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Resona Holdings

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Resona Holdings
logo de Resona Holdings
illustration de Resona Holdings

Création et Voir et modifier les données sur Wikidata
Forme juridique Kabushiki gaisha et société anonyme avec appel public à l'épargneVoir et modifier les données sur Wikidata
Action Bourse de Tokyo (8308)[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège social KōtōVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité BanqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Filiales Resona Bank (d)
Saitama Resona Bank (d)
Kansai Mirai Financial Group (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.resona-gr.co.jp
www.resona-gr.co.jp/index.htmlVoir et modifier les données sur Wikidata

Resona Holdings, Inc. est une banque japonaise issue en 2003 de la fusion de Daiwa Bank et de Asahi Bank. Elle fait partie de l'indice TOPIX 100.

Resona a été créée sous le nom de Osaka Nomura Bank en 1918. Cette entité a servi de branche financière d'un groupe fondé par Tokushichi Nomura. Ses activités de courtage en valeurs mobilières se sont séparées en 1925 pour former Nomura Securities Co. (NSC), devenue Nomura Holdings. L'activité bancaire a été rebaptisée The Daiwa Bank en 1948, après la Seconde Guerre mondiale. Elle a été l'une des seules grandes banques à offrir des services bancaires et fiduciaires dans l'après-guerre. Le groupe Resona a été formé, en , par la fusion des banques Daiwa et Asahi et de deux autres banques régionales. A l'époque, les analystes avaient émis des doutes sur la pérennité de l'ensemble issu de cette fusion. Et dès 2003, Le gouvernement japonais a été amené à injecter 2 000 milliards de yens dans l'établissement financier, devenu le cinquième établissement financier du pays[2].

En , SMFG annonce la fusion de ses activités de banque régionale avec Resona Holdings[3].

Condamnation

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En 1995, la banque est condamnée à une amende de 340 millions de dollars après avoir plaidé coupable de 16 infractions criminelles. Elle est reconnue coupable de fraude en bande organisée de dissimulation de crime, de falsifications de ses comptes, de faux et usage de faux et d'obstruction à un audit bancaire[4].

Références

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  1. « http://www.resona-gr.co.jp/holdings/investors/faq/stock.html »
  2. Philippe Pons, « La banque japonaise Resona est quasiment nationalisée », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  3. Japan's SMFG, Resona agree to combine three regional lenders, Thomas Wilson and Taiga Uranaka, Reuters, 3 mars 2017
  4. Frank Browning et John Gerassi, Histoire criminelle des États-Unis, Nouveau monde, , p. 10

Liens externes

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