attention particulière pour le sourçage mais cela ne devrait pas être un gros problème.

Massif très reconnu, un des « 3000 pyrénéens », plus haut massif calcaire d'Europe, et inscrit sur plus de 70% de sa surface au patrimoine mondial de l'UNESCO en tant que « Pyrénées-Mont Perdu ». La partie nord coté français comprend tout le cirque de Gavarnie ainsi que son antenne nord-est jusqu'à Gèdre. La limite est marquéd par la vallée de Gavarnie-Gèdre à l'ouest jusqu'au port de Boucharo, qui le sépare du massif du Vignemale, et le cirque d'Estaubé à l'est, qui le sépare du massif de la Munia. La partie sud coté espagnole est beaucoup plus étendue, incluant le parc national d'Ordesa et du Mont-Perdu, délimitée à l'ouest par la vallée de l'Ara et la Vallée de Bió, et à l'est par la vallée de la Cinca qui démarre en vallée de Pineta, le tout se rejoignant et terminant le massif vers Laspuña.

  • Autres noms : "massif de Gavarnie" coté français, "montagne de Coumély" pour le chaînon nord-est jusqu'à Gèdre, "Monte-Perdido" ou encore "Les Tres Sorores" (les trois sœurs) au centre coté espagnol, "sierra de las Tucas" ou "Sierra d'as Zucas" qui prolonge au sud-est "Les Tres Sorores", "sierra de las Cutas" au sud de la vallée d'Ordesa, "sierra de Asin" ou "sierra de las Mentiras" au sud-ouest. Note : le mot « sierra » dans les Pyrénées signifie plutôt « chaînon » dans le sens « montagne ».
  • Problème : il aurait été beaucoup plus logique de terminer le massif plus au sud, à la confluence entre l'Ara et la Cinca, mais les conventions le font s'arrêter à la Vallée de Bió et pas plus au sud. Le point oriental qui le sépare du massif de la Munia sur la crête frontière n'est pas clair.
  • Conclusion : l'article massif du Mont-Perdu existe déjà à l'état d'ébauche, l'article Pyrénées-Mont Perdu est bien développé mais ne couvre pas tout le massif au sud. Il faudra bien sourcer les délimitations du massif au sud, et aussi à l'est pour sa séparation avec la Munia.

Massif reconnu comme un des « 3000 pyrénéens », voir liste UIAA des 3000 pyrénéens, mais posant problème quant à ces limites car se trouvant sur la crête frontière franco-espagnole (tous les massifs à cheval sur la crête frontière posent problème). Au nord, la limite avec le massif du Néouvielle se fait par la vallée de Héas - Hourquette de Héas - Vallée d'Aure. Coté espagnol, la vallée de Pineta au sud-ouest et la vallée de Bielsa au sud-est marquent la fin du massif. Le long de la crête frontière, la limite oriental se situe au porte de Bielsa (au dessus du tunnel de Bielsa), et la limite occidentale se situe au refuge de Tuquerouye (brêche de Tuquerouye) là où la Cinca prend sa source coté sud.

  • Autres noms : parfois "Munia-Troumouse", les "Sierra de Espierba", "Sierra de Liena" et "Sierra Pelada" coté espagnol forment les chaînons sud du massif. Note : le mot "Sierra" se traduit par « chaîne » (comme pour Sierra Nevada), dans ce cas il s'agit d'un chaîne de montagne, ou « chaînon » comme ici dans les Pyrénées, dans ce cas il s'agit d'une montagne.
  • Problèmes : massif situé sur la crête frontière, donc problèmes pour définir le col limite sur la crête avec le massif du Mont-Perdu à l'ouest, et le col limite sur la crête avec le massif de Suelza à l'est. C'est un petit massif qui a été individualisé à cause de ses sommets de plus de 3000 mètres trop à l'est pour faire partie du massif du Mont-Perdu et trop au sud pour faire partie du massif de Néouvielle.
  • Conclusion : article ébauché, le nom est établi. Sa géographie est difficile car très découpée, faite de cirques et de vallées qui dessinent en négatif un massif de crêtes en dentelle.

Massif reconnu comme un des « 3000 pyrénéen », le plus haut entièrement en France. On y trouve la réserve naturelle nationale du Néouvielle créée il y a plus de 70 ans. C'est un massif en partie granitique et dont l'intérêt dépasse le fait d'y faire de hautes randonnées : l'érosion glaciaire y a laissé de nombreux lacs et petits vallons, d'où un micro-climat une grande diversité écologique, raison de la création de la réserve. Le massif est délimité à l'ouest par la vallée de Gèdre-Luz-Saint-Sauveur, au nord-ouest par la vallée de Barèges, au nord est par la vallée de Campan, à l'est par le massif de l'Arbizon, au sud-est par la vallée d'Aure, au sud par le massif de la Munia, et au sud-ouest par la vallée de Héas qui connecte la vallée de Gèdre-Luz-Saint-Sauveur.

