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Masseret

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Masseret
Masseret
La tour de Masseret.
Blason de Masseret
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Uzerche
Maire
Mandat
Bernard Roux
2020-2026
Code postal 19510
Code commune 19129
Démographie
Gentilé Masserétois
Population
municipale
658 hab. (2021 en évolution de −4,22 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 00″ nord, 1° 31′ 00″ est
Altitude Min. 389 m
Max. 520 m
Superficie 13,55 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Uzerche
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Masseret
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Masseret
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Masseret
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Masseret
Liens
Site web http://www.masseret.fr

Masseret (Mas Seren en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants, au nombre de 682 en 2016, sont appelés les Masserétois[1].

Géographie

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Localisation

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La commune est limitrophe du département de la Haute-Vienne.

Le bourg est situé sur une colline dominant le col permettant le passage entre le haut et le bas Limousin, le nord et le sud du plateau limousin, et qui sépare les monts de Fayat à l'ouest du massif du mont Gargan à l'est.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Masseret[2]
La Porcherie
(Haute-Vienne)
Benayes Masseret Lamongerie
Salon-la-Tour

Géologie et relief

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Au centre de Masseret s'élève une tour au sommet de laquelle a été dressée une table d'orientation. De là se révèle un très beau panorama circulaire : on reconnaît au nord les monts d'Ambazac, à l'est le plateau de Millevaches, le massif des Monédières et, par temps clair, les monts d'Auvergne.

Hydrographie

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Commune arrosée par le ruisseau des Forges.

L'Auvézère prend sa source sur la commune.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 155 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Germain-les-Belles à 9,29 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 129,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Masseret est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (65,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,4 %), forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (22,3 %), zones urbanisées (6,5 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Masseret est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Masseret.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 471 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 66 sont en aléa moyen ou fort, soit 14 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les feux de forêt, aucun plan de prévention des risques incendie de forêt (PPRIF) n’a été établi en Corrèze, néanmoins le code de l’urbanisme impose la prise en compte des risques dans les documents d’urbanisme. Le périmètre des servitudes d'utilité publique et des zones d'obligation légale de débroussaillement pour les particuliers est quant à lui défini pour la commune dans une carte dédiée[18].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Masseret est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Les Gaulois lémovices exploitèrent une mine d'or au nord du village actuel[21], mine qui se situait au sein du district minier de Saint-Yrieix-la-Perche. L’exploitation de ces mines a été arrêtée après la conquête romaine[22].

Comme les châtellenies de Chervix, la châtellenie de Masseret relevait de la vicomté de Limoges (voir histoire de la châtellenie de Château-Chervix) et son destin fut lié à la famille des vicomtes de Limoges et avec le mariage de Marie de Limoges dernière vicomtesse avec Arthur II de Bretagne passa dans la maison de Bretagne, puis de Penthièvre, d'Albret et de Bourbon.

Alain d'Albret (1440-1522) épousa en 1470 Françoise de Bretagne de la Maison de Blois. Un procès l'opposa à sa belle-sœur, Mademoiselle de Montrésor. Alain d'Albret fit un recensement complet de ses possessions de la vicomté de Limoges. Dans la réponse que lui font les officiers de la châtellenie de Masseret, on peut lire :

« Quant aux bâtiments de la place, est vray, que au temps du deces de feu Guillaume de Bretagne ( sans doute Guillaume de Chatillon Blois père de Françoise de Blois-Bretagne -(1345-1404) avait en ladite place une tour carrée, de pierre neuve, de pauvre eddifice, vieille et ancienne etc. Au pied de la tour, y avait une salle avecque deux petites chambres etc. »

« les manants et les habitants de ladite chatellenie ne sont tenus de eddifier ladite place, ne la tenir au point aucunement ».

La Tour était donc en partie ruinée dès le XVe siècle. Alain d'Albret ne la reconstruisit pas[23].

Le les troupes allemandes franchissent la ligne de démarcation et traversent Uzerche et Masseret[24].
Le , afin de se procurer des armes, la gendarmerie de Masseret est attaquée par les maquisards.

Plusieurs paroisses dépendaient de la châtellenie de Masseret au temps d'Alain d'Albret (XVe-début XVIe siècle). Selon Gustave Clément-Simon, auteur de "La Vicomté de Limoges" XIXe siècle :

La paroisse de Masseret-Salon

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"D'après les mémoires que nous analysons, Masseré et Salon ne formaient qu'une seule paroisse (au moins au XVe siècle). Le bourg de Masseret ne comptait que 47 habitants, tous exempts de guet. Les tenanciers de la paroisse avaient un droit d'usage pour leur chauffage dans la forêt de Montars. "

Au temps d'Alain d'Albret, Salon la Tour, paroisse sur laquelle s'élevait une tour vicomtale, n'était donc pas ou plus une châtellenie comme Masseret et Chervix.

Autres paroisses Benayes, La Porcherie, Condat et autres avec divers droits seigneuriaux et domaines fonciers .

La légende

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Au XXe siècle, un chêne s'élevait à l'emplacement de l'ancienne tour vicomtale. Le château d'eau le remplaça. Dans les familles de paysans des communes environnantes circulait une légende: Une rivalité existait entre les forteresses de Salon la Tour et de Masseret. Une nuit une servante monta tout en haut de Tour de Salon une lanterne à bougie à la main. Les artificiers de la Tour de Masseret ajustèrent le tir de leur canon pour démolir la tour de Salon. Légende inspirée de faits réels? Peu plausible étant donné que les deux tours dépendaient du Vicomte. Du haut de la Tour de Salon, on ne voit pas l'ancienne motte vicomtale de Masseret. Quant à la portée des canons de l'époque !

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1945 Jean Lajeunesse    
1945 1983 Marcel Champeix SFIO-PS Député (1945-1946)
Sénateur (1946-1980)
Secrétaire d'État (1956-1957)
1983 1990 Gilles Gorse    
1990 1994 Jean-Marie Saute    
1994 1995 André Gavinet    
1995 2008 Jean Chatenet MRC  
2008 En cours Bernard Roux[25]
Réélu pour le mandat 2020-2026
PS Agriculteur

Intercommunalité

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Masseret fait partie de la communauté de communes du Pays d'Uzerche, qui est constituée de neuf communes.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27]. En 2021, la commune comptait 658 habitants[Note 1], en évolution de −4,22 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400377508675848873904924940
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9018498768408629259721 2401 185
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2741 2711 2771 032963909959901914
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
874813742731669608659673678
2018 2021 - - - - - - -
671658-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Revenus de la population et fiscalité

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En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 283 , ce qui plaçait Masseret au 20 785e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[30].

Culture locale et patrimoine

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Monuments historiques et autres sites

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La tour de Masseret.
Bâtie au XIIe siècle, elle a été remaniée pour la dernière fois en 1969 avec le remplacement du clocher en bois par un clocher mur.
L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1986[31].
  • La tour d'orientation
Bien que d'aspect médiéval, la tour de Masseret a été bâtie en 1954 et sert de château d'eau. Elle se trouve à l'emplacement de l'ancien château féodal qui, au sommet de la colline permettait de surveiller les passages entre Limoges et Brive. Avant la construction de la tour, un majestueux hêtre, planté aux alentours de 1792 rappelait symboliquement l'ancien château. Il fut foudroyé le .
  • Le foirail
Le champ de foire, d'une surface de 3 ha, a accueilli dès 1292 des foires, réputées comme étant les plus importantes de la région. Depuis 1942, le foirail est inscrit comme site naturel. Les foires de Masseret existaient déjà au XVIIIe siècle[32].
Construit au début du XVIe siècle, ce château possède une tour centrée sur sa façade.
  • La motte féodale de la Renaudie
Au Moyen Âge, cette motte castrale servait à surveiller les passages entre le Haut et le Bas Limousin. Elle est aujourd'hui intégrée et mise en valeur au sein de l'aire de repos Porte de Corrèze sur l'autoroute A 20.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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De gueules, au franc-quartier d'or à trois lionceaux d'azur armés et lampassés de gueules.

Transports en commun

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Le bourg de Masseret est desservi par la ligne 7 du réseau TER Nouvelle-Aquitaine, permettant de relier quotidiennement Limoges.

Voies ferroviaires

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Masseret est desservie par une gare SNCF, placée sur l'axe Paris-Toulouse. Elle est desservie quotidiennement par des trains TER permettant de relier Limoges, Guéret, Brive-la-Gaillarde et plus occasionnellement Toulouse.

Voies routières et autoroutières

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Masseret est traversée par l'autoroute A 20 qui relie Vierzon à Montauban. Elle est desservie par la sortie 43.

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Articles connexes

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Liens externes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références

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  1. « Habitants de Masseret », sur habitants.fr.
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Masseret et Saint-Germain-les-Belles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Germain Bell » (commune de Saint-Germain-les-Belles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Germain Bell » (commune de Saint-Germain-les-Belles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Les risques près de chez moi - commune de Masseret », sur Géorisques (consulté le )
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Risque de feu de forêt près de chez moi, sur la commune de Masseret », sur Géorisques (consulté le )
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  21. Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, (ISBN 2-911167-37-6), p. 25.
  22. Cauuet, op. cit., p. 33.
  23. Archives de la Vicomté de Limoges conservées aux AD de Pau. Fonds Bosvieux-ADHV 87.
  24. Lemouzi N° 178 (avril 2006); Louis Bournazel : Uzerche et son pays du temps de l'occupation à la mondialisation (pages 31 à 60)
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  31. « Eglise Sainte-Catherine-d'Alexandrie », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  32. ADHV87.

Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes