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Dominique Ouattara

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Dominique Ouattara
Dominique Ouattara en 2016.
Fonction
Première dame de Côte d'Ivoire
depuis le
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Dominique Claudine Nouvian
Nationalités
Formation
Activité
Conjoint
Statut
Autres informations
Site web
Distinctions

Dominique Ouattara appélée à l'état civil Dominique Claudine Nouvian (née le ) est une chef d'entreprise ivoirienne d'origine française. Épouse d'Alassane Ouattara, elle est depuis le 6 mai 2011, Première dame de la république de Côte d'Ivoire. Elle est la présidente de la Fondation Children of Africa.

Origine et formation

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Dominique Claudine Nouvian est née le à Constantine, une ville algérienne[1],[2]. Après un baccalauréat en sciences économiques obtenu en 1972 dans l'académie de Strasbourg, elle s’oriente vers les langues et obtient en 1975, un Deug de langues option économie à l’université Paris X. Elle obtient un diplôme d'administrateur de biens à la FNAIM à Paris en 1987. En 1989, elle suit une formation d'expert immobilier à Paris[3].

Carrière professionnelle

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En 1975, à l'âge de 22 ans, Dominique s'installe en Côte d'Ivoire en tant qu'employée de l'ONU[4]. Après cette expérience, elle entame sa carrière dans l'immobilier, prospérant notamment en gérant le patrimoine immobilier du président Félix Houphouët-Boigny[5]. Ses relations professionnelles avec le président Félix Houphouët-Boigny et son homologue gabonais Omar Bongo Ondimba lui permettent de développer l’activité de l’entreprise[4].

En 1979, elle devient PDG du groupe AICI International[6]. Elle implante, en 1989, AICI en Europe en choisissant la France comme vitrine européenne. Après une première antenne parisienne, AICI poursuit son développement dans le sud de la France, à partir de 1991, notamment à Mougins[7] avec le lancement d’une agence à Cannes. En 1993, un cabinet de gestion de syndic de copropriétés, « Malesherbes Gestion », qui gère plus de 200 immeubles parisiens, complète l’expansion du groupe AICI International. AICI International poursuit son développement en 2001, en s’installant au Gabon puis en 2006 au Burkina Faso[6].

En parallèle, elle est nommée, en 1996, PDG & CEO d’EJD inc., société qui gère l’Institut Jacques Dessange à Washington. En 1998, elle acquiert les franchises Jacques Dessange aux États-Unis et devient alors PDG de French Beauty Services, qui gère toutes les franchises américaines de la marque[8].

Dans les années 1990, elle rachète la marque de radio Nostalgie Afrique après avoir rencontré Jean-Noël Tassez[9].

D'après plusieurs médias, ses avocats sont Jacqueline Laffont et Pierre Haïk, aussi connus pour être les avocats de Nicolas Sarkozy. Elle aurait par ailleurs confié la gestion de ses relations avec la presse à l'agence Image 7 d'Anne Méaux (qui avait conseillé François Fillon) et la rédaction de ses discours et sa « communication digitale » à l'agence française Avisa Partners[10].

Première dame de Côte d'Ivoire

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À la suite de l'élection à la présidence de la République d'Alassane Ouattara, elle cesse ses activités de chef d'entreprises, démissionne de toutes ses fonctions professionnelles et cède les franchises Dessange USA au Groupe Dessange Paris, pour se consacrer exclusivement à sa fonction de Première dame de Côte d’Ivoire et à sa Fondation Children of Africa[11],[5].

Autres activités

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Fondation Children of Africa

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En 1998, elle créé la Fondation Children Of Africa, dont le but est de venir en aide aux enfants africains. La princesse italienne Ira de Fürstenberg en est la marraine. La fondation, qui intervient dans 11 pays d’Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire[12].

Un des plus importants projets de la fondation est la construction de l'hôpital mère-enfant de Bingerville. La première pierre de l'édifice est posée en 2013[13]. Bâti sur une parcelle de 4,9 hectares[14], cet hôpital — qui compte 130 lits et places — doit aider à résorber les difficultés d’accès aux soins et contribuer à réduire la mortalité maternelle, néonatale et infantile[15]. Il est inauguré en [14].

Le , elle inaugure le centre d’accueil pour enfants en détresse de Soubré[16]. Il s'inscrit dans un projet de la Fondation d'ouvrir trois centres dans des zones stratégiques de la Côte d'Ivoire (Soubré, Bouaké et Ferkessédougou)[17].