  • Autres noms : "massif du Campbieil" au sud (peu usité).
  • Problème : massif assez bien individualisé sauf pour sa jonction avec le massif de l'Arbizon et celui avec le massif de la Munia. La jonction avec la Munia se fait en général via la Hourquette de Héas, ce qui est moins problématique, celui avec l'Arbizon via la zone de petits lacs et vallons, ce qui est plus problématique. Le vallon du Bastan semble marquer la limite avec le massif de l'Arbizon, en effet à l'ouest commence la Réserve naturelle nationale du Néouvielle et à l'est le pic de Bastan contrefort de l'Arbizon. Le secteur nord-est jusqu'à La Mongie (vallée de l'Adour de Gripp) fait partie du massif granitique de Néouvielle des géologues. Toutefois ce massif géologique remonte sur les pentes de l'Arbizon et la seule vallée qui peut constituer une limite de relief est celle de la rivière Garet qui coule depuis le lac du Campana puis le lac de Gréziolles. On aurait pu faire un autre découpage avec une limite qui passe par le lac d'Aumar, le col de Madamète, puis la vallée qu'empreinte le GR10, tout le secteur nord-est du massif granitique revenant alors dans le massif de l'Arbizon. Toutefois, tout le monde nomme cette zone par "massif de Néouvielle" et personne ne fera commencer le massif de l'Arbizon si à l'ouest, ici les usages l'emportent.
  • Conclusion : article publié et déjà bien développé. Le nom est bien établi, seules les bordures de l'est et peut-être du sud du massif ont besoin de références.

Massif reconnu et assez bien individualisé, situé entre la vallée de Campan à l'ouest et la vallée d'Aure à l'est. C'est un massif de la zone axiale composé en partie d'un socle granitique dans sa partie ouest (massif géologique du Néouvielle) et pour le reste de roches sédimentaires du paléozoïque (primaire). Il descend à l'ouest dans ce socle granitique où commence le massif du Néouvielle, la limite étant le lac de l'Oule, le vallon du ruisseau de Port-Bielh (là où commence la réserve naturelle nationale du Néouvielle), et le vallon du Garet. Au nord, on note un changement de relief et de roches sédimentaires (datant du crétacé supérieur) avec le massif du Lhéris, la limite se trouvant légèrement au nord du col d'Aspin.

  • Autres noms : pas d'autres noms trouvé (c'est rare).
  • Sommet principal : Arbizon (2831 m).
  • Problèmes : la délimitation avec le massif du Néouvielle et le massif du Lhéris est floue. Pour le la limite avec le Néouvielle, on peut hésiter entre le sentier du GR10C qui passe par les lacs de Bastan à l'est, et le vallon du ruisseau de Port-Bielh plus le lac de Port-Bielh à l'ouest. La limite avec le Lhéris fait aussi hésiter : soit par la vallée de Payolle et col d'Aspin au sud, soit par le col et le ruisseau de Beyrède plus au nord.
  • Conclusion : massif bien reconnu et dont le nom est sans équivoque, l'article étant déjà à l'état d'ébauche. Seules les limites prêtent à discussion, les descriptions des ZNIEFF peuvent aider à mieux définir ces limites, voir aussi la réserve naturelle régionale d'Aulon.

Massif bien individualisé et dont le Pic du Midi de Bigorre est bien visible depuis la plaine de Tarbes. Ce massif est enserré entre la vallée du Gave de Gavarnie à l'ouest (de Pierrefite-Nestalas à Luz-Saint-Sauveur) et la vallée de Campan (Adour de Gripp) à l'est. Au nord il est séparé du massif du Montaigu par la vallée du Lac d'Isaby, la Hourquette d'Ouscouaou et la vallée de Lesponne. Au sud il est séparé du Massif du Néouvielle par la vallée de Barèges, le col du Tourmalet et la vallée de l'Adour du Tourmalet (secteur de La Mongie ou haute Adour de Gripp). C'est un massif de la chaîne axiale composé principalement de roches sédimentaires du Paléozoïque (Dévonien) mais aussi des roches métamorphiques (Migmatites et Gneiss du Dôme du Chiroulet) et des roches magmatiques (pegmatite, granite et diorite). Massif pas le plus haut mais emblématique, son sommet se confond souvent avec le massif tout entier (comme pour le Pic du Midi d'Ossau).

  • Autres noms : "Pic du Midi de Bigorre", "Massif du Pic du Midi", Massif de Lascours à l'ouest.
  • Références : INPN : Massif du Pic du Midi de Bigorre - Lac Bleu, la notice 1071 dite « Campan » de la carte géologique de France du BRGM, certains sites de randonnées (exemple : Midi de Bigorre), recherche internet incertaine (pour trouver une trentaine de sources, il faut chercher loin dans les pages de résultat et voir ceux qui parlent juste du sommet et ceux qui parle du massif).
  • Problème : la dénomination « massif de Lascours » n'apparaît nul part sur internet sauf pour la page Wikipédia. Le point de séparation (col d'Aoube) est plutôt un point intermédiaire dans une montagne entre un sommet principal, le Pic du Midi de Bigorre, et un sommet secondaire, le Soum de Lascours. Autre problème, la référence au massif sans le mot « massif », simplement "Pic du Midi de Bigorre", confondant sommet et massif (exemple : « Le Pic du Midi de Bigorre est un massif des Pyrénées »). Résultat : la recherche sur internet mélange les deux, et il faut trier pour savoir ceux qui parle du sommet et ceux qui parle du massif. Toutefois, c'est bien un massif et personne ne placerait le Pic du Midi de Bigorre ou le Lac Bleu de Lesponne dans un autre massif environnant (Exemple :Lacs-des-Pyrénées met le Lac Bleu dans le massif du Pic du Midi de Bigorre).
  • Conclusion : massif bien identifié dans ses limites mais dont le nom pose problème, le Pic du Midi de Bigorre éclipsant le massif tout entier. Bon pour publication en renommant la page Massif de Lascours en Massif du Pic-du-Midi-de-Bigorre. Note : contrairement aux autres massifs, on garde le mot "pic" et on ne dit pas "massif du Midi-de-Bigorre" (personne ne le dit, la recherche de ce nom ne donne rien).

C'est un massif de moyenne montagne, sauf pour le Pic de Montaigu, en avant et individualisé par rapport au massif du Pic-du-Midi-de-Bigorre situé plus au sud, et séparé de ce dernier par la Hourquette d'Ouscouaou. Enserré entre la vallée de Lourdes à l'ouest, la vallée de Bagnères-de-Bigorre à l'est, et la vallée de Lesponne au sud-est. Au nord le relief descend et fini dans le piémont bigourdan (qui fait en fait partie des Pré-Pyrénées), zone de basse montagne au sud de Tarbes. La faille nord-pyrénéenne passe à la limite nord du massif du Montaigu, ce qui en fait un massif de la zone axiale, composé de roches sédimentaires datant principalement du Dévonien (nappe de Gavarnie). Géologiquement parlant, le massif du Montaigu et le massif du Pic-du-Midi-de-Bigorre ne forment qu'un.

  • Autres noms : "massif du Hautacam" dans la partie ouest, "Massif du Monné" vers Bagnères-de-Bigorre, massif sans nom dans la partie nord. La zone du Hautacam correspond à la station de sports d'hiver Hautacam, nom donné par un sommet secondaire plus au nord, Hautacam ou Soum de Dabant Aygue. Cette zone est rattachée au Montaigu par la crête ouest de ce dernier, qui donne la montagne du Hautacam au nord-ouest du Montaigu.
  • Références : Usages locaux, cartes IGN (carte générale et cartes randonnées), INPN : massifs du Montaigu et de Hautacam, recherche internet positive (plus de 30 résultats issus de sources différentes).
  • Conclusion : zone prête pour un article, le nom et la zone du massif étant bien définis, et les sources s'accordent. Faire une recherche pour les références concernant l'écologie ouest du massif.

Zone de basse montagne situé dans le triangle Tarbes-Lourdes-Bagnères-de-Bigorre, c'est un massif de basse montagne (sous 1000 m d'altitude), fait de collines entrecoupées par un réseau de petites vallées, et d'une géologie différente de la zone du massif du Montaigu au sud qu'il précède. La transition vers le massif du Montaigu se fait par un changement de relief et d'élévation rapide : sur 1 km de distance, on passe d'un réseaux de collines à des montagnes bien formées, et de 600 mètres à 1200 mètres de hauteur. D'un point de vue géologique, c'est un massif de la zone nord-pyrénéenne, donc le mot "Pré-Pyrénées" serait plus adapté que le mot "piémont" (sauf que personne ne n'emploi pour cette zone), fait de flyschs du Crétacé supérieur. Seule l'extrême pointe nord au sud de Tarbes est un coteau de la zone sous-pyrénéenne (vrai piémont des géologues, au nord du chevauchement frontal nord-pyrénéen) fait de roches du Miocène. Au sud, la faille nord-pyrénéenne marque la limite avec le massif du Montaigu.

  • Autres noms : "piedmont bigourdan" (peu usité), "massif du Monné" pour le coin sud-est de la zone.
  • Problème : il est difficile de trouver des références pour cette zone, et le nom "piémont bigourdan" peut recouvrir une zone plus large en fonction des sites internet. De plus, la délimitation nord avec le massif du Montaigu dans le secteur du Monné doit être sourcée. En effet, la faille nord-pyrénéenne y passe en plein milieu. La notice 1071 dite « Campan » de la carte géologique de France du BRGM parle du « chaînons nord-pyrénéens du Monné, du pic d'Asté », donc associe le Monné à la zone nord-pyrénéenne et non au Montaigu. De plus, INPN (commentaires) : Massif karstique du Monné, Tucou, Bédat dit « cette ZNIEFF constitue un échantillon représentatif d’un riche ensemble de collines du piémont nord-pyrénéen » et non du Montaigu. On classera donc la zone du Monné au dessus de Baudéan dans le piémont bigourdan.
  • Conclusion : l'article est publiable, trouver plus de références de qualité concernant la zone.

Massif de haute montagne, un des « 3000 pyrénéens » mais dont la délimitation est très problématique. Si on s'en tient aux seuls sommets de plus de 3000 mètres, alors le massif est l'un des plus petits des Pyrénées. De plus, le massif est situé sur la crête frontière franco-espagnole là où cette dernière fait des zig-zags. Ce massif est la continuation occidentale du massif de Perdiguère, séparé de celui-ci au niveau du "Port d'Aygues-Cruses" à la jonction du "val de Rio Royo" au sud et du "vallon d'Aygues Tortes" au nord, et exactement là ou une faille termine le massif granitique de Lis-Caillauas (partie sud-ouest du massif de Perdiguère). C'est massif intermédiaire entre le massif de la Munia à l'ouest et le massif de Perdiguère à l'est, la vallée d'Aure au nord coté français et la vallée de Bielsa et vallée de Gistain au sud.

  • Autres noms : "massif du Batchimale", "massif du Lustou" ou éventuellement "massif de Lustou" pour le chaînon nord partant du Pic de Lustou, "massif d'Aure" ou "massif d'Aure-Louron" pour tous les chaînons nord (ces deux noms sont peu usité), "macizo de Suelza" pour la partie coté espagnole, "sierra Acirón" et "sierra Marqués" plus au sud coté espagnol.
  • Problèmes : un des massifs les plus mal nommé et délimité des Hautes-Pyrénées et même des Pyrénées, un vrai bordel sans vraiment de nom officiel ou officieux. Toute les chaînons ouest et la partie sud côté espagnol n'ont pas vraiment de nom : certains chaînons / montagne / sierra sont nommés mais pas tous, et la zone d'ensemble n'a pas reçu de noms.
  • Conclusion : peut-être scinder le massif en deux massifs, mais alors quel nom pour la partie ouest? Massif de Suelza? L'article est à l'état d'ébauche, faire plus de recherches avant de développer l'article.

Massif faisant partie des Pré-Pyrénées nord (coté français), le massif du Lhéris est délimité à l'ouest par la vallée de Campan, au nord-ouest par la petite vallée du Luz (Bagnères de Bigorre - Argelès-Bagnères - Abbaye de l'Escaladieu) puis le plateau de Cieutat-Orignac, au nord-est par le plateau de Lannemezan (qui commence à Mauvezin-Capvern), à l'est par la vallée d'Aure, et au sud par le massif de l'Arbizon. C'est un massif de la zone nord-pyrénéenne composée de roches du Mésozoïque (secondaire) : les plateaux sédimentaires qui le bordent au nord font partie du piémont pyrénéen déformé, tandis que la faille nord-pyrénéenne marque sa limite sud et le sépare du massif de l'Arbizon situé lui dans la zone axiale. ce massif se compose de deux secteurs : la partie nord du massif, zone de basse montagne, correspond au pays traditionnel des Baronnies des Pyrénées. La partie sud du massif comporte deux lignes parallèles de plus haute montagne orientée nord-ouest à sud-est, la plus au nord culminant au Casque du Lhéris (1595 m) et celle du sud culminant au Signal de Bassia (1921 m). Le nom massif du Lhéris vient du fait que le casque du Lhéris est bien visible et identifiable depuis la plaine de Tarbes.

