Les Sorinières
Les Sorinières | |||||
Le menhir de la Haute-Lande. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Nantes | ||||
Intercommunalité | Nantes Métropole | ||||
Maire Mandat |
Christelle Scuotto 2020-2026 |
||||
Code postal | 44840 | ||||
Code commune | 44198 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sorinièrois | ||||
Population municipale |
9 031 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 694 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 08′ 50″ nord, 1° 31′ 43″ ouest | ||||
Altitude | Min. 3 m Max. 44 m |
||||
Superficie | 13,02 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Nantes (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Nantes (commune du pôle principal) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vertou | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.ville-sorinieres.fr/ | ||||
modifier |
Les Sorinières est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle fait également partie des 24 communes de Nantes Métropole, et du Pays nantais, un des neuf pays de la Bretagne historique.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la Bretagne historique et du Vignoble nantais.
Le centre-ville des Sorinières est situé à 6 km au sud de Nantes, dans une zone de nœud routier (embranchement des routes de La Rochelle et de La Roche-sur-Yon, auquel s'ajoutent leurs raccords récents avec l'autoroute A83 qui passe à proximité).
Selon le classement établi par l'Insee, la commune des Sorinières est une commune urbaine, une des 24 communes de banlieue de l'unité urbaine de Nantes ; elle fait donc partie de l'aire urbaine de Nantes (cf. Communes de la Loire-Atlantique).
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Aéroportuaires
[modifier | modifier le code]L'aéroport de Nantes-Atlantique se situe à 10 minutes du centre des Sorinières.
Réseau routier
[modifier | modifier le code]L'accès au nord de la commune s'effectue par la sortie 49 (Porte de Rezé) du périphérique nantais, et au sud par l'A83 via le péage du Bignon en venant de Bordeaux.
La commune est également traversée par la D137.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]La ligne C4 du réseau TAN dessert la commune et la relie à Rezé et aux pôles d'échanges Pirmil et Greneraie, tout en offrant un service proche de celui du tramway avec une fréquence élevée, une large amplitude horaire et une accessibilité pour tous notamment.
La commune est également desservie par les lignes 362 et 380 du réseau régional Aléop[1].
Des lignes de car scolaires permettent aux élèves de se rendre dans les écoles sorinièroises, mais également dans les collèges de la ville de Vertou.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 817 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 819,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 3,4 | 3 | 4,9 | 6,6 | 9,8 | 12,7 | 14,3 | 14,2 | 11,8 | 9,5 | 5,9 | 3,7 | 8,3 |
Température moyenne (°C) | 6,4 | 6,7 | 9,2 | 11,4 | 14,7 | 17,8 | 19,7 | 19,8 | 17,1 | 13,5 | 9,4 | 6,7 | 12,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,3 | 10,5 | 13,5 | 16,2 | 19,6 | 23 | 25,1 | 25,4 | 22,4 | 17,6 | 12,9 | 9,8 | 17,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−13 16.01.1985 |
−15,6 15.02.1956 |
−9,6 01.03.05 |
−2,8 07.04.08 |
−1,5 01.05.1945 |
3,8 01.06.06 |
5,8 10.07.1948 |
5,6 07.08.1956 |
2,8 19.09.1952 |
−3,3 30.10.1997 |
−6,8 21.11.1993 |
−10,8 21.12.1946 |
−15,6 1956 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,2 27.01.03 |
22,6 27.02.19 |
24,2 30.03.21 |
28,3 30.04.05 |
32,8 26.05.17 |
39,1 18.06.22 |
42 18.07.22 |
39,6 07.08.20 |
35,4 09.09.23 |
30,4 09.10.23 |
21,8 01.11.15 |
18,4 04.12.1953 |
42 2022 |
Ensoleillement (h) | 726 | 1 023 | 1 473 | 1 827 | 2 034 | 2 131 | 229 | 2 326 | 1 987 | 1 227 | 913 | 776 | 18 733 |
Précipitations (mm) | 87,9 | 67,5 | 58,4 | 58,3 | 61 | 48,5 | 44,2 | 50,3 | 59,5 | 88,8 | 94,1 | 101 | 819,5 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Les Sorinières est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nantes[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (28,4 %), zones urbanisées (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), prairies (16,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,4 %), forêts (1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est habité au moins depuis le Néolithique, comme l'attestent les deux menhirs de la commune, le menhir de Haute-Lande et le menhir des Faux.
Antiquité et Haut Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le territoire est habité à l'origine par le peuple gaulois des Ambilatres, qui faisait partie de la confédération des peuples pictons.
Au IXe siècle, il fait partie du comté d'Herbauges, constitué pour la défense militaire du Bas-Poitou contre les razzias vikings, avec Rezé comme capitale.
En 851, le traité d'Angers rattache le Pays de Retz aux Marches communes Bretagne-Poitou.
XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]La commune est le théâtre de la bataille de La Roullière pendant la guerre de Vendée.
XIXe siècle
[modifier | modifier le code]La commune est créée le par démembrement des communes du Bignon, de Pont-Saint-Martin et de Vertou.
Héraldique, logotype
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
D'argent au chevron de gueules, accompagné en chef de deux trèfles de sinople et en pointe d'un château d'azur pavillonné et girouetté du même, maçonné d'or et flanqué de deux tours du même, et accompagné de trois mouchetures d'hermine de sable ; au chef de sable chargé d'une coquille accostée de deux croix hautes tréflées au pied fiché, le tout d'argent.
Commentaires : Le champ d'argent, le chevron de gueules et les deux trèfles de sinople rappellent les armes du seigneur d'Arquistade, René Darquistade, deux fois maire de Nantes, qui possédait en seigneurie la terre de La Maillardière où fut planté l'un des tout premiers laurier tulipier ou Magnolia grandiflora' introduit en Europe au XVIIIe siècle ; le château d'azur, maçonné d'or, accompagné de trois mouchetures d'hermine de sable, sont tirées des armes de l'ancienne Abbaye de Villeneuve ; le chef de sable, la coquille et les deux croix hautes renvoient aux armes de la famille de Becdelièvre, qui possédait de nombreuses terres et fermes sur le territoire de la commune. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par M. Durivault, dessiné par Robert Louis (délibération municipale du ).
|
Logotype
[modifier | modifier le code]Le logo actuel de la mairie des Sorinières a été créé en 2005.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Politique de développement durable
[modifier | modifier le code]La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2004[20].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]La commune est créée en 1865, à partir de territoires du Bignon, de Pont-Saint-Martin et de Vertou.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2021, la commune comptait 9 031 habitants[Note 5], en évolution de +12,01 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 229 hommes pour 4 465 femmes, soit un taux de 51,36 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune possède trois écoles :
- École maternelle et élémentaire Clos du Moulin
- École maternelle et élémentaire Sainte-Marie
- École maternelle et élémentaire La Tilleulière
Sport
[modifier | modifier le code]Équipements sportifs
[modifier | modifier le code]- Aires Multisports : elles sont à disposition des jeunes quartier des Vignes et quartier de la Poste.
- Complexe Louis Bartra/La Garennerie : un terrain avec une piste, un terrain synthétique et un terrain stabilisé.
- Dojo et la salle de Karaté : construits respectivement en 1993 et 1981, ils regroupent les arts martiaux (judo, karaté, arts philippins).
- Patinodrome : il accueille le roller.
- Salle de danse : elle date des années 1970 et regroupe la danse, le yoga et la sophrologie.
- Salle du Haut Vigneau : elle accueille le tennis de table.
- Salle Alice Milliat: construite en , elle accueille le badminton et de la danse.
- Salle Joachim-Marnier : construite en 1981, elle accueille les activités de basket et le roller.