Travail des enfants

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Le , elle est nommée présidente du Comité national de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants[18] (CNS), par le président de la république de Côte d'Ivoire. La mission de ce comité est de suivre et d’évaluer les actions du gouvernement en matière de lutte contre l’exploitation des enfants. Les activités du CNS et de ses partenaires conduisent à l’adoption successive de deux plans d’action nationaux (2012-2014 puis 2015-2017) pour réduire de manière significative les pires formes de travail des enfants dans le pays[19]. Le troisième plan se tient de 2017 à 2019[20]. En , le département d'État américain publie son rapport 2012 sur la traite des personnes qui montre la progression de la Côte d’Ivoire en catégorie 2 dans le classement, catégorie des pays qui ne sont pas entièrement conformes aux normes minimales de la loi TVPA, mais qui font des efforts importants dans ce sens[21].

Elle initie en , à Abidjan, une conférence des Premières dames d’Afrique de l’Ouest et du Sahel, sur le thème de la lutte contre les violences, l’exploitation, la traite et le travail des enfants[22].

Soutien aux femmes

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En , elle lance le Fonds d'appui aux femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI)[23], pour le financement des micro-projets des femmes. Ce fonds vise à améliorer le revenu des femmes, faciliter leur indépendance financière, renforcer leur capacité entrepreneuriale et lutter contre le chômage. En 2019, plus de 200 000 femmes bénéficient de ce fonds en Côte d’Ivoire[24]. Son capital est de 12 milliards de FCFA[25].

Grâce notamment à ce fonds, elle reçoit en de la Chambre de commerce américaine le « U.S.-Africa Business Center Outstanding Leaders’ Award »[26].

Ambassadrice de l’ONU-SIDA

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Le , elle est nommée ambassadrice spéciale de l’ONUSIDA pour l’élimination de la transmission mère-enfant du VIH et pour la promotion du traitement pédiatrique[27].

Elle est adhérente de l’Organisation des Premières dames d’Afrique contre le Sida (OPDAS)[28]. Elle assiste à diverses réunions dans le cadre de son adhésion, notamment une réunion des Premières dames à Deauville (France), en , à Bamako (Mali) en , ou encore lors de la 7e Conférence africaine sur la santé et les droits sexuels à Accra (Ghana[29] en ).

Elle est également adhérente de l’Association Synergie africaine.

La 56e promotion de l’École normale supérieure de Côte-d’Ivoire porte son nom[30].

Vie privée

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Elle est issue d'une fratrie de cinq enfants[31]. Son père est de confession catholique, sa mère de confession juive[5]. Elle est de confession catholique[32],[33],[34].

Elle a été mariée à Jean Folloroux, professeur d'économie au lycée technique d'Abidjan, avec qui elle a deux enfants. Il décède en 1983[5]. Leur fils aîné, Loïc Folloroux, fut directeur de la branche africaine du groupe Armajaro Trading Limited, une société spécialisée dans le commerce sur le cacao et matières premières[35], dont il rachète les filiales francophones pour ensuite créer sa propre entreprise. Sa fille, Nathalie Folloroux, est directrice de la programmation chez Canal + International[36],[37].

Elle rencontre en 1985 l'économiste Alassane Ouattara, vice-gouverneur de la BCEAO à Dakar[38]. Elle l'épouse le 24 août 1991, à la mairie du 16e arrondissement de Paris[34], entourée d'amis de longue date tels que Jean-Christophe Mitterrand et Martin Bouygues notamment[39],[5]. Le couple est aussi proche de Nicolas Sarkozy[5].

Controverse

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Elle a fait appel à Avisa Partners pour rédiger de fausses allocutions dans les journaux Info-afrique, Intellivoire, Jeune Afrique, La Tribune (dans sa déclinaison africaine) ou sur le site Opinion internationale[40], et pour publier de faux articles servant sa communication (notamment sur le faux site d'information SOCIALmag)[41],[42].

