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Michel Bouquet

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Michel Bouquet
Michel Bouquet en 2010.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière d'Étais-la-Sauvin (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Michel François Pierre Bouquet
Nationalité
Formation
Activités
Période d'activité
Conjoints
Ariane Borg (de à )
Juliette Carré (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Taille
1,72 mVoir et modifier les données sur Wikidata
Labels
Distinctions
Films notables

Michel Bouquet est un acteur français, né le dans le 14e arrondissement de Paris et mort le dans le 18e arrondissement de Paris.

Très actif au théâtre, il collabore avec le TNP de Jean Vilar et le premier Festival d'Avignon, mais également avec des metteurs en scène aussi divers que Jean Anouilh, Claude Régy, Jean-Louis Barrault ou Michel Fau. Au cinéma, il joue pour plusieurs générations de cinéastes, parmi lesquels Robert Guédiguian, Anne Fontaine, Bertrand Blier, ainsi qu'Abel Gance, Henri-Georges Clouzot, Jean Grémillon, Henri Verneuil ou encore Claude Chabrol et François Truffaut.

Michel Bouquet est considéré comme l'un des comédiens français les plus importants. Il a obtenu à deux reprises le César du meilleur acteur (en 2002 et 2006) ainsi que deux fois le Molière du comédien (en 1998 et 2005) pour sept nominations. En 2014, Fabrice Luchini lui remet un Molière d'honneur.

Enfance, formation et débuts

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Michel Bouquet naît le dans le 14e arrondissement de Paris. Il est le benjamin d'une famille de quatre garçons[1].

Fils d'un chef comptable à la préfecture de police de Paris, rescapé de la Première Guerre mondiale[1], et petit-fils d'un cordonnier, Michel Bouquet est envoyé à l’âge de 7 ans en pension à l'école Fénelon de Vaujours avec ses trois frères, expérience difficile qui marque cet enfant réservé qui doit affronter la cruauté de ses camarades[1]. Après ses études, il enchaîne divers métiers : apprenti pâtissier, mécanicien-dentiste, manutentionnaire, employé de banque… pour aider sa mère, modiste, restée seule pour élever ses enfants, son père étant prisonnier au début de la Seconde Guerre mondiale. Passionnée de théâtre, de cinéma et de musique, elle fait découvrir à son fils les salles de spectacle de la capitale[1].

Michel Bouquet en 1943 (photo studio Harcourt).

En 1943, alors que sa mère le croit à la messe, Michel Bouquet se rend chez Maurice Escande, sociétaire de la Comédie-Française, qui lui propose de suivre ses cours[1]. Intégrant le Conservatoire d'art dramatique de Paris en compagnie de Gérard Philipe, il sera un compagnon de la première heure de Jean Anouilh et André Barsacq au théâtre de l'Atelier, puis de Jean Vilar au TNP et au Festival d'Avignon[2]. Il débute sur les planches en 1944 dans La Première Étape, puis obtient son premier rôle principal dans Roméo et Jeannette de Jean Anouilh.

Carrière au théâtre

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Michel Bouquet a marqué le théâtre, en participant notamment aux créations des pièces d'Albert Camus et de Jean Anouilh, à l'introduction en France de l'œuvre de Harold Pinter, et en reprenant souvent quelques grands rôles du répertoire classique. Ainsi a-t-il interprété à plusieurs reprises Le Neveu de Rameau de Diderot, L'Avare et Tartuffe de Molière (Globe de cristal du meilleur comédien en 2018), ou encore Le roi se meurt d'Eugène Ionesco, rôle qui lui vaut son second Molière du comédien lors de sa reprise en 2005.

Parmi ses prestations les plus remarquées, on peut citer En attendant Godot en 1978 et Fin de partie en 1995 de Samuel Beckett, Le Neveu de Rameau en 1984, La Danse de mort de Strindberg également en 1984, Le roi se meurt en 1994, Les Côtelettes de Bertrand Blier (pour laquelle il reçoit son premier Molière du comédien) en 1997, Avant la retraite de Thomas Bernhard en 1998 ou encore À torts et à raisons de Ronald Harwood en 2000.

