Aller au contenu

Escragnolles

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Escragnolles
Escragnolles
Vue du village depuis la piste de Briasq.
Blason de Escragnolles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Grasse
Maire
Mandat
Henri Chiris
2020-2026
Code postal 06460
Code commune 06058
Démographie
Gentilé Escragnollois
Population
municipale
615 hab. (2021 en évolution de +0,16 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 54″ nord, 6° 47′ 02″ est
Altitude Min. 400 m
Max. 1 644 m
Superficie 25,48 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grasse-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Escragnolles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Escragnolles
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Voir sur la carte topographique des Alpes-Maritimes
Escragnolles
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Escragnolles

Escragnolles est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Le Tresor dóu Felibrige de Frédéric Mistral donne les formes Escragnolo et Escregnoro comme toponymes. Ses habitants sont appelés les Escragnollois.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Vue du village depuis la route Napoléon.

Escragnolles est un village des Préalpes grassoises situé à la lisière du département du Var.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Andon, Caille, Saint-Cézaire-sur-Siagne, Saint-Vallier-de-Thiey, Séranon et Mons.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l’arrière pays Grassois et elle comporte douze hameaux[1] :

  • Le Logis,
  • Les Amphons,
  • Bail, La Bastide,
  • Le Cabanon,
  • Le Château,
  • Clars,
  • La Colette,
  • Les Gallants,
  • Les Gras,
  • Les Mourlans,
  • Saint-Pons.

Commune située dans une zone de sismicité modérée[2],[3].

Hydrographie et eaux souterraines

[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :

  • La Siagne, ou Grande Siagne, naît dans l'Audibergue, son cours initial est le plus souvent asséché. Elle prend toute sa puissance après la source vauclusienne du Garbo[5] ;
  • La Siagne de la Pare ou d'Escragnolles, y prend sa source. Sur la carte des frontières de l'est (1776), son cours initial s'appelait la rivière des 'eaux nègres'. L'exsurgence (source vauclusienne) de la Pare a été achetée 20 000 francs or par le Syndicat intercommunal des Cinq-Communes. Avec l'exsurgence du Garbo, elle draine le karst de l'Audibergue ;
  • Elle rejoint la Siagne après un parcours très encaissé qui fait la joie des adeptes du canyoning ;
  • Siagne de pare ;
  • Vallons de nans, de la colle, de st-martin, de la combe, des mourlans, de la combe d'andon, du ray.
  • Le canal de Belletrud (1931) a sa prise dans la grotte de la Pare. Pour se rendre à Saint-Cézaire-sur-Siagne, il domine les vallées de la Siagne d'Escragnolles puis de la grande Siagne, qu'il enjambe au bois des Malines, croise le canal de la Siagne avant d'entamer un long passage souterrain pour réapparaître au virage de Mauvans.

Il est possible mais dangereux de randonner le long de ce canal, en empruntant parfois les tunnels de franchissement d'obstacles du canal (qui ont été creusés sans engins motorisés, à la main et aux explosifs !). Ce canal alimente les communes de Saint-Cézaire-sur-Siagne, Le Tignet, Spéracèdes, Cabris et Peymeinade.

Escragnolles dispose de deux stations d'épuration :

  • Escragnolles-chef lieu, d'une capacité de 500 équivalent-habitants[6] ;
  • Escragnolles-Le château, d'une capacité de 250 équivalent-habitants[7].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 103 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 4,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caussols », sur la commune de Caussols à 9 km à vol d'oiseau[10], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 271,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −11,7 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Voies de communications et transports

[modifier | modifier le code]

Voies routières

[modifier | modifier le code]

Le village est traversé par la D 6085 (ancienne N85 ou route Napoléon).

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne LER 31 qui relie Nice à Grenoble, ainsi que par plusieurs lignes du réseau Sillages :

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.

Au , Escragnolles est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (29,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), prairies (3,2 %)[20].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient de Sclango, nom obscur pré-latin, comme Esclangon - La Javie[21].

