Daniel Vogel
Daniel Vogel | |
Fonctions | |
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Conseiller national | |
– (4 ans et 1 jour) |
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Législature | 45e |
Groupe politique | radical (R) |
Commission | CTT |
Député au Grand Conseil neuchâtelois | |
– (10 ans) |
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Conseiller communal de La Chaux-de-Fonds | |
– (13 ans) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Muri bei Bern |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | PRD |
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Daniel Vogel, né le à Muri bei Bern (originaire de Kölliken), est une personnalité politique suisse du canton de Neuchâtel, membre du Parti radical-démocratique. Il est conseiller national de 1995 à 1999.
Biographie
[modifier | modifier le code]Daniel Vogel naît le à Muri bei Bern. Il est originaire de Kölliken, dans le canton d'Argovie[1]. Il s'établit à La Chaux-de-Fonds en 1963 après avoir passé son enfance dans le Jura bernois[2]. Il obtient un diplôme fédéral de comptable et travaille dans le domaine de l'informatique. Dans les années 1980, il est directeur d'une succursale d'une société de services et conseils en informatique[3]. Il enseigne également l'informatique à l'école professionnelle de La Chaux-de-Fonds[2].
Après la fin de son mandat au Conseil national en 1999, il devient consultant pour des entreprises. En 2006, il est nommé président du conseil d'administration de Nomad, l'organisation cantonale neuchâteloise chargée des soins à domicile[4].
Il est marié et père de deux enfants[3]. Sa fille Stéphanie Vogel est députée radicale au Grand Conseil du canton de Neuchâtel[5].
Parcours politique
[modifier | modifier le code]Membre du Parti radical-démocratique (PRD), Daniel Vogel est membre du Conseil général (législatif) de La Chaux-de-Fonds de 1978 à 1986[1]. Il préside le Conseil général en 1984[3]. Il est élu au Conseil communal (exécutif) le pour succéder à son collègue de parti Robert Moser et entre en fonction en janvier 1987[6]. Il reste à ce poste jusqu'en 2000, année où il ne se représente pas aux élections communales[7].
Il siège au Grand Conseil du canton de Neuchâtel de 1985 à 1995[1].
En 1995, il est élu au Conseil national. Il siège au sein de la Commission des transports et des télécommunications (CTT)[1]. Il n'est pas réélu lors des élections fédérales de 1999, l'un des deux sièges du PRD passant à l'écologiste Fernand Cuche[8].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Biographie de Daniel Vogel », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
- « Daniel Vogel ou le radicalisme social », L'Impartial, , p. 3 (lire en ligne)
- Gil Baillod, « Robert Moser s'en ira à la prochaine neige », L'Impartial, , p. 15 (lire en ligne)
- « Daniel Vogel fera le Nomad », L'Impartial, , p. 2 (lire en ligne)
- Pierre-André Stauffer, « Les radicaux se soignent à l'eau de jouvence », L'Hebdo, , p. 20-23 (lire en ligne)
- PA, « M. Daniel Vogel à l'exécutif », L'Express, , p. 7 (lire en ligne)
- Robert Nussbaum, « Communales - Daniel Vogel: "Il faut laisser la place" », L'Impartial, , p. 5 (lire en ligne)
- Sandra Spagnol, « Cuche fait un triomphe, la gauche devient majoritaire », L'Impartial, , p. 5 (lire en ligne)
Liens externes
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- Ressource relative à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :