Discussion:Retrogaming/Archives
Liens externes
[modifier le code]Je trouve assez moyen, les sites extérieurs qui proposent de l'émulation. Je les ai enlevés et rajouté m05.com et gamopat.com, 2 excellents sites sur le retrogaming.
- Pensez à déplacer ces liens (si importants) dans la page de l'émulation donc. Jivé (d) 31 janvier 2008 à 19:50 (CET)
Non, ces sites sont illégaux.
- Comme traverser la rue hors des clous... Les sites d'abandonwares sont responsables, et à ma connaissance n'ont jamais été inquiétés. bayo 2 février 2008 à 19:06 (CET)
Wikipedia n'a pas pour but de référencer des sites illégaux à ce que je sache.
- Mais ce n'est pas le but, le lien traite du sujet. bayo 4 février 2008 à 12:02 (CET)
- Finalement, je suis d'accord. Je pensais que le site était http://www.abandonware-definition.org et non LTF, mais quand bien même, il n'aurait pas bien d'intérêt ici. Je le retire donc. Je ne suis pas contre ajouter MO5 (on n'a rien sur le hardware), je ne connais pas Gamopat, reste qu'il commence à y avoir beaucoup/trop de liens. bayo 4 février 2008 à 12:21 (CET)
J'ai remis Gamopat.com. Va voir le site pour le juger. Un forum important, de nombreux tests et historique, de nombreux dossiers sur les firmes et consoles,la gamopatTV, M6 les ayant contacté lors de la réalisation de leur dossier sur le retrogaming. J'ai donc retiré certains sites moins importants et proposant de l'émulation.
- C'est sobre, c'est très bien. bayo 11 février 2008 à 21:29 (CET)
L'ajout de ces deux sites me paraît tendancieux. Le contenu n'est pas vraiment pertinent. Mo5 propose lui aussi des émulateurs alors que la ligne éditoriale de Gamopat concerne surtout les consoles actuelle à en croire leurs articles de première page, entrelardés de déclarations douteuses comme celle-ci: "DR DUCON KAWASHIMA (...) Le Docteur Kawashima est un sacré égocentrique, voire un sacré con tout court, même sa famille doit le penser désormais en bouffant du riz midi et soir."</ref>--迷宮 (d) 15 février 2008 à 16:14 (CET)
- Mo5 propose bien des émulateurs mais pas les roms. De plus c'est très loin d'être leur priorité. Pour Gamopat, les nouvelles porte bien sur les consoles actuelles ce qui est logique (pas de nouveaux jeux sur les anciennes consoles). Ce qui est important pour le retrogaming est bien la Gamopat TV, les nombreux dossiers et tests retros (voir tests recents pour les consoles 128 bits), et le forum important avec les collections retrogaming et les discutions. Tout en refusant les roms d'émulations. Certaines nouvelles sont traitées avec ironie.
Juste pour ajouter qu'il faut de toutes évidence empêcher les liens (premierement) qui parlent de l'émulation (= piratage, quoi qu'on en pense) et non du rétrogaming (je sais, c'est chaud de faire la différence, mais on y arrivera) et (deuxiemement), pour éviter trop de liens, supprimer les sites free, lycos, bref les trucs ignobles. :) Jivé (d) 23 février 2008 à 21:17 (CET)
- J'ai remis gamopat car le site prend de l'importance.
Ce site Gamopat n'a quasiment rien à voir avec le retrogaming, on se demande ce qu'il fait parmi les liens externes. C'est la même IP qui le remet systématiquement dans cet article. Leurs actualités sont en rapport avec des consoles modernes, de même que tous leurs tests de jeux. On trouve sans doute plus de sujets en rapport avec le contenu de cet article Wikipedia sur jeuxvideo.com et Gamekult que sur Gamopat, et si l'argument pour le mettre dans les liens extrernes est que ce site "prend de l'importance", on pourrait alors bien ajouter ces deux-là qui jouissent certainement de plus de crédibilité.
- Je suis la personne qui a soutenu Gamopat. Toutefois, ne traitant pas exclusivement de retrogaming, je trouve que son retrait est effectivement approprié.(bien qu'il y existe de nombreux tests retros que tu n'as pas vu) Les sites actuels choisis sont de bonnes sources sans accès à des roms illégales. J'ai toutefois retiré 1up qui bien que traitant du sujet manque de fond. Il n'est pas encore assez important.
Ne pas mettre gamopat dans la lsite des sites retrogaming est une abberation ! Il y a plusieurs centaines de tests rétro et leur forum est surement le n°1 en France du retrogaming.
Je confirme : plus de 500 tests de jeux retro et ne pas le mettre sur Wiki c'est un sacré oubli, y a pas de site plus actif en france sur le retrogaming
J'ai rajouté un lien vers le site officiel du joueur du grenier pour ceux qui auraient de l'intérêt à voir des vidéos sur les anciens jeux vidéo GabrielGIVAJA_TPT 11 mars 2013 à 11:22 (CET)
- Quid d'un site comme [Nes Pas ?] ? C'est un site sans roms ou téléchargements liés à l'émulation, pas mal d'articles sur des jeux comme sur des bricolages de console, mais avec une rigueur éditoriale parfois un peu floue. Beaucoup de passionés. Qu'en penser ? Une page wiki doit-elle être une page de "pub" pour les "meilleurs sites" de toute façon ?
178.83.213.82 (discuter) 22 décembre 2013 à 23:36 (CET)
L'art et le retrogaming
[modifier le code]Cette partie est elle vraiment appropriée ? Cela ressemble plus à de la pub pour cet artiste. Il faudrait traiter du retrogaming en tant que phénomène de socièté.
- c'est vrai ça fait un peu pub en l'état. en fait dans cette rubrique on pourrait inclure des artistes et des zikos qui ont repris ou détournés des éléments de jeux vidéos rétro. ça risque de faire un peu liste en fait...
Contenu de l'article
[modifier le code]Bonjour, j'ai mis le bandeau pertinence sur l'article car je doute très franchement de l'adéquation d'une grosse partie de l'article avec le véritable sujet sur lequel il devrait porter. Depuis la réécriture de la page en décembre 2008 par 78.113.81.87 (d · c · b) diff, l'article dévie fortement du sujet en nous abreuvant d'un tas d'anecdotes (intéressantes mais totalement hors-sujet), d'un résumé de certaines périodes de l'histoire du jeu vidéo (pourquoi juste certaines d'ailleurs), d'un listage des jeux qui seraient les plus joués par les joueurs rétro mais sans aucune source pour appuyer ces affirmations qui sont au demeurant tout sauf neutre. L'article est aussi très fortement franco-centré, la moitié de la section "Causes du retrogaming" parle uniquement de journalistes français
Je me demande sérieusement si on ne devrait pas revenir à la version pré-78.113.81.87 (d · c · b), c.a.d celle-ci et ne garder que certaines petites portions du texte actuel. Flot (2) 24 janvier 2010 à 20:51 (CET)
- Si il n'y a pas d'opposition, je vais faire des coupes dans les prochains jours. Flot (2) 27 janvier 2010 à 18:15 (CET)
Salut, je te remercie d'avoir ouvert cette discution car cela permet d'aborder le thème du contenu de l'article. J'avais conscience en écrivant notamment la partie sur les jeux de référence du retrogaming que cela diviserait pas mal et ne tarderait pas à faire débat ici ! Mais reprenons l'ensemble de tes critiques.
Concernant les anecdotes, il ne faut pas négliger le fait qu'elles rendent souvent la lecture d'un article plus agréable (tu les juges toi-même « intéressantes ») : un article encyclopédique ne doit pas se limiter à un ensemble de dates et de données chiffrées comme c'est trop souvent le cas sur Wikipédia. En l'occurrence il ne me semble pas que les anecdotes fassent « dévier » le sujet comme cela aurait pu être le cas si j'avais parlé du format des cartouches de jeux, des spécificités esthétiques des cartouches de Zelda et Zelda II sur NES etc. En l'état actuel de l'article, je ne vois pas quelle partie pourrait sembler dénaturée par un excès de faits relevant objectivement de l'anecdote.