  • Autres noms : Massif de Lhéris, massif de Bassia (peu usité).
  • Références : INPN : massif du Lhéris, Hautes-Baronnies (ZNIEFF qui n'occupe que le sud du massif), recherche internet positive (plus de 30 résultats indépendants pour massif de/du Lhéris), la notice 1053 dite « Bagnères-de-Bigorre » du BRGM parle de chaînon du Lhéris et des Baronnies.
  • Problème : deux zones, donc deux noms, pour un même massif. On a une partie basse montagne au nord (peuplée de villages) et une partie moyenne montagne au sud (faisant la transition avec la haute montagne du massif de l'Arbizon). Toutefois, la transition entre la zone de haute montagne et celle de basse montagne est progressive, et les roches sont à peu près les mêmes, des calcaires et schistes (roches sédimentaires) du Mésozoïque de la Zone Nord-Pyrénéenne (ZNP), et différentes de l'Arbizon (roches primaires de la zone axiale) au sud ou des plateaux au nord (roches sédimentaires tertiaires du piémont pyrénéen). Donc un seul massif, la zone nord de basse montagne (baronnies) étant aussi une zone plissée mais de plus basse altitude et que les rivières issues de la moyenne montagne ont taillé en collines et petites vallées. Note : les couches géologiques continuent à l'est dans le nord du massif de la Barousse mais l'entaille profonde et large faite par la vallée d'Aure ne permet pas de les regrouper.
  • Conclusion : la zone est homogène et assez clairement délimitée, seul le nom pose problème. Massif du Lhéris? Massif des Baronnies? Massif du Lhéris et des Baronnies? Attention : un massif des Baronnies existe déjà mais dans les Alpes.

Massif assez large pour les Pyrénées car principalement forestier, situé en Barousse à cheval sur les Hautes-Pyrénées et la Haute-Garonne. C'est un massif bien individualisé délimité à l'ouest et au nord par la vallée des Nestes (vallée du Louron puis vallée d'Aure puis vallée de la Neste jusqu'à Montréjeau), à l'est par la haute vallée de la Garonne (ou vallée de Luchon), et au sud par le massif de Perdiguère. Au nord, au delà de la Neste commence le Plateau de Lannemezan. À l'est, au delà de la Garonne, commence les Comminges ou le massif du pic de Cagire.

  • Autres noms : "massif de Nistos" au nord-ouest (sites de spéléologie et de ski le mentionnent), d'autres noms comme "massif du Luron", "massif du Montious" ou encore "Oueil Barousse" en référence à la vallée d'Oueil dans le sud du massif, mais tous ces noms sont peu usité. Ces noms ne donnent pas de résultat positif sur internet et reflètent plutôt l'avis de leur auteurs qui cherchent une dénomination appropriée aux différents secteurs du massif. Note : le nom "massif du Larboust" proposé par l'INPN pour une ZNIEFF n'existe pas ailleurs.
  • Conclusion : zone bien individualisée, dénomination qui fait consensus, références nombreuses et concordantes dont plusieurs officielles. Accepté pour publication.

Massif reconnu et individualisé, un des « 3000 pyrénéens », le cinquième plus haut de toute la chaîne des Pyrénées. Il est délimité par la vallée du Louron à l'ouest, le massif de la Barousse au nord à partir du col de Peyresourde, la vallée de Luchon puis la vallée de la Pique à l'est (voir la rivière Pique), la Vallée d'Estós et la vallée de Bénasque au sud. De nombreux sites de randonnées en parle, les habitants du Luchonnais l'appellent "massif du Luchonnais", les habitants de la vallée de Bénasque l'appellent Macizo de Perdiguero.

  • Autres noms : massif du Luchonnais, massif de Luchon, massif du Perdiguère, massif des Gourgs-Blancs à l'ouest (plutôt un secteur de crête), massif de Crabioules ou massif du Maupas à l'est (un autre secteur de crête). Coté espagnol : Macizo de Perdiguero ou Macizo Perdiguero.
  • Problème : la fin orientale du massif est floue. Le port de Vénasque se trouve excentré très à l'est et certains sites de randonnées ne l'associe pas forcément au massif (ils ne l'associent à aucun massif en fait). Toutefois, le refuge de Vénasque au pied du col est catalogué dans le "massif du Luchonnais" par le site du refuge lui-même. Même la zone plus à l'est, au sud du col du Portillon, pourrait être cataloguée dans le massif du Luchonnais (quelques sources en parlent).
  • Conclusion : article déjà publié et développé à un niveau avancé. Deux noms coexistant coté français (Perdiguère et Luchonnais), le nom Perdiguère a été retenu par rapport au petit coté espagnol qui n'est pas appelé massif du Luchonnais mais Macizo de Perdiguero par les espagnols.

