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Michael Bay

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Michael Bay
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Michael Bay le 7 février 2008.
Nom de naissance Michael Benjamin Bay
Naissance (59 ans)
Los Angeles, (Californie, États-Unis)
Nationalité Américaine
Profession Réalisateur
Producteur
Acteur
Films notables Bad Boys (saga)
Rock
Armageddon
Pearl Harbor
The Island
Transformers (saga)
No Pain No Gain
Ambulance
Site internet www.michaelbay.com

Michael Bay [ˈmaɪkəl beɪ][1], né le à Los Angeles, (Californie, États-Unis), est un réalisateur, producteur et acteur américain.

Après une carrière productive dans la réalisation de clips musicaux, il se lance dans la réalisation de films en commençant par Bad Boys, puis continue avec Armageddon, Pearl Harbor, 13 Hours, jusqu'à réaliser la saga Transformers qui lui assure un énorme succès[2].

Spécialiste du blockbuster hollywoodien, notamment dans le genre du film d'action et du film catastrophe, son style est marqué par l'utilisation importante d'effets spéciaux et par un montage dynamique (plans courts, travellings circulaires). La plupart de ses films font recettes au box-office malgré le désamour global de la critique[3],[4].

Il est cofondateur de la maison de production commerciale de l'Institut, The Institute for the Development of Enhanced Perceptual Awareness. Il est le cofondateur et copropriétaire de la maison d'effets spéciaux Digital Domain.

Il est aussi copropriétaire de Platinum Dunes, une maison de production qui a servi à réamorcer des sagas de films d'horreur culte comme Vendredi 13, Massacre à la tronçonneuse et Freddy : Les Griffes de la nuit.

Né le 17 février 1965, Michael Benjamin Bay a grandi à Los Angeles, en Californie, au sein d'une famille adoptive.

Il effectue sa scolarité à la Crossroads School for Arts & Sciences à Santa Monica, un établissement réputé pour accueillir les enfants des élites d'Hollywood.

Par la suite, il poursuit ses études à l'université Wesleyan de Middletown, dans le Connecticut, où il obtient son diplôme en 1986. Durant son passage à Wesleyan, il devient membre de la fraternité Psi Upsilon.

Malgré son désir de continuer ses études, Michael Bay essuie plusieurs refus, notamment de l'université de Californie du Sud. Il choisit alors de se tourner vers des études de cinéma et intègre l'Art Center College of Design de Pasadena pour approfondir cette discipline.

Premiers projets

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Diplômé, Michael Bay se lance, avec l'aide de Kirk Skinner (un ami de lycée), qui l'introduit dans l'industrie de la musique et de la vidéo. Il travaille auprès d'artistes tels que Meat Loaf, Richard Marx, Donny Osmond, Lionel Richie et Tina Turner.

Il intègre la société de production et de distribution Propaganda Films et réalise des vidéos pour la télévision, des publicités et des clips vidéo pour de grandes entreprises, telles que Nike, Reebok, Budweiser et Coca-Cola.

Sa première publicité nationale, un vidéoclip pour la Croix-Rouge, remporte un Clio Award en 1992. La plus appréciée de ses publicités est la série Got Milk?, qui lui vaut le Grand Prix Clio Award for Commercial of the Year. Beaucoup considèrent cependant que c'est le clip de I'd Do Anything for Love (But I Won't Do That) de Meat Loaf qui a ouvert les portes du cinéma à Michael Bay.

Années 1990

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Le succès des vidéoclips de Michael Bay attire l'attention des producteurs Jerry Bruckheimer et Don Simpson, qui le choisissent pour réaliser Bad Boys, son premier long-métrage. Le film, tourné à Miami en 1994, met en scène Will Smith et Martin Lawrence. C'est un succès, avec 141 millions de dollars de recettes: un profit énorme pour les producteurs et le distributeur, Columbia Pictures. Ce succès de Bay engendre un partenariat et une amitié solide avec Jerry Bruckheimer.

Son deuxième long-métrage est Rock, en 1996 : un film d'action ayant pour cadre l'île d'Alcatraz, dans la baie de San Francisco. Il met en vedette Sean Connery, Nicolas Cage et Ed Harris. Une fois de plus, le film est produit par Jerry Bruckheimer et Don Simpson. Celui-ci décède cinq mois avant la sortie du film, qui lui sera dédié. Rock remporte des récompenses, dont le Best On-Screen Duo aux MTV Movie Awards pour les prestations de Nicolas Cage et Sean Connery, et une nomination à l'Oscar du meilleur son pour le travail de Greg P. Russell, Kevin O'Connell et Keith A. Wester.