Le résumé de certaines périodes de l'histoire du jeu vidéo est indispensable à un article sur le retrogaming. On ne peut pas parler de jeu rétro sans faire un historique des débuts du jeu vidéo et des premiers remakes, des jeux misant sur leur aspect rétro. L'article s'étend de la période des premiers jeux vidéo en salle d'arcade, accessibles au grand public, à celle des dernières compilations de jeux rétro. J'ai par conséquent du mal à voir quelles sont les périodes qui ne seraient pas, à tort, abordées dans l'article. Il est clairement dit que l'article se limitait essentiellement à la période antérieure aux consoles 32 bits (le milieu des années 1990) pour la raison simple que les jeux sortis postérieurement ne sont dans la grande majorité des cas pas encore considérés comme rétros. Ainsi, un jeu tel qu'Ocarina of Time (sorti en 1998) n'a pas sa place dans l'article car les derniers opus de Zelda s'en inspirent tant sur le plan de la représentation graphique que du gameplay. En revanche, un jeu tel que Gradius V y a sa place car il reprend la représentation 2D et le gameplay des tous premiers épisodes, raisons pour lesquels toute la presse vidéoludique le considère comme un jeu rétro.
Sur le point le plus à même d'être mis en cause ici, à savoir les jeux qui font référence dans le domaine du retrogaming, je me permets de te faire remarquer que l'article a souvent été modifié afin d'apporter du contenu, des sources, à cette partie, et que tu es le premier à remettre ouvertement sa pertinence en cause. Mon avis est que cette partie a toute son utilité dans cet article et peut convenir aux critères de neutralité de l'encyclopédie à condition, comme tu le précises, de citer ses sources. Si Wikipédia demande aux contributeurs de faire reposer leurs informations sur des sources, il ne faut pas perdre de vue non plus que ce principe n'implique pas que toutes les informations doivent être spécifiquement sourcées ! Pour la plupart des jeux cités ici, il suffit de se référer aux ouvrages cités dans la partie bibliographique de l'article ou aux sites faisant l'objet d'articles spécifiques (The Killer List of Videogames, Mobygames etc.). As-tu remarqué que l'article mentionnait dans ses sources les jeux ayant obtenu un Tilt d'or, les chiffres de vente de certains hits ? Tout contributeur peut apporter ses sources afin de compléter cette partie susceptible d'intéresser par exemple tout retrogamer souhaitant commencer une collection. Citer Super Mario Bros, The Legend of Zelda, Tetris, Castlevania, Mega Man, Street Fighter II, Final Fantasy, Gradius, R-Type, Space Invaders, Donkey Kong, Pac-Man, dans les jeux de référence ne va pas à l'encontre de la neutralité tant la réputation de ces jeux dépasse le cadre du retrogaming. J'irais jusqu'à dire que les sources sont pour ce genre de jeux inutiles (après tout, on ne demande pas une source pour dire que monsieur Fillon est Premier ministre de la France ?). Pour des jeux tels que The New Zealand Story, ActRaiser, Bomberman, Ghouls'n Ghosts, Wonder Boy... cela peut-être nécessaire. Est-ce donc impossible pour la communauté des retrogamers de ressortir un Tilt ou un Joystick pour dire quels prix ont été obtenus par ces jeux ? Ne peut-on citer aucun chiffre de vente ? Allons... nous n'allons pas jeter le bébé avec l'eau du bain !
Dernière critique, l'article est selon vous franco-centré pour la raison que la section sur les causes du retrogaming ne donne l'avis que de journalistes français. Là encore, qu'est-ce qui empêche les contributeurs d'ajouter l'avis de journalistes japonais, suisses, ou italiens si ceux-ci sont pertinents ? Pour l'heure il me semble plus intéressant d'avoir l'avis sourcé de journalistes de premier plan, dans le domaine dont il est question ici, tels qu'AHL. Je te renvoie à mes propos sur l'intérêt et le plaisir de la lecture de l'article.
Dans la mesure où il y a objection argumentée de ma part, et qu'aucun débat sérieux sur la question n'a encore été mené, merci de ne pas effectuer de coupes dans l'article.
- Bonjour
- Concernant les anecdotes qui amélioreraient le style je ne suis pas de votre avis, les articles de WP sont en effet souvent écris dans un style assez morne purement descriptif/explicatif mais c'est simplement parce que c'est la seule manière d'écrire qui soit en adéquation avec les règles de fonctionnement du site. Les règles nous obligent à être pertinent et neutre dans notre propos. Pertinent (la règle ici) ça veut dire qu'on se restreint au sujet et qu'on essaye d'en faire une synthèse à partir d'un maximum de connaissances réunies et neutre (la règle ici) qu'on ne doit montrer aucune complaisance ou hostilité envers le sujet dont on parle. Vous vous rendez bien compte à partir de là qu'un article qui s'étale en anecdotes plus ou moins en rapport avec le sujet, prend parti pour certaines productions et où l'auteur s'emballe sur certains sujets est en opposition avec les règles. Par exemple, avez-vous jamais vu un article de synthèse d'une encyclopédie qui use de point d'exclamation? Moi jamais, simplement parce que l'auteur n'a pas à s'exclamer sur quoi que ce soit dans un article de synthèse.
- Je vous cite : "Le résumé de certaines périodes de l'histoire du jeu vidéo est indispensable à un article sur le retrogaming." je tempérerais fortement, si le résumé n'est pas directement lié (dans le texte) au sujet, on est effectivement dans le hors-sujet et c'est le cas dans une grosse partie de l'article. Chaque article a un sujet, et le sujet de celui-ci est le retrogaming, non l'histoire des jeux vidéo. Si on veut se renseigner sur l'histoire des jeux vidéo, il faut aller sur l'article histoire des jeux vidéo et l'ensemble de ses sous-articles (il y a une division en générations successives).
- "Si Wikipédia demande aux contributeurs de faire reposer leurs informations sur des sources, il ne faut pas perdre de vue non plus que ce principe n'implique pas que toutes les informations doivent être spécifiquement sourcées" : vous avez parfaitement raison il n'y a aucune obligation disons "par défaut" en revanche lorsque les infos sont mises en doute par quelqu'un cela devient une obligation et il se trouve que justement je les met en doute. Il n'y a aucune raison pour que tel ou tel jeu cité soit plus joué qu'un autre et en l'absence de sources je considère qu'il s'agit uniquement de l'appréciation de l'auteur et donc que ce listage est possiblement faux.
- Autre chose, le fait d'avoir reçut un prix ou plus généralement le fait d'avoir été bien reçu par la presse de l'époque ne signifie pas qu'il s'agit d'un jeu très joué aujourd'hui, des tas et des tas de jeux très bien notés ont été oublié au bout de 2-3 ans.
- Concernant les avis de journalistes, je suis désolé mais je me dois encore une fois de vous contredire. Comme expliqué plus haut l'objectif sur WP c'est de faire une synthèse des connaissances, or une liste des avis ou déclarations de nombreux journalistes n'a rien d'une synthèse, c'en est presque le contraire même. Il ne faut donc pas se contenter de rajouter les avis de journalistes d'autre nationalités. Avec un grand nombre de citations je trouve encore une fois qu'on est en plein dans l'anecdotique dans cette section.
- Et je rajoute encore une fois que le plaisir de la lecture ne doit surtout pas prendre le pas sur un véritable contenu pertinent. Le plus important est le contenu, ensuite vient le style. Flot (2) 29 janvier 2010 à 02:53 (CET)
Salut, sur la primauté de la forme sur le fond je suis entièrement d'accord. Cependant il ne me semble pas que l'article prenne foncièrement partie pour certaines productions et je ne compte qu'un seul point d'exclamation sur l'ensemble de la page, hors citations ou titres de jeux. Tout cela reste à voir au cas par cas, n'ayant pas relu l'article récemment, je n'infirme pas qu'il soit dénué de phrases dénotant une préférence pour telle machine ou tel jeu.
