Saint-Laurent-sur-Sèvre
Saint-Laurent-sur-Sèvre | |||||
Basilique Saint-Louis-Marie-Grignion-de-Montfort. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | La Roche-sur-Yon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays-de-Mortagne | ||||
Maire Mandat |
Éric Couderc 2020-2026 |
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Code postal | 85290 | ||||
Code commune | 85238 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Laurentais | ||||
Population municipale |
3 664 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 237 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 57′ 34″ nord, 0° 53′ 30″ ouest | ||||
Altitude | 149 m Min. 98 m Max. 199 m |
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Superficie | 15,49 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Saint-Laurent-sur-Sèvre (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Cholet (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Mortagne-sur-Sèvre | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Saint-Laurent-sur-Sèvre est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Le territoire municipal de Saint-Laurent-sur-Sèvre s'étend sur 1 549 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 149 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 98 et 199 mètres[1],[2].
La commune est située dans la Vendée à la limite des Deux-Sèvres et du département de Maine-et-Loire dans un triangle formé des 3 villes de Cholet, Les Herbiers et Bressuire. Elle est traversée par la Sèvre nantaise.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Saint-Laurent-sur-Sèvre est desservie en autocars par le réseau Tréma (ligne 103).
Généralités
[modifier | modifier le code]Au cœur du bocage vendéen, à 10 km du Puy-du-Fou, Saint-Laurent-sur-Sèvre doit son nom de « ville sainte de la Vendée » à Louis-Marie Grignion de Montfort. Quelque 25 000 visiteurs par an, comme Jean-Paul II en 1996, viennent se recueillir sur son tombeau dans la basilique. On compte aussi à Saint-Laurent 2 500 élèves dont 1 300 internes au sein de l'ensemble scolaire Saint-Gabriel - Saint Michel. Il y a 6 communes différentes à proximité.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 773 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cholet à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Laurent-sur-Sèvre est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Laurent-sur-Sèvre[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (31,7 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), terres arables (23,7 %), zones urbanisées (14 %), forêts (5,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Une grande partie du territoire de la paroisse de Saint-Laurent constituait jadis une seigneurie portant ce nom. Le siège primitif de cette seigneurie devait se situer dans un manoir à l'emplacement du presbytère actuel. Sous l'Ancien Régime, le domaine comprenait divers droits seigneuriaux, un grand bois, un moulin, un étang, des maisons dans le bourg et cinq métairies : le Bois Chabot Grolleau, le Gast, la Péardière, la Boisvinière, la Petite Yvoie. La seigneurie était possédée à l'origine par un fidèle vassal du baron de Mortagne, lui-même vassal du vicomte de Thouars et enfin du comte de Poitou. Au XIe siècle, il s'agissait de la famille Chabot (grosse tête). Au XIVe siècle, le baron de Mortagne posséda le domaine de Saint-Laurent en direct et jusqu'à la Révolution, laissant progressivement se dégrader le manoir. Au XVIIIe siècle, le baron vendit des métairies et même le manoir de Saint Laurent qui devint le presbytère après des travaux.
D'autres fiefs existaient sur la paroisse : on retiendra la Grande Vergnaie, la Barbinière, la Maltière et la Barre. Une partie du territoire constituant la Grande Vergnaie se trouvait sur les marches Anjou-Poitou. Pour la partie poitevine, le possesseur devait rendre hommage au baron de Mortagne. Si la Barbinière prit de l'importance aux XVIIIe et XIXe siècles, il ne s'agissait pourtant pas à l'origine d'une importante seigneurie. Toutefois, les familles d'Espinasseau et Sapinaud de Bois-Huguet choisirent de s'y installer dans un château. Progressivement, à la faveur de mutations foncières, ils se constituèrent une propriété autour du vieux logis. En 1893, le marquis Albert-Charles-François d'Aviau de Piolant y construisit un château dans le style néo-gothique en vogue à cette époque.
Après la création du diocèse de La Rochelle en 1648, Saint-Laurent-sur-Sèvre devient le siège d'un des deux doyennés dans l'archidiaconé de Fontenay-le-Comte.
Pendant la Révolution française, les prêtres et les missionnaires refusèrent de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Située au cœur de la région vendéenne en rébellion, la commune devint le centre religieux de cette insurrection. Guyot de Folleville, surnommé le faux évêque d'Agra, y séjourna à plusieurs reprises. Après la défaite de Cholet, les troupes républicaines menèrent plusieurs incursions meurtrières dans le bourg, de janvier à mars 1794. Au XIXe siècle, les communautés montfortaines connurent une expansion significative sous la direction du père Gabriel Deshayes[15].
Depuis le , le contour du territoire municipal n’a pas évolué. En effet, par ordonnance de ce jour de Louis-Philippe datée du palais des Tuileries[a], la commune est agrandie d’une exclave de Treize-Vents. En 1867, la création de la blanchisserie Saint Joseph marque le début de l'industrialisation.
Au XXe siècle, la ville de Saint-Laurent-sur-Sèvre accueille plusieurs grands rassemblements, notamment en faveur de l'enseignement libre en 1925, 1947 et 1950. En 1947, des célébrations importantes ont lieu à l'occasion de la canonisation de Louis-Marie Grignion de Montfort, suivies en 1993 par la béatification de Marie-Louise Trichet, première supérieure de l'ordre de la Sagesse. Le 19 septembre 1996, le pape Jean-Paul II visite la basilique de Saint-Laurent-sur-Sèvre pour se recueillir sur le tombeau de Louis-Marie Grignion de Montfort[15].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
D'azur à la croix d'or mouvant d'une plaine ondée de sable, cantonnée au premier d'une fleur de lys d'or, au deuxième d'un gril du même la poignée vers le chef, au troisième d'un sautoir aussi d'or chargé de cinq losanges de gueules posées à plomb, au quatrième de trois étoiles d'or, au double cœur vidé, couronné et croiseté de gueules, brochant en abîme.
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Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2021, la commune comptait 3 664 habitants[Note 3], en évolution de +1,58 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,1 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 734 hommes pour 1 886 femmes, soit un taux de 52,10 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Éducation
[modifier | modifier le code]Institution Saint-Gabriel
[modifier | modifier le code]L'institution privée catholique collège-lycée Saint-Gabriel a été fondée en 1838 par les frères du même nom. Avec 930 internes, pour un total de 2 200 élèves, cet établissement est l'un des plus grands internats de France. Les élèves viennent de tout le pays, quelquefois de l'étranger. L'institution s'étend sur près de 19 ha et permet aux élèves de pratiquer de nombreuses activités sportives : rugby, golf, etc. Depuis , les bâtiments accueillent l'ensemble des niveaux allant de la 6e au BTS.
Quelques-uns de ses anciens élèves sont devenus célèbres : Jamy Gourmaud (présentateur de l'émission C'est pas sorcier) ou encore Bruno Retailleau (sénateur de la Vendée).
Institution Saint-Michel
[modifier | modifier le code]L'institution Saint-Michel a été liée il y a peu avec Saint-Gabriel pour une meilleure complémentarité. Il faut savoir qu'à l'origine Saint-Gabriel était destiné aux garçons et Saint-Michel aux filles, la mixité étant assez récente (2000). Saint-Michel a aussi un passé prestigieux. Ce collège-lycée privé catholique a longtemps dispensé un enseignement rigoureux. Ce fut l'un des meilleurs internats pour filles de France d'où sont sorties les célèbres sœurs Favreau. Jusqu'en , l'établissement accueillait les élèves de 6e, 5e ainsi que la filière professionnelle coiffure et esthétique.
Unité fonctionnelle scolaire de l'institut Saint-Gabriel
[modifier | modifier le code]Œuvre de l'architecte choletais Francis Pierrès[30], inaugurée le , elle a pour fonction la restauration collective des élèves de l'institut Saint-Gabriel et compte des salles de permanence, un foyer, etc.
Officiellement labellisé « patrimoine du XXe siècle » par décision du préfet de région des Pays de Loire en date du [31] au nom du gouvernement français ; la plaque apposée sur le monument est dévoilée en .
Elle développe sur deux niveaux quelque 2 000 m2 pour chacun, avec une ossature en béton à nu, d'inspiration « brutaliste », de vastes baies vitrées donnant sur la vallée de la Sèvre nantaise et un « jeu de mikado de poutrelles béton », en débord des façades.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Ouvrages d'art
[modifier | modifier le code]Édifices religieux
[modifier | modifier le code]Saint-Laurent possède une basilique, la Basilique Saint-Louis-Marie-Grignion-de-Montfort[32] abritant le tombeau de saint Louis Marie Grignon de Montfort, fondateur d'écoles charitables. En 1996, Jean-Paul II y vint en pèlerinage, honorer l'apôtre de Marie. Les maisons mères des filles de la Sagesse, des pères missionnaires montfortains et des frères de Saint-Gabriel se sont établies près de l'endroit où repose leur fondateur. C'est la famille Montfortaine. Cette spécificité a donné à ce village cinq églises, chapelles et oratoires.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, né le à Montfort-sur-Meu, est mort le à Saint-Laurent-sur-Sèvre. Il fut béatifié en 1888 et canonisé par le pape Pie XII en 1947. À sa suite, de nombreuses congrégations vont voir le jour comme la Compagnie de Marie, les Filles de la Sagesse et les frères de Saint-Gabriel. Le , le pape Jean Paul II est venu en pèlerinage à Saint-Laurent-sur-Sèvre. Après s’être adressé à la population et aux jeunes dans la communauté de la Sagesse, le Très Saint Père est allé se recueillir à la basilique sur le tombeau de saint Louis-Marie Grignion de Montfort. À plusieurs reprises, le Saint Père a expliqué le lien qui l’unit à Montfort : la lecture du Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge Marie de Grignion de Monfort a marqué dans sa vie un tournant décisif, qui a coïncidé avec sa préparation clandestine au sacerdoce. À l'issue des vêpres, le Très Saint Père s’est adressé aux 1 200 religieux et religieuses rassemblés dans la basilique.