Zone très large du Piémont pyrénéen déformé, située entre la vallée de l'Arros à l'ouest et la vallée de la Neste au sud. La zone de plateau constitue tout le nord-est des Hautes-Pyrénées mais se transforme progressivement en alignements de collines appelées "coteaux de Gascogne" à mesure que l'on progresse au nord dans le Gers ou à l'est dans la Haute-Garonne. C'est un plateau (géographie) avec une déclivité très faible (plusieurs kilomètres pour que la hauteur baisse de quelques mètres), un massif du Piémont déformé.

  • Autres noms : les collines du nord s'appellent "coteaux de Gascogne" en général, "coteaux de Bigorre" si on est en Bigorre, "coteaux du Magnoac" si on est en Magnoac, "coteaux de l'Astarac" si on est en Astarac, "coteaux du Comminges" si on est dans le Comminges, etc.
  • Sommet principal : "La Lande" (701 m).
  • Références : nom officiel sur toutes les cartes IGN France, unanimement accepté.
  • Problème : il est difficile de délimiter la zone du plateau de nord à l'est car la zone y est assez érodée. C'est à la base une zone de piémont, surélevée jusqu'à 500 m de hauteur par la surrection des Pyrénées, qui descend en pente très douce, et dans laquelle l'érosion fluviale a taillée de très nombreuses vallées. Donc sur les cartes, le plateau à l'allure d'un delta fluvial (analogie avec le delta du Nil) qui le déverserait dans le bassin aquitain (exemple de carte de relief explicite). Autre problème : doit-on parler de « massif » ? C'est une zone de basse montagne appartenant à la zone déformée du piémont pyrénéen, c'est donc bien un massif, dans le sens unité homogène de relief positif, mais le mot plateau convient mieux dans ce cas, car sans vraiment de sommets principaux.
  • Conclusion : zone officielle, déjà sous forme d'article (ébauche), mais dont les contours dans le bassin aquitain seront difficiles à définir.

Plateau de Ger et coteaux du Madiranais

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Zone très large du piémont pyrénéen déformé, située entre la plaine de Pau (gave de Pau) à l'ouest et la plaine de Tarbes (Val d'Adour) à l'est. Au sud, commence au nord de Lourdes, et se termine au nord en série de coteaux jusque dans le Gers appelés "coteaux du Madiranais". C'est un plateau qui culmine à 574 mètres au soum de la Garde situé juste au nord de Lourdes.

  • Autres noms : "coteaux du Madiranais" pour la terminaison nord.
  • Problème : comme pour le plateau de Lannemezan, zone difficile de délimiter au nord car assez érodée. C'est là aussi une zone de piémont, surélevée jusqu'à 500 m de hauteur par la surrection des Pyrénées, qui descend en pente très douce, et dans laquelle l'érosion fluviale a taillée de nombreuses vallées. Donc sur les cartes, le plateau à l'allure d'un delta fluvial (analogie avec le delta du Nil) qui le déverserait dans le bassin de l'Adour (exemple de carte de relief explicite).
  • Conclusion : zone unanimement acceptée, déjà sous forme d'article (ébauche), mais dont les contours dans le bassin de l'Adour seront difficiles à définir. La notice officielle 1052 du BRGM le délimite d'ailleurs de manière assez évasive : « ce plateau de piémont mio-pliocène est entaillé par les vallées qui s'irradient au Nord de Lourdes ».

Petit plateau du piémont pyrénéen qui commence au nord de Bagnères-de-Bigorre et qui est encadré à l'ouest par la plaine de Tarbes (Val d'Adour) et à l'est par la vallée de l'Arros. La petite vallée du Luz marque la frontière sud-est avec les Baronnies des Pyrénées. Le plateau fait partie de la grande nappe sédimentaire du piémont nord dans laquelle l'Adour et l'Arros ont creusé deux grandes vallées, laissant trois zones de plateaux : le plateau de Ger à l'ouest, le plateau de Lannemezan à l'est, et le plateau de Cieutat-Orignac au centre. Le terme "Cieutat-Orignac" vient des communes de Cieutat et Orignac dans la partie sud où effectivement on trouve une zone assez plane. Le plateau s'étend suivant un axe sud-nord, parallèle au cours de l'Adour et de l'Arros, où il se subdivise dans sa partie nord en collines rondes à pente douce (surtout sur leur versant est) appelées coteaux. Le terme de "plateau de Cieutat-Orignac" est un terme populaire parmi les géologues (illustration avec la carte géologique simplifiée des Hautes-Pyrénées) mais moins parmi les locaux, on parle alors de "coteaux de Pouyastruc" ou "coteaux du Val d'Arros", termes toutefois plutôt administratif et changeant en fonction de la création-destruction des intercommunalités (voir Communauté de communes des Coteaux de Pouyastruc et Communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros).

  • Autres noms : "Plateau de Cieutat", "Plateau d'Orignac", "Coteaux de Pouyastruc" ou "Coteaux du Val d'Arros" dans la partie nord seulement. Note : le nom INPN "Plateau et vallons des Coustalats" ne se retrouve dans aucune autre source internet.
  • Références : nom d'usage en géologie et chez les universitaires, la carte géologique de France de BRGM et sa notice 1053 dite « Bagnères-de-Bigorre », cartes géologiques comme carte géologique simplifiée des Hautes-Pyrénées, la recherche internet donne une trentaine de résultats en combinant "Plateau de Cieutat-Orignac" et "plateau de Cieutat".
  • Problèmes : ce sera difficile de sourcer le choix du nom par des références autres que géologiques (pas de ZNIEFF par exemple), toutefois ces sources peuvent très bien faire autorité et décrivent assez bien la zone considérée.
  • Conclusion : article accepté pour publication, zone bien identifiée et le nom en géologie correspond bien au relief (comme c'est le cas pour les plateaux et autres zones de piémont). Note : pour comprendre la formation des plateaux du piémont pyrénéen voir Formation des Pyrénées.

Haute-Garonne

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Voir la section Hautes-Pyrénées plus haut.

Voir la section Hautes-Pyrénées plus haut.

Massif de basses montagnes situé au sud de Saint-Gaudens et appelé « piémont » mais qui en fait fait partie de la zone nord-pyrénéenne et des Pré-Pyrénées (mais le termes "Pré-Pyrénées commingeoises" est quasiment inusité). Le massif est barré par la Garonne à l'est et à l'ouest, le massif d'Arbas à l'est, et le massif du Gar-Cagire au sud.

  • Autres noms :
  • Sommets principaux :
  • Problème : Le terme semble s'appliquer aussi au nord de la Garonne, ce qui est plus logique vu c'est une vraie zone de piémont appartenant à la zone sous-Pyrénéenne déformée. Le massif est aussi à délimiter dans tout l'est.
  • Conclusion : attendre avant publication.

Massif bien individualisé, entièrement en Haute-Garonne et délimité à l'ouest par la haute-vallée de la Garonne et à l'est par la vallée du Ger ou encore vallée d'Aspet. Le massif semble se terminer au sud au niveau du col de Menté (à vérifier), et au nord au niveau du col d'Arès (à vérifier aussi). c'est un petit massif des Pré-Pyrénées, ou encore de la zone nord-pyrénéenne, la faille nord-pyrénéenne passant juste au sud du col de Menté (d'après la carte géologique de France du BRGM). Ce massif est découpé traditionnellement en trois montagnes : le secteur du pic du Gar à l'ouest, le secteur du pic de Cagire à l'est, et le secteur du pic de l'Escalette au sud-est.

  • Autres noms : "Massif de Cagire", "Massif du Gar-Cagire", "massif du Gar" (peu usité), "massif du Gar-Cagire-Escalette" (peu usité).
  • Problème : problème des limites...
  • Conclusion : bien choisir le nom du massif avant de publier l'article.

Massif à cheval sur le départements de la Haute-Garonne et de l'Ariège

  • Autres noms :
  • Sommets principaux :
  • Problèmes :
  • Conclusion :

Massif assez étendu pour la région car c'est un massif forestier de moyenne montagne, à cheval sur le départements de la Haute-Garonne et de l'Ariège. Il est délimité à l'ouest par la vallée de Ger dite encore vallée d'Aspet (voir aussi Ger (rivière) et Aspet), au sud-est par la vallée du Lez entre Castillon-en-Couserans et Saint-Girons, et au nord-est par la vallée du Salat entre Saint-Girons et Prat-Bonrepaux.

  • Autres noms : "massif de l'Arbas", "massif forestier d'Arbas"
  • Problèmes :
  • Conclusion :

Massif à cheval sur la frontière franco-espagnole, à la fois en Haute-Garonne pour le versant ouest et nord, et en Val d'Aran (Catalogne) pour le versant est. Il est encastré entre la vallée de Luchon (vallée de la Pique) et la vallée de la Garonne qui se rejoignent et terminent le massif au nord au niveau des communes de Marignac et Chaum. La limite sud semble être le col du Portillon même si le statut du chaînon sud n'est pas définitivement attribué (massif du Luchonnais?).