Attesté en: Castrum de Scralegnola ou comme on lit dans les Archives de Lérins, Sclangola, Scragnole ou Scangolo dans La Chorographie Ou Description De Provence

Escragnolles fin XVIIIe.

Raymond Requistoni (?-av.1309) fut seigneur de Escragnolles. Il s'allia à Cécile Cays, fille de Bérenger Cays, coseigneur de Peillon et du Touët[22]. Le seigneur de Escragnolles, Raymond Requistoni, eut de son vivant un homonyme qui fut chevalier et seigneur du Val d'Ampus.

  • À la suite de la peste de 1420, la population du village fut anéantie, et, pour le repeupler, il fallut faire appel à des habitants de la région proche ou de l'arrière pays de Gênes, les Figouns [23], grands mangeurs de figues et parlant le figoun.
  • Escragnolles fin XVIIIe.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Escragnolles Blason
D'or à un sautoir de sinople, accompagné en chef d’un roc d’échiquier, du même[24].
Détails
Les armes d'Escragnolles sont celles de la famille de Robert qui possédait cette seigneurie[25].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1975 mars 2008 Francis Galliano    
mars 2008 mars 2014 Jacques Ballestra[26]    
Avril 2014 En cours Henri Chiris SE Contrôleur de travaux

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 615 habitants[Note 2], en évolution de +0,16 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
346350279363402420408431413
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
392410411421355310281277264
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
282248249163150172130115118
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
117119110193326384491505596
2015 2020 2021 - - - - - -
614612615------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[31] :

  • Écoles maternelle et primaire[32],
  • Collège à Saint-Vallier-de-Thiey,
  • Lycées à Grasse.

Professionnels et établissements de santé[33] :

  • Médecins à Saint-Vallier-de-Thiey,
  • Pharmacies à Saint-Vallier-de-Thiey, Cabris,
  • Hôpitaux à Cabris,
  • Maison de Santé Rurale de Valderoure[34].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

Agriculture

[modifier | modifier le code]
  • Région repeuplée au XVe siècle par des agriculteurs ligures "Les Figouns"[36].
  • La ferme pédagogique "Rucher Abelha"[37].
  • Exploitant agricole, secteur d'activité de la culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules
  • Élevage ovin et abattoir fermier.
  • Bar-restaurant.

Commerces et services

[modifier | modifier le code]

Commerces et services de proximité[38].

Budget et fiscalité 2016

[modifier | modifier le code]

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[39] :

  • total des produits de fonctionnement : 651 000 , soit 1 048  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 645 000 , soit 1 039  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 240 000 , soit 386  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 178 000 , soit 286  par habitant ;
  • endettement : 270 000 , soit 435  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 10,45 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,04 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 101,66 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 648 [40].

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Habitats fortifiés, enceintes, oppidum, castellaras

[modifier | modifier le code]

Les points fortifiés sont très nombreux, toujours en vue les uns des autres autour d'un habitat fortifié plus important et mieux défendu[41],[42],[43],[44].

  • Oppidum de Conrouan
  • La Bastide,
  • Bois de Briasc,
  • Camp des listes,
  • Le Castellas[45],
  • Le Cavallet,
  • du Château ou Cogolin),
  • Collet des Pins de Rouyère,
  • La Colette (ou des Claps),
  • Conrouan (ou Camp Rouman, ou Moujoun,
  • La Grangasse,
  • Josepin,
  • Poste avancé des Rouguières,
  • Le Raïs, (ou Ray, ou Galants,
  • Les Rouguières.

Tumulus, Dolmens (Néolithique, Calcholithique)

[modifier | modifier le code]
Dolmen des Claps.
  • Dolmen des Claps[46],
  • Tumulus de la Colette[47],
  • Tombe en blocs de la Colette.

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]
  • L'église Saint-Martin. Construite au XVIe siècle et remaniée au XVIIIe siècle[48].
  • L'église Saint-Pons. Appelée à tort chapelle Saint-Pons[49].
  • La chapelle du cimetière. Petite chapelle du cimetière[50].
  • La chapelle Saint-Martin. Nombreux fossiles sur place[51].

Les grottes et abris sous roche

[modifier | modifier le code]
  • Grotte des Gours ou grotte Gras ;
  • Grotte de Saint-Martin ou Baumas du Baïl : 8 au total.

Les baumes du Baïl (hameau)

[modifier | modifier le code]
  • sous la nouvelle route Napoléon, au-dessus de la vraie route Napoléon

La Baumon du Duc ou grotte de Saint-Martin (Néolithique final)

[modifier | modifier le code]
  • Une des huit grottes dites de Saint-Martin ou Baumas de Baïl[52]. Ces cavités ont été découvertes et partiellement fouillées par Casimir Bottin, Émile Rivière et Marcellin Chiris entre 1878 et 1880[53]

Monuments commémoratifs

[modifier | modifier le code]
  • Monument aux morts sur la place, près de la Mairie[54],[55].
  • Plaque commémorative à François Mireur. Le nom de François Mireur est gravé sur l’Arc de Triomphe à Paris.

Événements

[modifier | modifier le code]
  • Fête annuelle aux ânes. La Fête aux ânes se déroule tous les ans le dernier dimanche de juin[56].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Les douze hameaux de la commune
  2. Sismicité : Effets à l’ouest du fleuve Var
  3. Dossier Départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-Maritimes
  4. L'eau dans la commune
  5. Cours d'eau sur la commune ou à son aval
  6. Description de la station Escragnolles village
  7. Description de la station Escragnolles Le château
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Escragnolles et Caussols », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Caussols », sur la commune de Caussols - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Caussols », sur la commune de Caussols - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  15. Horaires de la ligne Sillages à la demande no 400
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 239
  22. Venturini, Evolution, t.I, p. 178
  23. Toso F. : Da Monaco a Gibralterra : storia, lingua e cultura di villagi e citta-satto génovesi verso occidente, Toso, Le Mani Ed., Genova, 2004 (ISBN 88-8012-282-7)
  24. Dominique Cureau, « Les Monts d'azur : Escragnolles », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  25. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Paris, Éditions Bachelin-Deflorenne, (lire en ligne).
  26. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Établissements d'enseignements
  32. École primaire : maternelle et élémentaire
  33. Professionnels et établissements de santé
  34. Maison de santé rurale de Valderoure
  35. Paroisse Saint-Marie des Sources
  36. Pays de Grasse
  37. La ferme pédagogique "Rucher Abelha"
  38. Commerces et services de proximité
  39. Les comptes de la commune
  40. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  41. Guébhard A. : Essai d'inventaire des enceintes préhistoriques (castelars), Le Mans, 1906
  42. Brétaudeau G. : Les enceintes des Alpes-Maritimes, IPAAM, Nice , 1996 (ISBN 2-9508373-1-X)
  43. Gazeenbek M. : Enceintes et habitats fortifiés des Alpes-Maritimes, Musée d'Art et d Histoire de Provence, Grasse, 2004, (ISBN 2-904110-37-2)
  44. Bottin C.: Notes sur quelques monuments préhistoriques des Alpes-Maritimes, Ann. Soc. lett., Sc., et Arts des A.M., 1882-VIII, p. 155-176.
  45. Le Castellas de Saint-Martin
  46. « Dolmen des Claps », notice no PA00080719, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  47. Tumulus de la Colette
  48. L’église Saint-Martin
  49. L'église Saint-Pons
  50. Chapelle du cimetière
  51. La chapelle Saint Martin
  52. Détails La Baumon du Duc ou grotte Saint-Martin
  53. Del Fabbro Laurent, « La Baumon du Duc ou grotte Saint-Martin (Escragnolles, Alpes-Maritimes) », Bull. no 10 GRHP
  54. Monument aux morts
  55. Monument aux morts : Conflits commémorés 1914-18
  56. Date de la fête des ânes sur Nice-Matin

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]