- Salle Jules-Léauté : construite en 1993, elle accueille le tennis, la gymnastique et le roller.
- Stand de tir : il a été créé en 1972.
- Terrain de pétanque
- Terrains de tennis de plein air
- Terrain de Drone : créé en 2016, il accueille l'association de drone.
Salles municipales
[modifier | modifier le code]- Salle Auguste-Rodin
- Espace Camille-Claudel
- Salle Hippolyte-Derouet
- Pôle Jeanne d'Arc
- Salle des Vignes
Économie
[modifier | modifier le code]Parc Océane Sud
[modifier | modifier le code]Le Parc Océane Sud est la principale zone économique de la commune avec une centaine d'entreprises et plus de 1 000 emplois. Sa localisation au niveau Sud Loire est un réel atout pour les entrepreneurs. La zone est divisée en quatre parties : le Taillis Nord, le Taillis 3, la Roulière et le Champ Fleuri. On y retrouve des entreprises telles que Traction Levage qui appartient au groupe Axel Johnson International et qui est spécialisée dans la distribution de produits de levage et de manutention[27]
ZAC des Vignes
[modifier | modifier le code]La ZAC des Vignes a été créée dans le but de fournir un habitat à tous dans un cadre de vie agréable, proche des équipements communaux. Plus de 700 logements sont construits pour accueillir à terme 1 500 nouveaux habitants.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Abbaye de Villeneuve, fondée en 1201. La duchesse Constance de Bretagne en avait ordonné la fondation l'année de sa mort à Nantes[28]. Elle y fut inhumée le . Cette abbaye fut très importante au XVe siècle. Elle est en partie détruite pendant la Révolution française et les guerres de Vendée. Restaurée en 1977, les bâtiments accueillent désormais un luxueux ensemble hôtelier. S'y trouve la tombe du seigneur Olivier de Machecoul, de la maison capétienne de Dreux de Bretagne.
- Menhir des Faux, inscrit au titre des monuments historiques le [29].
- Menhir de Haute-Lande, inscrit au titre des monuments historiques en 1960[30].
- Église Notre-Dame des Sorinières.
- Cadran solaire des Sorinières.
- Les folies nantaises : demeures du XVIe au XIXe siècle.
- Le parc de la Filée : un espace naturel de 12 hectares avec un vaste plan d’eau.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Site de la mairie
- Les Sorinières sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Nantes comprend une ville-centre et 21 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Réélu en 2008 et 2014.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Carte interactive du réseau Aléop
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Les Sorinières et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nantes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Les Sorinières ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nantes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Sources : Mairie des Sorinières, Geneawiki
- « La haute lutte des Sorinières pour devenir commune, il y a 150 ans », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Les Sorinières : M. Joachim Marnier élu maire », Ouest-France (archives du journal),
« Au premier tour et par 14 voix sur 17 votants, M. Joachim Marnier a été élu maire, samedi soir. » - Démission de C. Couturier (PS), maire des Sorinières (44) - Forum Politiquemania
- Sylvie Hrovatin, « Christelle Scuotto est maire des Sorinières : L’assemblée des maires de la Métropole se féminise. Christelle Scuotto, 43 ans, vient d’être élue maire des Sorinières. », Ouest-France, (lire en ligne)
- Vos élu-e-s, sur ps44.fr
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Les Sorinières, consultée le 30 octobre 2017
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune des Sorinières (44198) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- « Traction Levage | Spécialiste des produits de levage », sur traclev.com (consulté le ).
- Joëlle Quaghebeur, La Cornouaille du IXe au XIIe siècle : mémoire, pouvoirs, noblesse, Rennes Quimper, Presses universitaires de Rennes Société archéologique du Finistère, , 517 p. (ISBN 2-86847-743-7), p. 367.
- « Menhir des Faux », notice no PA00108831, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Menhir dit de Haute-Lande », notice no PA00108832, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.