  • Autres noms : coté français on a le "massif du Burat-Bacanère", "massif de Burat" et "massif du/de Bacanère" (peu usité); coté espagnol on a "Montes Aubas Portillon y Reguera" sur la carte IGN France mais pas sur la carte IGN Espagne.
  • Massif de Castillon (en Couserans) ? (voir [2])

Voir à la section Haute-Garonne plus haut.

  • Autres noms :
  • Problèmes :
  • Conclusion :
  • Autres noms : "massif du Saint-Barthélémy", "massif de la Frau", "montagne de Tabe"
  • Sommets principaux :
  • Problèmes :
  • Conclusion :
  • Autres noms : "Plantaurel"
  • Sommets principaux :
  • Problèmes :
  • Conclusion :
  • Autres noms :
  • Sommets principaux :
  • Problèmes :
  • Conclusion :
  • Autres noms : "Massif du Pic des Trois Seigneurs"
  • Problèmes :
  • Conclusion :
  • Autres noms : "massif du Mont Ceint"
  • Problèmes :
  • Conclusion :

Un seul massif avec le Certescans à l'ouest ?

  • Autres noms :
  • Sommets principaux :
  • Problèmes :
  • Conclusion :
  • Autres noms :
  • Sommets principaux :
  • Problèmes :
  • Conclusion :
  • Autres noms : "massif d'Aston"
  • Sommets principaux :
  • Problèmes :
  • Conclusion :

Voir Pays de Sault. Le nom est "plateau de Sault" ou "plateaux de Sault" (il y en a trois).

  • Autres noms  : "grand plateau de Sault" au nord-ouest, "petit plateau de Sault" au sud-est
  • Sommets principaux :
  • Problèmes :
  • Conclusion :

Pyrénées-Orientales

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Massif de haute montagne en Espagne, un des « 3000 pyrénéens », situé au sud du massif du Balaïtous, à l'ouest du massif de Panticosa, au sud du massif de Cauterets.

Autres noms : "massif d'Enfer" (Macizo de los Infiernos ou Macizo del Infierno), "massif d'Enfer-Argualas" (macizo Infiernos-Argualas ou macizo de Infiernos-Argualas).

Sommets principaux : pics d'Enfer ou pic d'Enfer Central (3081 m), Argualas ou pic d'Argualas (3044 m).

Références : Liste UIAA des 3000 pyrénéens, carte IGN Espagne, Randonnées par massifs, recherche internet positive en groupant toutes les variantes de noms (plus de 30 sources avec les noms espagnols).

Problème : traiter la zone de la Grande Fache

Conclusion :

Massif de haut sommets, mais par de 3000 m, situé entre la vallée du Gállego (voir aussi Gállego) à l'ouest et la vallée de l'Ara à l'est. Au nord-ouest se trouve le massif d'Enfer-Argualas et au nord-est le massif du Vignemale. Massif de relief dont on peut distinguer deux parties : à la pointe nord se trouve le "massif granitique de Panticosa" ou pluton de Panticosa du nom de la station balnéaire qui s'y trouve (baños de Panticosa), au sud une barre rocheuse ouest-est forme la sierra de Tendenera, morceau central d'un large pli géologique que les cours d'eau Gállego et Ara ont coupé en trois morceau (le morceau ouest étant la sierra de Partacua, et le morceau est étant dans le massif du Mont-Perdu). Au sud, la sierra de Tendenera s'arrête à la ligne entre Biescas et Broto.

Massif rond très bien délimité, un des « 3000 pyrénéens », situé au sud du massif de Perdiguère et à l'ouest du massif de la Maladetta. Ce massif est délimité à l'ouest et au nord-ouest par la vallée de Gistain, au nord-est par la vallée d'Estos, à l'est par la vallée de Bénasque (ou vallée de l'Esera) et au sud par le col de Sahun qui le sépare de la sierra de Chía.

Autres noms : "Macizo de Posets"

Références : nom d'usage, Liste UIAA des 3000 pyrénéens, cartes IGN Espagne

Massif le plus haut des Pyrénées avec le pic d'Aneto (3404 m), serré à l'ouest par le massif des Posets, au nord par le massif de Perdiguère, à l'est par le Besiberri.

Massif calcaire culminant à 2912 m et bien individualisé, ce massif est situé au sud du massif des Posets.

  1. Dans sa version du 29 novembre 2018