Décorations

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Distinctions

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  • 1989 : « présidente d’honneur de la chambre syndicale des agents immobiliers de Côte d’Ivoire » (CSDAIM).
  • 2000 : « meilleure femme d’affaires de l’année 2000 », dans le cadre des Leading Women Entrepreneurs of the World[46].
  • 2008 : « prix international panafricain 2007-2008 de la meilleure présidente de structure de bienfaisance de l’Afrique de l’Ouest pour ses actions d’éducation, de formation et d’assistance aux enfants déshérités et aux femmes en difficultés »[47].
  • à Abidjan : officier de l'ordre du mérite de la solidarité pour ses actions caritatives de secours social et d'assistance humanitaire.
  • 2011 : « prix de la Fondation Crans Montana », en collaboration avec l’Unesco et l’Isesco, remis par Irina Bokova, directrice générale de l’Unesco[48],[49].
  • 2012 : « prix de la World Cocoa Fondation (WCF)», à Washington D.C, pour son engagement en faveur du bien-être des enfants.
  • 2013 : fait partie des « 25 femmes les plus influentes du business en Afrique » selon Jeune Afrique[50].
  • 2014 : ambassadrice spéciale de l'ONUSIDA pour l'élimination de la transmission du VIH de la mère à l'enfant.
  • 2016 : « US - Africa Business Center Outstanding Leader's » remis par la chambre de commerce américaine pour son engagement et ses actions humanitaires en faveur de l'entrepreneuriat féminin[51].
  • 2017 : prix « Global Impact Leadership Awards » remis par le Center of Economic and Leadership Development au siège des Nations Unies à New-York, pour son action en faveur de la lutte contre le travail des enfants et l’autonomisation des femmes[52].
  • 2018 : intégration comme membre du HEC Paris Advisory Board pour 4 ans[53].
  • 2018 : « prix d'honneur All Africa » pour son engagement en faveur du leadership féminin, concrétisé notamment par les actions sociales qu’elle a initiées dans le cadre de la Fondation Children Of Africa[54] ; en mai, « prix spécial CNP d'excellence » décerné par l'Autorité nationale de la presse (ANP) pour ses appuis en faveur de la presse en Côte d'Ivoire[55].
  • 2019 : distinction du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) pour son action pour la protection des enfants et l'émancipation des Femmes[24].

