Haravilliers
Haravilliers | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Val-d'Oise | ||||
Arrondissement | Pontoise | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vexin Centre | ||||
Maire Mandat |
Michel Razafimbelo 2020-2026 |
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Code postal | 95640 | ||||
Code commune | 95298 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Haravillois | ||||
Population municipale |
577 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 53 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 10′ 24″ nord, 2° 03′ 18″ est | ||||
Altitude | 146 m Min. 99 m Max. 216 m |
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Superficie | 10,90 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Pontoise | ||||
Législatives | 1re circonscription du Val-d'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://haravilliers.com/ | ||||
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Haravilliers Écouter est une commune française du Val-d'Oise située dans le Vexin français, à environ 50 km au nord-ouest de Paris.
Ses habitants sont appelés les Haravillois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Haravilliers un village périurbain du Vexin français situé sur le plateau du Vexin, et qui occupe le flanc sud-est de la butte-témoin la plus élevée d'Île-de-France. La commune détient ainsi sur son territoire le point culminant de la région : 216 mètres au sommet du massif des buttes de Rosne.
Elle se trouve à 15 km au nord de Pontoise, 40 km au nord-ouest de Paris et 30 km au sud de Beauvais.
Haravilliers se trouve dans le périmètre du parc naturel régional du Vexin français.
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La RD 188 à l'est du village.
-
Carte de la commune. -
Occupation des sols.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]La commune est limitrophe de Berville, Arronville, Theuville, Bréançon, Le Heaulme et Neuilly-en-Vexin dans le département du Val-d'Oise; Chavençon et Neuville-Bosc dans le département voisin de l'Oise.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le Ru de Theuville (ou Ravin de Theuville), un affluent du Sausseron, et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boissy-l'Aillerie à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]La commune a la particularité dans cette région constituée majoritairement de villages d'habitat groupé d'être composée de neuf hameaux.
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Haravilliers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Haravilliers est aisément accessible par les anciennes routes nationales RN 15 et RN 328, ainsi que depuis l'autoroute A16.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes Haradvilerio en 1099, Haravilet[12].
Le nom d'Haravilliers provient du germanique Herradus et du bas latin villare, ferme[13].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le lieu est occupé dès la préhistoire, comme l'atteste la découverte de nombreux silex taillés et pierres polies sur le territoire de la commune. Deux sites d'habitat et un atelier de potier de l'époque gallo-romaine ont également été découverts. La dimension de l'église indique l'importance de la paroisse au Moyen Âge; le lieu se nomme Haradvilerio en 1099. La population est répartie dans de nombreux hameaux, et la situation pose un problème sous l'Ancien Régime, à cause de l'éloignement des paroissiens, et surtout pour la collecte des deniers royaux. Un arrêt du parlement de Paris datant du décrète donc la séparation de plusieurs hameaux de la paroisse principale (Theuville, le Ruel, le Quoniam, Sausette et Drumal), hameaux qui ne seront de nouveau rassemblés qu'en 1790 à la création de la commune, à l'exception de Theuville qui deviendra une commune indépendante.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[14], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .
Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Marines de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, la ville intègre le canton de Vigny [15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Pontoise
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune, initialement membre de la communauté de communes Val de Viosne, est membre, depuis le , de la communauté de communes Vexin centre.
En effet, cette dernière a été constituée le par la fusion de la communauté de communes des Trois Vallées du Vexin (12 communes), de la communauté de communes Val de Viosne (14 communes) et de la communauté de communes du Plateau du Vexin (8 communes), conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d'Oise approuvé le [16].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].
En 2021, la commune comptait 577 habitants[Note 2], en évolution de +4,53 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Monuments historiques
[modifier | modifier le code]Haravilliers compte deux monuments historiques sur son territoire :
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption, rue de l'Église (classée monument historique en 1915[25])
- Cet édifice du XIIe siècle a été fortement remanié aux XIIIe, XVIe et XVIIIe siècles. D'un plan fort irrégulier, il se compose d'un vaisseau central de six travées barlongues, dont les trois premières sont très courtes, et la dernière servant de chœur ; d'un étroit collatéraux sud de six travées également, dont les voûtes atteignent la même hauteur que celles de la nef ; d'un collatéral semblable au nord, s'arrêtant après la troisième travée ; d'un ancien croisillon nord du transept largement saillant, côtoyant deux piles d'un clocher central aujourd'hui disparu ; et d'une grande chapelle de deux travées carrées en continuité du croisillon, flanquant les deux dernières travées du vaisseau central. Le clocher-tour de la fin du XVe siècle se dresse devant la quatrième travée du bas-côté sud, ce qui correspond exactement au milieu de la façade méridionale.
