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Eddie Duran

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Eddie Duran
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 94 ans)
SonomaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Edward Lozano DuranVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Période d'activité
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Autres informations
Instrument
Label
Genres artistiques

Eddie Duran, né Edward Lozano Duran le , à San Francisco (Californie, États-Unis) et mort le à Sonoma (Californie), est un guitariste américain de jazz. Avec son épouse Madeline, saxophoniste alto et ténor de jazz, ils forment le groupe de latin jazz et bebop Mad & Eddie Duran. Le couple a aussi fondé son label Mad Eddie Records et sa société de production.

Le jeune Eddie Duran naît le 6 septembre 1925 à San Francisco (État de Californie) dans une famille issue d'une précédente vague d'immigration mexicaine. Cette famille de musiciens dans l'âme va donner aussi naissance à ses deux frères Manuel Duran (pianiste) et Carlos Duran (contrebassiste) dont il est le cadet. En interview, il dit souvent : « Nos parents aimaient la musique, et ils se sont jamais opposés à ce que nous débutions une carrière musicale »[réf. nécessaire].

Il commence par étudier le piano à l'âge de sept ans et changera pour la guitare à douze ans[1]. Très jeune, il trouve sa première inspiration de jeu de guitare dans les disques de Django Reinhardt, qui sera suivi de Charlie Christian qu'il considère comme étant le plus grand guitariste électrique de jazz band. La passion pour les mélodies swinguantes le porte vers Barney Kessel, Jimmy Raney et Tal Farlow qui lui témoignera plus tard d'un respect musical réciproque.

Eddie commence une année de cours de musique, et de leçons de guitare, année qu'il ne terminera pas. Au bout de sept mois[1], il se prend seul en mains et abandonne les leçons. Se considérant comme un « joueur d'oreille », il développe rapidement sa propre philosophie de jeu : « La musique est une chose spirituelle et intangible, et vous avez juste à penser qu'elle va sortir de vous »[réf. nécessaire].

Sa carrière professionnelle démarre ainsi très précocement, à l'âge de quinze ans en 1940[1]. Il joue à ses débuts dans les formations des leaders Charlie Parker, George Shearing et Red Norvo et embrasse la scène bebop de San Francisco.

À partir de fin 1954, Eddie Duran connaît une brillante carrière de musicien de formation jazz, et enregistre pour Vince Guaraldi, Cal Tjader, le Cal Tjader/Stan Getz sextet, Earl Hines, Tania Maria, Dee Bell mais aussi pour Brew Moore, Pearl Bailey, Barbra Streisand, Benny Goodman et pour lui-même.

C'est vraiment grâce à Vince Guaraldi d'abord, son ami d'enfance[2], puis à Cal Tjader ensuite que ses talents de guitariste de jazz éclatent au grand jour devant le public américain. Guaraldi et Tjader jouent déjà ensemble, Vince lui fait rencontrer les deux frères d'Eddie, Manuel et Carlos Duran qu'il engage respectivement comme pianiste et contrebassiste du Cal Tjader's Modern Mambo Quintet de 1954. Tjader qui a déjà de la suite dans idées, ne veut pas se cantonner uniquement au succès du mambo. Pour revenir à un son plus west coast, il décide de s'entourer de quelques talents naissants comme Eddie Duran, Sonny Clark, Brew Moore, Gene Wright, Stan Getz et enregistre avec des formations plus traditionnelles de quartet, puis de quintet et sextet. De ce creuset, naissent des disques novateurs, empruntés d'une touche nouvelle de latin jazz qui vaut à Cal Tjader d'être considéré ultérieurement comme le « père » de ce nouveau courant musical. Cette touche qu'il modélise à merveille, concrétise vraiment son style et en fait une de ses marques de fabrique, gage de succès pour Fantasy Records, sa maison de disques.

Vince Guaraldi et Cal Tjader, alors vedettes naissantes de la nouvelle petite maison de disques Fantasy Records publient respectivement plusieurs albums remarqués dans l'univers Jazz West Coast et commencent également à écumer avec succès les scènes des clubs de jazz de Californie et d'ailleurs. Des publications critiques plutôt élogieuses suivront dans des magazines musicaux comme Grammophone et les journaux. C'est dans ce contexte qu'Eddie Duran démarre ainsi en 1955 les sessions d'enregistrement de l'album Tjader Plays Tjazz. Il sera rappelé par « Cal » pour deux autres disques en 1958.