Il n'est effectivement pas nécessaire dans un article sur les jeux rétros de synthétiser de façon exhaustive toute la période de l'histoire des jeux vidéo aujourd'hui considérés comme rétros, dans la mesure où toutes ces informations existent déjà sur l'article dédié à l'histoire des jeux vidéo. En revanche, parler du jeu vidéo du début des années 1990, de Pac-Mania, de Space Invaders '91, de remakes, de références aux jeux rétros, de compilations de jeux rétros (à ce propos je remarque d'ailleurs que personne n'a encore mentionné dans l'article la sortie de King of Fighters Collection), est tout à fait dans le sujet de l'article ! Tout cela ne peut être fait sans se replacer dans le contexte des autres ordinateurs, consoles, et jeux vidéo de l'époque, sous peine de se retrouver en face d'une liste à puces qui n'aurait pas grand chose d'encyclopédique.
Concernant les jeux cités, si quelqu'un met en cause de façon justifiée la présence d'un jeu que l'article présente comme une référence rétro, je remercierais volontiers ce contributeur. Cependant, je doute qu'il y ai beaucoup de jeux présentés ici qui n'aient pas obtenu quantité de prix ainsi qu'un accueil des plus enthousiastes par les magazines faisant autorité à l'époque. Il est impossible de savoir si ces jeux sont encore joués aujourd'hui, mais il n'en ont pas moins un intérêt par le fait qu'ils ont marqué l'histoire de tel ordinateur ou de tel console et sont donc susceptibles d'intéresser au moins les collectionneurs de jeux rétro. Ainsi, des titres comme Shadow of the Beast ou Altered Beast n'ont jamais été reconnus par la presse pour leur jouabilité, mais un très grand nombre d'articles ou de pages sur Internet leur sont malgré tout consacrés. Joue-t-on encore beaucoup à Rondo of blood ? Nul ne peut le dire mais le fait est que de nombreuses personnes le recherchent, qu'il se monnaie cher et a donc à ce titre sa place dans un article sur le retrogaming. Même chose pour Final Fantasy VII, auquel Famitsu a attribué la note de 38/40.
Nous cherchons ici à créer un article sur les jeux vidéo rétros, donc à parler non pas seulement d'une simple activité qui serait celle de jouer à des jeux de quelques années, mais à parler de l'ensemble des connaissances sur la naissance et le développement du retrogaming, ses causes, ses aspects artistiques, sa prise en compte par l'industrie du jeu vidéo. Chaque machine de jeu rétro a vocation à être évoquée et l'on peut aussi envisager de renvoyer le lecteur aux listes de jeux sorties pour chacune d'elle, de parler des jeux rétros auxquels les joueurs sont le plus susceptibles de jouer, ceux qui sont le plus fréquemment collectionnés ou ressortis sous forme de remakes ou de compilations.
- Je suis d'accord avec vous, parler des remakes, compilation de vieux jeux ou de la mode néo-rétro qui se développe récemment chez certains éditeurs (surtout japonais) est en plein dans le sujet. « se replacer dans le contexte » oui, mais pas refaire une histoire des jeux vidéo en n'en citant que certaines parties.
- Je ne cherche pas à ce qu'on présente une liste à puce, mais plutôt une synthèse. Mais bien qu'elle ne soit pas "à puce", une liste c'est exactement ce qu'on trouve dans une grosse partie de l'article, particulièrement dans la section "jeux de références". Pour moi cette section est assez indéfendable. D'abord ce listage est potentiellement infini et c'est d'ailleurs pour ça qu'il est si long (au moins 30000 caractères), ensuite il n'y a pas de sources présentées pour justifier ce choix et pas un autre, à partir de là je trouve qu'on a juste affaire à l'opinion de l'auteur ce qui n'est pas toléré sur WP (voir WP:TI) et est donc généralement supprimé. Plutôt que de lister, il me paraitrait bien plus utile (et plus court) de dire de manière générale pourquoi certains jeux sont recherchés ou encore joué aujourd'hui (déjà débuté dans "Causes du retrogaming"). Ce serait là une véritable explication et non un listage.
- « Il est impossible de savoir si ces jeux sont encore joués aujourd'hui », c'est bien le problème. Mais au-delà de fait de jouer il faudrait quand même des sources pour dire que tel ou tel produit est très prisé par les collectionneurs.
- Comme je le dis un peu plus haut, on ne peut pas justifier le fait de mettre tel ou tel jeu dans la liste juste parce qu'il a reçut une bonne critique. Il existe un nombre énorme de jeux dans ce cas. Ca ne suffit pas d'avoir reçut un 38 dans le Famitsu et surtout ce n'est pas parce qu'un jeu a eu une bonne note qu'il est recherché ou joué aujourd'hui.
- « Chaque machine de jeu rétro a vocation à être évoquée » justement non, pour les raisons que j'ai précisées. Je ne sais si vous êtes déjà aller faire un tour sur Liste de consoles de jeux vidéo mais vous verrez qu'il y a le choix, et encore on ne parle même pas des micro-ordinateurs. Je l'ai dit mais je le répète : une synthèse n'est pas un listage (même si c'est fait sous forme de paragraphe). Flot (2) 2 février 2010 à 00:41 (CET)
Anglicisme
[modifier le code]Un problème de traduction du titre en français se pose, l'anglais étant a priori découragé. Je propose une redirection de retrogaming sur rétroludique ?v_atekor (d) 9 juin 2011 à 07:58 (CEST)
Section retirée
[modifier le code]Je copie ici la section "Jeux rétro de référence" que j'ai retirée de l'article. Comme je l'ai expliqué elle ne s'appuie sur aucune source et ne reflète que la vision de son auteur. Cela ajouté au fait qu'une telle liste serait potentiellement beaucoup plus longue et qu'elle présente pas mal de hors-sujet. Néanmoins je la copie car elle pourrait donner des idées pour rédiger l'article. Flot (2) 11 février 2010 à 00:26 (CET)
Jeux rétro de référence
[modifier le code]Action
[modifier le code]La série Castlevania de Konami, débutée en 1986 avec Castlevania sur Famicom Disk System, est un modèle du jeu d'action ayant pour cadre le château du comte Dracula. Parmi la multitude d'épisodes de cette série très appréciée pour sa jouabilité et ses musiques, Castlevania (Tilt d'or 1989) et Castlevania III: Dracula's Curse sur NES, Super Castlevania IV sur Super Nintendo, Castlevania: Bloodlines sur Megadrive ainsi qu'Akumajo Dracula X: Chi no Rondo sur PC-Engine Super CD-ROM² sont des titres d'action pure et dure (sans éléments empruntés aux jeux de rôle) particulièrement prisés des retrogamers.
Autre série à succès dans le genre du jeu d'action, Mega Man de Capcom, débuté en 1987 par un premier épisode réservé aux joueurs les plus persévérants, suivi par le très convaincant Mega Man 2 puis par quatre autres épisodes sur NES auxquels il est reproché le manque d'innovations. La série dérivée Mega Man X, apparue sur Super Nintendo, conserve l'essentiel (possibilité d'utiliser les armes des boss une fois ceux-ci vaincus) tout en apportant des innovations salutaires dans la maniabilité du célèbre robot bleu.
Metal Slug est une série de jeux à l'action frénétique, qui a connu un grand succès dans les salles d'arcade et sur Neo-Geo. Tout comme Mega Man, le manque de renouvellement a cependant fini par lasser les fans de la série, essentiellement à partir du quatrième opus, considéré comme moins bon que son prédecesseur[1].
Sega est à l'origine de nombreux jeux d'arcade à succès qui seront plus tard adaptés sur Master System et Megadrive. La série Shinobi en est un des exemples emblématiques, avec des jeux d'arcade tels que Shinobi, Shadow Dancer ou les épisodes The Revenge of Shinobi (Tilt d'or 1990 du meilleur jeu d'action ex-æquo avec Turrican) et Shinobi III, propres à la Megadrive. Cette dernière console a connu de nombreux grands jeux d'action tels qu'Alisia Dragoon, Comix Zone, Gunstar Heroes ou Moonwalker, pour n'en citer que quelques uns.
Les consoles Nintendo ont été plutôt bien dotées elles aussi avec des titres tels que Batman, Gremlins 2, Metal Gear (sorti en 1987 et premier d'une longue série), Teenage Mutant Ninja Turtles sur NES, ou ActRaiser, Contra III: The Alien Wars, Super Bomberman, Super Star Wars, Super Ghouls'n Ghosts sur Super Nintendo.
La PC-Engine était bien plus réputée pour ses shoot them up que ses jeux d'action mais elle compte tout de même parmi sa logithèque quelques programmes remarqués tels que Jackie Chan ou Ninja Spirit.
Les micro-ordinateurs n'ont pas connu autant de grands jeux d'action que les consoles, mais certains titres Amiga rivalisent avec les meilleurs titres sur console : Gods, Lionheart, Sword of Sodan, Wrath of the Demon, Shadow of the Beast et bien sûr la série Turrican (adaptée sur de nombreuses consoles et notamment sur Super Nintendo avec Super Turrican). Les conversions Atari ST de la plupart de ses jeux étaient généralement moins colorées, la machine ne disposant que de 16 couleurs affichables par défaut contre 32 sur l'Amiga. Quant au PC, étant considéré jusqu'au début des années 1990 comme une machine dédiée à la bureautique, il ne disposait que de peu de jeux d'action jusqu'à la sortie en 1993 de Doom, jeu vidéo de tir subjectif développé et édité par id Software, qui a connu le succès que l'on connaît.
Les retrogamers s'intéressant au premiers grands jeux d'action sur arcade se tourneront volontiers vers l'incontournable Pac-Man (sorti en 1980), Berzerk (sorti en 1980, un des premiers jeux à utiliser des voix de synthèse), Frogger (sorti en 1981), Dig Dug, (sorti en 1982) Joust (sorti en 1982), Q*bert (sorti en 1982), Marble Madness (sorti en 1984), Arkanoid (sorti 1986), ou vers des titres d'arcade moins anciens tels que Bionic Commando, Crossed Sword, Ghouls'n Ghosts, Green Beret, Hammerin' Harry, Magician Lord, Rygar, Strider ou encore Toki.
Aventure
[modifier le code]L'aventure/action a longtemps été le point fort de la Nes puis de la Super Nintendo avec la série The Legend of Zelda. Cette série a débuté avec The Legend of Zelda qui est un chef d'œuvre du genre et peu de possesseurs de la Nes sont passés à côté d'un tel classique. Sa suite, The Legend of Zelda II: The Adventure of Link est un épisode singulier de la série des Zelda dans la mesure où vue aérienne et vue de profil alternent tout au long de la partie, le magazine Tilt lui a décerné le Tilt d'or 1990 du meilleur programme d'aventure/action tout en reconnaissant que « The Legend of Zelda demeure le chef d'œuvre incontesté de l'aventure/action. Il est pratiquement impossible de l'égaler, mais The Adventure of Link n'en est vraiment pas loin »[2]. The Legend of Zelda: A Link to the Past revient aux canons de la saga avec une vue de haut tout au long du jeu. The Legend of Zelda: Link's Awakening sur Game Boy, The Legend of Zelda: Oracle of Ages, The Legend of Zelda: Oracle of Seasons sur Gameboy Color, The Legend of Zelda: The Minish Cap sur Game Boy Advance, n'ont pas connu le succès des épisodes sur console de salon mais n'en sont pas boudés par les retrogamers pour autant.
Si Zelda est le jeu d'aventure le plus connu sur les consoles 8 et 16-bit de Nintendo, il est loin d'être le seul titre de qualité dans le genre et des jeux tels que Faxanadu ou Battle of Olympus sur Nes, Demon's Crest ou Flashback: The Quest for Identity sur Super Nintendo n'ont pour beaucoup de retrogamers pas grand chose à envier à la série phare de Nintendo.
Les autres consoles ne sont pas dépourvus non plus dans le genre, qu'il s'agissent de jeux très fortement inspirés de Zelda tels que Golden Axe Warrior sur Master System, Soleil sur Megadrive ou Neutopia sur PC-Engine, ou de jeux plus originaux tels que la série Ecco ou certains épisodes de la série Wonderboy de Sega : Wonder Boy in Monster Land, Wonder Boy III: The Dragon's Trap, Wonder Boy in Monster World.
Plusieurs épisodes de la série Castlevania présentent des éléments de jeu d'aventure et de jeu de rôle : Castlevania II: Simon's Quest sur Nes, Castlevania: Symphony of the Night sur Playstation (souvent mentionné pour être l'un des meilleurs de la série Castlevania, avec l'épisode Akumajo Dracula X: Chi no Rondo[3], dont il constitue la suite directe), ainsi que la majorité des épisodes suivants.
L'arcade compte très peu de jeux d'aventure/action et Cadash est l'un des rares jeux du genre à être sorti dans les salles d'arcade.
Les micro-ordinateurs, excepté certains programmes tels qu'Another World , disposent de jeux d'aventure généralement très différents de ceux présents sur consoles, par exemple ceux du genre « Pointer-et-cliquer » où l'action est moins présente voire inexistante. Ils n'en sont pas moins intéressant et les éditeurs de jeux étaient autrefois prolixes dans le genre, tels LucasArts Entertainment Company avec des jeux tels que Maniac Mansion, Indiana Jones et la Dernière Croisade, Loom, la série Monkey Island (The Secret of Monkey Island, Monkey Island 2: LeChuck's Revenge, The Curse of Monkey Island, Escape from Monkey Island), Indiana Jones et le Mystère de l'Atlantide, Maniac Mansion: Day of the Tentacle, Sam and Max Hit the Road, Full Throttle, The Dig, Grim Fandango. Du côté de l'éditeur Sierra, on trouve aussi de nombreuses séries à succès : King's Quest, Space Quest, Leisure Suit Larry, Police Quest, Gabriel Knight. Enfin, du côté des autres éditeurs, quelques jeux sont parvenus à se démarquer : KGB, The Legend of Kyrandia, Alone in the Dark, Under a Killing Moon, Discworld, Myst, Les Chevaliers de Baphomet ou encore The Longest Journey qui, bien que sorti en 1999, dispose d'un gameplay des plus classiques. Ce dernier jeu a reçu de nombreux prix[4] et a été honoré par les critiques pour la qualité de ses dialogues, de son scénario et son monde virtuel très immersif, qui en font une référence du genre.
Beat them up
[modifier le code]Bien que Kung Fu Master (sorti en 1984), Renegade et Trojan (sortis en 1986) soient les pionniers du beat them up, Double Dragon est le premier jeu du genre à proposer des graphismes réellement attrayant à sa sortie (en 1987) et à poser les bases qui seront reprises par la quasi-totalité des jeux de combat à progression.
En la matière, les bornes d'arcade ont longtemps eu une longueur d'avance sur les consoles du fait du nombre et de la taille des sprites à animer pour un résultat final convainquant. Final Fight de Capcom, sorti en 1989, reste une référence absolue du genre, mais de nombreux autres beat them up d'arcade continuent à être appréciés des retrogamers : Altered Beast, Captain Commando, Two Crude, Dungeons and Dragons: Shadow over Mystara, Golden Axe, Pretty Soldier Sailor Moon, Teenage Mutant Ninja Turtles: Turtles in Time, Undercover Cops, Violent Storm. Du côté des consoles, on trouve bien sûr de nombreuses adaptations d'arcade mais aussi des jeux originaux tels que ceux de la série Streets of Rage sur consoles Sega.
Du côté des jeux de combat en un-contre-un ou versus fighting, Street Fighter II: The World Warrior de Capcom, sorti en 1991 sur borne d'arcade et sujet à de multiples adaptations, révolutionne le genre en proposant huit personnages jouables et huit styles de combats différents, un système de jeu rapide et novateur, ainsi qu'une grande performance technique due à des graphismes et une bande sonore riches et variés.
Parmi la quantité astronomique de jeux de combat du même genre, certains sortent du lot : le très violent Mortal Kombat et ses suites Mortal Kombat II puis Mortal Kombat 3, The King of Fighters '98: The Slugfest qui est l'un des épisodes préférés d'une longue série[5], The Last Blade 2, Mega Man: The Power Battle, Street Fighter Alpha 3, Virtua Fighter
Là encore, les consoles « rétro » (essentiellement les 16-bit) bénéficient surtout de conversions d'arcade, qui rivalisent difficilement avec leur version d'origine mais n'en sont pas moins réussies, tel que Killer Instinct sur Super Nintendo. Sur cette dernière console se trouve aussi plusieurs jeux de combat originaux tels que ceux de la série Dragon Ball Z.
Plates-formes
[modifier le code]Le jeu de plates-formes est assez caractéristique du jeu vidéo rétro, à tel point que les rares titres du genre à être sorti à l'époque des consoles 32 bits ou ultérieurement et adoptant une vue de profil ont pour la plupart été qualifié de jeux rétro par la presse vidéoludique, tel LittleBigPlanet sur Playstation 3[6].
Historiquement, Donkey Kong, jeu vidéo d'arcade créé par Nintendo en 1981, est un des premiers jeux de plates-formes. Il a été suivi par de nombreux jeux à succès dans les salles d'arcade pendant les années 1980 et au début des années 1990 : Blue's Journey, Bombjack, Bubble Bobble, Elevator Action, Mario Bros, The New Zealand Story, Snow Bros.
Cependant, c'est surtout les consoles qui donneront au genre ses lettres de noblesse. Les 8-bit tout d'abord, avec Super Mario Bros., Super Mario Bros. 2 (remake de Yume Kojo: Doki Doki Panic, ressorti sous le nom Super Mario USA au Japon) et Super Mario Bros. 3 sur Nes. Super Mario Bros a été vendu à 40 millions d’unités à travers le monde[7], ce qui en fait l'un des jeux vidéo les plus vendus de tous les temps, et la grande série des Mario accumule à elle seule 152 millions de jeux vendus[8]. La Nes a de nombreux jeux de plates-formes dans sa ludothèque : Circus, Duck Tales, Kid Icarus (jeu d'une grande richesse, qui se rapproche de l'aventure / action), Kirby's Adventure, Metroid (dont on ne viendra pas à bout facilement mais un système de codes permet de progresser dans le jeu), Snake Rattle 'n' Roll, Wizards and Warriors. Sur Master System, Alex Kidd in Miracle World, Asterix, Psycho Fox ou Wonder Boy se distinguent d'autant plus que cette console n'a connu que peu de jeux du genre.
Sur 16-bit, il y véritablement une profusion de titres de plates-formes de qualité, à commencer par la série Sonic, sur Megadrive, dont le petit hérisson bleu est vite devenu la mascotte de Sega. Sonic the Hedgehog (jeu vidéo, 1991), sorti en 1991, se démarque de ses concurrents par la vitesse de son animation et la qualité de ses graphismes, il a été suivi de Sonic the Hedgehog 2, Sonic the Hedgehog CD, Sonic the Hedgehog 3 puis Sonic and Knuckles qui en plus d'être un épisode à part entière peut aussi êtré associé à d'autres jeux Sonic via la technologie « Lock-on ». A côté de cette série de jeux de plates-formes très appréciée sur Megadrive, d'autres titres se démarquent : Aladdin, Alex Kidd in the Enchanted Castle, Castle of Illusion, Kid Chameleon, Quackshot, Ristar, The Simpsons: Bart vs. the Space Mutants ou encore Tiny Toon Adventures: Buster's Hidden Treasure. Du côté de la Super Nintendo, Super Mario World est le jeu le plus vendu de cette console, et se place en sixième position des jeux les plus vendus au monde[9]. Les joueurs arrivés au bout des 96 niveaux de ce jeu pourront tenter de finir sa suite Super Mario World 2: Yoshi's Island ou se replonger dans les précédents opus de la série avec la compilation Super Mario All-Stars dont les capacités graphiques et sonores tirent parti de la 16-bit de Nintendo. On peut encore citer, parmi la multitude de jeux de plates-formes de cette console, The Addams Family (jeu vidéo), Donkey Kong Country, Earthworm Jim, Earthworm Jim 2, The Magical Quest, Mr. Nutz, Super Metroid, Tiny Toon Adventures.
PC Kid est une série de jeux de plate-formes particulièrement renommée sur PC-Engine et adaptée sur de nombreux supports tels que la Nes, la Super Nintendo et l'Amiga.
Quant aux micro-ordinateurs, on y trouve en plus de nombreuses conversions de jeux en provenance des bornes d'arcade ou des consoles, certains titres originaux tels que Prince of Persia (Tilt d'or 1990 de la meilleure animation[10]), sorti sur Apple II en 1989 et adapté sur la quasi-totalité des supports de l'époque, ou James Pond 2: Codename RoboCod sorti en 1991 sur Amiga 500 et Atari ST puis adapté sur Commodore 64, Megadrive, Amiga 1200, Amiga CD 32, PC, Super Nintendo et Master System.
Enfin, Rayman développé et édité par Ubisoft, sorti en 1995 sur Jaguar, PC, PlayStation et Saturn, est un jeux de plates-forme old-school possédant un graphisme et une animation très fluide pour l'époque. Super Mario 64, sorti l'année suivante sur Nintendo 64, n'est pas le tout premier jeu de plates-formes en 3D mais a révolutionné et redéfini le genre à l'instar de Super Mario Bros au temps de la 2D et peut à ce titre être considéré comme l'un des premiers sinon le premier jeu de plates-formes new school.
Réflexion
[modifier le code]Tetris semble être indémodable auprès des joueurs. Ce jeu de réflexion conçu en 1985 par Alexei Pajitnov compte d'innombrables versions, tous supports confondus. Alliant simplicité, intelligence et adresse, il est l'un des jeux vidéo les plus populaires au monde. On en a dit (ironiquement) que c'était peut-être la plus efficace des armes de guerre de l'URSS tant il avait fait perdre de temps et de productivité au bloc de l'ouest pendant les dernières heures de la guerre froide.
Le genre est plutôt bien représenté en arcade avec des titres comme Cameltry (On The Ball en est l'adaptation sur Super Nintendo), Columns, Klax, Lunar Lander, Puzzle Bobble, Qix, Solomon's Key, ou encore Super Pang.
Les micro-ordinateurs ne manquent pas non plus de softs de réflexion d'une grande qualité. Lemmings, développé par DMA Design et édité par Psygnosis en 1991 sur Amiga, fut porté sur pratiquement tous les ordinateurs et consoles de l'époque. L'Amiga a connu bien d'autres jeux de réflexion à succès tels que Life and Death, Pushover (adapté sur Atari ST, PC et Super Nintendo en 1992), Worms (adapté sur la plupart des supports en 1995). Les amateurs d'échecs apprécieront quant à eux la série Chessmaster débutée en 1986 avec The Chessmaster 2000.
Les consoles ont connu quelques jeux de réflexions originaux tels que Dr. Mario ou Solstice sur Nes, Goof Troop sur Super Nintendo.
Rôle
[modifier le code]Sur consoles Nintendo sont nées deux séries phares du jeu de rôle : Final Fantasy de Square (dont le premier opus est sorti en 1987 sur NES) et Dragon Quest d'Enix (série qui débute un an auparavant, en 1986, sur la même console). Final Fantasy VI et Dragon Quest V sont parmi les RPG les plus appréciés des retrogamers. Les joueurs réfractaires aux RPG au tour par tour se porteront quant à eux plutôt vers Secret of Mana (Seiken densetsu 2 au Japon).
Phantasy Star est une série de jeu vidéo de rôle de Sega. Contrairement à bon nombre de jeux de rôle sur console, elle se déroule dans un univers futuriste et permet de combattre avec des armes à feu en plus des armes blanches et magies récurrentes au genre. Débutée en 1987 sur Master System avec Phantasy Star, elle se poursuit sur Megadrive avec Phantasy Star II, Phantasy Star III: Generations of Doom et Phantasy Star IV: The End of the Millennium.
Autre série à succès, Shining propose différents épisodes partageant le même univers mais allant du jeu de rôle au jeu de stratégie au tour par tour en passant par le jeu d'aventure/action. Citons aussi Fire Emblem, dont le quatrième opus est souvent considéré comme le meilleur de la série (pour son scénario notamment), ou encore Suikoden.
Du côté des micro-ordinateurs, Dungeon Master (le jeu le plus vendu sur Atari ST), Eye of the Beholder, la série Might and Magic et la série Ultima restent très appréciés des retrogamers.
Stratégie
[modifier le code]SimCity, sorti en 1989 sur Amiga, Amstrad CPC, Atari ST, Commodore 64, PC et Mac, reste une référence du jeu de stratégie / gestion. Il en va de même pour Populous, Dune II puis Warcraft: Orcs and Humans (dont la suite Warcraft II: Tides of Darkness reprend le concept en y ajoutant des graphismes en SVGA très impressionnants au moment de la sortie du jeu).
En dehors des conversions de jeux de stratégie les plus populaires sur micro-ordinateurs, à l'instar de SimCity et Populous, les consoles rétro ne disposent que de peu de jeu de stratégie. Les consoles dotées de dispositifs de contrôle tels que le stick analogique, le stylet ou la Wiimote semblent plus adaptés à ce genre de jeux.
Simulation
[modifier le code]Les simulations sont essentiellement l'apanage des micro-ordinateurs. Flight Simulator, Stunts (aussi connu sous le nom de 4D Sports Driving), Panza Kick Boxing, Kick Off 2 sont quelques uns des modèles du genre.
Pilotwings sur Super Nintendo, est une des rares simulations (en l'occurrence une simulation de vol) développée pour une console. Le mode 7 et la manette de la 16-bit de Nintendo ont permis d'obtenir un résultat très satisfaisant.
Shoot them up
[modifier le code]Genre autrefois très prolixe, le shoot them up s'est considérablement raréfié sur console depuis le milieu des années 1990, à tel point que les nouveaux jeux de tir avec graphismes 2D ou vue de profil sont souvent perçus comme jeux vidéo rétro ou oldies, à l'instar de Gradius V[11] sur Playstation 2.
Plusieurs jeux d'arcade posent les bases du shoot them up : Space Invaders (sorti en 1978, archétype du shoot them up et un des jeux vidéo les plus influents), Asteroids (1979), Battle Zone (sorti 1980, premier titre de l'histoire du jeu vidéo à proposer un environnement en 3D, en l'espèce avec un rendu de type « fil de fer »), Centipede (sorti en 1980, un des premiers jeu vidéo crée par une femme, le joueur incarne un nain qui doit protéger son jardin des insectes), Defender (sorti en 1980, shoot them up qui inaugure le scrolling horizontal), Missile Command (sorti en 1980), Tempest (sorti en 1980, premier jeu à proposer le choix d'un niveau de difficulté), Galaga (sorti en 1981, premier jeu d'arcade à comporter des « niveaux bonus » entre les niveaux), Moon Patrol (sorti en 1982, premier jeu vidéo à utiliser la technique du scrolling différentiel ou parallaxe), Time Pilot (sorti en 1982, doté d'un scrolling multidirectionnel), Xevious (sorti en 1982, shoot them up à scrolling vertical inaugurant le concept de boss dans les shoot them up à scrolling, la possibilité de porter des attaques au sol par largage de bombes, les bonus cachés non mentionnés dans les instructions mais apparaissant suite à certaines manœuvres), Zaxxon (sorti en 1982, jeu d'une difficulté particulièrement corsée, à l'instar de Defender, ayant l'originalité de présenter une pseudo 3D en utilisant une perspective isométrique), Star Wars (1983), Gyruss (sorti en 1983, shoot them up de Konami à défilement circulaire reprenant le principe de Tempest), ainsi que Vulgus, 1942 (tous deux sortis en 1984), Exed Exes (1985) et 1943 (sorti en 1987) tous les quatre développés par Capcom et apportant chacun leur lot d'innovations aussi bien visuelles que sonores ainsi qu'au niveau du gameplay. Il est à noter que Capcom sortit aussi en 1985 Commando et Gun.Smoke qui peuvent être considérés comme faisant partie des premiers shoots pédestres, ou Run and gun, avec défilement.
Tous ces jeux font partie de ce que les anglo-saxons nomment le classic gaming. Les amateurs de shoot them up d'arcade portés vers une réalisation graphique et sonore plus attrayante apprécieront davantage des titres tels que 1941: Counter Attack, After Burner, Cabal, les manic shooters DoDonPachi et Gigawing, G-Darius, Gradius, Last Resort, Parodius DA!, R-Type, Raiden, Salamander (spin-off de la série Gradius de Konami), Viewpoint.
Côté consoles, le shoot them up semble être le domaine de prédilection de la PC-Engine, tant les titres de qualité sont nombreux sur cette console. Aldynes (sur SuperGrafX), Gate of Thunder (sur Super CD-ROM²), Soldier Blade, Super Star Soldier n'en sont que quelques exemples. La Megadrive compte une poignée de shoot them up très appréciés à leur sortie, tels que Bio-Hazard Battle, Hellfire, Thunder Force III (auquel le magazine Tilt a décerné le Tilt d'or 1990 du meilleur shoot them up ex-æquo avec Battle Squadron, malgré son classicisme[12].) ou IV. Quant à la Super Nintendo, son architecture organisée autour d'un processeur 16 bits faiblement cadencé (3,58 MHz à fréquence maximale) rend la programmation de shoot them up difficile, dans la mesure ou ce genre de jeux requiert l'animation d'une multitude de sprites, souvent de grande taille. Des titres tels qu'Axelay ou Super Aleste ont montré à l'ensemble de la presse vidéoludique que la Super Nintendo pouvait tout à fait se prêter à ce genre de titre. Toujours sur cette console, Star Wing, incluant dans sa cartouche le coprocesseur graphique Super FX cadencé à 10,5 MHz, est le premier épisode d'une longue série de shoot them up en 3D et l'un des premiers jeux en 3D polygonale (alliant surfaces pleines et textures) temps réel sur console.
Sur micro-ordinateurs, les shoot them up sont plus rares, mais certains titres rivalisent tout à fait avec leurs homologues sur console, à l'instar d'Apydia (développé par le studio allemand Kaiko et édité par Play Bite en 1992 sur Amiga) ou de Xenon 2: Megablast (développé conjointement par The Bitmap Brothers et The Assembly Line, édité par Image Works en 1989 sur Amiga et Atari ST, puis converti sur PC, Master System, Megadrive, Acorn Archimedes et Game Boy) sans oublier Agony (développé par le studio belge Art & Magic et édité par Psygnosis en 1992 sur Amiga), Project-X (développé et édité par le studio anglais Team17 en 1992 sur Amiga) ou encore Katakis (un clone de R-Type développé et édité en 1988 sur Amiga et Commodore 64 par les talentueux studios allemands Factor 5 et Rainbow Arts responsables deux ans plus tard de la série des Turrican).
Sport
[modifier le code]Les amateurs de jeux de sport se tourneront volontiers vers le jeu de bowling League Bowling, de basket NBA Jam, de golf Neo Turf Masters, de football Neo Geo Cup '98: The Road to the Victory, d'athlétisme Track and Field, ou encore les jeux de course auto/moto tels que Neo Drift Out: New Technology, le très connu Out Run ou son ancêtre Pole Position, Spy Hunter, Virtua Racing (jeu en 3D polygonale préfigurant les jeux de course modernes). Tous ces jeux sont sortis en arcade.
Sur console, Track and Field II reprend le gameplay du premier volet sorti en arcade et a malmené une grande quantité de manette Nes. International Superstar Soccer Deluxe est un jeu de football sur Super Nintendo doté d'une jouabilité simple pour une prise en main immédiate, à l'instar de la série Super Sidekicks et Neo-Geo Cup sur système d'arcade MVS et Neo-Geo. Le jeu de boxe Super Punch-Out!!, toujours sur Super Nintendo, reprend les concepts de ses prédécesseurs sortis en arcade et sur Nes. Comme en arcade, les jeux de course de qualité sont légion : Excitebike ou Rad Racer sur Nes, F-Zero (premier jeu à utiliser le fameux mode 7 de Nintendo permettant d'effectuer en hardware zooms et rotations sur des éléments plans), Micro Machines, Super Mario Kart (utilisant lui aussi le mode 7), ou encore Unirally sur Super Nintendo.
Enfin, sur micro-ordinateurs, les retrogamers apprécieront le jeu de sport multi-épreuves California Games adapté sur de nombreux supports, le jeu de tennis Great Courts 2, le jeu de sport futuriste Speedball 2: Brutal Deluxe, ou encore le jeu de course automobile Lotus Esprit Turbo Challenge (Tilt d'or 1990 dans la catégorie « meilleure course auto/moto »[13]).
- http://www.emunova.net/veda/test/902.htm
- Tilt numéro 85, page 23
- Test de "Castlevania : Symphony of the Night" sur Playstation sur emunova.net
- « The Longest Journey - Media Coverage », § Awards, sur le site officiel (consulté le )
- http://www.emunova.net/veda/test/561.htm
- http://www.jeuxvideo.fr/jeux/littlebigplanet/article.html
- Super Mario Bros (NES) sur VG Chartz.
- http://www.generation-nt.com/bestseller-jeux-video-actualite-11278.html
- VGChartz.com | Super Mario World (SNES) sur VG Chartz
- Tilt numéro 85, page 10
- http://www.jeuxvideo.fr/jeux/gradius-5/article.html
- Tilt numéro 85, page 25 : « l'animation est très rapide, avec des accélérations foudroyantes, et on appréciera également les superbes scrollings différentiels, ainsi que la bande sonore très convaincante. Si l'originalité n'est pas le point fort de ce programme, il faut reconnaître que ce shoot them up excitant joue la carte de l'efficacité »
- Tilt numéro 85, page 22
A propos de la supposition de "travail inédit"
[modifier le code]Bonjour. J'ai commencé à faire un travail de recherche de références, pour l'instant sur le résumé introductif. Dans un premier temps, je ne cherche pas à déterminer si l'article est complètement neutre ou si tous les aspects de l'article sont valables ; je pense que cela sera à aborder dans un deuxième temps. Le Yota de Mars (discuter) 18 juin 2015 à 14:07 (CEST)
- Presque tout est du TI, et pas souvent de bonne qualité. L'historique aborde des jeux complètement au hasard (Space Invaders DX, Geometry Wars ou SNK Arcade Classics ne sont pas du tout importants, Gradius V non plus, c'est sur Radiant Silvergun et Ikaruga que devrait se concentrer le paragraphe sur les shoot 'em up), la partie cause est un gros TI (je croyais qu'elle était repompée de Grospixels, mais je n'ai pas retrouvé la page dont je me souvenais) et ça continue ensuite avec des tas de nom de journalistes ou de site à la notoriété très variable (comme guardiana avec un rang alexa de plus de 5 million). Ensuite, les thèmes des parties aspects artistiques et émissions sont justes, mais manquent de sources pour savoir ce qui est important ou pas. Genre l'antre du Meea, je viens de vérifier, ses vidéos ne dépassent pas 50 000 vues, Reload d'At0mium a rarement plus de 10 000 vues. Je vais effacer ce qui n'est clairement pas notoire. Jelt (discuter) 21 juin 2015 à 14:53 (CEST)
- Jelt :, je viens de regarder la section "Historique" et j'ai rajouté un bandeau "Travail Inédit". En effet, trouver des sources parlant de l'historique du retrogaming (et non de l'histoire des jeux vidéos) relève de la gageure. Je supprimerais bien cette section, à moins d'un avis contraire et argumenté. Le Yota de Mars (discuter) 22 juin 2015 à 17:12 (CEST)
- Je suis d'accord (le paragraphe actuel traitant de l'histoire des jeux vidéo et pas réellement du rétrogaming), mais c'est en général mal vu de supprimer sans rien mettre à la place (au moins 1-2 lignes). Les sources sur l'histoire du retrogaming ne sont pas faciles à trouver, c'est sûr, surtout parce qu'un jeu vidéo ancien n'a pas beaucoup de sens: quand est-ce que c'est assez vieux? Gameplay RPG traitait-il du retrogaming, vu que le magazine n'arrêtait pas de parler de jeux 8 ou 16 bits, qui, lors de la parution du premier numéro, n'avait parfois que 5-6 ans? Sonic Jam ou Sonic Mega Collection en étaient? On trouve plus facilement des sources pour dire qu'aujourd'hui, ça existe, que pour savoir quand ça a commencé. Jelt (discuter) 22 juin 2015 à 20:11 (CEST)
- Que faire alors ? En l'absence de sources qui parlent de l'historique du retrogaming, on se retrouve face à un travail inédit. Même si on peut citer des jeux comme Pac-Mania ou Galaga '88 qui font références à d'autres plus anciens et qu'ainsi on montre qu'une mode est lancée, même si on peut être d'accord avec ces affirmations, celle-ci n'ont pas été prouvées (ou en tout cas affirmées) ailleurs, et c'est là que le bât blesse.
- Que résumer ?... Le Yota de Mars (discuter) 23 juin 2015 à 00:42 (CEST)
- En attendant de supprimer/résumer/reformuler, d'autres recherches m'ont permis de trouver ça où l'on peut lire :
« Dans la deuxième partie des années 80, les sons électroniques, la SF et les thèmes futuristes sont plutôt passés de mode . La culture de masse est inondée par la mode revival qui consiste à recycler de l'ancien pour le remettre au goût du jour. En musique cela se traduit par une foule de mégamix des années 50, 60, et 70 (Jive bunny, Claude François, Boney M, Village People etc...), de come-back comme celui de Petula Clark, et de reprises de tubes anciens.
[...] Enfin le jeu vidéo ne sera pas épargné par la mode revival. Les concepts anciens sont repris, customisés, et reliftés. Cela donnera des jeux comme Arkanoid, Super Sprint, Pacmania et… Galaga 88. »
- J'ai également trouvé ces liens qui pourraient correspondre à cette section : [1], [2], [3] : « 1995: Activision remeases its Atari 2600 Action Pak Volume 1 for Windows-based personal computers. Nostalgic-emulated retrogaming begins. » Bon, je n'ai pas tout lu, donc je peux me tromper mais ça sera à vérifier. Le Yota de Mars (discuter) 24 juin 2015 à 07:22 (CEST)
- Si tu te sens d'écrire quelque chose, n'hésite pas. Ta première source a l'air d'être un blog par contre. S'il est difficile d'expliquer les origines, tu peux mettre une phrase bateau et aborder directement les parties sourçables, comme l'importance de l'émulation et la montée en force du phénomène avec les années. Voire directement commencer en disant que l'émulation a fortement contribué au retrogaming. Cela n'a pas besoin d'être directement parfait. Jelt (discuter) 25 juin 2015 à 23:29 (CEST)
- En attendant de supprimer/résumer/reformuler, d'autres recherches m'ont permis de trouver ça où l'on peut lire :
- Je suis d'accord (le paragraphe actuel traitant de l'histoire des jeux vidéo et pas réellement du rétrogaming), mais c'est en général mal vu de supprimer sans rien mettre à la place (au moins 1-2 lignes). Les sources sur l'histoire du retrogaming ne sont pas faciles à trouver, c'est sûr, surtout parce qu'un jeu vidéo ancien n'a pas beaucoup de sens: quand est-ce que c'est assez vieux? Gameplay RPG traitait-il du retrogaming, vu que le magazine n'arrêtait pas de parler de jeux 8 ou 16 bits, qui, lors de la parution du premier numéro, n'avait parfois que 5-6 ans? Sonic Jam ou Sonic Mega Collection en étaient? On trouve plus facilement des sources pour dire qu'aujourd'hui, ça existe, que pour savoir quand ça a commencé. Jelt (discuter) 22 juin 2015 à 20:11 (CEST)
- Jelt :, je viens de regarder la section "Historique" et j'ai rajouté un bandeau "Travail Inédit". En effet, trouver des sources parlant de l'historique du retrogaming (et non de l'histoire des jeux vidéos) relève de la gageure. Je supprimerais bien cette section, à moins d'un avis contraire et argumenté. Le Yota de Mars (discuter) 22 juin 2015 à 17:12 (CEST)
"Rétrovidéoludisme"
[modifier le code]En regardant l'historique de cet article, je me suis aperçu que le terme soi-disant français "rétrovidéoludisme" (dont je n'avais trouvé aucune référence) a tout simplement été inventé par... des forumeurs : http://www.yaronet.com/posts.php?s=49634 (voir les messages 1 et 8 surtout). En conséquence, j'enlève toute référence à ce terme, celui-ci étant plus ou moins (et avec tout le respect que je dois aux inventeurs de ce terme !) une blague de potache. Blague qui, 11 ans après, a été reprise par beaucoup de sites sur le net... Le Yota de Mars (discuter) 18 juin 2015 à 14:17 (CEST)
- Peu importe l'origine du terme (forum ou Académie française), 14 ans après il est repris par des journaux, des amateurs de vieux jeux, et a acquis ainsi ses lettres de noblesse. À remettre, à mon avis. --Elnon (discuter) 18 juin 2015 à 15:43 (CEST)
- Elnon : la seule source sur Leberry.fr me semble un peu léger quand même (c'est peut-être un dialecte local joke). Je ne fais pas cette remarque pour m'opposer à ton avis, c'est juste pour le faire remarquer.