En 1977, il est nommé professeur au Conservatoire national supérieur d'art dramatique[3].

Il reçoit le Molière d'honneur en 2014 pour l'ensemble de sa carrière.

Carrière au cinéma

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Michel Bouquet fait sa première apparition au cinéma dans Monsieur Vincent de Maurice Cloche en 1947, aux côtés de Pierre Fresnay et Jean Carmet.

Il alterne théâtre et cinéma tout en affirmant préférer les planches à l'écran. Il s'est notamment fait connaître par ses interprétations de bourgeois typique des années 1970 dans l'œuvre de Claude Chabrol et de François Truffaut, sans hésiter à endosser des rôles antipathiques, à jouer des personnages équivoques, sombres, énigmatiques[4]. Sa silhouette ronde, son visage d’ascète et sa voix grave lui confèrent singularité et profondeur. Il illustre l'étendue de son talent aussi bien dans la comédie que dans le drame. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands acteurs français.

Chez François Truffaut, il est Comolli, le détective privé assassiné par Jean-Paul Belmondo dans La Sirène du Mississipi (1969) et l'une des victimes de Jeanne Moreau dans La mariée était en noir. Pour Chabrol, il a joué le mari trompé par Stéphane Audran dans La Femme infidèle, suivi par un rôle de beau-père méchant toujours avec Audran dans La Rupture. Dans les années 1970, Bouquet est le flic vengeur qui se perd, confronté à un système policier en pleine déliquescence, dans Un condé (1970) d'Yves Boisset, puis un flic obstiné qui terrorise Alain Delon dans Deux hommes dans la ville (1972), candidat aux élections législatives dans Défense de savoir (1973) de Nadine Trintignant, le patron de presse hospitalisé qui est entouré par Claude Jade dans Les Anneaux de Bicêtre (1976), mais il est aussi dans la même année le redoutable milliardaire dans la comédie Le Jouet de Francis Veber. Dans cette décennie il a joué deux rôles sombres pour André Cayatte, dans Il n'y a pas de fumée sans feu et La Raison d'État. Autre film au sujet politique est L'Attentat d'Yves Boisset.

Dans les années 1980, il incarne un notaire pourri et l'ennemi de Stéphane Audran dans Poulet au vinaigre (1985), encore chez Chabrol. Il a endossé en 1982 le rôle de Javert dans Les Misérables, version de Robert Hossein (avec Lino Ventura en Jean Valjean et Jean Carmet en Thénardier), et avec un tel talent que nombre d'hugoliens considèrent cette interprétation comme l'incarnation même de Javert. Il a joué également dans de nombreuses séries et téléfilms, notamment dans Les Cinq Dernières Minutes avec Raymond Souplex, ou dans Maigret avec Bruno Cremer.

Dans les années 1990, il est pour Alain Corneau le peintre Lubin Baugin dans Tous les matins du monde, suivi vingt ans après par le peintre Auguste Renoir dans Renoir (2012). À propos du jeu précis de Michel Bouquet en tant qu'acteur de cinéma, Claude Jade, sa partenaire dans Les Anneaux de Bicêtre, écrit dans son livre Baisers envolés : « Michel Bouquet est d'une précision extrême et ne laisse rien au hasard. Je suis très impressionnée par sa concentration et sa capacité de travail ; il se prépare parfaitement à ce rôle de magnat de la presse subitement frappé d'hémiplégie et d'aphasie après une attaque cérébrale. Il ne dira son texte qu'en voix off. Quand arrive le tournage, rien ou presque n'est semblable à ce que nous avions imaginé ; les bruits extérieurs sont déroutants, l'agencement de la chambre d'hôpital, reconstituée dans une maison, est différent. Pourtant, grâce à tout ce travail préalable, Michel Bouquet s'adapte, faisant parfois même le contraire de ce qu'il avait prévu, et il est superbe. Et il est un homme d'une parfaite courtoisie[5] ».

À partir des années 2000

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Michel Bouquet reçoit le César du meilleur acteur en 2002 pour son rôle de père qui revient bouleverser la vie de son fils dans Comment j'ai tué mon père d'Anne Fontaine. Il remporte à nouveau cette récompense quatre ans plus tard pour son interprétation de François Mitterrand dans Le Promeneur du Champ-de-Mars de Robert Guédiguian. Il devait tourner le film Le Goût des myrtilles avec Marie Otal, qui devait jouer son amante, mais celle-ci meurt le à Bruxelles, peu de temps avant le tournage[réf. nécessaire]. Il cède sa place à Michel Piccoli.

Le , il annonce qu'il renonce à se produire sur scène[6], mais continue néanmoins à participer à des productions de films pour le cinéma ou la télévision. Toutefois, en 2013-2014, il reprend Le roi se meurt, puis en 2015-2016 À torts et à raisons de Ronald Harwood[7],[8] et en 2017, à l'âge de 91 ans, Le Tartuffe de Molière, dans une mise en scène de Michel Fau[9].

Vie privée

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Michel Bouquet rencontre en 1945 Ariane Borg (1915-2007), elle-même comédienne. Il l'épouse en 1954 et la quitte en 1967. Il se marie en 1970 avec Juliette Carré, qui a été sa partenaire sur scène plusieurs fois[10]. Il n'a pas de lien de parenté avec la comédienne Carole Bouquet[1].

Au cours d'une interview, il déclare : « Je suis un anarchiste calme », voulant ainsi éclairer malicieusement l'image que les médias donnent de lui, celle d'une personne calme, voire austère, autant par son physique que par son langage, destiné le plus souvent à représenter la loi et l'autorité.

En , à la suite de la démission de Nicolas Hulot, il signe la tribune contre le réchauffement climatique intitulée « Le plus grand défi de l'histoire de l'humanité », qui paraît en « une » du journal Le Monde avec pour sous-titre « L'appel de 200 personnalités pour sauver la planète »[11].

Michel Bouquet meurt le à l'âge de 96 ans, à l'hôpital Bretonneau[1],[12],[13],[14], dans le 18e arrondissement de Paris[15]. De nombreux hommages lui sont rendus par ses pairs, comme Carole Bouquet, Fabrice Luchini ou Alain Delon[16].

Ses obsèques se tiennent dans la plus stricte intimité à l'église d'Étais-la-Sauvin, dans l'Yonne, quelques jours plus tard. Il est inhumé dans le caveau de famille de sa dernière épouse au cimetière communal[17].

Un hommage national aux Invalides lui est rendu le , présidé par Emmanuel Macron, qui a évoqué la perte d'un « monstre sacré »[18]. De nombreux anonymes et personnalités y assistent, dont Fabrice Luchini, Muriel Robin et Pierre Arditi qui prennent la parole chacun leur tour, tous trois ayant bien connu le comédien. Les acteurs Kad Merad, Catherine Frot, Francis Huster, Julie Gayet ou encore le réalisateur Costa-Gavras répondent à l'appel également.

Le Malade imaginaire en 2009 au théâtre de la Porte-Saint-Martin.
  • 2001 : À torts et à raisons de Ronald Harwood, mise en scène Marcel Bluwal, théâtre des Célestins : Wilhelm Furtwängler
  • 2002-2003 : Minetti de Thomas Bernhard, mise en scène Claudia Stavisky, théâtre des Célestins, Festival d'Avignon, théâtre de la Ville : Minetti
  • 2004-2006 : Le roi se meurt d'Eugène Ionesco, mise en scène Georges Werler, théâtre Hébertot, théâtre des Célestins : Bérenger Ier
  • 2007-2008 : L'Avare de Molière, mise en scène Georges Werler, théâtre de la Porte-Saint-Martin, tournée : Harpagon
  • 2008-2009 : Le Malade imaginaire de Molière, mise en scène Georges Werler, théâtre de la Porte-Saint-Martin, tournée : Argan
  • 2010-2014 : Le roi se meurt d'Eugène Ionesco, mise en scène Georges Werler, comédie des Champs-Élysées, tournée, théâtre des Nouveautés, théâtre Hébertot : Bérenger Ier
  • 2015-2016 : À torts et à raisons de Ronald Harwood, mise en scène Georges Werler, tournée, théâtre Hébertot : Wilhelm Furtwängler
  • 2017 : Le Tartuffe de Molière, mise en scène de Michel Fau, théâtre de la Porte-Saint-Martin : Orgon

Les trois pièces avec Michel Bouquet filmées intégralement pour la télévision sont :

Filmographie

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Longs métrages

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Courts et moyens métrages

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Documentaires

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  • 1953 : Peter Bruegel l'Ancien, court métrage documentaire d'Edmond Lévy, Arcady Brachlianoff et Gilbert Pignol : narrateur
  • 1955 : Visages de Paris, court-métrage documentaire de François Reichenbach : narrateur
  • 1956 : Nuit et Brouillard d'Alain Resnais : narrateur
  • 1956 : Magirama, segment Auprès de ma blonde d'Abel Gance
  • 1956 : Novembre à Paris, court-métrage de François Reichenbach : narrateur
  • 1958 : Les Icônes : Présence de l'invisible, court métrage de Jean-Claude Sée : narrateur
  • 1958 : Images des mondes perdus, court métrage de Philippe Lifchitz : narrateur
  • 1959 : Les Peintres romans, court métrage documentaire d’Édouard Logereau : narrateur
  • 1971 : Le Bonheur dans 20 ans, court métrage d'Albert Knobler : narrateur
  • 1974 : Le Volet, court métrage documentaire de Carlos Vilardebó : narrateur
  • 1976 : Métamorphose, court métrage de Pierre de Roubaix : narrateur
  • 1976-1987 :
    • Reims, cathédrale du sacre, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Paris, arche du temps, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Delphes, nombril du monde grec, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Le Serpent à plumes et les Peuples du cinquième soleil, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Versailles, le palais temple du roi soleil, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Le Mont Saint-Michel et l'archange lumière, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Teotihuacan, capitale mythique du Mexique ancien, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Égypte, miroir du ciel, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Le Pharaon, roi prêtre de l'ancienne Égypte, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Le Temple grec, berceau du monde moderne, court métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur
    • Notre-Dame de Paris, rosace du monde, moyen métrage documentaire de Paul Barba-Negra : narrateur

Télévision

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Téléfilms

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Séries télévisées

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Documentaires

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Discographie

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Michel Bouquet a également donné des cours et des lectures qui ont été enregistrés et ultérieurement rendus disponibles sur disque :

Par ailleurs, Michel Bouquet a participé à l'enregistrement d'extraits du Misanthrope de Molière (rôle de Philinte) pour les Sélections sonores Bordas.

Il a également enregistré en livre audio Les Mots de Jean-Paul Sartre en 1995 chez Audilivre.

Distinctions

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Décorations

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Récompenses

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Michel Bouquet au déjeuner des nommés des César du cinéma 2014.
  • Prix du Syndicat de la critique 1976 : Meilleur comédien pour Monsieur Klebs et Rozalie
  • Coup de cœur Parole Enregistrée et Documents Sonores 2019 de l’Académie Charles-Cros pour la lecture de Jean de La Fontaine – sélection de Fables et extrait du Songe de Vaux, proclamé le 15 septembre 2019 au Jardin du musée Jean-de-La-Fontaine à Château-Thierry[36]

Nominations

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  • Molières 2016 : Molière du comédien dans un spectacle de théâtre privé pour À torts et à raisons