Du XIIIe siècle, reste au moins le croisillon nord du transept, et du XIIe siècle, subsistent la façade occidentale et le mur des trois premières travées du collatéral sud. Les autres parties de l'édifice ont été soit retouchées, soit remplacées au XVIe siècle, mais la seule partie homogène de cette dernière époque est la chapelle Renaissance au nord du chœur. - L'élément le plus remarquable est le lanternon roman couronnant la tourelle d'escalier ronde à l'angle sud-ouest de l'édifice[26],[27].
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Le lanternon.
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Les fonts baptismaux.
- Colombier, rue du Colombier, dans un champ à l'est de l'église (inscrit monument historique par arrêté du [28])
- Vestige d'une ancienne ferme seigneuriale, il date du XVIe siècle et est de forme cylindrique. Les murs en moellons sont consolidés par des chaînages verticaux en pierre de taille à distance régulière, et un larmier sépare les deux niveaux. Les ouvertures sont rectangulaires. Le toit en poivrière est couronné par un pigeon en métal. À l'intérieur, le plafond intermédiaire s'appuyant sur un pilier central et les boulins ont disparu[27].
On peut également signaler :
- Chapelle Sainte-Marie-Madeleine, au hameau du Ruel : Elle remonte au XIIIe siècle, mais sa nef a été remaniée au XVIe siècle[27].
- Lavoir, au hameau du Quoniam : Il est le seul de la commune à ne pas avoir été détruit à l'installation de l'eau courante dans le village[27].
- Les buttes de Rosne.
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Une grange.
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Monument aux morts.
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Colombier.
Anecdote locale
[modifier | modifier le code]Le , cinq habitants disent avoir vu un disque géant, lévitant à une dizaine de mètres du sol et émettant de multiples lumières, puis perdent connaissance et sont retrouvés à quelque distance[29]
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Sarah Bernhardt, la célèbre tragédienne, séjourna à Haravilliers, dans une maison située sur les buttes de Rosne.
- Léon Zadoc-Kahn (1870-1943), médecin français, médecin-chef de l'hôpital Rothschild et président du Comité central du Keren Hayessod France, habitait au Ruel, à Haravilliers lorsqu'il est capturé par les Nazis parce que juif puis déporté et assassiné, avec son épouse Suzanne, à Auschwitz.
Haravilliers au cinéma et à la télévision
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Haravilliers », p. 657–660
- A. Courcelle, « Notes pour servir à l'histoire d'Haravilliers et de Theuville », Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin, Pontoise, Imprimerie Lucien Pâris, vol. 27, , p. 121-128 (ISSN 1148-8107, lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Haravilliers sur le site de la CC Vexin Centre
- « Haravilliers »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Haravilliers » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- « Communes limitrophes de Haravilliers » sur Géoportail..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Haravilliers et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Pontoise - Aero » (commune de Boissy-l'Aillerie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Haravilliers ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, page 981
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d'Oise » [PDF], Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ), p. 14-15.
- « Deux équipes vont s'affronter à Haravilliers », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Françoise Wiltz, la première adjointe, a elle aussi l'intention de succéder au maire sortant Jean-Pierre Fohrer, qui quitte la commune pour raisons professionnelles ».
- « Jean Pierre Fohrer », sur fr.linkedin.com (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2008-2014 : Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009 [PDF]
- « Haravilliers : Françoise Wiltz passe avec toute sa liste », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Compte-rendu de la séance du conseil municipal du 23 mai 2020 » [PDF], Compte rendu, sur haravilliers.com (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église Notre-Dame de l'Assomption », notice no PA00080087, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Haravilliers, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 167-169.
- Séverine Charon, Hénin, Maria Pia Hutin-Houillon, Philippe Oyer et Bruno Sternberger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Haravilliers », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 657-660 (ISBN 2-84234-056-6).
- « Colombier », notice no PA00080086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Marie Persidat, « Ovni : « l’affaire d’Haravilliers » toujours aussi mystérieuse 20 ans après : Référence dans le milieu des ufologues, l’histoire d’un ovni vu par cinq personnes au-dessus du hameau du Ruel est aujourd’hui relatée dans un ouvrage. L’auteur de ce dernier est présent ce samedi au Salon du livre de Paris. », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).