Notes et références

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  1. « Dominique Ouattara, première dame d'affaires », sur Slate Afrique (consulté le ).
  2. « Dominique Ouattara, main de fer et gant de velours », sur La Libre Belgique, (consulté le ).
  3. abidjan.net, « Domique Claudine OUATTARA », sur abidjan.net (consulté le )
  4. a et b « « Premières dames africaines » (volet 4), Dominique Ouattara, une femme de pouvoir », sur Mondafrique, (consulté le ).
  5. a b c d e et f « Dominique Ouattara, une "première dame" d'influence », sur Le Monde Afrique, (consulté le ).
  6. a et b « AICI International ».
  7. Vincent Hugeux, Les sorciers blancs : Enquête sur les faux amis français de l'Afrique, Paris, Fayard, , 335 p. (ISBN 978-2-213-62698-7), p. 64.
  8. « Les milliards envolés de Félix Houphouët-Boigny », sur France Inter, (consulté le ).
  9. « Célébration de ces 25 ans : Radio Nostalgie Côte d’Ivoire se remémore avec Dominique Ouattara », sur Célébration de ces 25 ans : Radio Nostalgie Côte d’Ivoire se remémore avec Dominique Ouattara (consulté le ).
  10. « Cote d'Ivoire ; la guerre des communicantes parisiennes », sur Challenges, (consulté le ).
  11. « Children Of Africa ».
  12. « Femme de devoir, femme au cœur d’or : Dominique Ouattara, femme de l’année 2015 », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « abidjan.net ».
  14. a et b « Côte d'Ivoire: Présentation générale de l'hôpital mère-enfant de Bingerville qui sera inauguré vendredi », sur KOACI (consulté le ).
  15. « Hôpital mère-enfant de Bingerville : la Première dame annonce la fin des travaux pour décembre 2016 », sur Abidjan.net (consulté le ).
  16. Isabelle somian, « Soubré: La Première Dame offre un centre d’accueil pour enfants victimes de traite et d’exploitation », Fratmat,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Pour son soutien aux enfants en détresse : Children of Africa projette la construction de 3 Maisons d’accueil », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « CNS ».
  19. « Travail des enfants : un nouveau plan d’action du CNS pour un coût de 12 milliards de FCFA », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « La première Dame félicitée pour ses actions de lutte contre le travail des enfants », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Intensification de la lutte contre le travail des enfants : Les Usa saluent les efforts du gouvernement ivoirien », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Philippe Kouhon, « Dominique Ouattara « championne d’Afrique » de lutte contre le travail des enfants - AFRIKIPRESSE - Actualité Afrique », sur www.afrikipresse.fr (consulté le ).
  23. « FAFCI ».
  24. a et b « Le FAFCI de Dominique Ouattara dépasse les 200 000 femmes aidées », sur Tribune Ouest, (consulté le ).
  25. « FAFCI : LE CAPITAL PASSE DE 10 A 12 MILLIARDS DE FCFA », sur gouv.ci.
  26. « Promotion de l’entrepreneuriat féminin : La Chambre de commerce américaine prime Dominique Ouattara pour son leadership », sur Abidjan.net (consulté le ).
  27. « UNAIDS », sur unaids.org.
  28. « :  : Bienvenue sur le site de l'Opdas :  : », sur freespiritmedia.com (consulté le ).
  29. « 7 EME CONFERENCE AFRICAINE SUR LA SANTE ET LES DROITS SEXUELS A ACCRA , FEVRIER 2016 » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  30. Afrik Soir, « Promotion Dominique Ouattara de l’ENS : Les 4 586 étudiants exhortés à éviter les pratiques malsaines », sur AFRIK SOIR, (consulté le ).
  31. Deutsche Welle (www.dw.com), « Qui est Dominique OUATTARA? | DW | 03.11.2015 » (consulté le ).
  32. « Dominique, la colombe de Ouattara », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Dominique Ouattara : jamais sans Alassane », sur geopolis.francetvinfo.fr (consulté le ).
  34. a et b « La revanche des Ouattara », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  35. « Loïc Folloroux : « Armajaro condamne toute activité de fraude et de détournement de cacao » – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com (consulté le ).
  36. « Télévision : les séries africaines crèvent l’écran », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « PHOTOS - Exclusif - Dominique Ouattara (Première Dame de Côte d'Ivoire) et sa fille Nathalie Folloroux - Dîner de gala à l'occasion du 20ème anniversaire de la fondation », sur www.purepeople.com (consulté le ).
  38. « Présentation Dominique Ouattara », sur Dominique Ouattara (consulté le ).
  39. « Entre M. Sarkozy et M. Ouattara, une amitié de 20 ans », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. Loris Guémart, Maurice Midena et Yann Mougeot, « Derrière le succès d'Avisa, la complaisance des "Échos" (et d'autres) : Ces grands médias qui ne font pas le ménage dans leurs tribunes », Arrêt sur images,‎ (lire en ligne).
  41. anonyme (Avisa Partners), « Afrique : le défi sanitaire en passe d’être relevé ? », SOCIAL mag,‎ (lire en ligne).
  42. Loris Guémart, Maurice Midena et Yann Mougeot, « Avisa : faux articles, faux médias, vraies opérations d'influence : Une galaxie de faux sites d'actualités liés à Avisa partners », Arrêt sur images,‎ (lire en ligne).
  43. Présidence, « Cérémonie de distinction de la première dame Dominique Ouattara, à la dignité de grand officier de l'ordre national », sur RTI Info, (consulté le )
  44. « Le Chef de l’Etat a élevé le Président de la République libanaise à la Dignité de Grand Croix de l’ordre National au cours d’un dîner- gala », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. « Coopération/ Le Portugal salue les performances réalisées par la Côte d’Ivoire : La visite d’État du Président Alassane Ouattara, au Portugal, prend fin aujourd’hui », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  46. Dominique Ouattara Femme de business, Femme de cœur « En 2000, elle reçoit à Venise le prix Leading Women Entrepreneurs of the World ».
  47. Mme Dominique OUATTARA (Pdte de Children of Africa) : “Je dédie ce prix aux membres et aux bénévoles de la Fondation” "Mme Dominique OUATTARA, présidente fondatrice de Children of Africa, a reçu le prix international panafricain ICS (Inter africaine de communication et de sondage) 2007-2008 de la meilleure structure de bienfaisance de l'Afrique de l'ouest. "
  48. Mrs. Alassane Ouattara, First Lady of the Ivory Coast will be the Guest of Honour of the South-South Cooperation Forum "Mrs. Allasane Ouattara, First Lady of the Ivory Coast will be among the Guests of Honour of the forthcoming South-South Cooperation Forum to take place in Brussels. "
  49. Dominique Ouattara distinguée : Voici les Coulisses de Bruxelles « À l’occasion de l’Assemblée annuelle des Premières Dames, dans le cadre de la 5e assemblée annuelle du Forum Crans Montana sur l’Afrique et le monde arabe, le Prix de la Fondation Crans Montana a été remis le 16 février 2011 à Bruxelles à Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire. »
  50. « Les 25 femmes les plus influentes du business en Afrique » (consulté le )
  51. « Promotion de l’entrepreneuriat féminin : La Chambre de commerce américaine prime Dominique Ouattara pour son leadership », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  52. « Excellence: Dominique Ouattara reçoit le prix du Global Impact Leadership Awards », FratMat,‎ (lire en ligne, consulté le )
  53. « Coopération ivoiro-française: Dominique Ouattara intègre Hec Paris », sur www.afrique-sur7.fr (consulté le )
  54. (en) « Le prix d'honneur AllAfrica Leadership Féminin décerné à la Première dame de Côte d'Ivoire | Côte d'Ivoire / AIP », sur aip.ci (consulté le )
  55. APANEWS, « Prix CNP 2018: Fraternité Matin désigné meilleur organe de presse d'informations générales - Apanews.net », sur apanews.net (consulté le )

Liens externes

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