Publications

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Notes et références

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  1. a b c d e f et g Jean-Luc Douin et Fabienne Darge, « L’acteur Michel Bouquet est mort », sur Le Monde.fr, (consulté le ).
  2. « Avignon : il y aura bien un festival, au Palais ! », sur LaProvence.com, (consulté le ).
  3. Ses cours au conservatoire sont disponibles en CD.
  4. Armand Hennon. François Truffaut, la passion des seconds rôles : 100 portraits d’acteurs et d’actrices. Lett Motif, 2024 (ISBN 9782367164335), pp. 91-93.
  5. « Michel Bouquet : “Le plus important est le personnage. Je ne dois pas m’en servir mais le servir.” », sur Léléphant - La revue de culture générale, (consulté le ).
  6. Le Figaro, « À 93 ans, Michel Bouquet annonce qu’il ne remontera pas sur scène », Le Figaro.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. « Arts et scènes : l'actu du théâtre, des critiques d'expositions et de spectacles », sur Télérama (consulté le ).
  8. « “Je garde le parfum du travail et ça suffit à mon bonheur” : Michel Bouquet sur le temps qui passe », sur Franceinfo, (consulté le ).
  9. « Le Tartuffe voluptueusement chrétien de Michel Fau et Michel Bouquet », sur Franceinfo, .
  10. Michael Markus Mvondo, « Michel Bouquet (Les Misérables) : à 94 ans, il peut compter sur sa femme et sa famille », sur amomama.fr, (consulté le ).
  11. « “titre=“Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité” : l’appel de 200 personnalités pour sauver la planète », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Mort du comédien Michel Bouquet à l'âge de 96 ans », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  13. AFP, « Le comédien Michel Bouquet est mort à l’âge de 96 ans », sur Le Parisien.fr, (consulté le ).
  14. Armelle Héliot, « Michel Bouquet, mort d'un roi », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  15. Insee, « Extrait de l'acte de décès de Michel François Pierre Bouquet », sur MatchID
  16. « Luchini, Berling, Arditi, Fau, Huster… Ils pleurent Michel Bouquet, un “acteur de génie” », sur LEFIGARO, (consulté le )
  17. Cimetières de France et d'ailleurs
  18. « Mort de Michel Bouquet : un hommage national aura lieu le 27 avril aux Invalides », sur Franceinfo, (consulté le )
  19. Fils de l'écrivain Paul Géraldy. Cf. Claude Géraldy sur data.bnf.fr
  20. Première Étape, mise en scène de Jean-Jacques Daubin : recueil de presse, (lire en ligne).
  21. Michel Bouquet, Michel Bouquet raconte Molière, Paris, Philippe Rey, , 185 p. (ISBN 978-2-84876-638-6)
    « Mon premier rôle dans Le Tartuffe fut le Damis et il m'a causé beaucoup de difficultés. J'étais très jeune, j'avais 19 ans, on était à la fin de l'Occupation. » (p. ?). La notice de l'éditeur mentionne que « depuis son apparition dans Le Tartuffe en 1944, Michel Bouquet n'a plus quitté le répertoire de Molière ».
  22. « Danton de Romain Rolland [Document d'archives] », sur catalogue.bnf.fr
  23. « Disparition de Michel Bouquet | Maison Jean Vilar », sur maisonjeanvilar.org (consulté le )
  24. « YERMA », sur www.regietheatrale.com (consulté le )
  25. Élisabeth Perrin, « Michel Bouquet amoureux de l'Italie », sur lefigaro.fr, TVMag, (consulté le ).
  26. Voyage d'hiver : Michel Bouquet.
  27. « Michel Bouquet : “J'entre en scène et j'ai peur…” » sur télérama.fr.
  28. « Ma vie dessinée », sur Télé-Loisirs (consulté le ).
  29. Décret du 13 juillet 2018 portant élévation à titre exceptionnel à la dignité de grand-croix.
  30. [1]
  31. Décret du 3 avril 1996 portant promotion et nomination
  32. Décret du 13 juillet 2007 portant promotion
  33. Décret du 12 juillet 2013 portant élévation aux dignités de grand-croix et de grand officier.
  34. Biographie de Michel Bouquet en ligne in Who's who in France
  35. « Distinctions accordées par La Renaissance Française - Promotion du 15 mai 2019 », sur La Renaissance française, (consulté le ).
  36. « Coup de coeur Parole Enregistrée et Documents Sonores 2019 », sur Académie Charles-Cros (consulté le ).
  37. Jean-Jacques Vincensini sur cnrs.fr.

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Articles connexes

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Liens externes

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