Rapidement, le talent d'Eddie ne va plus passer inaperçu : ses enregistrements chez Fantasy font le tour de la baie de San Francisco et il acquiert une solide renommée professionnelle dans le milieu des musiciens[1] au point de devenir plus tard et encore aujourd'hui une référence.

Earl Hines et d'autres musiciens le contactent pour jouer, le saxophoniste Brew Moore rencontré en sessions lui propose de venir enregistrer quelques morceaux et Tjader le présente encore à Gus Mancuso en 1956. Cette même année, les propositions se bousculent, et il peut enfin concrétiser un de ses rèves comme d'autres musiciens de Fantasy : enregistrer un album et ce sera Eddie Duran Jazz Guitarist qui parait donc tout naturellement chez Fantasy. Il reste encore aujourd'hui, l'un des meilleurs témoignage de son touché de cordes jazzy.

Autour de 1957, il assure toujours[3] la guitare de l'orchestre de la radio Columbia Broadcasting System KQW (plus tard renommée KCBS)[4] de San Francisco, localisée'Jesse Street at New Montgomery (Palace Hotel). L'orchestre sur la direction de Ray Hackett, anime musicalement le Bill Weaver afternoon variety show, un programme fleuve radiodiffusé qui accueille du public et qui voit régulièrement défiler les vocalistes Ree Brunell, Bob Callahan, Ellen Connor, Ardene DeCamp, et Stan Noonan. Cette année-là encore, Eddie Duran se voit confier les guitares du premier album Intro To Jazz de la diva italiano-américaine Ree Brunell qu'il a rencontré dans les studios de la radio. L'album est le premier LP d'un nouveau label San Francisco Jazz Records (qui disparaîtra rapidement et semble avoir fait partie de la production de la station de radio à cette époque).

En 1958, les sessions de studio pour l'enregistrement du disque Cal Tjader/ Stan Getz Sextet[2](ekk)[5] lui donne l'opportunité de faire la connaissance et de jouer avec un jeune musicien alors quasi inconnu Stan Getz. Eddie Duran, seul survivant aujourd'hui de cette mythique session, raconte dans une interview[6] : « Il n'y a pas eu de recherche avant cette date, ni de versions alternatives, pas de seconde prise. Tout est venu naturellement avec la nette impression d'être juste bien en place. L'ambiance était joyeuse et détendue ».

L'amateur éclairé de latin jazz pourra constater que l'on retrouve Eddie Duran sur trois des albums les plus latin jazz et Jazz West Coast de Cal Tjader. Ce sont d'ailleurs principalement les seuls enregistrements de cette époque où Cal Tjader a intégré une guitare dans ses formations.

Les carrières respectives de Getz et Duran se recroiseront à plusieurs reprises : notamment, en 1983, pour enregistrer en trio avec la vocaliste de jazz Dee Bell Let There Be Love, un album vibrant paru chez Concord Records[2].

De 1960 à 1967, il a son propre trio de jazz qu'il a fondé et dont il est le leader[2].

Brutalement les faits s'enchainent : le 6 février 1976, Vince Guaraldi, son ami de toujours décède d'une crise cardiaque, puis c'est le tour de sa première épouse qui disparait en 1977 le laissant seul avec ses enfants.

Portant sa tritesse avec dignité, il se réfugie dans la musique et rejoint[2] bientôt le Benny Goodman's orchestra entre 1976 et 1981. Enfin ressaisi, il retrouve de l'inspiration pour donner un nouvel élan à sa carrière musicale et publie en 1979, soit vingt-trois années après le premier, un second album solo très inspiré Ginza chez Concord Records, le repreneur de Fantasy Records, sa première maison de disques et à qui il doit beaucoup pour sa carrière.

Cet élan musical se poursuit, Eddie est engagé par Tania Maria[1], qui vient de signer chez Concord : il enregistre consécutivement trois de ses albums comme musicien principal et effectue des tournées entre 1980 et 1983.

Ses enfants élevés, la musique devient sa vie à temps complet. En 1984, alors qu'il joue pour le Cotati Jazz Festival au nord de San Francisco, il fait la rencontre de Mad (Madeline), qui deviendra sa seconde épouse.

Deux albums qu'il enregistre durant cette décennie 1980 seront nominés aux Grammy Award[précision nécessaire].

À la fin des années 1980, il déménage à New York City avec Madeline où il décide de former le « Mad & Eddie Duran Quartet »[1].

Fidèle à ses débuts dans le métier, Eddie Durand donne toujours le change et leur chance à des nouveaux venus dans le métier, les accompagnant un bout de chemin. Ainsi en 2010, Mad et Eddie Duran ont été les musiciens de concert de la jeune vocaliste Serafina Brown accompagnée par le contrebassiste Steve Webber[7].

Âgé de 85 ans, ce guitariste de légende montre encore qu'il est toujours prêt à jouer s'il sent le felling musical monter en lui. Et donc, toujours cette même année, le crowner Stan Pappas s'offre les services du grand guitariste Eddie Duran et de son trio pour l'accompagner sur scène durant des concerts d'hommage à Frank Sinatra qu'il donne dans plusieurs villes, notamment au Silverado Country Club et au Silos, un Jazz club de Napa[8]. Il répondra présent comme à son habitude.

Madeline « Mad » Duran : sa seconde épouse

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Madeline grandit à Belmont, au sud de San Francisco, (état de Californie) et commence à jouer de la clarinette alors qu'elle n'a que 10 ans. Sa vocation lui est venue en entendant jouer un voisin, elle a tout de suite aimé le son de cet instrument à vent. En dépit de ses parents qui pensaient que c'était une de ses nouvelles lubbies de jeune fille et qu'elle s'en détournerait bien vite, la clarinette devint rapidement une obsession pour Mad. Au collège et durant ses hautes études, elle apprendra les saxophones alto et tenor in high school.

Eddie Duran enregistre plusieurs disques solos au cours de sa carrière, mais les albums Eddie Duran Jazz Guitarist (1956) et Ginza (1979), salués par la critique sont considérés comme d'excellents ambassadeurs de son style d'interprétation de guitare jazz.

Ses sons de guitariste sideman les plus connus et les plus appréciés par la critique sont ceux qu'il a travaillé pour Tania Maria, Cal Tjader et Vince Guaraldi.

Discographie

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En solo
  • 1956 : Eddie Duran Jazz Guitarist[9]Fantasy Records / Fantasy F-3247 (Liner notes de Ralph Gleason)
  • 1979 : GinzaConcord Records / Concord Jazz CJ-94
  • 2000 : Eddie rides Again, AloneMad Eddie Records MECD 1002. Le liner notes est de Mad Duran, son épouse.
Avec son épouse Mad & Eddie Duran
  • 1997 : From Here to the MoonMad Eddie Records MECD 1001 / MCD-9296-2 (Concord Jazz)[10].
  • 2002 : Brazillian passionMad Eddie Records. Le liner notes est de Mad Duran, son épouse.
  • 200? : Samba cocktail : a Tribute to Stan Getz and Joao GilbertoMad Eddie Records. Le liner notes est de Mad Duran, son épouse.
  • 2004 : That Bossa nova ThingMad Eddie Records/ Iza Music. Le liner notes est de Mad Duran, son épouse.
Avec son ami d'enfance Vince Guaraldi
  • Avec le Vince Guaraldi Trio[11]
    • 1955 : Modern Music of San FranciscoFantasy Records / Fantasy F-3213 (Liner notes de Ralph Gleason)
    • 1956 : Vince Guaraldi TrioFantasy Records / Fantasy F-3225 (Liner notes de Ralph Gleason)
    • 1957 : A Flower is A Lonesome ThingFantasy Records / Fantasy F-3257 (Liner notes de Ralph Gleason) et en CD Original Jazz Classics OJCCD 235-2
  • En quintet
    • 1963 : In PersonFantasy Records / Fantasy F- 8352[12]
  • En Sextet[13]
    • 1964 : The Latin Side Of Vince GuaraldiFantasy Records / Fantasy F-3360 (mono) et F-8360 (Stéréo) et en CD Original Jazz Classics OJCCD 878-2
  • Avec plusieurs formations dont Eddie Duran sera le guitariste
    • 1967 : With the San Francisco Boys ChorusD&D Records[14] VG-1116. Le liner-notes est de Derrick Bang.
    • 1969 : The Eclectic Vince GuaraldiWounded Bird CD WOU-1775[15]
    • 1969 : Alma-VilleWounded Bird CD WOU-1828[16]
  • Avec le Vince Guaraldi Quartet[17]
    • 1968 : Oh Good Grief![18]' ∫ Warner Brothers Records LP WS 1747 (et réédition CD)
  • Avec le Vince Guaraldi Quartet[19] et l'orchestre de chambre Amici Della Musica
    • 1968 : The Charlie Brown Suite & Other Favorites[20] (inédit sorti en CD en 2003)CD Bluebird 82876-53900-2 - BMG/RCA
  • Compilations
    • 1980 : Greatest Hits 1962-1966[21]Fantasy Records MPF 4505, FCD 4505-2 (1989), FCD 7706-2
    • 1998 : Vince Guaraldi Trio : Charlie Brown's Holiday Hits[22]Fantasy Records CD F 9682, FCD 9682-2
    • 2009 : Essential StandardsConcord / Original Jazz Classics CD OJC 31426 02
    • 2009 : The Definitive Vince Guaraldi (2 CD)∫ Concord / Fantasy FAN-31462
  • Inédits
    • 2006 : North BeachD&D Records VG4465[23]. Cet album d'inédits est le fruit du travail de restauration de bandes de Michael Graves et de son fils Dave Guaraldi.
Avec Earl "Fatha" Hines
  • 1955 : '"Fatha" plays "Fats" WallersFantasy Records / Fantasy F-3 217 (Liner notes de Ralph Gleason)
  • ? : '"Another Monday DatePrestige Records PR 24043
Avec Gus Mancuso
  • 1956 : Introducing Gus MancusoFantasy Records / Fantasy F-3233 (Liner notes de Ralph Gleason)
Avec Cal Tjader
Avec Ree Brunell, accompagnée par le Jerry Coker Quartet et le Rudy Salvini big band[24]
  • 1957 : Intro To JazzSan Francisco Jazz Records JR1
Avec Brew Moore, saxophoniste
  • 1955 : Brew Moore QuintetFantasy Records F-3222 (mono) et F-8… (stéréo) / Original Jazz Classics OJC 100, OJCCD 100-2
  • 1958 : Brew MooreFantasy Records F-3264 (mono) et F-8… (stéréo)
Musicien du hungry i house band avec son frère Carlos Duran pour Barbra Streisand[25].
  • 1963 : Barbra Streisand—Live 1963 ou Barbra Streisand, Pre-History: The Debut, San Francisco 1963Enregistrement Live at the hungry i. Lp bootleg Bel Canto records B 001 (1985), puis CD Déjà vu reference edition DVRECD 65 (1991).
Avec Tania Maria
  • 1981 : PiquantConcord Records / Concord Picante Jazz CJ-151 et CCD 4151 (réédition CD)
  • 1982 : TaurusConcord Records / Concord Picante Jazz CJ-175 et CCD 4175 (réédition CD)
  • 1983 : Come With MeConcord Records / Concord Picante Jazz CJ-200 et CCD 4200 (réédition CD)
  • Rééditions
    • 2001 : Viva Maria (contains 2 Lp : Piquant & Taurus)Concord Records / Concord Picante Jazz CCD 5008 (réédition CD)
Avec Dee Bell
  • 1983 : Let There Be Love[26]Concord Records / Concord Jazz CJ-206
  • 1985 : One By One[27]Concords Records / Concord Jazz CJ-271
Avec Seven Stars
Eiji Kitamura, Teddy Wilson, Cal Tjader, Ernestine Anderson, Eddie Duran, Bob Maize et Jake Hann
  • 1983 : Seven StarsConcord Records / Concord Jazz CJ-217[28]

N.B : Cet album très rare aujourd'hui et difficile à trouver contient quelques-uns des derniers enregistrements de Cal Tjader avant sa tragique et subite disparition. Il n'a pour l'instant fait l'objet d'aucune réédition CD.

Vidéographie

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Bibliographie

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Notes et références

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  1. a b c d e et f Cf. La biographie d'Eddie Duran sur le site allmusic.com. Consultation du 7 avril 2011.
  2. a b c d et e Cf. La biographie d'Eddie Duran sur le site answers.com. Consultation du 5 avril 2011.
  3. La plage de durée de son engagement n'est pas connue avec précision. Cet emploi de guitariste d'orchestre lui permettait d'avoir des revenus réguliers et traduit aussi un besoin de jouer avec des formations d'orchestre de jazz plus traditionnelles comme à ses débuts et plus tard, fin 1970 avec le Benny Goodman's orchestra.
  4. Cf. Article Radio Orchestras of San Francisco de Jack Bethards [PDF] (3 pages). Consultation du 5 avril 2011.
  5. Dans certains biographies qui lui sont consacrés ainsi qu'à Stan Getz, on y parle d'un quintet, sextet estampillé latin jazz qui aurait enregistré entre 1963 et 1964. En fait, il s'agit simplement d'une réédition en 1963 du contenu de cet album enregistré avec Cal Tjader et dont ce dernier fut à l'initiative en 1958. Stan Getz, commençant à être connu, la réédition a fait mention de son nom en gros, et laissa à penser qu'il s'agissait d'un nouvel album à son initiative. Par conséquent, contrairement à ce que l'on peut trouver notamment sur internet, Eddie Duran n'a jamais enregistré directement pour Stan Getz mais a participé à des sessions d'enregistrements où les deux musiciens étaient conviés.
  6. Libre traduction de propos d'interview : Duran, the sole survivor of the 1958 sessions, concurs: “There was no rehearsal before the date, no alternates, no second takes. It went very smoothly. It just kind of fell into place. The feeling was happy and relaxed.”
  7. Cf. Ninth Annual Whale & Jazz Festival. Consultation du 6 avril 2011.
  8. Cf. Stan Pappas (site officiel). Consultation du 6 avril 2011.
  9. Avec Dean Reilly (contrebasse), Johnny Markham (Batterie) et Howie Dundane (clarinette / saxophone tenor).
  10. Cf. Mad And Eddie Duran. Consultation du 5 avril 2011. Le liner notes est de Mad Duran, son épouse qui joue également des saxophones tenor/alto et des flûtes.
  11. En 1955 avec Ron Crotty à la contrebasse et Vince Guaraldi (Piano) puis en 56 et 57 Dean Reilly (contrebasse)
  12. Cf. Album In Person. Consultation du 5 avril 2011.
  13. Avec Vince Guaraldi (p), Eddie Duran (g), Fred Marshall (b), Jerry Granelli (d), Bill Fitch, Benny Velarde (per), et un quartet à cordes non identifié.
  14. Ce label qui existe toujours, a été fondé par Vince Guaraldi : D&D sont les initiales de ses 2 enfants David Guaraldi. Cf. Album With the San Francisco Boys Chorus. Consultation du 6 avril 2011.
  15. Cf. Album The Eclectic Vince Guaraldi. Consultation du 6 avril 2011.
  16. Cf. Album Alma-Ville. Consultation du 6 avril 2011.
  17. En 1968 avec Carl Burnette (batterie) - Eddie Duran (guitare) - Stanley Gilbert (contrebasse) - Vince Guaraldi (arrangeur, Harpsichord, Piano, Producteur, compositeur).
  18. Cf. Album Oh Good Grief! avec les scanns de pochette LP. Consultation du 5 avril 2011.
  19. En mai 1968 avec John Waller (batterie) - Eddie Duran (guitare) - Fred Marshal (contrebasse) - Vince Guaraldi (arrangeur, Harpsichord, Piano, Producteur, compositeur).
  20. Cf Album The Charlie Brown Suite & Other Favorites . Consultation du 5 avril 2011.
  21. Cf Album Greatest Hits. Consultation du 5 avril 2011.
  22. Cf Album Charlie Brown's Holiday Hits. Consultation du 5 avril 2011.
  23. Cf. Album North Beach. Consultation du 6 avril 2011.
  24. Cf. Album Intro To Jazz sur le site classicjazzguitar.com. Consultation du 5 avril 2011.
  25. Cf. Un des tout premiers enregistrements publics de Barbra Streisand resté longtemps inédit. Consultation du 5 avril 2011.
  26. Eddie Duran retrouve Stan Getz au saxophone sur cet album. L'album ovationné par les magazine de Jazz Down Beat Magazine et BAM Magazine. Il reçoit plusieurs prix américains consacrant le meilleur jeune talent de l'année 1983 et est nommé Talent Deserving Wider Recognition 1984 par la critique de Down Beat Magazine.
  27. L'album est nommé Talent Deserving Wider Recognition 1985 par la critique de Down Beat Magazine.
  28. Cf. Album Seven Stars sur le site discogs.com. Consultation du 5 avril 2011.
  29. Voir un extrait de la vidéo Aurex Jazz Festival sur le site encyclopedia.com. Consultation du 5 avril 2011.

Liens externes

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