En 1998, toujours avec Jerry Bruckheimer sort Armageddon, à un moment où les films catastrophe sont populaires à Hollywood. Il raconte le périple d'un groupe de foreurs, recrutés et envoyés par la NASA pour dévier la trajectoire d'un astéroïde avant sa collision avec la Terre. Bruce Willis, Billy Bob Thornton, Ben Affleck et Liv Tyler sont à l'affiche du film. Malgré de mauvaises critiques, Armageddon est nommé à la 71e cérémonie des Oscars dans les catégories meilleur son, meilleurs effets visuels, meilleur montage sonore et meilleure chanson originale et rapporta plus de 550 millions de dollars.

Années 2000

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En 2001, Michael Bay adopte une approche plus dramatique pour son film sur l'attaque de Pearl Harbor, sorti le week-end de Memorial Day 2001. Il y dirige Ben Affleck, Josh Hartnett, Kate Beckinsale et Cuba Gooding Jr. L'accueil de la critique est mitigé : elle déplore qu'il soit visuellement lisse et historiquement imprécis. Des lacunes littéraires, telles que des dialogues banaux, un triangle amoureux mal développé et des personnages principaux creux, sont également pointées du doigt. Le film est nommé dans quatre catégories à la 74e cérémonie des Oscars (meilleur montage sonore, meilleur son, meilleurs effets visuels et meilleure chanson originale) et remporte l'Oscar du meilleur montage sonore.

Il retrouve Will Smith et Martin Lawrence pour Bad Boys 2 (2003), qui marque sa cinquième collaboration avec Jerry Bruckheimer. Le film fait l'objet de critiques pour sa longueur et sa brutalité, on y retrouve les codes esthétiques de Michael Bay. Il engrange 138 millions de dollars de recettes au box-office américain (somme suffisante pour couvrir le budget de production) et 273 millions de dollars de recettes dans le monde, presque deux fois plus que le film original.

Michael Bay réalise ensuite The Island (2005), un film de science-fiction décrit comme un pastiche d'«escape-from-dystopie », avec Ewan McGregor et Scarlett Johansson. Cette fois sans Jerry Bruckheimer, c'est son premier film à être une déception au box-office américain (seulement 36 millions de dollars de recettes). Le film a plus de succès à l'international, remportant 163 millions dans le monde. Michael Bay déclare qu'il n'était pas à l'aise avec la mise sur le marché du film aux États-Unis. Bien qu'il ne soit pas très bien accueilli, certaines critiques, plus douces pour le propos humaniste du film, ont fait l'éloge des effets spéciaux, cascades et des multiples scènes de poursuite ainsi que de la manière dont Michael Bay maintient le rythme du film.

En 2007, il rencontre Steven Spielberg, en tant que producteur exécutif, et dirige Transformers, un film d'action spectaculaire. Basé sur la franchise Transformers, c'est un univers de jouets (dont on profite du merchandising), créé par Hasbro avec deux races de robots qui s'affrontent : les gentils Autobots contre les méchants Decepticons. Le film sort aux États-Unis et au Canada le , avec en acteur vedette Shia LaBeouf. Les avant-premières rapportent 8,8 millions de dollars, et dès son premier jour de sortie, il engrange 27,8 millions $ : un record pour le box-office. Le week-end de sa sortie, Transformers rapporte 70,5 millions, et un montant de 155,4 millions $ la première semaine. C'est le record de la plus grande semaine de sortie pour une non-suite. En , le film a fait plus de 319 millions $ au niveau national et de plus de 708 millions $ dans le monde, il a été bien accueilli par le public et a reçu des commentaires positifs de la part des critiques.

Michael Bay et Steven Spielberg sont de retour pour Transformers 2 : La revanche, qui sort en 2009. C'est un nouveau succès au box-office avec 836 millions de dollars pour un accueil critique catastrophique : beaucoup reprochent au film les effets spéciaux trop nombreux et lassants ainsi qu'un scénario très faible.

En 2006, Michael Bay et Wydncrest Holdings rachètent la société d'effets spéciaux Digital Domain créée par James Cameron et Stan Winston. Il dirige son entreprise, Platinum Dunes, qui produit des films d'horreur, avec surtout la réussite commerciale des remakes des films des années 1970 (Massacre à la tronçonneuse…). Il dirige aussi des publicités par le biais de l'Institute for the Development of Enhanced Perceptual Awareness.

Années 2010

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En 2010, Michael Bay signe avec Victoria's Secret : il devient alors le réalisateur des publicités de la marque[réf. nécessaire].

Michael Bay souhaite faire une pause avec la franchise Transformers, pour réaliser d'autres projets. Cependant, à la suite de l'annonce de Paramount, il dirige et sort le troisième Transformers à l'été 2011, Transformers 3 : La Face cachée de la Lune qui sort en 3D (Steven Spielberg reste producteur délégué). Les robots s'affrontent de nouveau, mais dans un nouveau contexte : la découverte de robots survivants durant Apollo 11, quand l'homme marcha sur la lune. Le film, dont l'exploitation en salles rapporte 1,12 milliard de dollars dans le monde, est l'un des plus gros succès du box-office mondial et américain. Il reçoit également des critiques négatives de la presse[5].

En 2013, Michael Bay délaisse les Transformers pour réaliser No Pain No Gain, long-métrage basé sur l'histoire vraie de criminels culturistes violents et déjantés, drogués aux anabolisants. Un « petit » film pour Michael Bay ( « seulement » 25 millions de dollars de budget) avec des recettes de 96 millions de dollars au box-office ainsi qu'un accueil critique mitigé.

Transformers : L'Âge de l'extinction (Transformers : Age of Extinction) sort à l'été 2014. Le film est annoncé comme le premier d'une nouvelle trilogie dans laquelle le héros principal est désormais incarné par Mark Wahlberg. Des spin-offs sont aussi envisagés. Le casting est renouvelé dans ce quatrième opus, mais ne changent ni l'équipe technique, ni la réception du film : Michael Bay en réalisateur, Steven Spielberg à la production. C'est encore un succès au box-office, le milliard de dollars est franchi bien qu'il y eut un score mitigé aux États-Unis, et reçut un accueil catastrophique de la presse.

Son film suivant, 13 Hours, sort en 2016. Il revient sur l'attaque du consulat américain dans la ville de Benghazi en Libye, qui se solde par la mort de l'ambassadeur J. Christopher Stevens[6]. Le film met l'accent sur le rôle du groupe d'élite chargé de défendre la place forte.

Bien qu'il ne souhaite plus réaliser de film sur les robots après le quatrième opus de la franchise Transfomers, il dirige ensuite Transformers: The Last Knight, 5e volet de la franchise, sorti au cinéma en 2017. Spectateurs et presse rejettent le film[7] et les 600 millions de dollars de recette au box-office mondial font de ce film un échec qui rapporte moins que le premier opus de la série.

Le réalisateur, très engagé dans la défense des droits des animaux, prévoit de réaliser un documentaire sur le braconnage des éléphants. Il en avait déjà fait part lors de la première de Transformers : L'Âge de l'extinction.

Le , The Hollywood Reporter annonce que Michael Bay produira l'adaptation au cinéma de Dora l'exploratrice, célèbre dessin animé de la chaîne Nickelodeon. Le scénariste britannique Nicholas Stoller accompagne le réalisateur-producteur dans ce projet des studios Paramount[8].

Le , il est annoncé qu'il réalisera le film Six Underground, le plus cher produit par Netflix. Il y dirige notamment Ryan Reynolds et Mélanie Laurent. Le film sort en 2019.

Inspirations et influences

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Michael Bay s'inspire de différents réalisateurs comme Steven Spielberg, James Cameron, Stanley Kubrick, George Lucas, Joel et Ethan Coen. Dans sa jeunesse, il travaille pour Lucasfilm, et participe au storyboard du premier film d'Indiana Jones, Les Aventuriers de l'arche perdue.

Deux de ses films, The Island et Transformers 2 : La revanche, sont connus pour leur grand nombre de placement de produits. Ils présentent respectivement 35 et 47 marques différentes[9].

Filmographie

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Comme réalisateur

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Comme producteur / producteur délégué

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Télévision

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Comme acteur

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Clips musicaux

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Ses films ont rapporté 6,43 milliards de dollars de recettes dans le monde : il est le second cinéaste avec le meilleur box-office de l'histoire du cinéma derrière Steven Spielberg (9,54 milliards) et devant James Cameron (6,20 milliards). Il est second selon le critère de rentabilité de ses films, avec 2 milliards de gains (le premier reste Spielberg avec 4,1 milliards de gains).