- Marie-Louise Trichet, fondatrice d'établissements charitables à la suite de saint Louis-Marie Grignion de Montfort, béatifiée en 1993 par le pape Jean-Paul II, morte à Saint-Laurent-sur-Sèvre le .
- Ménie Grégoire, journaliste, a passé son enfance dans le moulin de Plassard.
- André Méric (1900-1971), sculpteur, a vécu de 1960 à 1971 à Saint-Laurent-sur-Sèvre et y est inhumé.
- Moïse Poirier (1901-1967) inventeur à l'initiative du Monte-vite en 1946, entreprise reprise après 1967 par la société Gebo Cermex du Groupe Sidel[33].
- Olivier Maire (1960-2021), prêtre catholique et supérieur provincial de la congrégation des Missionnaires montfortains, assassiné à Saint-Laurent-sur-Sèvre le 9 août 2021.
- Louise Maraval (née en 2001), athlète spécialiste du 400 m haies, s'est entrainée à l'Entente Sèvre, le club local, de ses 10 à 18 ans[34].
Annexes
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]En 2013 dans le cadre du Festival de Poupet, Saint-Laurent-sur-Sèvre a accueilli le concert d'Elton John et de David Guetta au château de La Barbinière. En 2014, c'est Stromae qui est programmé dans le parc du château par le festival. Pour la 30e édition en 2016, le festival vendéen revient au château pour deux soirées, le concert de Les Insus ? puis celui de Indochine deux jours plus tard.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Vendée
- Frère M. Guillaume (Pierre Perrocheau), Distillerie Saint-Gabriel, 1887-1904, Maison Pailloncy, 1905-1922, 82 pages, Imprimerie Verrier, Les Herbiers, 1982.
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- L’ordonnance du précise :
« Ordonnance du roi. Louis-Philippe, roi des Français, à tous présents et à venir, salut.
Sur le rapport de notre ministre secrétaire d’État au département de l’Intérieur ;
Le comité de l’Intérieur de notre Conseil d’État entendu,
Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit :
Article 19. — L’enclave désignée sur le plan ci-annexé par la lettre A est distraite de la commune de Treize-Vents, arrondissement de Bourbon-Vendée, département de la Vendée, est réunie à la commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre, même arrondissement, où elle sera exclusivement imposée à l’avenir. En conséquence la limite entre les communes de Saint-Laurent-sur-Sèvre et la commune de Saint-Hilaire-de-Mortagne et La Chapelle-Largeault, département des Deux-Sèvres, est fixée dans la direction audit plan par la ligne brisée teinte en vert BCDE. »
- Autres notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Commune 16458 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « Saint-Laurent-sur-Sèvre », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Laurent-sur-Sèvre et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Laurent-sur-Sèvre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cholet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Patrimoine historique », sur Mairie de Saint-Laurent-sur-Sèvre (consulté le )
- Avis d'obsèques du paru dans Ouest-France.
- « L'au revoir des Saint-Laurentais à M. Joseph Raymond, maire », Ouest-France, .
- « St-Laurent-sur-Sèvre : M. Joseph Raymond, réélu maire », Ouest-France, .
- « Mme Monique Lepagnol élue maire de Saint-Laurent », Ouest-France, .
- « Saint-Laurent-sur-Sèvre. Le maire, Guy-Marie Maudet ne se représente pas : Après trente et un an d’engagement municipal, dont dix-neuf à la tête de la commune, Guy-Marie Maudet, 66 ans, passe le relais avec le sentiment du devoir accompli. », Ouest-France, (lire en ligne)
- [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
- « Saint-Laurent-sur-Sèvre. Un premier mandat de maire pour Éric Couderc : Mardi, la nouvelle équipe municipale composée de vingt-sept membres, a élu Eric Couderc en qualité de maire. Il est secondé par six adjoints. », Ouest-France, (lire en ligne)
- Le Bureau, sur paysdemortagne.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre (85238) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
- Architecte notamment de la mairie de Cholet dite « la machine à écrire » et de la Caisse primaire d'Assurance maladie. Il est mort le 28 décembre 2013 à 86 ans. Il est également l'auteur d'une maison à Beaupréau, qui a été labellisée « Patrimoine XXe siècle ».
- « Label patrimoine XXe siècle », sur Ministère de la culture, .
- Arnold Suhardi SMM, « La construction - Basilique Saint Louis-Marie Grignion de Montfort »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur basiliquemontfort.com (consulté le ).
- Fabien Leduc, « Cholet. Le déménagement de L’Abeille ravive les souvenirs d’une époque dorée », sur ouest-france.fr, Courrier-de-l'Ouest, (consulté le ).
- "JO 2024 - Athlétisme. Louise Maraval : « On peut être bon en sortant d’un petit club »" par Gildas Crozon, Le Courrier de l'Ouest, 5 aout 2024