- Je viens de regarder rapidement je viens de trouver l’expression dans un livre [4], et sur le parisien, en trois mot par contre [5], il faudrait creuser pour voir l'usage (1 mot et 3 mots...) -- Archimëa [Toc 2 Mi] 18 juin 2015 à 17:12 (CEST)
- Ces références me semblent suffisantes pour mentionner en passant l'existence du néologisme « rétrovidéoludisme » dans la rubrique « Définition et origine », à côté de cet autre barbarisme qu'est « rétrogaming ». Je note qu'il existe aussi l'adjectif « rétrovidéoludique ». --Elnon (discuter) 19 juin 2015 à 00:25 (CEST)
- Bonjour Elnon :. Je ne suis pas d'accord sur ce point. Voici pourquoi :
- Comme je l'ai dit, ce terme a été utilisé pour la première fois sur le forum de Yaronet en 2004 (message 8);
- Il est utilisé la première fois dans l'article Retrogaming le 28 décembre 2012 ;
- A partir de là, toutes les sources trouvables sont postérieures à cette date :
-
- 03/06/14 : http://citizenpost.fr/2014/06/dossier-special-retrogaming-15-festival-rhonalpin-repute/
- 13/02/15 : http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/tendance-les-amateurs-de-jeux-video-ressortent-les-classiques-du-placard-13-02-2015-4530525.php
- 09/10/13 : un seul hashtag #retrovideoludisme sur twitter : https://twitter.com/hashtag/retrovideoludisme
- 16/12/13 : http://retrovideoludisme.blogspot.fr/
- 17/04/15 : http://www.grospixels.com/phpBB/viewtopic.php?topic=15249&forum=16&start=20
- Et enfin, les sources qui ont déjà été citées :
- 13/02/15 : http://lnt.ma/blog/geek-lnt/tendance-les-amateurs-jeux-video-ressortent-les-classiques-du-placard/ (tiens, qui a recopié qui ?)
- 18/07/13 : http://www.leberry.fr/cher/actualite/pays/bourges-et-environ/2013/08/01/le-retrovideoludisme-le-vieux-jeu-video_1631342.html
- 29/10/14 (date trouvée sur Amazon) : [6]
-
- (A part ça, un posteur de forum qui a dans sa signature ce terme ; là, c'est moins évident, mais on peut changer n'importe quand sa signature et elle change effectivement dans tous les messages postés, y compris avant la date du changement de signature.)
- Toutes ces dates me laissent penser que les journalistes ou blogueurs qui ont rédigés leurs articles (ou livre) se sont inspirés de l'article Wikipedia et ont trouvé ce terme qui n'a aucune référence sérieuse en terme de crédibilité. Je suis certain que sans ce terme écrit, les articles et livre cités ne parleraient pas de "rétrovidéoludisme".
- Elnon, j'ai vu que tu avais remis le terme sur l'article et je ne vais pas le supprimer ; je n'ai pas envie de rentrer en conflit.
- Néanmoins, il me ferait plaisir que l'on réfléchisse (que l'on vote ?) si ce terme doit être repris dans un article de Wikipedia au vu des arguments exposés. Merci par avance. :) Le Yota de Mars (discuter) 19 juin 2015 à 00:49 (CEST)
- Je suis bien conscient de la genèse et du parcours du terme et de l'effet qu'a eu son inclusion dans l'article en 2012 (merci de cette belle démonstration). Mais, au vu des occurrences désormais rencontrées, on ne peut pas faire comme si le néologisme n'existait pas et n'avait pas acquis, avec le temps, une vie propre. Il s'agit, évidemment, non pas de lui faire de la publicité en le mettant en vedette dès la première phrase du résumé introductif mais de le citer, en passant, dans le corps du texte, dans la section ad hoc, et sans s'y attarder. Voilà ma position : visibilité minimale. --Elnon (discuter) 19 juin 2015 à 01:27 (CEST)
- Bonjour Elnon :. Je n'avais pas remarqué que ta modification concernait uniquement le paragraphe "Définition et origine". Je pense que c'est un des meilleurs compromis que l'on peut faire ! :-) Cela donne quand même matière à réfléchir sur les sources qui s'avèrent indispensables du premier coup (à vrai dire, à la lecture de l'article, je pensais que l'Académie Française avait traduit le terme ainsi ; tous les journalistes ont dû avoir la même pensée ; jamais je n'aurais imaginé que de joyeux lurons qui s'amusent dans leur coin auraient pu ainsi avoir une telle influence ! :-D ).
- PS : Je pense rajouter une note pour expliquer d'où vient le terme ; ainsi, n'importe qui aurait les clefs en main afin de juger de la pertinence de ce terme (même si je ne l'approuve pas ^^). Le Yota de Mars (discuter) 19 juin 2015 à 12:04 (CEST)
- Cela me paraît une bonne idée. « Rétrovidéoludisme » est à l'origine un hapax ne relevant pas de la néologie officielle et qui, à ce titre, est intéressant. --Elnon (discuter) 19 juin 2015 à 12:46 (CEST)
- Désolé, mais je pense aussi qu'il faudrait supprimer ce terme complètement. Aucune des sources l'utilisant n'est le moins du monde une référence sur le sujet, presque tous sont des journaux régionaux ou des blogs qui ont simplement lu ça sur wikipédia, cela ne définit clairement pas l'usage du terme. Si c'était des magazines/sites de jeux vidéo ou des livres dédiés au rétro-gaming, ce serait autre chose, mais aucun d'entre eux n'a jamais repris ce terme. On n'a pas à donner de fausses informations sous prétexte qu'elles ont été reprises par quelques sources mineures. Jelt (discuter) 21 juin 2015 à 14:37 (CEST)
- Cela me paraît une bonne idée. « Rétrovidéoludisme » est à l'origine un hapax ne relevant pas de la néologie officielle et qui, à ce titre, est intéressant. --Elnon (discuter) 19 juin 2015 à 12:46 (CEST)
- Je suis bien conscient de la genèse et du parcours du terme et de l'effet qu'a eu son inclusion dans l'article en 2012 (merci de cette belle démonstration). Mais, au vu des occurrences désormais rencontrées, on ne peut pas faire comme si le néologisme n'existait pas et n'avait pas acquis, avec le temps, une vie propre. Il s'agit, évidemment, non pas de lui faire de la publicité en le mettant en vedette dès la première phrase du résumé introductif mais de le citer, en passant, dans le corps du texte, dans la section ad hoc, et sans s'y attarder. Voilà ma position : visibilité minimale. --Elnon (discuter) 19 juin 2015 à 01:27 (CEST)
- Bonjour Elnon :. Je ne suis pas d'accord sur ce point. Voici pourquoi :
- Ces références me semblent suffisantes pour mentionner en passant l'existence du néologisme « rétrovidéoludisme » dans la rubrique « Définition et origine », à côté de cet autre barbarisme qu'est « rétrogaming ». Je note qu'il existe aussi l'adjectif « rétrovidéoludique ». --Elnon (discuter) 19 juin 2015 à 00:25 (CEST)