Film Date de Sortie Drapeau des États-Unis États-Unis Date de Sortie Drapeau de la France France Studio Budget Drapeau des États-Unis États-Unis Drapeau de la France France Monde Box-office Monde
Bad Boys Columbia Pictures 19 000 000 $ 65 807 024 $ 1 636 092 entrées 141 400 000 $
Rock Hollywood Pictures 75 000 000 $ 134 069 511 $ 1 849 549 entrées 335 100 000 $
Armageddon Buena Vista Distribution 140 000 000 $ 201 578 182 $ 4 606 936 entrées 553 700 000 $
Pearl Harbor Walt Disney Pictures 140 000 000 $ 198 542 554 $ 2 514 353 entrées 449 200 000 $
Bad Boys 2 Columbia Pictures 130 000 000 $ 138 608 444 $ 1 942 671 entrées 273 300 000 $
The Island DreamWorks SKG et Warner Bros 126 000 000 $ 34 126 850 $ 1 556 590 entrèes 162 900 000 $
Transformers Paramount Pictures et DreamWorks SKG 150 000 000 $ 319 246 193 $ 1 984 829 entrées 709 700 000 $
Transformers 2 : La Revanche Paramount Pictures et DreamWorks SKG 200 000 000 $ 402 111 870 $ 2 276 748 entrées 836 300 000 $
Transformers 3 : La Face cachée de la Lune Paramount Pictures et DreamWorks SKG 195 000 000 $ 352 390 543 $ 2 622 932 entrées 1 124 000 000 $
No Pain No Gain Paramount Pictures 26 000 000 $ 48 532 000 $ 327 085 entrées 86 200 000 $
Transformers : L'Âge de l'extinction Paramount Pictures et DreamWorks SKG 210 000 000 $ 245 439 079 $ 2 343 189 entrées 1 104 000 000 $
13 Hours Paramount Pictures 50 000 000 $ 52 853 219 $ 106 354 entrées 69 400 000 $
Transformers: The Last Knight Paramount Pictures et DreamWorks SKG 217 000 000 $ 130 154 281 $ 1 412 540 entrées 605 400 000 $
Ambulance Universal Pictures 40 000 000 $ 22 781 115 $ 250 665 entrées 52 300 984 $
Total 1 678 000 000 $ 2 323 462 420 $ 25 430 533 entrées 6 504 702 609 $

Michael Bay est un cinéaste extrêmement rentable et très populaire. La critique n'a jamais été clémente pour ses réalisations. Les deux principaux agrégateurs de critique américains, Rotten Tomatoes et Metacritic, témoignent du désamour de la critique pour Bay. Sur Rotten Tomatoes, seul Rock obtient le label « fresh » (frais) avec 67 % de critiques positives, toutes les autres réalisations de Bay sont considérées comme « rotten » (pourries, avec moins de 65 % d'approbations). Metacritic rassemble une moyenne de 40/100 pour les avis critiques du travail de Michael Bay.[réf. nécessaire] Pour les notes de la presse sur Allociné, seuls No Pain No Gain et Transformers dépassent la moyenne.[réf. nécessaire]

Les scénarios quasi absents ou incohérents, ainsi que les déluges d'effets spéciaux décrits comme abrutissants sont perçus négativement.[réf. nécessaire] La parodie de Michael Bay dans le premier épisode d'Imaginationland de South Park le montre ne sachant faire que des effets spéciaux, mais sans idées scénaristiques ou réfléchies, soit les défauts qui lui sont souvent reprochés.[réf. nécessaire]

La série Family Guy parodie l'œuvre de Michael Bay avec la réplique du personnage principal : "On va se battre et il y aura tellement de gros plans dans tous les sens que personne va piger ce qu'il se passe".[réf. nécessaire] Mais le cinéaste se moque des critiques[10],[11].

Récompenses

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En 1994, Michael Bay est honoré par la Directors Guild of America en tant que réalisateur de films publicitaires de l'année. Il reçoit le ShoWest 2009 Vanguard Award pour son excellence dans le cinéma lors de la Confab des propriétaires de cinéma.

Il a reçoit aussi le prix du pire réalisateur de l'année lors de la 30e cérémonie des Razzie awards pour son film Transformers 2 : La revanche.

Michael Bay est réputé pour son fort investissement sur les tournages, ainsi que pour son caractère tyrannique envers ses collaborateurs. Megan Fox a déclaré à son sujet : "Son truc, c'est d'être Hitler sur le tournage et il l'est." Par la suite, elle sera évincée du casting de la saga par Steven Spielberg[12].

Notes et références

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  1. Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
  2. Aardvark_Editions, « MICHAEL BAY : La Fin de l’innocence », sur Aardvark Editions, (consulté le )
  3. « Michael Bay serait-il devenu fréquentable ? », sur Les Inrocks,
  4. « Y a-t-il un système Michael Bay ? », sur Le Point,
  5. AlloCine, « Transformers 3 - La Face cachée de la Lune: Les critiques presse » (consulté le )
  6. (en) « Michael Bay's movie 13 Hours gets early 2016 release date », sur Collider,
  7. AlloCine, « Transformers: The Last Knight » (consulté le )
  8. « Le producteur de blockbusters Michael Bay va adapter "Dora l'exploratrice" en film », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. (en) [vidéo] « A Brief History of Conspicuous Product Placement in Movies », sur YouTube
  10. (en) « Michael Bay tells Transformers fans: "Let Them Hate" », sur MTV,
  11. « Transformers 4 : Michael Bay a un conseil pour les critiques », sur ActuCiné,
  12. Maroussia Dubreuil et Jules Perret, « Mister Dynamite », So Film n°39,‎ , p. 62 à 68

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Articles connexes

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Liens externes

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